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✝Textes &

Citations✝

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Quelqu'un pourrait me faire de la pub ? SVP !  j'écris pour partager des textes mais j'ai l'impression que personne les lit, personne me laisse un commentaire ! j'hésite même à arrêter... de supprimer ma page! Alors SVP partager ma page, et si vous avez des problème n'hsitait pas à venir me parler, je vous aiderais dû mieux que possible! sa serait vraiment gentil ! Merci. :)

J'avais un besoin immense de crier, de me libérer. J'ai réussi, j'ai vaincu le mal en écrivant. Les mots soignent les maux, je vous le jure.

Bonjour je m'appelle Emelne et je fais des citations et des textes, mais je mettrai aussi des citations et  des textes de d'autres personnes... N'ésitait pas à m'envoyer vos écrits je les mettrai dans mon qsj sans aucun problèmes et bien-sûr je signerai votre pseudo ! voilaaa maintenant bonne lecture et à bientôt !  :D <3

Je mettrai des petites musiques pour accompagner votre lecture :) 

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Musique: https://www.youtube.com/watch?v=NEv1-jEVAX8

Tu m'as oublié en n'oubliant qui tu étais.

Ce n'est pas de ta faute. 

J'ai un goût amer dans la bouche et un énorme poids sur le coeur. J'expurge ma rage dans la musique et j'ai l'air calme en apparence. J'éprouve une multitude de sentiments se mélangeant dans ma tête et allant trop vite pour que je puisse  ne serait-ce que les exprimer. Quand ce vacarme devient vraiment insupportable, je crie, je pleure pour retrouver le silence. Je redeviens alors un être vide. Que dis-je ? Livide...

J'ai l'coeur en vrac et si je dérape c'est parce que t'es parti aussi vite que t'es arrivé.

T oi qui cours sans jamais t'arrêter.

 E mpéchant l'ennui de s'installer.

  M  'acorderais-tu une seconde

       P our enfin profiter de ce qui 

S  'appellerai la vie ?

Le bonheur c'est pas compliqué.

Un peu de volonté,

Un soupçon de poudre de fée,

Et le tour est joué.

Attendre après toi, c'étais un peu attendre un avion dans un port. Inutile, fatiguant, et interminable. Au bout d'un moment, on comprend quel'on s'est trompé de lieu.

Parfois tu penses être importante aux yeux d'une personne... Mais en fait t'es rien. T'es juste une personne parmi tant d'autre...

Comment t’expliquer que c’est toi que je veux, que c’est toi dont je rêve ? Que tu es rentré dans ma vie et que de mon esprit ton souvenir ne veut plus prendre la sortie ? Comment t’expliquer que si tu t’en vas, mon cœur se mourant, volera en éclat. Ne me laisses pas.

-Vrouum vrouuum, regarde comme mon avion va vite Simon !

-Qu’il est beau ! Tu sais, j’aurais voulu que ma maman m’achète le même mais elle n’a pas voulu. Elle dit que c’est trop cher et que de toute façon je ne le mérite pas. C’est injuste, moi aussi je veux un bel avion rouge comme le tien ! On pourrait faire la course, et je suis sûr que je gagnerais si on faisait la course!

-De toute façon tu gagnes toujours. Toi et tes petites jambes toutes neuves vous avez bien de la chance de pourvoir courir si vite ! Tu n’as pas d’avion, mais toi au moins tu as des jambes, des jambes qui fonctionnent. Comment peux-tu parler d’injustice Louis ?

- Tu as raison, pardonnes moi. Tu sais, moi je t’aime bien comme ça ! Au moins, t’es pas comme les autres, t’es différent d’ces gamins qui font que s’cracher dessus. Si tu veux, je peux t’aider à faire voler ton avion plus vite, laisse moi prendre les commandes et je te pousserais si vite que tous les autres seront jaloux de toi et de ton fauteuil de course !

-Jaloux de mes jambes de bois ? Surement pas. Ils ne savent que se moquer à longueur de journée mais je m’en fiche, je m’en fiche parce que je t’ai toi maintenant. Tu sais, je n’ai jamais eu d’amis avant toi et je ne sais pas trop comment ça fonctionne mais dis moi, tu vas pas me laisser, hein dis moi Simon, tu vas pas m’abandonner ?

-Louis, je te promets que je ne te laisserais pas. Et tu sais pas quoi ? Toi et moi, un jour, on leur montrera qu’on vaut mieux qu’eux. On ouvrira un magasin de jouets en bois et construira des avions, ça sera les plus beaux de tous les avions et on organisera des courses auxquelles touts les petits garçons pourront participer, qu’ils puissent courir ou pas, que leurs parents puissent leur payer un avion ou non, et que les autres croient en eux ou pas. On aura appris à croire en nous et on leur montrera comment faire. Viens, on va faire la course, on va faire la course et on va tous leur mettre une pâtée mémorable, viens avec moi!

Faut il une révolution pour trouver la solution ?

Faut il qu'il y est le chaos pour que nous montons vers le haut ?

Dans ce monde où l'apparence est reine
Ce monde où la beauté gouverne
Est-il pensable 
Que moi la minable
Je puisse tout de même 
Rester moi même ?

Si le monde entier fumait un joint en même temps, il y aurai la paix dans le monde pendant longtemps… ✞ 

- Un jour, t'arrêteras de te détruire aussi bêtement ?

- Pardon ?

- Bah j'sais pas moi, mais j'pense que foncer dans un mur en bagnole, te tirer une put*** de balle dans le crâne ou sauter dans le vide te donnneront plus de chance pour mourir que fumer et boire à t'en péter la gueule, prendre tous ces médocs' qui te ramollissent le cerveau et te griffer les bras avec des lames propres en plus de ça ! Même le tétanos t'es pas fichu de t'attraper ! Arrête de dire que tu veux crever, t'en es même pas cap ! 

- Je ne veux pas mourir, je veux agoniser. Tu n'comprends rien, dégage ! 

- Ah oui, c'est sur qu'agoniser pendant toute une vie c'est plus malin qu'agoniser quelques semaines ou mois. C'est c'que j'dis: tu n'portes pas te coui**es, t'arrives même pas à te dire que la mort est pour toi, au fond t'as peur et tu fais tout ça sans réel envie d'en finir.

C'est pitoyable. Tu es minabe. Et le plus pathétique c'est que tu t'en rends compte mais que tu ne veux rien changer. Complètement con quoi ! Tu me fais pitié. T'es même pas foutu de te suicider et pourtant il y en a des tas de gens qui ont le courage d'en finir pour de bon chaque jour.

Mais toi, t'es pas assez fort pour vivre et encore moins pour mourir alors tu préfères te dire qu'à la longue t'y arriveras alors qu'on sait tout les deux que tu la vivras ta put*** de vie sans but, monotone et vide de sens.

Tu la supporteras au lieu de la vivre, c'est sur. Mais comme tout le monde. Alors pourquoi te plaindre plus que les autres sachant qu'on est dans même merd* ? 

Tu n'est qu'un lâche, un pauvre mouton qui veut sortir du troupeau mais qui en n'est même pas capable. Tu ne peux rien faire d'autre que pleurer de ne pas avoir cette haine au coeur qui serait la seule à te permette de s'arrêter là. Mais même cette sacrée haine te fuit parce que tu pues la lâcheté et la honte de vouloir mourir sans y parvenir. Au fond, je te plains. Je te plains parce que j'arrive à vivre et que je pense que t'es trop con pour voir que vivre c'est bien mieux que mourir. M'enfin, que veux-tu que je te dise: t'es dans la moyenne, mon gars. Dans la moyenne des c*ns sur terre et je t'rassure, t'es pas tout seul. Non non, y en a des tas des comme toi, des moins que rien, des sacs à merd* et à os qui sont incapables de se bouger pour frôler la mort et ne plus la lâcher, j'dirais que vous êtes environ sept milliards.

Sept milliards de soumis à la vie, déprimants d'un système qu'ils rejettent sans se bouger pour le changer. Sept milliards de c*ns et toi t'es dedans.

Musique: https://www.youtube.com/watch?v=L4G27gysClQ

En réalité ça me détruisait, littéralement.

Le temps n'avait rien effacé, ni la haine, ni la tristesse et encore moins la douleur. Il les a aggravés d'ailleurs, le traitre. L'infâme, le scélérat, le... Argh.

Je perds mes mots, je me perds dans mes maux. Tout est flou, la vie comme la vue. Rien n'est limpide et stable, ordonné et convenable. Tout est brouillon, chifonné, détrqué, froissé, casseé. Vraiment tout.

Redonnez moi l'envie, redonnez moi du goût. Redonnez moi la passion.

Dépêchez-vous, le temps guette et se jette. Sur vous comme sur n'importe qui.

J'ai pris le temps de m'asseoir et de réfléchir. J'ai laissé le soleil me mordre le visage et le *** fouettais la peau. J'ai appris à regarder la vie tourner, tourner, tourner sans arrêt autours de moi. Et j'ai grandis lorsque j'ai compris que je ne me trouvais pas le moins du monde emportée dans la spirale d'un carrousel mais dans la tempête

d'une vie dont je me devais d'être l'actrice et le captaine 

La vie n'est que l'art de contrôler le hasard de tel sorte à laisser les événement vous manipuler de la manière dont vous les avez influencés.

Je suis le genre de fille qui pleure facilement sur une musique triste. Je suis le genre de fille qui change d'humeur subitement, sans raison. Mais si je suis ce genre de fille, c'est un*quement à cause de toi. Un*quement parce que ton absence me tue.

J'ai le tête qui cogne,

Et le coeur qui fait Boum Boum.

J'aime bien être saoul,

Mais toi tu me soule.

Ca fait tellement mal de te voir t'éloigner sans rien pouvoir faire, restant impuissante à ton absence grandissante.

C'est ça la vie. Apprécier le paysage, s'intéresser à ce qu'il se passe autour de soi. Admirer les centaines de paysages possibles et inimaginables.

Regardez la vie avant de la juger, il faut y goûter pour en parler. Même si tout n'est pas rose, tout n'est pas noir. La vie est une palette de couleurs et vous êtes les peintres.

Tu vois, en amitier on ne passe pas devant le maire, alors il n'y a pas vraiment de date d'anniversaire; mais ça peut quand même durer toute une vie puisqu'on s'est choisis.

On ressent des choses pour des gens, et ça prend aux tripes, ça coule dans le sang.

J'ai encore du mal à parler de toi, tu me manques un peu trop enfaite.

Et c'était ça le problème, à cet âge là on est censés s'éclater, Bordel. On est pas censés pleurer, du moins, pas pour ça. On est pas censés se rappeler du passé en répétant sans cesse que si on pouvait oublier quelque chose, ce serait bel et bien ça. Puis, on est pas censés mourir, on est censés vivre, n'est censés aimer. Mais elle, la belle, elle ne savait plus aimer. Elle savait simplement..... Hair, et encore, pour hair, il faut aimer. Alors, elle ne savait rien faire.

Tout est un minimum compliqué, et encore plus de t'aimer.

Tu me manques. C'est bête hein? Dis comme ça oui, c'est bien trop simple. Mais faudrait qu'tu vois, faudrait qu't'entendes comme cette fois ça vient de loin, de profond, des entrailles de mon corps. C'est un peu comme si on m'avait enlevé un morceau de moi tu sais.

On a prit mon coeur, on l'a amputé d'un bout et on voudrait que j'continue de vivre comme si de rien n'était. Mais j'ai pas la force, j'ai pas la force sans toi. C'est un peu comme un chanteur qui avait perdu sa voix ou un athlète qui aurait une jambe dansle plâtre. J'pourrais aussi parler d'un poisson sans son eau, il lui reste plus qu'son bocal mais y s'retrouve au fond, collé à terre parc'qui à plus rien pour l'faire flotter, plus rien pour lui permettre de nager et de vivre. Alors j'le redis, tu me manques. 

Comme le soleil manquerait au mois de juillet, comme un sourir manquerait à une petite bouille d'enfant, comme les étoiles manquerait à une chaude soirée d'été.

Musique:  http://www.youtube.com/watch?v=VEpMj-tqixs

Il y a des noms, des mots dans la vie qui vous ramènent à des lieux, un temps où vous étiez bien, où vous étiez heureux.

~Ma première fois.

C'est juste que quand je te vois, il y a des flashs dans me tête, il y a des images qui se répètent en boucle.

Enfant, mes yeux étaient pleins de joie.

Maintenant, ils sont pleins de larmes retenues.

Je profite à fond des moments à tes côtés parce que ils sont tellement parfait, et que malheureusement y ni en auras peut-être plus jamais.

Te fie pas à mon sourire parce qu'il est faux. Tu sais, c'est pas parce que je rigole toute la journée et que je sourie à tout le monde que je vais bien. Au contraire tout vas mal. Mon "sourir" est juste là pour empêcher mes larmes de couler mais une fois dans ma chambre, je m'éffondre.. Oui je m'éffondre car j'en n'ai marre.. 

On ne peut pas retenir ces larmes éternellement.

Chère meilleure amie, s'il te plaît, reste dans ma vie pour toujours, parce que te rencontrer est l'une des plus belles choses qui me soit arrivé.

Ca faisait longtemps qu'j'mettais pas sentie aussi vide tu sais. Depuis l'temps qu'tu m'emplissais de bonheur, j'ai plus trop l'habitude de voir mon monde si vide et fade.

T'aurais pu rester quand même, hein dis, t'aurais pu faire un effort pour pas m'laisser là, toute seule, avec plus qu'mes yeux pour pleurer.

La vie n'est qu'une long

perte de tout ce qu'on aime.

Quand vous avez le coeur brisé, il faut se battre de toutes ses forces et s'accrocher à la vie, parce qu'elle continue quoi qu'il arrive. Et cette douleur qui vous déchire, elle fait partie de la vie aussi, tout comme la peur et le mal-être, et toutes ces sensations sont là pour nous rappeler que les choses s'arrangeront et que ça vaut le coup de continuer à se battre.

La meilleure chse qui m'soit arrivée dans la vie c'est toi, mais tu sais quoi? Le problème c'est que c'est aussi la pire.

Comme à un rocher,

Comme à un péché,

Je suis accrochée à toi,

Je suis fatiguée,

Je suis épuisée,

De faire semblant d'être heureuse.

Il y a deux types de blessure. Celle qui te fait souffrir et celle qui te change. 

 Fais ce qui te rend heureux, sois avec ceux qui te font sourire, ris autant que tu respires et aime aussi longtemps que tu vivras. 

On essais en vain de trouver quelqu'un sur qui compter, mais même ça c'est trop vous demander.

Et comme a chaque fois qu'il raccroche, je pleure... Je fais la fille forte, mais sans lui je ne le suis pas.

Dans cette aventure insignifiante qu'est l'existance, n'oublie surtout pas de vivre.

Des nuits blanches à refaire le monde, des journées noires à contempler l'horreur.

Ne vous demandez pas pourquoi les gens deviennent fous. Demandez-vous pourquoi ils ne le deviennent pas. Devant tout ce qu'on peut perdre en un jour, en un instant... Demandez-vous ce qui fait qu'on tienne le coup.

Tu me manques, et j'sais pas, c'est pas normal, si?

Enfin, je veux dire, c'est pas normal d'aimer quelqu'un comme ça. Je n'ai jamais connu ça.

 C'est les vacances d'été, tu devrais profiter bah non certaines personnes les passent à déprimer.

- Tu m'aimes?

- Et toi?

- Réponds à ma question.

-Pourquoi répondre à une question inutile puisque tu connais la réponse?

- J'ai besoin de l'entendre.

- A force de le répéter, cela perd de sa valeur. Et pourtant tu sais que je t'aime toujours plus fort que la seconde précédente.

Tu vois que tu m'remplaces plus vite qu'une paire de lunettes cassée.

Parce qu'elle était heureuse, la belle. Le genre de joie quelque peu mélancolique, qui pouvait se distinguer à l'intérieur de ses yeux bleus, un peu trop pétillants, un peu trop naîfs. Dans ses yeux un peu trop tristes pour y croire pleinement.

Le genre de joie qui pourtant, ne te tire de rien. T'aide juste à voir la vie en mieux, aurait-il dit. Et quelque part, c'était comme si tout ça, pour elle, ne rimait à rien. Ne l'emmènerait nul part d'autre qu'elle n'ai déjà été.

C'était le genre de joie qui te rend heureux quelques instants, quelques jours.. voir quelques mois, et qui te fait retomber par la suite, qui te fait un croche-pied, qui te trahi, une sorte de couteau dans le dos. Un couteau un peu trop profond pour ne jamais vraiment réussir à l'enlever. Et au fond, ça te maintient en vie. La douleur te maintient en vie, c'est vrai ça.

Parce qu'au final, à part ça, tu ressens quoi?

Tu ressens rien. Tu es vide, claqué de partout, déchiré de tous les côtés et pourtant tu te forces à croire qu'avec un peu de temps ça passera, parce que ça finit toujours par passer. Et c'est sûrement ça le problème, tout finit toujours par passer.

Même toi, même eux, même lui, même nous. Même la vie. Parce que nous ne sommes que de passge, un passage un peu trop douloureux. Nous sommes éphémères.

Ephémère, comme les vagues de la mer.

Je m'en fiche que les écouteurs en société fassent insociable, la musique vaut mieux que d'écouter des c*ns parfois.

Quand il pleut, cherche les arcs en ciel. Quand il fait sombre, cherche les étoiles.

Le vent dans les cheveux, les larmes au bord des yeux, je pense encore à toi, toi qui es partis aux cieux.

Il y a des jours où je me lasse de vivre. 
Où plus rien ne me fait souffrir ni même sourire. 
Et dans ma tête? Plus aucun souvenir.

Pardonne-moi mais le poids du quotidien devient trop lourd à supporter. À assumer.

Toute cette tension en moi, je la ressens à chaque instant de ma vie, à chaque moment sans exception. 

Quand je me lève le matin, le soir quand je me couche, quand je marche, quand j'attends le métro à la station, quand je bosse et aussi quand je mange.

Même mes rêves sont tous devenus instables, insoutenables
Je ne vois plus ma route. 
Je suis pétrifiée par le doute. 
L'avenir, sans arrêt, me nargue. 
Je refuse de faire demi-tour, même si je sais que je n'ai pas pris le bon chemin. 

Le poids de mes émotions s'écrase sur ma raison. 
Je refuse de refaire un détour. 
Je sais que, la vie n'est pas une route parfaitement droite, mais tous mes amis semblent savoir où mettre leurs pieds. 
C'est frustrant d'être seule au milieu de gens décidés à avancer. Pendant que ta personne est complètement incertaine. Perdue, pommée.

Je me sens stagner. 
J'ai deux gros blocs de bétons aux chevilles. Et mon cerveau part complètement en vrille. Je suis minable. Je ne vaux rien. Je ne vais nulle part et je ne suis personne.

Je ne suis rien. Je suis le vide. Je suis le néant dans cet océan d'amertume. 

Je suis moi, une jeune fille indécise. Sans vie, beaucoup trop faible mais j'en ris.

Perdre une personne... Te perdre toi? 
C'est affreux... Je n'ose penser à mes sentiments, comment je serai sans toi, ou plutôt comment je réagirai si tu n'étais plus là. Alors oui là je serai perdue, sans repères ni personnes à qui parler. Je me refermerai sur moi-même, sur la tristesse. Le fait de te voir glisser vers les fond me fait peur. Alors te perdre pour toujours? Imaginer que tu meurs à cet âge là, si jeune... C'est inconcevable! Ne plus te voir dans cette maison, dans ce lycée... C'est un futur impossible. Je ne sais pas dans quel état je serai et combien de temps il me faudrait pour me relever, si l'on prend en compte que je me relève un jour. 
Je ne survivrai pas sans toi qu'on soit bien clair. Alors je t'interdis de me laisser seule, que ce sois moi ou ta famille tu n'as pas le droit de nous infliger cette peine. Donc je t'en supplie reste autant que tu peux parce que je ne le supporterai pas.

Je suis fatiguée...
Fatiguée de marcher,
Fatiguée de respirer,
Fatiguée de penser,
Fatiguée de parler,
Fatiguée de manger,
Fatiguée de pleurer,
Fatiguée de m'inquiéter,
Fatiguée... De tous.
Vivre?
Je préférerai dormir,
Ou mourir...

Je crois que ta rien compris. Nan, nan c'est pas si facile. Tu crois que tu va t'en sortir comme ça mais nan, si tu parle pas tu y arrivera pas. Je voudrais t'aider, j'en ai marre de te voir pleurer, j'en ai marre de te voir sombrer dans mes bras tout les jours. Tu sourit mais pourquoi ? C'est étrange, je comprend pas comment tu fais. Tu es forte, tu fais semblant. Je vais pas te mentir c'est pas si simple, c'est pas facile de s'en sortir. Alors arrete, arrete de mentir a tout le monde. Tu crois que je vois rien ? Si je vois tout, tu pleure tout le temps, tu fais que ça, tout les matins je te vois essuyer tes larmes puis tu y arrive pas et tu tombe dans mes bras, ouai, dans mes bras. Je suis là je supporte tes pleures chaque jours et je dis rien, je te demande même pas ce que tu as alors que je devrais. Le soir quand tu part, j'ai peur, j'ai peur que demain tu sois plus là, je sais pas ce que tu fais ou ce que tu ne fais pas. Je vois juste que tu maigris, et que ta des cernes énormes mais je dit rien je reagit pas. Je t'ouvre juste mes bras encore et encore, je te sert fort, j'essuie tes larmes, je te regarde, je te sourit puis je part, je vais avec mes amis, toi avec les tiens. On se connait pas, tu pleure pas.Ta rien compris et moi non plus. Je devrais t'aider mais non je fais rien. Écoute j'ai peur, peur que demain tu ne sois plus la en cours, que tu sois plus la en sport a te la peter parceque tu sais faire le grand écart et moi nan, j'ai peur que tu sois plus la en maths a galéré au tableau, j'ai peur qu'un matin tu ne vienne pas, j'ai peur de ces cicatrices sur tes bras, peur de ta perte de poids et de ces cernes. Qu'a tu donc parle moi explique moi, je suis là, assis-toi, parlons, marchons, courront, mais raconte moi. C'est vrai tu me parle jamais de toi, t'est mystérieuse. Tu sais moi aussi, j'ai des secrets, moi aussi j'lais ai ces cicatrices, moi aussi je pleure des fois, j'ai mes secrets et toi les tiens, viens, viens on part on s'assoie et on se raconte tout, on a apprend a ce connaitre, je te raconte ma naissance et toi la tienne, viens sur ce banc la-bas, viens dit moi tout, dit moi tes peines, dicte moi ta rangaigne, decris moi ton rêve, vien, viens on va faire du tobbogan, viens, viens on va rire, viens, viens on va compter les nuages, viens on va manger des glaces,viens on va matter les gars en ville, viens on gruge le bus et on va faire des ***ries, viens, viens je te trouve un mec dans la rue et tu m'en trouve un, viens on va faire les magasins, viens on va faire chier nos voisins . Aller parle moi tu verra tu sera mieux, dit moi qui tu aime, dit moi qui tu n'aime pas. Dit moi tout, ton pére, ta mére ton frére, ton chien raconte moi tout, parle moi de la pluie ou du soleil, parle moi de cette lame, parle moi de ces larmes allez va-y je suis là. Oui je parle beaucoup je sais mais si y'a quoi que ce soit je suis là, je bouge pas. Je t'attends tu sais ? Alors parle, parle moi, si tu veux je commence. C'est pas compliqué.

Je suis la fille qui cache ses maux par les rires. Ouais, j’ai le talent d’être drôle avec tout les gens qui m’entoure, je ris jusqu’aux larmes de tristesse mais ça les gens ne le voient pas. Je déteste me plaindre car j’ai appris que je ne serais jamais seule avec des problèmes, que les 3/4 de la population de la planète vit avec des problèmes “plus grave.” Je ne fais confiance à personne même pas à moi-même. Je suis légèrement ailleurs, la moitié du temps. J’avance toujours avec la tête baissée ne voulant en aucun cas regarder la face des passants. Je hais secrètement l’être humain, mais ça, tout le monde l’ignore. Je suis là pour les autres mais les autres ne sont pas là pour moi, évidemment. Toutes les personnes vivant dans mon secteur viennent souvent me côtoyer juste par intérêts. Je vis avec un mal-être permanent mais je ne dis rien à personne et personne ne me dit rien. Tout est mieux comme ça. Tout va bien. Je vais bien. Non bien-sûr que ça ne va pas. Mais “ce n’est rien, ça passera” comme vous dîtes. Ce n’est rien de grave. C*nnerie de paroles. J’ai peur d’être oublié, je suis généralement la personne de côté ou celle qui se sent de “trop”. Je ne vise jamais très haut car je sais que je retomberais facilement en bas.

-c'est à propos d'elle.
-encore?! putain mais foutez moi la paix avec cette fille, notre histoire est finis, merde!
-oui, elle a mis fin à ses jours.
-qu.. quoi..?
- elle est morte. elle a laisser une lettre, pour toi. dedans elle explique que tu étais son héro, sa bouée de sauvetage, celui qui avais donner un sens à sa vie. tu n'étais pas qu'un simple amour de jeunesse pour elle, non. mais qui suis-je pour te le dire? tu le sais très bien. elle avais des problèmes trop lourds à porter pour son âge, et tu étais là pour elle, tu as essuyer ses larmes et tu lui a donner l'espoir qu'enfin, "peut-être", la vie valait la peine d'être vécue. elle comptait tellement sur toi, c'est fou, elle n'avais qu'un mot à la bouche et c'était ton prénom, elle passait son temps à parler de toi, tu était si important à ses yeux, tu n'as même pas idée. tu avais le bonheur en face de toi, une fille qui t'aimais plus que sa propre vie, qui donnais l'impression que tu n'avais aucun défauts, que tu l'as connaissais par coeur.. mais maintenant c'est finis, tu l'as abndonnée, tout le monde l'as abandonnée, et quand tu es partis elle en a eû assez. alors ne t'en fais pas, personne de viendras plus t'embêter à son sujet. prends sa lettre, lis la, garde la, et remet toi en question bordel! elle t'aimais, et pour te le prouver elle en est morte."

Je l'aime bien mais je crois qu'elle ne le sait pas,

et ça me fout la haine parce que je n'ose pas,

et si elle me rejette? Et si je ne lui plais pas?

Tant de "si" qui m'empêchent de faire ce foutu pas,

je ne demande qu'une chose être dans ses bras,

bientôt mon silence me plongera dans le coma.

Je me sens pas bien, j'ai tellement besoin d'être rassurée, 
Ne me laisse pas seule, mes larmes sont en train de couler,
Je me sens pas bien, j'ai simplement besoin de toi, 
C'est pas pour t'embêter, j'ai juste peur, alors ne m'en veut pas ...

Les promesses, ça fait du bien sur l'instant. Mais après, ça te brûle de partout, ça te déboîte le coeur à mille à l'heure, ça te tue lentement mais sûrement.

« -fais-moi espérer ?
-quoi ?
-qu'un jour tu pourrais m'aimer »