Pseudo

Mot de passe

Ton pseudo :Ton email :
Ton mot de passe :Ton année de naissance :








Note Doll
Note Loft
A vie
Cette semaine
8
8
0
0

Aucun commentaire

Lire tous les com'z

alisha-chan a 0 points de bonté.

alisha-chan
Niveau
15
Créatrice de jeux vidéos
Flash

Hello, mina-san ! (ça y est, je suis trilangue *-* *si mes profs étaient là ils se foutraient bien de ma tronche...*)
Bref ! Que dire, que dire... C'est dur de faire son qui suis-je quand meme !xD Bon... Je suis une jeune fille (ça, vous vous en doutiez surement) lycéenne et je rentre en 1er S l'année prochaine ! (paix à mon ame T.T mais je dois y aller pour devenir la meilleure architecte du monde, mouah ha ha !*O* *va se pendre*)
A part ça, ma réelle passion est le dessin, domaine dans lequelle je ne me débrouille pas trop mal ! (c'est moi qu'ai fait le personnage de mon fond d'écran, si celui-ci apparait)
Sinon, voilà des petits dessins :
Alisha, the Pearls Dancer by Astreos0
J'écris également une fanfic sur One Piece ! En voici un extrait :
Oui, mon passé était assez lugubre.
Quoi ? Ah ! J'ai oublié de faire les présentations ! Mon nom à moi, c'est Alisha. J'ai dix ans.
Mon apparence ? Ben... Mes cheveux sont mis longs et roux, mes yeux rouges (comme ceux de ma mère) et j'ai des taches de rousseur sur le nez. Rien de bien extraordinaire mis à part peut-être mes pupilles.
Cela faisait bien six ans maintenant que tout le monde était mort, me laissant seul. Et durant ses six ans, j'ai du bosser comme livreuse pour Don Quichotte Donflamingo.
Ce type m'avait enrôlé, certes, mais vous vous doutez bien qu'il ne l'avait pas fait sous l'effet d'une crise de conscience, genre « oh mon dieu, je suis un pirate mais je ne peux pas laisser un pauvre bout de choux dans la rue ! Je dois l'adopter !! ». Non, bien sur que non... (Rien que d'y penser, j'en avais des frissons)
Pour vous éclaircir, en réalité, après que ma mère se soit faite tuer, je me m'étais enfuie, trop apeuré pour faire autre chose. (J'en avait honte à présent, depuis que j'avais compris que je l'avais carrément abandonné)
J'avais alors nagé, nagé, encore et toujours.
Une fois la terre ferme atteinte, je m'étais écroulée de fatigue. Quand mes yeux s'étaient rouverts, j'avais pu observer l'environnement dans lequel j'avais atterri. Je me trouvais sur une plage, et plus, on pouvait distinguer une ville – enfin, un grand village plutôt.
Encore sous le choc et désarçonnée par les événements précédents, je quittai ma e écailleuse et partie explorer la ville. Je m'étais dit, qu'éventuellement, un adulte aurait pu me dire quoi faire, me conseiller, étant donné que je n'avais que quatre ans.
J'avais pris soin avant de camoufler mes tatouages et ma marque dans le dos, comme ma maman me l'avait toujours répété.
« Si un jour tu prends la mer, prends soin de cacher les signes d'appartenance à notre tribu »
Bonne pioche, en me faufilant dans un bar, j'avais trouvé un « grand » qui m'avait semblé sympa sur le coup, avec son manteau rose plein de plume.
Mauvaise pioche, j'étais tombée sur Doflamingo.
Cette maudite hyène sans scrupule, elle avait vu en moi l'opportunité de se faire un nouvel ***e. A garder ou à vendre : il avait choisit la première option.
Vu que je n'avais nul part où aller, et que j'étais trop jeune pour décider quoi que ce soit par moi-même, je n'avais pas cherché à résister. A partir de là, il m'avait embarqué sur son bateau et l'enfer commença.
En effet, travailler pour Don Quichotte se résumait à : remplis ta mission, aboules le frics, punition si tu l'as pas. En général, quand l'un de nous échouait quelque part, Doflamingo, armé de ses claquettes (je crois que c'en était), le battait presque à mort. Ensuite, son subordonnée, Vergo, se chargeait d'achever le boulot.
Certains trouvaient ça insupportable et se suicidaient. D'autres, plus résistants, se contentaient d'obéir sans broncher et de survivre le plus longtemps possible, attendant une chance de s'échapper.
Je faisais parti des deuxièmes.
Ce n'était pas facile tous les jours, bien sur. Entre les portions de nourriture médiocres, les conditions de logement (si on peut nommer ça comme ça), la raclée quotidienne et, dans mon cas car j'étais la seule fille (que dieu me garde) sur ce bateau : les assauts horripilant de vieux hommes aigris. Non, mais sans dé***r, j'avais que dix ans et j'étais déjà confrontée à ce genre de choses. La première fois, j'avais pas pigé, parce que j'étais encore innocente et naïve. Heureusement (ou pas), un bonhomme puant l'alcool m'avait nettement éclairé sur le sujet.
Alors, pour éviter de subir l'irréparable, j'avais finalement pris la décision d'installer mon bivouaque en haut du mat et d'éviter tous contactes visuels avec les hommes, quels qu'ils soient. De les fuir en gros – ça marchait à peut près bien.
Puis, petit à petit, je me suis surprise à développer une haine contre eux. A cause de ça, mais pas que ; c'était aussi la faute de mon père, inexistant. La faute de cet homme, qui m'avait tous pris. La faute du Flamant rose, qui avait pris un malin plaisirs à me démolir. Bref, à chaque fois que je croisais un gars, ça finissait toujours en queue de poisson. (mauvais feeling, supposons.)
L'u*** fois où ça s'était à peu près bien terminé, c'était avec un nouveau au teint halé, arrivé il y a trois ans – enfin, en vérité, ça n'avait jamais commencé.
Il se nommait Trafalgar Law et avait un style qu'on voyait d'assez loin : un bonnet blanc, imprimé pattes de je-ne-sais-quoi, était enfoncé sur son crane. Il portait un sweat-shirt jaune, un jean bleu (assorti à son couvre chef niveau décors) et des... Euh... Des... Chaussures pointues.
Des cernes ornaient le dessous de ses yeux gris, ce qui lui donnait un coté « blasé de la vie » - j'étais sensé pas lui adresser un regard, mais la curiosité l'emporte toujours. De courts cheveux bruns dépassaient un peu de son bonnet.
J'avais passé les premiers jours après sa venu à l'examiner tout le temps. On pouvait sentir qu'il n'était pas semblable aux autres types présent dans l'équipage. Trafalgar avait l'air plus calme, plus posé, et surtout, plus Intelligent.
L'espoir de me faire enfin un ami était né. J'avais donc tenté une approche, mais je n'étais pas en totale confiance alors je l'avais faite sur la défensive – erreur.
-Pourquoi tu ne fais pas comme les autres ?
Le semi-zombie avait daigné tourner la tête pour voir qui osait le déranger (dans quoi, aucune idée) et m'avait reluqué de façon inexpressive.
-Je veux dire, n'en a pas envie ?
-De quoi ?
-ben, de ça.
Il m'avait semblé toujours aussi peu réactif, alors je lui avait fait comprendre de la manière la plus simple : je lui avais désigné ma poitrine (bien que je n'en ai pas vraiment).
Il m'avait toisé et avait eu un petit sourire narquois.
-Les gamines ne m'intéresse pas. Avait-il rétorqué, naturellement, avant de partir voir ailleurs.
J'étais restée plantée là, comme une ahuri. Il avait démolit mes espoirs (et appris que les mecs jeunes n'étaient pas obligatoirement con) en deux secondes top chronos.
Depuis, ça m'avait dégoûtée de lui parler. Toutefois, j'avais continué à l'observer du coin de l’œil et à traîner dans ses jambes, ce qui lui plaisait moyennement. Trafalgar m'avait plusieurs fois gentiment envoyée bouler à coup de « tu sais, la garderie, c'est pas ici. » ou « si tu t'ennuies, je peux remplacer tes bras par tes jambes pour voir. »
Bizarrement, la menace avait mieux marché que la remarque désobligeante.
En somme, il était insociable et toutes tentatives de rapprochement furent abandonnées en à peine une journée.
Voici pourquoi ça n'avait jamais vraiment commencé.
Bon, ne nous étendons pas trop sur le sujet et revenons en à l'instant présent. Aujourd'hui, nous venions de recevoir une très grosse cargaison de marchandise, destinée à être acheminée sur une île hivernale. Elle était composée de nombreuses caisses, toutes plus grosses et lourdes les unes que les autres, entassées n'importe comment. D'ailleurs, le tas tanguait dangereusement à chaque petite vague et les membres de l'équipage galéraient pour le fixer. Puis, Vergo leur mettait la pression, pour arranger les choses.
-Je vous préviens, si une seule de ses boites tombe dans la mer, vous servirez de quatre-heure aux monstres marins.
-Mais, boss... Tenta timidement l'un d'eux. C'est quand même pas de notre faute si vous avez placé la garnison juste à coté des barrières du pont... !
Un bruit de collision entre une chaussure et un nez humain retenti – pas très ragoutant, d'ailleurs.
-Tu n'es qu'un chien galeux, tu n'as pas à me remettre en question vermine.
Le gars qui avait osé contredire Monsieur le subordonné de Doflamingo c'était fait fracasser le visage à coup de pied.
Ce type était réellement, extrêmement fort. Chacune de ses attaques vous glaçait le sang même sans vous viser directement, si bien que personne d'autre ne se risqua à protester d'avantage et tout le monde se remit à la tache. Je fus désigné volontaire pour passer la corde au dessus de l'amas de caisses, mon corps d'enfant encore assez léger pour grimper dessus, sans risque de baignade improvisée.
-Tu y es ? Questionna un des hommes restés à terre.
-Juste une minute... Je finis d'entre croiser les cordes... C'est bon ! Je regagnai le pont et ils achevèrent les nœuds pour fixer le tout en bas.
-Ok, une bonne chose de faites. Le capitaine a dit qu'on atteindrait notre destination dans deux jours. Durant ce laps de temps, il attend de nous qu'on se tue au boulot, pour changer. Je vous ai donc préparer une liste de corvée à effectuer.
Une foule de protestation se fit entendre.
-Et depuis quand c'est toi qui donne les ordres ?!
-Ouai, c'est pas juste ! Déjà qu'on bosse limite vingt-quatre heure sur vingt-quatre, on devrait pouvoir choisir !!
-Si ça se trouve, tu vas nous donner les trucs les plus dures et te la couler douce après !
Je soupirai intérieurement. A quoi ça sert de se plaindre pour ça ? Vous devrez exécuter les ordres au risque de mourir d'épuisement de toutes façons... Pensais-je, dépitée.
La chose qui mit fin à la colère générale fut Law qui s'avança dans le but de récupérer sa petite fiche, et qui partit accomplir ses missions sans pipier mot.
L'employeur n'en revint pas, comme s'il avait vu le Christ en personne, puis il redescendit sur la planète bleu et encouragea le mec au bonnet blanc.
-ça, s'est un bon comportement mon gars ! Vous autres, vous devriez prendre***mple sur lui au lieu de *** le bordel pour un oui ou pour un non !
La foule se calma - malgré encore quelques belles insultes vociférées à droite, à gauche. Elle a une queue leu-leu, où je pris place, attendant de se faire attribuer une feuille. Après vingt bonnes minutes d'impatience, je reçu la mienne et la lus.
-Serpillière.
-Ménage.
-Linge.
-Cuisine.
-Serpillière.
-Ménage.
-Linge.
-Cuisine....
Pourquoi je n'avais que des trucs barbants à faire ?! Bien que ça ne devait pas être trop épuisant... Bah, je devrais pas m'en plaindre.
Une troupe de vieux barbus pris alors place autour de moi en ricanant.
-Alors, cette liste te convient ? Lança le premier.
-Ben... Oui, elle devrait pas ?
Un deuxième vieux adressa un regard genre « elle est encore plus naïve qu'on le pensait, ma parole ! » à son congénère.
-Si si, au contraire, elle le doit tout à fait ! S'exclama un troisième, fière de pouvoir se moquer sans qu'on lui réponde.
-Si vous le dites...
Je ne voyais pas du tout où ils voulaient en venir tous. L'u*** chose que je savais, c'était que j'étais complètement larguée – une fois encore – et qu'ils en profitaient de se payer ma tronche.
Vexée, je pris mon seau et ma serpillière, déterminée à montrer que j'étais capable de nettoyer le pont – parce que je supposais que c'était la raison de leur moquerie.
Le soir, on avait bouclé le travail à minuit, ce qui nous laissez à peine quatre à cinq heures de repos. Les hommes avaient rejoint leur hamac tandis que j'avais rejoint mon campement de fortune. Le haut du mat atteint, je jetai un coup d’œil dans mon repère : des tas de livres jonchaient le sol, en joyeux bordel. Faudra bien que tu ranges ça à un moment, ma fille. Parce que là, à ce stade, c'est plus un mat, c'est une bibliothèque ! M'ordonnais-je, déprimée par mon sens pitoyable du rangement.
Je me fis une place assez grande, en dégageant quelques livres, pour caler mon popotin et m’emmitoufla dans la couverture écrasée dessous. Je chopai le premier bouquin qui me tomba sous la main ; « l'histoire des hommes-poisson » était gravé dessus, en lettres dorées.
C'était le seul moyen d'échappatoire que j'avais trouvé pour me détendre un peu et oublier la réalité, de temps en temps. J'aimais notamment les carnets de voyage ou les livres narrant des histoires sur le monde entier – les coutumes, les différents peuples et races, les types d’îles, etc... Bon, c'est vrai qu'au départ, c'était très laborieux car je savais pas lire. Mais j'ai appris comme je pouvais (ça donnait une lecture pas terrible, toutefois, je captais les in ations principales.)
Je me concentrai dans ma lecture, que je poursuivis toute la nuit jusqu'au gong matinal.
La journée précédent notre débarquement sur le morceau de terre enneigée ce déroulait bien. Ou presque.
Plusieurs d'entre nous et moi-même faisions le ménage sur le pont, quand tout à coup, un tapage plus virulent que d'habitude attira notre attention à tous.
C'était Trafalgar qui se faisait littéralement tabasser par Vergo. Je ne sais pas ce que le jeune homme avait fait mais ça ne devait pas être anodin, vu la dureté des coups. Nous, on avait beau avoir ce spectacle immonde sous les yeux, on ne voulait pas être impliqués là-dedans.
Pourtant, j'avais très envie de l'aider car entendre ses os craquer me dégoûtait. Toujours étant que ce type était un parfait inconnu pour moi, et je ne pouvais pas risquer de me faire virer (voir tuer) sous prétexte de satisfaire ma bonne conscience. Puis, qu'est ce que j'aurais pu faire à part me faire casser le nez à sa place ? Rien.
Le châtiment perdurait depuis plus de dix minutes (c'est qu'ils étaient endurants, les deux). J'allais craquer et je sais pas, partir en courant faire la lessive (ce qui ne m'enchantait pas d'habitude) pour ne plus avoir à endurer ça. Quand, en passant la serpillière à proximité, je remarquai que l'attache contenant les caisses était sur le point de céder. Je leva les yeux aux alentour, un gros bonhomme bien baraqué était en approche.
J'eus alors une idée que je regretterais sûrement d'avoir suivi.
Je rasai son corps en faisant mine de ne pas l'avoir vu et lui fis un croche-patte furtivement. Déséquilibré, celui-ci fut entraîné par son poids et s'étala sur la marchandise. Comme prévu, la corde se déchira et les malles les plus hautes furent précipitées et englouties dans l’abîme. Moi, j'avais profité de la stupeur générale pour me barrer le moins douteusement possible (je n'avais aucunement l'envie de remplacer Law).
Ça passe ou ça casse, comme on dit. Je n'avais vérifier ni l'un, ni l'autre. Il fallait se contenter d'aspirer à un résultat concluant.
J'eus ma réponse le soir même, avant d'accoster l’île hivernale. Trafalgar était venu me voir, pas pour me remercier, ça non – où alors il avait une étrange façons de le faire.
-Tu sais, tu n'avais pas de raison de m'aider. Et moi, j'en avais pas besoin.
Toujours le même air blasé et agaçant.
-Dis pas merci surtout.
-Je n'en ai pas l'intention. Tu ne devrais pas aider les gens si tu n'es pas sur que eux, ils le feront en retour.
Ses paroles ressemblaient à une mise en garde. Je souhaitais pas vérifier si c'était le cas.
Le navire était enfin arrête, Doflamingo sortit de sa cabine avec un sourire plus grand que d'habitude. (mais jusqu'où pouvait aller sa bouche, à celui-là ?!)
-Nous y voilà enfin. Je vais encore faire grossir mon butin ! Vergo, ramènes tous ces bons à rien sur le pont ! Je vais désigner les livreurs.
Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Nous avions tous été ameutés sur le pont. Sur le coup, la pensée que je ne pouvais que uler était « ça caille !!! ». En même temps, une petite robe, ça tenait pas chaud. Je serrai mes bras contre moi pour essayer de conserver ma température corporelle.
-Alors, il me faut deux livreurs pas trop inutile.
Il détailla les rangs comme s'il faisait ses courses au supermarché. Il stoppa net son regard sur moi et se mit à rigoler.
-Toi ! Tu ne coûterais pas chère en vêtement chaud, vu ton corps chétif, et puis, si tu meurs de froid ou d'autre chose, ça ne sera pas une grosse perte.
Je me sentis estimée sur le coup, merci Dodo.
Le flamant rose poursuivit sa commande et, coup du destin, il désigna Law.
-Oh non, pitié, pas lui... Maronnais-je, ennuyée.
-Maintenant, bougez votre cul d'empoté et déchargez ça !
Une fois les caisses descendues, et, une fois bonnet blanc et moi équipés, nous prenions la route pour la maison du client.
-Alors... Le destinataire ce nomme Paul... Krisze-quoi ?
Je ne lisais pas très bien les noms étrangers.
-ça se prononce Kriszewckanszki.
-Oui, ça doit être ça. Tranchais-je, contrarié qu'il arrive à savoir dire Kriszew-je-sais-pas-quoi avec tant de facilité. Il a vraiment un nom à coucher dehors, ce type !
Trafalgar ne répondit rien, très bavard comme à son habitude.
Nous avions enfin déniché la résidence du fameux Paul, qui n'était autre qu'une taverne. Certainement une couverture car, le genre de marchandise qu'on vendait, elles n'avaient rien à voir avec un simple bar.
Nous nous étions engouffrés à l'intérieur et adressés au gérant.
-Bonjour jeunes gens, que puis-je pour vous ?
-Euh... C'est pour... Je me mis à genoux sur le tabouret pour pouvoir être au niveau de son oreille et parler plus discrètement (et aussi parce que je me sentais inférieur question taille). Pour vous savez quoi.
Le visage du barman s'assombrit.
-Je vois. Par ici, je vous pris.
Il nous conduit à l'arrière de la salle et nous introduisit dans une pièce où trois hommes se trouvaient.
-Fouillez les.
Trafalgar empêcha les deux hommes qui voulaient le contrôler d'un regard dissuasif.
-ça ne faisait pas partit de l'accord passé avec notre capitaine, il me semble.
-Désolé, mais comprenez moi, je ne peux pas me permettre d’être trahi par des pirates.
-Douteriez-vous de nous ?
-Non, non, c'est évident que non... Le gérant était mal-alaise et se frottait les mains nerveusement.
-Alors prenait votre commande, donnez nous l'argent et on s'en va.
Il hésita un instant puis s'exécuta. Il renvoya ses trois collègues, en demandant à l'un d'entre eux de ramener l'argent.
-Le compte est bon, un millions de berrys tout pile.
-Je vais quand même m'en assurer.
Law sortit s'installer à une table pour compter la somme d'argent. Je le suivit, ne sachant quoi faire d'autre, et m'assit à mon tour. J'étais à moitié gelée sur place - malgré le chauffage - , et en plus, l'autre abruti prenait bien son temps (à croire qu'il le faisait exprès).
Je promenai mes yeux dans l'auberge, pour observer la façon d’être des gens du froid. C'est alors que je repérai un groupe de gens différents : ils ne ressemblaient pas du tout à des es***aux, il avait plus l'air de pirates, et encore, ce n'était pas vraiment pareille. Il me lançait des regards malsains et fourbes, comme s'il préparait quelque chose. Ça ne me rassurait pas du tout.
-Dis, t'as bientôt fini ? Y'a des types louches qui m'inquiètent un peu là, tout de même...
-Et en quoi ça me concerne ?
Il était toujours absorbé dans ses comptes.
-Pffff... J'en ai ma claque. Je m'en vais, j'ai pas envie d'avoir des ennuis.
-Fais comme bon te semble.
Son manque de réaction me mis hors de moi.
-Très bien.
Je décollai mes fesses de la chaise brusquement et sortit en claquant la porte. Je pris le chemin direction le navire.
Cependant, au fur et à mesure de mon parcours, me tirer toute seule comme ça dans une ville inconnue à dix ans me paraissait de mauvaise augure. Si bien que je fis demi-tour.
Trop tard.
Le groupe de types louches de tout à l'heure m'avait suivie et à présent encerclée.
-Tu sais que c'est dangereux de se balader sans ton garde du corps, jeune fille.
Merci, je venais d'y remarquer.
-On a repéré tes beaux yeux rouges et on s'est dit « chouette, voilà une denrée encore inexploité question ***e ! ».
Et merde. (les enfants, ne répété pas les méchants mots de tata Alisha surtout!)
Fallait que je tombe sur des marchands d'***es. J'avais déjà lu des histoires sur eux, mais jamais je me serais doutée en croiser en chaire et en os. Et j'aurais jamais imaginé être leur proie.
-Tu vas te laisser faire gentiment et sans histoire, ça vaudrait mieux pour ton jolie minois, jeune fille. Me conseilla l'un d'eux avant de se jeter sur moi.
-Non !! Lâchez-moi !!
Je criai, appelai au secoure, mais ça ne servait à rien : les villageois m'ignoraient. J'essayai aussi de me débattre mais les hommes étaient trop fort, par rapport à mon gabarit, et un bon coup dans les cotes suffit à calmer mes ardeurs.
C'est alors que je l'aperçus.
Il était entrain de faire la route pour rentrer lui aussi et me vis en mauvaise posture. Lui au moins, il ne m'ignorait pas.
-LAW !! Aides-moi !!
Avec sa fameuse tronche d'inexpressif, il détailla la scène pendant dix secondes, avant de poursuivre son chemin.
-Je t'avais dit de ne sauver personne si tu n'était pas sure que celle-ci te rende la pareille.
Mes yeux ne décrochaient plus de lui. Je demeurai complètement baba. Il l'avait fait, il l'avait vraiment fait.
-LAW !! ESPECE D'ENFOIRE !! TU ME LE PAYERAS !!
Et ce fut le noir total. Les chasseurs d'***es m'avaient fourrée dans un sac comme une vulgaire patate et frappée, pour m'endormir (chouette anesthésiant et très efficace).
Bon, je vais m'arreter là vu que je n'ai plus rien à raconter !;D
A pluch !
P.S. : Les demandes de pub, vote, etc, et les chaine ne m'INTERRESSENT PAS ! Alors arreté de m'en envoyer sinon c'est à vos risques et périls... Mouah ha ha...

Age Genre Ville Pays
27 ans Femme Grenoble France
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Jonhy Depp Skillet Lone Ranger Sushi, pomme
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
Rouge et blanc Architecte, artiste, archéologue D.Gray-man, Ao no exorcist dessin, lire, danse, jeux vidéos


© FEERIK GAMES 2015 - Nous contacter - CGU - Charte des forums - Mentions légales - Mon compte - Règles - Comment jouer - 16/06/2024 04:01:34