Pseudo

Mot de passe

Ton pseudo :Ton email :
Ton mot de passe :Ton année de naissance :







Note Doll
Note Loft
A vie
Cette semaine
20
16
0
0

Aucun commentaire

Lire tous les com'z

chronique-pandora a 0 points de bonté.

chronique-pandora
Niveau
3
Top modèle
Flash

 

 

 

Bienvenue sur ma fiche exclusivement réserver a ma chron.i.q.u.e.

Je ne présenterai pas, si vous voulez mieux me connaitre passez sur la fiche de

c'est une de mes autres dollz.

Je tiens aussi un superbe magazine avec ma meilleure amie

si ça vous interesse passez sur la fiche de facoco-magazine-fc.

 
 

Mes lectrices:

charl1ne far83190 chuuupa-chups nono24102

l0ul0utch0u i-am-a-sweet-music

 

PANDORA

 

 

Chapitre 5:

PDV Alexianne:

J'entrai dans les toilettes des filles et me précipitai dans la première cabine qui s'ouvrait à moi. J'eu juste le temps de repousser la porte derrière moi qu'un spasme me secoua le corps et je me penchais sur la cuvette pour y vomir de la bile qui me laissa un arrière goût âpre dans la bouche. Puis, je sortis des toilettes et vis Peter qui me regardai avec inquietude. Puis, d'un seul coup, la terre tourna autour de moi et je m'effondrai sur le sol, ne comprenant pas ce qui venait de se passer. J'entendais seulement Peter qui me disait sans cesse "Alexianne, est-ce que ça va, ne t'endors pas surtout reste avec moi, écoute moi, je vais aller chercher le directeur, en fait, non, je sais pas. Bon dieu, tu... tu... tu saignes."

Je veut juste que cette douleur abominable qui me torture le dos cesse. Pitié, pitié, pitié.

PDV Peter:

Lorsque je la vis pénétrais dans les toilettes, je n'hésita pas et la suivi tout de suite. Une fois a l'interieur, je n'eu pas besoin d'attendre trop longtemps car elle sortit des toilettes quelques secondes après que je l'y ai suivi. Je la regardai avec inquietude. Elle avait pâlit et elle ne tenait pas beaucoup sur ses jambes. Puis, sans crier gare, elle s'effondra sur le sol et tomba à plat ventre.

- Alexianne, est-ce que ça va, ne t'endors pas surtout reste avec moi, écoute moi, je vais aller chercher le directeur, en fait, non, je sais pas.

Je vis alors sa chemise se teinter de sang et l'odeur de ce liquide rouge me prit tout de suite a la gorge.

- Bon dieu, tu... tu... tu saignes.

Alors, je l'entendis soupirer et elle s'évanoui. Ne perdant pas une seconde, je bondis et couru vers la salle de math tout en maudissant interieurement ce profs complètement débile qui ne se préoccupait pas de la santé de ses élèves. Pourvu qu'ils meurent comme ça je serait tranquille ! doit-il se dire sans arrêts.

Arriver a destination, je ne ralenti pas et déboula dans la salle a toute vitesse. Je cherchais le directeur des yeux et le vis.

- D... directeur... je... j'ai...

- Allons, reprenez votre souffle Monsieur Blood.

- C'est Alexianne, Monsieur, je vous en pris, venez.

Et je repartit sans laisser le temps au directeur de me poser plus de questions. Il me suivi tout de même et lorsque j'entrais dans les toilettes, il me suivi aussi. En voyant tout le sang qu'Alexianne avait perdu le temps que j'ailles chercher le directeur, je m'affola. Mais le directeur me repris aussitôt en main et j'essayais de me calmer.

- Peter, enlève le polo que tu porte par dessus ta chemise. Bien, maintenant, soulève la doucement, je vais lui faire un bandage de fortune pour arrêter l'hémoragie. Voilà, comme ça, sa devrait aller, on va l'enmener a l'infiermerie maintenant.

Il la prit dans ses bras avec une grande délicatesse et se rendit a l'infiermerie avec moi. Une fois arriver, il l'installa sur un lit en la couchant sur le ventre et j'entendis une voix qui provenais du lit d'a coté dire:

- C'est sa cicatrice qui s'est rouverte, elle souffre croyer moi. Elle a atteint la limite du supportable. En même temps, il fallait s'en doutais, elle ne pouvais pas résister a une si grande douleur. Mon dieu, si tu savais a qu'elle point je m'en veut de te faire endurer tout ça.

Pauvre Alexandre, lui aussi devait souffrir, et pourtant, il serait près a s'approprier la douleur de sa soeur, en plus de la sienne, pour éviter qu'elle souffre. C'est sans doute ce que j'admirais le plus chez eux, en faites, j'en étais même jaloux. Cette liaison qu'ils entretenait était tellement forte et tellement belle.

Chapitre 6:

Toute la semaine qui suivi, je me rendai régulièrement au chevet d'Alexianne. Parfois elle était réveiller et d'autre fois, elle dormait. Mais peu m'importais, j'éprouvais le besoin constants de la voir sourire et rigoler. Ca me faisait peur. Je n'étais jamais tombé amoureux de personne et je ne savais pas si j'en avais le droit. Il était 18h quand j'eu fini de faire mes devoirs et que j'allais mangé a la cafèt'. Une fois fini, je devais faire le tour du dortoirs des garçons pour m'assurer qu'ils respectaient bien le couvre feu. Je décidai ensuite de passer voir Alexianne.

J'entrais dans l'infiermerie et la vit, coucher dans le lit de son frère, lui faisant un calin. Je voulu reculer pour ne pas les déranger mais je basculai en arrière et attérit sur les fesses.

- Aouch !!

- Sa va, tu ne t'est pas fait mal ?

- Non, sa va merci. Mais, je ne voulais pas vous déranger.

- Oh non, ce n'est rien, il s'est endormi. Il ne se sentait pas très bien avant de dormir et en général, quand c'est comme ça, je me couche avec lui le temps qu'il s'endorme et il fait pareil pour moi.

- Oh, je vois ! Vous êtes toujours aussi proche.

- Oui, on a toujours veiller l'un sur l'autre. Je pense que ça doit venir de notre naissance difficile. Comme notre mère est morte en nous donnant naissance, on s'est toujours dit qu'elle aurait aimer qu'on prènnent soins l'un de l'autre et puis, je ne m'imaginerais pas vivre autrement.

- Oui, je comprends.

PDV Alexianne:

- Et toi, pourquoi est tu si misterieux, j'ai l'impression que tu connait plus de chose a mon sujet que je n'en sais du tiens.

- Qu'y puis-je.

- Raconte moi ce que c'est que d'avoir une mère.

Tout d'un coup, une larme coula le long de son visage. La première que je voyais et surement la dèrnière. Tout compte fait, il n'était pas si insensible que ce que pouvais le croire n'importe qui d'autre de la classe.

Je m'approchai de lui et le prit dans mes bras. Il se figea pendant quelque moment puis, il blottit sa tete contre mon cou et me murmura:

- Elle est morte il y a plus de 10 ans, je n'étais qu'un gamin a ce moment là.

- Je suis désolée, tu avait l'air de beaucoup l'aimer. Tu ressent encore de la douleur en pensant a elle.

- Pour moi, sa na m'a pas paru long !

Une phrase plutôt misterieuses qui me laissa perp*** mais que je mis de coté vus la situation du moment. Je n'avais jamais vu un garçon autre que mon frère pleurer et pour moi, les larmes d'un garçon était les plus importante que celles de n'importe qu'elle autre personne. Les garçons faisait souvent les dur a cuire mais au fond, ils ont tous un coeur qui ne demande qu'un peu d'attention. Peter pleura donc ainsi pendant plus d'une demi-heure pour finir par s'endormir dans mes bras. J'appelais l'infirmière pour lui demander de me sortir un autre lit. Je ne voulais pas le reveiller et le mettre plus dans l'embaras que ce qu'il devait déjà avoir subi. Après tout, pleurer dans les bras d'une fille pouvait mettre dans l'embaras n'importe quel garçons.

Comme mes déplacement était plutôt limiter a cause de la cicatrice que l'infirmière avait du recourdre, je ne put l'aider a me sortir un autre lit et me couchai dès que celui ci fut instaler.

Chapitre 7:

PDV Alexianne:

Une semaine avais passé et il était temps pour nous de retourner en cour. Alex qui n'avait passé qu'une seule journée avec les autres élèves de notre classe ne savait pas trop comment réagir. Nous venions de sortir de notre cours de musique lorsque mon frère m'attrapa le bras et me tira a l'écart.

- Qu'est ce qu'il y a Alex ?

- Je... Je voulai savoir... est ce que tu connaît le gars qui partage ma chambre ?

- Juste de vue ! Mais il est simpa ne t'inquiète pas.

Il me regarda et une ombre d'inquietude passa dans ses yeux. Il n'avait jamais était ouvert, depuis notre naissance, il était renfermée et timide. C'était toujours moi qui nous avait integrés dans les groupe d'amis que nous avions a l'école et au collège.

- C'est pas ça le problème, c'est que, ces derniers jours, depuis... enfin tu le sais... j'arrête pas de faire des cauchemards et de revoir cette scène ou... ou ils...

Il éclata en sanglots au moment ou un groupe de garçons de notre classe passait a coté de nous. En voyant mon frère dans cet état, le plus grand commenca a ***fer et explosa de rire.

- Hey, les gars, regardez le celui là, c'est la tapette qu'a passer plus de deux semaine a l'infirmerie. Il pleure le pauvre petit, il veut sa maman !

Merde, c'était pas ce qu'il fallait dire, Alex avait toujours éprouvé le besoin de rencontrer cette femme qui nous avait donner la vie en échange de la sienne. Ces mots l'avait profondement blesser et il me regarda droit dans les yeux, supliant. Je me retournai vers le groupe des "casses pieds" et regardai celui qui avait dit ces affrosité a mon frère.

- Ecout toi, on t'a rien demander d'accord alors tu te la ferme et tu ne parle pas. Tu n'as pas vécue la moitié de ce que mloi et mon frère on a traverser alors tu ne peut pas savoir la douleur que ça fait. Quand on sait pas de quoi on parle on se la ferme, tu devrais le savoir non.

- Oh, du calme ma biche.

Il m'attrapa le menton et me serra les joues.

- Aie, tu me fait mal, lache moi... et arrête de m'appeler ma biche espece d'imbécile.

- T'aurai pas du dire ça sale...

- Lache là, lache ma soeur !

- Alex...

Il pleurai toujours mais son visage exprimait une grande colère. J'avais toujours sus que mon frère était timide mais quand quelqu'un s'en prenait a moi, il prenait aussitôt ma défense.

- Oh, la poule mouillé te défend ma biche. Voyons voir ce qu'il peut supporter pour toi. James, vas y !

Le plus musclé de la bande s'avança et frappa durement mon frère au creux du ventre. Alex se plia en deux, sous le coup de la douleur. Il poussa un gemissement et tomba a genoux.

- Alex !

James continua de le frapper sans s'arreter et personne ne put intervenir étant donner que tous les autres élèves était parti en cours de Math. Il ne restait plus que moi et mon frère ainsi que ce groupe de 5 garçons dont un qui me tenai plaqué contre un mur, un autre qui frappai mon frère sans s'arrêter et les deux autres riait bêtement. Seul un garçon ne faisait rien. Il ne regardai même pas ce qui arrivait a mon frère tandis que moi je criait pour que James arrète de le frapper. Alex ne crait même plus. Sois il était inconscient, soit il n'en avait plus la force. Je regardai le garçon qui ne disait rien et il se tourna vers moi. Je vit dans ses yeux comme une flamme de regret.

- Je t'en prit, aide moi, ne le laisse pas faire.

Tout d'un coup, James arrêta de le frapper et se tourna vers celui qui me tenai par le menton et qui me plaqué contre le mur.

- Il fait un bruit bizarre.

En effet, ma poitrine se comprima d'un seul coup net je tombai a genoux, les mains plaqué contre ma poitrine.

- Qu'est ce qui t'arrive ma biche.

Il me lacha et se pencha sur moi. Je fouillais mes poches et en sortai la ventoline de mon frère. Il me la prit des mains et le fourra dans ma bouche. Il allait commencer appuiyer dessus quand je lui prit les mains et recracher l'inhalateur.

- J'eesaie de t'aider mais toi, tout ce que tu trouve a faire c'est de me recracher ce p.u.t.a.i.n de médoc a la figure. Puisque c'est comme ça !

Il prit l'inhalateur et le jeta a travers la fenetre.

- Non !

 

Chapitre 8:

PDV Alexianne:

- Voilà, tu peut crever autant que tu veut ça ne me dérangera pas, moi j'essaie de t'aider mais toi tu me recrache ce truc a la gueule.

Ma vue commença à se brouiller, en partie a cause des larmes mais aussi par manque d'air. Une grande ombre se dessina alors devant moi et se jeta sur la bande de mec. Des cris, des bruits de lutte, de chute... Je ne put voir grand chose, me concentrant essentiellement sur ma respiration et sur celle de mon frère. Je m'étais rapproché de lui et essayais de le calmer un maximum en lui parlant du mieux que je put, mes phrases souvent couper par des ràlers roque indiquant que l'air avait du mal a passer dans ma trachée.

Je relevais la tête et vit cette ombre, ou plutot cette créature pencher sur le corps sans vie du mec qui avait jeter l'hinalateur de mon frère par la fenètre.

- Arrête ! Mais arrête bon sang !

Le mec, s'en était un de ce que je put voir, releva la tête, du sang dégoulinant de sa bouche. Il plongea ses yeux bleu transparents dans les miens, me donnant des frissons. Son regard était captivant, glacial mais captivant. Comme s'il cherchait a m'ipnotiser. La tête me tourna et je fermai les yeux quelque secondes. Lorsque je les rouvrit, le garçons avait disparu, évaporé. Je me sentit tombé sur le corps mou d'Alex qui respirait a peine. Ne pas s'évanouir... Ne pas... s'évanouir... Mes paupières se firent lourdes et commencèrent doucement a se fermer sur mes yeux. NON, ne pas s'endormir ni s'évanouir... Des bruits de pas m'empéchèrent de justesse de tomber dans les pommes. Je relevai la tête un maximum. C'est a dire, vraiment très peu vu les forces qu'il me restait. Un garçons se dirigea vers nous et enfonça doucement quelque chose dans le bouche de mon frère. Deux coup d'hinalateur plus tard, ma vue se rétablit et je vit le visage inquiet de Peter au dessus de moi. Cette inquiétude disparus pour laisser place a un masque d'indifférence dès qu'il vit que je reprenais mes esprits. Je respirai d'un coup, m'étouffant a moitié pour aspirer tout l'air dont j'avais besoin. Puis, je me tournai vers Alex qui me regardais avec un petit sourire contrît.

- Alex ! Est ce que ça va ?

- Sa pourrait aller mieux. Murmura-t-il.

Je regardai autour de moi et découvrit la scène d'horreur. Les corps de cinq garçons qui s'en était pris a nous éparpillés, certains plié dans des angles improbables. Un gémissement sortit de mes lèvres et un image me revint. Elle remontait a quelque jours de cela et elle restait encore douloureuse. Un homme, allongé sur le sol, moi, la tête contre son buste, pleurant toutes les larmes de mon corps, mon frère, non loin... Non, stop. Je fermais les yeux et me tapai des poings sur la tête pour chasser cette image de ma tête.

Peter intercepta un de mes poings et le mintint dans sa main pour m'empécher de continuer. Alex qui avait lui aussi vu cette image resta en suspens pendant au moins 5 minutes. Peter me releva et le directeur nous rejoignit.

- Peter, veut tu bien les emmener dans mon bureau, Madame Pimbre s'occupera d'eux puis je viendrait leur poser quelques questions sur cette... malheureuse histoire. Dit-il en jetant au coup d'oeuil aux cadavres derrière lui. 

Une autre personne arriva et me prit par les épaules pour nous éloigner de cette scène macabre. Peter s'occupa d'emmener mon frère. J'étais complétement plongé dans mes pensées et je ne me rendit même pas compte que nous étions dans le bureau du directeur, assis sur le canapée, un chocolat chaud dans les mains et une épaisse couverture sur le dos. Je revint a la réalité seulement quand je sentis la tête de mon frère se poser sur mon épaule, cherchant un peu de réconfort. On avait jamais connu l'amour maternel. Ni l'amour paternel. Personne ne connaissait notre père et l'Homme qui nous avait élever, un gentil prètre nous avait donné de l'amour mais pas celui dont nous avions besoin, connaissait notre mère seulement de vue. Elle avait accouché devant lui, puis était morte sans rien dire. Notre "père" nous avait dit qu'on lui ressemblaient beaucoup physiquement. Elle était blonde, comme nous, elle avait des yeux gris et de fines lèvres. C'est tous ce qu'il avait put nous dire, ne l'ayant connu que lors de son accouchement.

Pour compenser ce manque d'amour, nous nous étions souvent soutenus dans les coups dur. Il avait besoin de moi, de mon réconfort alors je lui en donnerais autant qu'il lui en faudrait. Je le serrai contre moi tandis qu'il enfouissait sa tête dans mon cou. Dans notre relation, je prenais parfois le rôle de l'homme, celui de réconfortait, de soutenir. Mais mon frère aussi en avait passé des moment à me soutenir, à me réconfortais, à m'aimer.

Quand le directeur revint, il nous trouva allongé tous deux sur le canapée, un peu comme un couple, moi en face de mon frère, collé a lui pour ne pas tomber du canapée qui était plutôt étroit, je lui caressait les cheuveux avec doudeur, sachant que c'était la seul chose qui pouvait le calmer, lui faire oublier quelque temps tous ce qu'on avait traversé ensemble. Son regard gris-bleu était plongé dans le mien gris-vert. Un sourire éclaira son visage.

- Qu'est ce qu'il y a ?

- Non, je pensais juste que si je devais m'imaginer maman, ce serais toi en un peu plus vieille. 

- C'est mignon. Je t'aime Alex !

- Moi aussi Alex !

L'athmosphère se détendit un peu et je me retournai, apperçevant enfin le directeur qui nous observais depuis quelques minutes déjà. Je m'assit, sachant que le directeur voulait nous poser des questions sur ce qu'il s'était passé. L'athmosphère redevint très vite morbide. 

 

 

 

 
 

Age Genre Ville Pays
27 ans Femme France
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
One Direction Toutes celles des 1D Twilight, Harry Potter Lasagne, frites, hamburger maison (MIAM)
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
Bleu, violet, or, gris VETERINAIRE Vampire Knight (c'est un manga) LIRE ET INVENTER DES HISTOIRES


© FEERIK GAMES 2015 - Nous contacter - CGU - Charte des forums - Mentions légales - Mon compte - Règles - Comment jouer - 14/05/2024 00:55:59