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magda248
Hey ! J'écris une fiction mêlant...
06/08/2015 à 14:37:12

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kissdelisa a 0 points de bonté.

kissdelisa
Niveau
3
Danseuse
Flash


Mannequin chez neumorode-concours.

emmagence l'agence d'Emma je suis mannequin là-bas


Je m'excuse de ma longue absence, j'aurais du vous tenir au courant.

Pour m'excuser j'essairai de vous mettre beaucoup de chapitres pendant

les vacances. Merci aux abonnés qui voudront encore me suivre.


Fiction.

Laissez vos avis en com.



Les abonnés sont dans mes amis.

les abonnés sont prévenus à chaque fois que je met un nouveau chapitre.


Un amour parmis tant d'autres.

Introduction.

Je m'appelle Juliette. Je viens de faire mes 16 ans. En amour j'ai eu de petites

relations sans importance. Mais j'aime un homme. Je l'aime de tout mon

coeur depuis que j'ai 9 ans. Mais comparé à lui je ne suis  qu'une gamine.

Nous avons 9 ans d'écart. Et lors  de mes 9 années de vie je me cassais pour

la première fois le bras. Celui qui me soignat fut le stagiaire de mon médecin

habituel. Il avait 18 ans il était beau il était charmeur et eu raison de mon coeur

de gamine. Et dès qu'il eut son diplôme en médecine, il devint mon médecin

habituel. Je l'aimais. Aujourd'hui il a 25 ans. Il n'est pas marié je le sais

mais peut être qu'il a quand meme une copine. Il a déjà vécu tant de choses

alors que moi je suis encore au lycée. Mais je ferai tout pour le séduire.

Partie 1

Chapitre 1:

Je traverse ces couloirs blancs et illuminés autour de moi des gens en blouse,

des gens blessés, mal au point. Moi je ne viens que dans cette grande et importante

cli*** de Paris que pour une visite de routine. Oui même quand je n'ai

rien je vais chez le médecin.  Ordre de ma mère. Je suis née prématurée et elle

a toujours eu peur pour moi. Je porte une chemisette blanche avec un décolleté

plongeant, une jupe noir en cuir courte et moulante et de hauts talons aiguilles.

Oui cela fait un peu aguicheuse.  Et ce n'est pas mon style vestimentaire

habituel mais aujourd'hui  je veux avoir l'homme que  j'aime et je met toutes

les chances de mon côté. Je toque à la porte.

"Entrez"

Je frémis au son de cette voix délicieuse. J'entre. Le docteur Romain me regarde

et se lève par courtoisie.

-Bonjour Juliette. Assis toi  je t'en prie.

Il  a l'air assez surpris de ma tenue. Il me lance un grand sourir.

-Comment vas-tu aujourd'hui ma belle?

-Comme d'hab. Enfin sauf une prise de tête avec ma mère.

-Explique moi ça

-Non mais je lui ai dis que je me sentais prête pour une relation sérieuse

avec un homme mature, prête à me donner à lui.

-Tu as le temps.

Pfff je fis la moue il ne semblait pas avoir saisit le message.

-Allez assis toi je vais t'examiner.

Je m'assis et enleva mon haut. J'avais un soutien gorge très seexy. Cette

fois il me regarda avec un air interrogateur. Je lui souris l'attira vers moi 

et l'embrassa. Mes lèvres rencontrèrent les siennes. J'étais aux anges

j'en avais tellement rêver. Malheureusement cela ne dura qu'une 

demi seconde parcequ'il me repoussa.

-Mais enfin Juliette, qu'est-ce qui te prends?

-Dé... désolé.

Les larmes me montèrent aux yeux, je mis mon haut et partit en courant.

-Juliette!!!!! Reviens!!! Me cria t-il.

Je courais je me sentais idiote et humiliée. Je bousculai des gens dans

les couloirs. Ils se retournaient quand je passais. En sortant de la cli*** je

continuais de courir. J'avais mal, c'était horrible d'être repoussé surtout

par la personne qu'on aime. Je marchai longtemps dans la ville. Vers

18h30 je m'assis sur un trottoir. Je pris mon téléphone. 1 appel manqué,

1 message vocal, et un sms.

"De maman: Ou es-tu?"

Je composai le 888 et écoutai le message vocal:

-Bonsoir Juliette c'est ton docteur... Romain. Nous n'avons pas finit notre

entrevue. Si tu veux bien revenir pour... 19h??? Allez salut ma jolie.



Chapitre 2:

Je souris, quelque chose de faux sonnait dans sa voix.  Il y avait comme un

sous-entendu. Peut-être que je lui avais fait de l'effet après tout.

Je décidai de ne pas répondre à ma mère. J'avais 16 ans après tout. Elle

n'avait pas à s'inquiéter. Je me levai, et en route la cli***. Avant d'aller

au bureau de Romain je passai au toilettes pour me remaquiller et m'arranger

un chignon effet décoiffé. Puis j'allai vers son bureau. Il y avait moins de 

monde que tout à l'heure. Je toquai à la porte.

-Entrez.

J'entrai.

-Ah Juliette!

Il me fit un sourire charmeur je m'assis à son bureau. 

Je sentis son pied caressé le mien. Mon coeur se mit à battre la chamade.

Il me faisait du pied là.

-Tu sais Juliette. Tu es très jolie mais tu es jeune.  On ne peut pas être

ensemble. (Il se leva, se pencha vers moi et me murmura à l'oreille) mais

sache que tu me fais beaucoup d'effet...

Je ne comprenais pas. Je lui lançai un regard perdu. Alors que lui me souriais

toujours. Il me disait qu'il ne pouvait pas mais il me faisait du pied et me

draguait d'un côté j'étais totalement perdue.

-Viens que je t'examine Juliette. 

Je m'assis sur la table face à lui. Il approcha son visage à une dizaine de cm

du mien. Il planta son regard dans le mien et posa ses mains sur mes cuisses,

il commença à me les caresser de haut en bas , je tremblai j'avais comme on

dit "des papillons dans le ventre".

-Juliette je t'ai connu tu avais 9 ans, tu étais une petite fille. Je t'ai vu grandir.

Je te respecte, je suis ton médecin. Tu as vraiment changé mais je...

Je lui posai un doigt impératif sur la bouche. Assez avec son double jeu.

Je passai mes mains autour de son cou et l'embrassa à pleine bouche.

Cette fois  il ne me repoussa pas, au contraire il posa ses mains sur mes 

hanches et continua de m'embrasser en m'attirant vers lui. J'arrêtai

de l'embrasser pour lui déboutonner sa chemise, puis la mienne, tout

en faisant ça il me carraissait d'une main la nuque et de l'autre ma cuisse

et moi je lui disais.

-Ca fait longtemps que je t'aime Romain. Trop longtemps.

Puis je recommençais à l'embrasser. On s'embrassa comme ça en se caressant

sans voir le temps passé. Puis..

-Non Juliette on ne doit pas....

-Tais toi

-Juliette  on ne peut pas on doit arrêter..

-Mais enfin ne dis pas n'importe quoi. 

Il se tut et on continua de s'embrasser. Puis le téléphone sonna. Il se retira,

il avait une mine décomposée. Il s'en voulait ça se voyait il était géné et il 

s'en voulait d'avoir posé les mains sur moi. Il se retira et en silence allait

décroché le téléphone. Moi je n'étais pas géné, j'étais bien, j'avais vécu 

les plus belles minutes de ma vie. 

-Oui, Docteur Romain, c'est?...... Madame Massot??? (dit-il en me regardant

et en appuyant sur le haut parleur, pour info madame massot c'est ma mère).

-Docteur Romain cela fait longtemps que ma fille devrait être rentrée et

elle ne répond pas au téléphone. Je suis inquiète, elle était à la 

cli*** c'est après-midi est-ce que....?

-Elle est avec moi je suis désolé j'ai eu une urgence cet après midi et je n'ai

pas pu la prendre et elle a  attendu dans le couloir. J'aurais du vous prévenir

deplus son téléphone est déchargé, je suis vraiment confus....

-Oh ça va tant qu'elle avec vous je sais qu'elle ne risque rien. Mais

dites lui de rentrer s'il vous plait il se fait tard, je ne voudrais pas

qu'elle fasse de mauvaises rencontres.

-Si vous le voulez je la raccompagnerais.

-Oui très aimable à vous. Bonsoir.

-Bonsoir madame.



Chapitre 3:


On se regarda en silence.  J'avais envie de continuer, je voulais aller plus

loin. Il s'approcha de moi le regard dans le vide,  je l'attirai vers moi

et l'embrassa tendrement. Il me repoussa et brisa ce silence.

-Ramasse tes affaires je te raccompagne.

 Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Les larmes me montèrent aux yeux.

Ils voulaient qu'on s'arrête. Ils ne voulaient pas qu'on aille plus loin, il ne

voulait pas de moi.

-Pourquoi? lui demandai-je la voix tremblante.

Il me fixa dans les yeux le regard impassible.

-Ta mère t'attend.

-Mais je pensais que..... Enfin qu'on...

-Oublie ce qui s'est passé, on fera comme s'il n'y avait jamais rien eu

c'était une erreur de ma part, j'en suis navré.

 Cette phrase m'acheva. Malgrès ma résistance, une larme s'échappa

et coula sur ma joue. Puis une autre. Romain le vit et s'approcha de moi.

-Juliette....

Je secouai la tête reboutonna ma chemise, et partit en courant de toutes

mes forces. Humiliée, pour la seconde fois aujourd'hui. Romain 

me cria:

-Juliette reviens!!!!! Tu ne vas pas sortir toute seule!!!! Il fait nuit et ce n'est

pas un quartier sur!!!!!! Juliette!!!!!!

Je sortis de la cli*** il pleuvait je courus pendant quelques minutes

puis  mi mis à marcher sans but précis. J'étais trempée, mon maquillage

avait coulé, et j'étais seule dans des rues craignos

   Narration interne par Romain

Je m'assis à mon bureau et poussa un long soupir. Je me sentais misérable.

Je l'avais fait pleurer, je l'avais fait souffrir. Elle, Juliette. Je l'aimais

tellement comme un fou, mais je n'ai jamais cru en autre histoire. Je me

sentais coupable d'avoir posé mes mains sur elle. Elle la femme que je

respecte le plus au monde. Mais quand elle m'a fait comprendre qu'elle

m'aimait j'avais perdu le contrôle. C'est terrible, on s'aime tous 

les 2 mais ils ne peutrien y avoir. Il ne le faut surtout pas. 

C'est une mineure, et moi un adulte. Ca fait un moment que j'essaie

de rentrer ça dans ma tête. Mon esprit l'a accepté mais mon coeur le 

rejette. Je me pris la tête entre les mains. Il fallait que je la retrouve

elle était seule et peut être en danger. Mais où peut-elle être. Je pris 

mon portable et composa son numéro, elle n'allait surement pas

répondre mais je devais tenter. Son portable sonna 4 fois. Puis elle

décrocha. Une voix fluette, faible, apeurée me répondit:

-A.. Allo?

-Juliette?!!! Je suis si content de t'entendre. Tu vas bien??

-Qu'est ce que ça peut te faire? T'en as rien à faire de moi, tu m'as brisé

le coeur, sans même t'en soucier. Tu m'as laisser espérér, et tu m'as

brisé le coeur.

-Juliette je t'en pris ne dis pas ça. Je m'en veux tellement, je m'en veux

Juliette.... Je t'aime plus que tout au monde, je te le jure ne pense pas que

je voulais profiter de toi, car tu es celle qui compte le plus pour moi mais

je ne veux pas te faire souffrir. Tu es mineur cela nous attirerait

des problèmes. Mais je t'aime je te le jure.

-Romain....

Sa voix était remplie de sanglots, mais elle s'interrompta. C'est alors

que j'entendis derrière elle des bruits, c'était des voix, des voix

d'hommes.

-Juliette ça va?

-Je... Je... Il faut que je te laisse.

-Juliette où es-tu?

-.....

Les voix se firent plus proches à l'autre bout du fil,  je saisis quelques

mots, les hommes appelaient Juliette. Elle était en danger j'en étais sure.

-Juliette je t'en pris!!! Dis moi où tu es!!!!!

-A... A l'angle de la rue plumet.  .... Aide moi Romain. S'il te plait.

Elle raccrocha. Je pris mes clés de voiture et m'élança.

  Narration interne par Juliette

Je raccrochais. Et me retourna. Il y avait cette bande de 5 hommes qui

me suivaient depuis un moment mais là ils se faisaient proches. Je

les observai. Ils devaient avoir environ la vingtaine. J'avais peur

est-ce que je devais courir pour leur échapper, où les ignorer et attendre 

Romain ici. Je n'us pas le temps de faire mon choix qu'ils m'entouraient.

Ils ricanaient. Un s'avança vers moi et me dévisagea de la tête aux pieds.

-Tu es plutôt mignonne toi, c'est quoi ton petit nom.

Je tremblais malgrès moi.

-T'es muette??? Ou alors t'as peur??

Ses potes ricanèrent. 

-En même temps t'a raison d'avoir peur.

Il passa sa main dans mes cheveux.

-N'aie pas peur on va s'amuser.

Il me saisit par le poignet. A ce moment là je lui mis un coup de genou

bien placé ce qui lui fit lâché prise. Je tentai de m'enfuir mais les autres

m'attrapèrent en moins de quelques secondes. Et me ramenèrent devant

cet homme qui semblait être comme une sorte de chef.

-Sale petite garce!!!

Il me colla une claque. Puis deux hommes m'allongèrent de force sur

le dos, je me débattai mais ils me maintenaient au sol sur le pavé mouillé.

Ce n'est pas possible c'était un cauchemar j'allai me réveiller,  ce genre

de truc ça arrive dans les films pas en vrai.  Celui que j'avais frappé 

s'assis sur moi et me cracha au visage. Les autres se marrèrent je pleurai.

L'homme commença à m'embrassais. Puis il déboutonna ma chemise.

-Pitié! Laissez moi! Je vous en supplie!!!!

En réponse je n'eus que des ricanements. A présent j'étais en soutien gorge

toujours allongé. L'homme se pencha et commença à m'embrasser

dans le cou. 

C'est alors qu'une voix retentit derrière

nous.

- Lache là immédiatement. 

C'était Romain, l'homme me lacha et se dirigea vers lui.

-Tu comptes faire quoi mec? Sois gentil passe ton chemin et joue pas aux

héros, tu nous laisse tranquille avec cette fille et on te fera rien.

Romain lui répondit par un magistral coup de poing en pleine figure.

Il m'hurla:

-Juliette court dans la voiture!!!!!!!

Je m'éxécutais. Et regarda de l'intérieur cette triste bagarre. 5 contre 1. 

J'avais peur. Romain réussit à en faire tomber un qui fit basculer les autres.

Il profita de cet instant pour courir à la voiture. Il démarra aussitôt. Je pleurais

silencieusement, j'étais sous le choc de ce qui venait de se passer. On

arriva devant chez moi, il coupa le moteur et aussitot me pris dans ses

bras. Il pleurait presque ce qui est rare chez les hommes.

-Oh Juliette j'ai eu si peur. Je te demande pardon.    Ca va maintenant hein

c'est finit. Tu ne peux pas savoir comme je m'en veux de ne pas être

arrivé plutot.

Il me serra de toutes ses forces contre lui. Je le regardai dans les yeux.

Il m'adressa un faible sourir et me caressa la joue, je devais être dans un

triste état. Je finis par oser lui demander:

-Mais tu m'aimes??? Réellement???    

Pour toute réponse il m'attira vers lui, en me serrant fort et en me couvrant

de ***s. Puis il m'embrassa langoureusement contre lui pendant

plusieurs minutes.

-Oui je t'aime. Et même si c'est dangereux, si tu veux qu'on soit ensemble

on le sera. C'est une promesse.

Je lui sautai au coup et lui rendit son ***.


Chapitre 4:

Il me repoussa gentiment.

-Tu dois rentrer.

J'enfouis ma tête dans son torse.

-Je n'ai pas envie de te quitter, si je te quitte maintenant tu ne voudras

plus de moi après.

Il me déposa un bisous sur le front.

- Je te promets que non. Ecoute, (il me prit la main) demain je passe te prendre

vers 10h et on passera notre première journée en amoureux. Rien que

tous les 2 et je ferai en sorte que ce soit magique. Surtout pour toi.

Je lui souris:

-10h?

-10h.

Je l'embrassai et lui murmura un :

-Je t'aime.

Il me sourit et me lacha la main puis je sortis de la voiture. Il attendis

que je sois rentré dans mon immeuble pour démarrer. J'embrassais

ma mère qui en voyant mon état m'envoya direct prendre une douche.

J'avais vécu une folle soirée. Ils m'étaient arrivée la meilleure chose et la 

pire chose de ma vie. J'ai frôlé une agression s****** mais j'était aussi

sur d'être aimé par l'homme de ma vie. Et ça,  ça me rendait plus heureuse

que tout.  Je dinnai avec ma mère une pizza au chèvre, au miel, à la tomate

et au thym (ma préférée). Je négociai une autorisation de sortie avec mes

"copines" (c'est ce que je lui fis croire). Puis j'allais me couchai en essayant

d'oublier les mauvais moments de cette soirée et aussi en me représentant

l'image de Romain dans ma tête pour rêver de lui....

8h30 Mon réveil sonne. Je me lève souriante. Je vais prendre ma douche puis

je choisis mes affaires. J'opte pour une petite robe rose saumon légère avec

des talons compensés. Je me fais une demi queue. Je me maquille

légèrement, un coup de crayon, du mascara et du gloss. Je me regarde

dans la glace. J'ai le coeur qui bat la chamade je me crois dans un 

rêve. Je regarde ma montre 9h20 je laisse un mot à ma mère

sur la table pour dire que je pars faire une journée pique *** baignade

avec mes copines. Je descend de l'immeuble mon sac longchamps blanc

sur l'épaule. Je m'assois en bas des marches et je somnole en attendant

Romain.

- Juliette??? Juliette??? 

J'ouvre les yeux doucement, Romain me regarde souriant. Il est plus beau que

jamais. Chemise, cravate, jean. 

-Désolé j'ai quelques minutes de retard.  Tu m'as l'air fatigué.

-Non non ça va...

-Tu es magnifique.

Je rougis.

-Merci. Alors c'est quoi le programme du jour???

C'est une surprise me dit-il avec un clin d'oeil. Il m'entraina dans

sa voiture nous roulions pendant 2 heures. Nous arrivons dans un petit

village ancien très mignon.  Il arrêta la voiture. Nous entrâme dans

un restaurant très chic. On s'installa.

-Tu es fou c'est bien trop cher.

-Je veux que notre première journée ensemble sois inoubliable.

J'eus un sourire malin.

-Inoubliable? Je vais te la ressortir. Le maître d'hôtel nous apporta

2 coupes de champagne nous trinquâme à notre couple.

On mangea comme des rois puis il m'entraina ensuite dans un chalet

plus que luxueux. Il y avait une piscine intérieur. Une chambre très moderne

une cuisine, un salon.

-C'est chez toi??

-Non je l'ai loué pour aujourd'hui.

-Pour aujourd'hui mais enfin ça va te couté une fortune, et puis ce n'étais 

pas la peine, pourquoi une cuisine?  Je dois être rentré pour 22h et...

Il posa un doigt sur ma bouche.

-Chut...

Il me déposa un léger *** sur les lèvres et me dit.

-Tu viens on va se baigner?

-Je n'ai pas prit de maillot.

-On se baignera en sous vêtements.

Pendant plusieurs heures nous nageâmes, parlâmes de tout et de rien,

on était si bien ensemble. Il était environ 17h. Quand je décidai de passer

à l'acte qui d'après moi rendrait cette journée si inoubliable....


Chapitre 5:


Je ne savais pas comment m'y prendre. Comment lui faire

comprendre. J'avais peur d'être maladroite. Lui il avait de l'expérience

moi non. 

-Hey ça va? T'as l'air soucieuse.

Je le regardai, il me souriait à pleine dents. Je lui rendis son 

sourire. Nous étions assis au bord de la piscine, les jambes ballantes dans

l'eau. J'étais dans ses bras on ne disait rien on profitait juste. Je pris mon

courage à deux mains et lui souris puis je commençai à l'embrasser à pleine

bouche. On s'embrassa ainsi pendant de longues minutes et je lachai un:

"J'ai envie de toi".

Il s'arrêta de m'embrasser:

-Quoi?

Je rougis, je me sentais nulle. 

-Juliette tu... Enfin ne te sens pas obligé.

-Comment ça?

-Je sais que je suis plus âgé que toi, mais le fait qu'on est pas le même âge

je ne veux pas que tu te sentes obligée de coucher pour me faire plaisir.

L'important c'est que je t'aime et j'attendrais le temps qu'il faudra.

Je restai une longue minute silencieuse, puis je répondis:

-Non je ne me sens pas obligé. Je suis prête, j'ai envie de toi. Je veux que

ma première fois ce soit avec toi, je te jure que c'est que je souhaite.

Il me sourit et me caressa la joue.

-Tu en es sûre?

-Oui...

On recommença à s'embrasser, cette fois il y allait avec moins de retenue.

Puis il me prit dans ses bras et me porta jusqu'à la chambre. On s'allongea

sur le lit et on continua de s'embrasser.  Il me couvrait de caresses, j'étais

heureuse mais en stress. Je ne sais pas si vous avez déjà vécu cela. 

Il passa ses mains derrière mon dos et me dégraffa le soutien gorge.

Malgrès moi je sursautai. Il s'arrêta aussitôt et me regarda perdu.

Je m'assis et commença à pleurer silencieusement, je n'étais pas triste 

pourtant, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.

Il s'assit à côté de moi et pris mon visage entre ces mains.

-Tu n'est pas prête c'est ça?

Je secouais la tête, j'étais prête je voulais le faire.

-Tu as peur?

Je le regardai dans les yeux et entre deux sanglots je lui expliquai:

-Je... c'est ma première fois. Et toi non. Tu es habitué.. Mais moi non...

J'ai peur de mal faire... J'ai peur... de te décevoir...

Il me serra contre lui.

- Ne t'inquiète pas, j'ai conscience que c'est ta première fois. On ira

doucement on prendra notre temps, je t'aiderai, n'oublie pas que si nous

faisons l'amour tu n'es pas seule, c'est un acte qui se fait à deux.

Je ferais que ta première fois sois parfaite, aies confiance en moi. 

   Je lui souris. Il me regarda, puis on s'embrassa et se rallongea [....]



    Chapitre 6 


 La voiture de Romain filait sur la route. On ne disait rien on se regardait

seulement on souriant on était bien. Vers 21h on arriva. Il se garra à quelques

mètres de mon immeuble. Il me prit dans ses bras. 

On resta plusieurs minutes à rien dire et je brisai le silence:

-Cétait merveilleux Romain.

- Vraiment? C'est ce que tu souhaitais pour ta première fois?

- Jamais je n'aurais cru que ce serait avec toi, alors là je suis comblé.

-Cool on pourra le refaire alors. Dit-il en rigolant.

Je lui souria puis l'embrassa. Il me caressa la joue:

-Allez il est temps que tu y ailles princesse.

-Nooonnn.... Je veux pas partir je veux rester avec toi.. En + je pars en voyage

scolaire demain. Pendant une semaine t'imagines???

-Sois sure que pour moi aussi c'est une torture.

-.... J'ai.... j'ai une idée..

-Pardon?

-Ma mère part souvent en voyage d'affaires. Demain matin je peux partir

de la maison, et elle pensera que je pars en voyage scolaire. Et en arrivant

au lycée je dirais que je ne peux pas partir, parce que ma mère est partit

à la dernière minute en voyage d'affaires et que je dois rester garder la

maison. Et comme il la croiront en voyage, ils n'appelleront pas pour vérifier.

...... Tu me suis??

-Euh oui je crois.... Ta mère pense que tu es en voyage scolaire et ton

bahut pense que t'es chez toi parceque tu dois garder la maison car ta

mère est "en voyage d'affaires"... Ok... Ok... Mais, t'es où pendant

toute cette semaine toi??

Je lui lançai un regard illuminé et un grand sourire.

-Ton appart est plutôt grand non?

-Juliette...

-Allez ce sera super pendant une semaine on sera un véritable couple!!!

Il réfléchit quelques secondes puis me sourit:

-Bon d'accord

-Merci!!!

-Mais tu sais moi je travaille tu vas t'ennuyer quand je serais à la cli***.

-Je peux me faire prendre en stage pour une semaine, non?

-Mmmhhh oui ça semble plutôt être une bonne idée. 

Je lui sautai un cou l'embrassa et sortit de la voiture. Une semaine où

il ne serait rien qu'à moi je nageais dans le bonheur.


   Le lendemain matin je partis avec mon sac d'affaires. Direction le lycée,

ils avalèrent sans problème mon mensonge. Puis j'attendais Romain.

Vers 10h il passa me prendre. Il m'étreignit et nous partîmes en direction

de la cli***.

-Tu peux commencer aujourd'hui une de mes amies qui est à l'accueil

vas te prendre en stage.

Arrivé devant la cli***, je me pendis à son cou:

-Tu es beau mon amour.

-Ah... Tant mieux ^^

-Et la chemise te rend si ***yyy...

On se mit à rire puis je tentais de l'embrasser mais il me repoussa:

-Non ma puce je sui désolé mais je travaille ici, et même si pour moi tu

es véritable femme tu n'as que 16 ans et je ne veux pas finir en prison.

J'affichais une mine déçue puis nous entrâmes. Il me laissa avec une 

femme de taille moyenne qui devait avoir la trentaine, elle était très sympa.

Je passais la matinée à classer des dossiers, à apporter du café et d'autres 

choses de stagiaire.

Vint la pose midi. Plusieurs médecins ou autres personnels de l'établissement

, ainsi que moi, s'installâmes à une grande table rectangulaire. J'étais

assise en face de Romain et à côté d'une blonde que je regardais d'un

oeil noir. Elle ressemblait à ses filles qu'on voit dans les clips, de grosses 

lèvres, des jambes de mannequin, et de bonnes rondeurs là où

il faut si vous voyez ce que je veux dire.... Elle devait se taper tous les

médecins de son service celle ci. Le repas de déroulait tranquillement,

Romain faisait comme s'il ne me connaissait pas, il jouait admirablement

le jeu, alors que moi je ne pouvais décoller mon regard de son magnifique

visage.  Je fis tomber maladroitement ma fourchette.

-Oh zut! rallais-je. 

Je me penchais pour la récupérer, quand je vis sous la table la blonde

faire du pied à Romain.....


Chapitre 7:

Je me relevais sûrement plus blanche que que marbre. Non mais c'était pas

possible je rêvais là. Je commençais à me faire des films pas possible:

est-ce que Romain entretenait une liaison "seexfriends" parce que je n'étais 

pas assez bien pour lui???

Est-ce qu'elle lui faisait du chantage ou un truc du genre s'il couchait pas avec lui?

Je vis que Romain me regardait l'air inquiet et interrogateur.

Je jetais un coup d'oeil à la blonde puis lança un regard noir à Romain.

Il pris un air géné et secoua la tête.

-Une tasse de café?

Je sursautai. C'était une grande rousse d'une trentaine d'année, assise

à ma gauche qui venait de me parler. J'ochais la tête.

-Oui s'il vous plaît.

Elle me tendit une tasse.

-Attention c'est très très chaud.

Je me saisis de la tasse. En effet c'était brûlant même. Je regardais l'allumeuse

à côté de moi, et j'arbodais un sourire sadique. Elle allait voir cette blondasse!!

L'air de rien, je fis glisser la tasse entre mes doigts et elle se renversa

sur la blouse de cette blonde. Elle poussa un hurlement et fit un bond en

arrière.

-Je suis vraiment désolé est-ce que ça va?? dis-je en retenant un fou rire.

-Oui oui ça va, gromella t-elle en se dirigeant vers les vestiaires.

J'étais fier de mon coup. C'est alors que Romain me pris par le bras

et m'entraîna dans un local.

-Mais enfin à quoi tu joues???!!!! me cria t-il énervé.

-Mais Romain, comment tu me parles?? Qu'est-ce qui te prends?

-C'est plutôt à moi de te poser cette question. Tu me prends pour qui?

J'ai bien vu que tu as fait exprès de renverser cette tasse.

Là, il m'avait énervé.

-Ah oui ??? Tu crois que c'est sympa pour moi de voir cette blondasse

te faire du pied et toi te laisser faire sans rien dire??? Ca te plaît ou quoi??

Oh désolé monsieur d'avoir abîmé votre petit fantasme!!! Elle est boonne

au moins j'espère???

Je me tus. Romain me regardait incrédule. J'avais hurler. Je lui avais hurler

dessus de la pire façon qui soit. Et en disant tous ces mots je m'étais

fais du mal moi même. Sans le vouloir les larmes me coulaient sur 

les joues. C'était des larmes de colère, mais j'avais honte maintenant.

Romain lacha en un murmure.

-Je... J'aurais pas cru ça de toi Juliette, je pensais qu'on était un couple et

que tu me faisait confiance.

C'est ça oui. Il me prenait pour qui, je détournais le regard en essayant 

de garder la tête haute. Il m'attrapa le poignet.

-Depuis que je suis dans le service cette fille me drague, mais elle n'est

rien pour moi, rien tu entends? Je ne repousse pas ses avances pour pas

que ça jette un froid sur notre équipe, mais il n'y a jamais rien eu entre

elle et moi. Et il n'y aura jamais rien.

Je le regardai dans les yeux, ses yeux brillaient. Il était beau.

-Si tu n'es pas capable de me faire confiance je ne vois pas pourquoi

on resterait ensemble.

Il se dirigea vers la porte. Je me pris la tête entre les mains.

-Non attends... c'est moi... je suis désolé je... J'ai vu cette fille si bien foutu

et j'ai pas pu m'empêcher de penser qu'elle devait être une pro au lit.

Alors que moi.... Enfin que tu te lasses de moi parce que...

-Juliette il n'y a  pas que "la baize" qui compte dans la vie, tu as plein de qualités; tu es irremplassable.

Je baissai la tête honteuse. Il m'attira contre lui puis murmura en rigolant:

-Et puis, tu ne te débrouilles pas si mal.

Je me mis à rire puis m'excusai encore. Il m'embrassa sur le front et partit 

rejoindre son service.

L'après-midi passa paisiblement. Le soir nous rentrâmes fatigués.

On alla directement se coucher. Je m'endormis dans ses bras. Vous imaginez?

Une nuit entière enlasser dans les bras de l'homme que vous aimez?

C'est le bonheur total. Il me rendait heureuse et je voulais lui rendre la

pareille. J'avais mon idée pour relever le niveau "***uuellement ;-) " mais

je ne me doutais pas que mon idée relevait enfaite de la grosse ***rie et 

allait nous mettre en froid.....


Chapitre 8:


 Le lendemain,  7h00 le réveil de Romain sonna, je ralai. Il m'embrassa sur 

la joue et partit prendre sa douche. Je me levai péniblement, et décida d'aller

préparer le petit dej.  Quand j'eus finit je m'assis à la table et malgrès moi

je m'endormis dessus. Quelques minutes plus tard Romain me secoua,

il me souriait de son sourire éclatant de Dieu.

" Je ne savais pas que tu avais des talents pour tenir un logis si l'on puit dire,

dit-il admiratif de la table que j'avais dressée."

Je fis la moue, je commençais à m'imaginer que par cette phrase il sous 

entendait qu'il aimerait des enfants et.....

 " Je disais ça comme ça, sans aucun sous-entendu, dit-il en remarquant mon

air géné"

J'aquiessais en souriant, puis je partis m'habiller.

Vers 7h40 on se mit en route.

Il me déposa une centaine de mètres avant la cli*** pour qu'on ne soit pas

vu arrivant ensemble. En entrant dans la cli*** je me dirigeais vers les

vestiaires pour aller mettre ma blouse, il y avait plusieurs médecins qui 

s'habillaient dont Romain. Il me lançèrent un :

" Bonjour Juliette!" 

Je répondis par un:

"Bonjour tout le monde"

Tout en restant indifférente à Romain, je devenais excellente comédienne.

 Aujourd'hui je fus prise en charge par un médecin qui ressemblait à Patrik

Dempsey dans Grey's anatomy. En temps normal j'aurais fondu, mais je 

trouvai Romain mille fois plus beau. Ce docteur m'enmena voir une opération

au bloc opératoire.  Une horreur. 15heures. Il était temps de mettre en place

mon plan? Vous savez celui dont je vous parler à la fin du chapitre précédent.

Vous allez me trouvez ***, et pour cause, je voulais tellement être parfaite

aux yeux de Romain, que j'allais faire une grosse ***rie.

J'appris qu'il avait une pose alors j'allai le voir, je  toquais à la porte de son

bureau.

"Entrez!"

J'entrai et pris soin de fermer soigneusement la porte derrière moi.

"Juliette je ne m'attendais pas à te voir"

Il se dirigea vers moi et m'embrassa à pleine bouche.

"J'ai fini le boulot, ils m'ont dit que je pouvais rentrer.

-Ils paraient qu'ils t'ont enmené voir une opération c'était comment?

-J'ai eu une révélation: je ne serai jamais chirurgienne."

Il rigola, je souris et prit une inspiration et lui tendit une enveloppe.

" Qu'est-ce que c'est?"

Je me penchai vers lui , posa mes mains sur ses épaules, et lui murmura à 

l'oreille.

"Un petit truc histoire de relever le niveau... si tu vois ce que je veux dire"

Il éclata de rire.

" J'espere que tu n'en as pas fait de trop".

Il s'apprêta à l'ouvrir.

"Non, l'arrêtais-je, tu l'ouvriras en quittant le boulot. Il y a le nom de l'endroit

ou tu dois me rejoindre."

Il prit un air soucieux.

"Juliette tu....

-Chut tais toi, bon j'y vais à ce soir"

Je lui déposa un *** dans le cou et parit le laissant incrédule. J'étais 

contente de moi parceque la je tenais les ficelles. Mais au fond de moi 

j'avais comme une sensation désagréable...

Point de vue de Romain.

20h10. J'allais déposais ma blouse au vestiaire. Je sortis et me posais sur le 

parking contre ma voiture. La nuit commençait à tomber, il faisait bon, j'aurais

aimé passé une soirée tranquille avec Juliette, mais apparemment elle avait

déjà prévu quelques chose. Je sortis l'enveloppe de la poche de mon

jean je le sentais mal. J'hésitais à l'ouvrir quelques instants. J'aimais Juliette,

malgrès son jeune âge elle avait les qualités d'une femme exceptionelle, 

et malgrès ce qu'elle croyait elle assurait très bien. Mais elle avait tendance

à en faire trop, et j'espérais que ce ne serait pas le cas cette fois si. J'ouvris

l'enveloppe, elle contena une carte, qui était une invitation à une soirée:

_______________________________________________________________

                                                 LE PLAISIR HUMAIN


Boites pour soirée érotiques à passer entre amis ou pour faire de nouvelles 

rencontres.

Ce soir seulement, soirée déguisée. Les invités sont visages nus, toutes nos

danseuses seront masquées. Histoire d'animer le plaisir et la curiositée.

Entrée autorisée, seulement sous présentation de cette carte.

________________________________________________________________


Je soupirais elle en avait fait trop. Je me pressais de composé son numéro

sur mon portable. Hors de question qu'on aille dans cette boite juste parcequ'

elle ne se trouvait pas assez bien pour moi. Elle était parfaite pour moi. Dans

cette boite à 16 ans.... Je n'étais pas fan de ce genre de soirée, et je ne voulais

pas qu'elle s'y retrouve, ça peut se finir mal parfois, et on n'avait pas besoin

de ça.

"Allo?"

J'inspirais, sa voix innocente de cristal était une de mes faiblesses.

"Juliette, qu'est ce que cette blague?

-Tu es content?

-Non,  mais enfin tu es folle, et puis tu n'as pas l'âge pour ce genre de soirée.

-Tu sais il laisse rentrer facilement, ils m'ont même embaucher comme 

danseuse pour une soirée, j'espère que ça te plaira.

-Non mais Juliette je n'ai pas besoin de ça, je ne veux pas y aller les gens vont

te regarder et te toucher je n'ai aucune envie de ça.

-Allez viens on va s'amuser."

J'inspirais un grand coup.

"Reste y si tu veux mais moi je n'irais pas, je rentre chez moi.

-Mais.....

-Tu peux décider d'y rester mais si tu le fais ne compte pas sur moi pour venir

t'ouvrir la porte dans la nuit."

Un grand silence se fit au bout du fil puis elle finit par dire:

"Ok.... ok je rentre."

Le fil coupa, je me mis en route vers l'appart, j'avais bien senti qu'elle se 

sentait mal à l'aise, il y avait de quoi.

Point de vue de Juliette


Si je m'attendais à ça, je ne pensais pas qu'il aurait ce genre de réaction.

Mais je me rendais compte qu'il avait raison, mon idée n'était que bêtise.

Je marchais dans la rue en direction de son appartement. J'étais sur de l'avoir

fâché. J'avais peur qu'on se dis*** quand j'arriverais, on ne pouvait pas 

être indifférent à ce qui venait de se passer. J'avais envie de pleurer

j'avais l'impression que j'étais en train de tout gâcher. J'arrivais à son appart.

Je restais 5 minutes devant l'appart avant de me décider à frapper. 

" C'est ouvert!'

Je devinais à sa voix qu'il était tendu. Je rentrai, il était assis sur un fauteuil

un verre de vin à moitié vide à la main. J'allai m'assoir sur le canapé.

Le silence perdura. Je sentais son regard pesait sur moi.

"Regarde moi Juliette"

Je levai les yeux vers lui son regard me transperça, je voulais paraitre sûr de

moi mais il me déstabilisa. Je me sentis obligé de baisser les yeux.

"Juliette regarde moi!!!! s'énerva t-il. Il se leva et avança vers moi. Par

reflex je me levais aussi. Pourquoi? Hein? Pourquoi tu as fait ça, combien

de fois  il faudra que je te répète que je n'ai pas besoin de tout ça, tu me suffis

largement.

-Mais je pensais te faire plaisir!! Ce n'est pas la peine de me parler sur ce ton,

je n'ai pas pensé aux conséquences et c'est tout ok??!! lui répondis-je 

sur le même ton.

-C'est ça le problème Juliette, tu ne penses pas aux conséquences, jamais!!!

C'est comme quand tu t'es enfui de mon bureau dans le noir seule!! Tu te 

souviens???? Tu te souviens de ce qui s'est passé? Tu imagine ce que ces

salauds t'auraient fait si je n'étais pas arrivé!! Et pourtant ça ne t'as pas servit

de leçon."

Mon coeur se serra, je ne pouvais pas croire qu'il ressorte ça. J'étais 

énormément blessé. Je lui dis d'une voix, mon assuré et tremblante:

"Tu m'engueules comme un père engueulerai sa fille qui a fait le mur pour

aller en boite. Je pensais que tu me respectais plus que ça. Tu n'as pas as me

parlé comme ça, je suis sencé être ta.... copine pas une fillette à qui tu 

apprends la vie.

-Mais tu ne comprends pas?? Quand tu es toi même, tu es parfaites mais

quand tu fais des ***ries de ce genre on dirait une môme de 12 ans!!! Et

si je te parle comme ça, comme à une gamine, c'est peut être parce que tu as

une grosse part d'immaturité en toi."

Je plaquai ma main sur ma bouche, par ces mots il m'avait poignardé en 

plein coeur. Je serrai les dents pour ne pas pleurer. Et comme si ça ne suffisait

pas il me rajouta:

"Mais si c'était bien tu n'as cas y retourné.

-Mais arrête!!! C'est bon j'ai compris!!! Alors arrête à quoi ça sert d'enfoncé

comme ça le couteau dans la plaie."

J'avais hurlé. Et en même temps, et en même temps, malgrès ma résistence,

mes larmes avaient déferlé sur mes joues. Je me rassis sur le canapé et 

enfoui mon visage dans mes mains pour me cacher.

"Je.... je vais me coucher, tu n'as qu'à dormir ici, il doit y avoir une couverture

dans le placard".

Il me dit ça et monta les escaliers. J'enfouis au plus profond mon visage dans

un coussin pour étouffer mes pleurs. Pendant au moins une heure je restais

ainsi à sangloter. Puis je tentai de me ressaisir. Maintenant on devait chacun

avoir les esprit plus clairs, et je pensais qu'il était temps qu'on s'explique 

calmement. Je pris mon courage à deux mains et grimpa les escaliers, 

j'ouvris discrètement la porte de sa chambre. La pièce était noire, ma is lui ne

dormait pas, la fenêtre était grande ouverte, et il était appuyé sur le rebord.

Il regardait dehors tout en fumant une clope. Il tourna la tête vers moi. 

Je pus lire dans ces yeux de la tristesse et de la déception, mais il n'y avait

plus la colère qui y résidait quelques instants plus tôts. Il détourna de 

nouveau la tête dehors, prononcer une parole. Je m'approchai de lui. Il était

torse nu; les cheveux en bataille, en proie à une petite brise légère. La lune 

éclairait son visage. Il continua de faire comme si je n'existai pas. Je décidai

de briser le silence:

"Ne fais pas ça...

-Ne fais pas quoi???

-M'ignorer ainsi... Tu ne peux pas faire ça."

Il soupira, écrasa sa clope sur le rebord de la fenêtre et jeta le mégot dehors.

Il se tourna vers moi.

"... Tu devrais aller dormir.

-Comment veux-tu que je dormes après ça?

-....

-Je.... je reconnais que mon acte était idiot mais tu sais je... je voulais...

quand il s'agit de toi je ne me maitrise plus vraiment.

-Il faudrait pourtant. 

-Je sais........

-Je te demande pardon. Je m'en veux terriblement de t'avoir crié ainsi dessus

tout à l'heure, j'avoue j'étais furieux, mais c'est parce que je me sens comme

un devoir de protection envers toi depuis ce qui t'es arrivé avec ces mecs 

l'autre jour. Pour moi tu es une femme forte, mais tu t'attire trop d'ennuis...

Sache que je ne pensais pas ce que je disais quand je t'ai traité de gamine.

-Tu veux me protéger, et moi je veux paraître plus grande à tes yeux mais..

- Attends laisse moi finir,  sache que je m'en veux, parce que je n'avais

pas lieu de m'énerver ainsi après toi, tu m'as tout donné, surtout ta virginité 

et moi en échange je ne fais que faire couler tes larmes. Pourtant depuis

le jour ou je t'aime, je m'étais juré de ne jamais faire couler tes larmes, mais

j'ai failli à cette promesse.

-Et moi aussi je veux te dire, si j'ai fait ça c'est parce que j'ai peur, peur que

tu me laisses tombé, pour une femme mature et expérimenté, et puis je 

après la dis*** d'hier...

-Chut n'en parlons plus.... Il faut que tu t'incruste dans la tête que pour 

moi il n'y a que toi".

Dit-il en me caressant la joue et en souriant faiblement. J'ochai la tête.

Il m'attira vers lui et me serra dans ses bras.

"Je t'aime, je t'aime Romain."

Il me serra un peu plus, j'avais le visage dans son torse musclé et chaud,

je sentais son coeur battre à travers sa poitrine, j'étais bien.

-J'aime bien quand tu me le dis simplement comme ça, ça n'arrive pas 

souvent, dit-il une pointe d'ironie dans la voix, tout en me caressant les 

cheveux. Je t'aime aussi Juliette. Laissons derrière nous cette dis***."

Je souris,  et leva la tête vers lui, son regard était apaisé, ses yeux brillaient 

d'amour surement autant que les miens.

"Embrasse moi lui murmurais-je."

Il se pencha, vers moi mais je lui posai un doigt sur la bouche.

"Embrasse moi comme tu ne l'as jamais fait. Sans retenue, je veux 

que ce soit le plus beau baisir que tu me donneras."

Il me sourit. Il prit mon visage entre ses mains, il colla son front au mien, il

ferma les yeux et me caressa les joues, je sentais son souffle chaud sur mon

visage, je faisais en sorte d'incruster 5 secondes dans ma mémoire. Il passa

ses doigts sur mon visage, il mit son doigt sur mes lèvres, j'embrassai

son doigt. Puis il me prit le menton dans une main, et déposa ses lèvres

humides et chaudes sur les miennes. Tout d'abord on se fit seulement

des petits suçons. Puis sa langue vint rencontrer la mienne. Je passais mes

mains autour de son cou. Et me colla à lui, lui il posa ses mains sur mes

fesses. On s'embrassa ainsi, peut être pendant une heure ou deux ou je ne 

sais pas peut être toute la nuit. On reprenait de temps en temps notre 

respiration en en profitant pour se dire à quel point on s'aimait, et on se 

rembrassa. Il s'assit sur le rebort de la fenetre et moi je vint m'appuyai

sur sur son torse, et cet là que notre *** dura. Ca n'alla pas plus loin

mais c'était parfait.




Chapitre 9:


Un rayon de soleil vint caresser mon visage. J'ouvris les yeux. Il faisait froid,

je mis un moment à réaliser où on était, on était toujours sur le bord de la fenêtre

(dailleurs grande ouverte) on avait dormis là, je regardais en bas. 8ème étage,

glups! On était vraiment inconscient. Je me dégageai de l'étreinte de Romain

qui lui dormait toujours. Dehors les klaxons, la journée se mettait en marche.

J'embrassai Romain sur la joue. Il ouvrit difficilement ses yeux. En me voyant

penchée sur lui, un sourire se dessina sur son visage:

"Hé... Ma belle... murmura t-il en me caressant la joue. Quelle heure est-ce qu'

il est???

-Environ 7heures....

-Ah il est temps de se préparer. Il alla à la douche puis me céda à la place.

Ca me fit un bien fou. En en sortant il buvait une tasse de café et m'en proposa

une. On s'assit sur le canapé, il me prit dans ses bras pendant qu'on buvait.

-Alors.... Ce ***? me demanda t-il

-Inoubliable.... dis-je en lui caressant la main.

- J'avoue que c'était super."

Je souriais intérieurement puis on décida d'y aller. Comme d'habitude Romain

me déposa une centaine de mètres avant la cli***. J'y allais en marchant,

l'hiver commençait à pointer le bout de son nez, constatais-je en frissonant.

Les jours passèrent calmement. Aujourd'hui c'était vendredi, ce soir je rentrais

chez moi. J'étais à la cli*** tranquillement en train de classer quelques dossiers.

Puis on me demanda d'aller apporter du café à plusieurs médecins, dont Romain.

Je finis par lui. J'entrai sans frapper, il avait le nez dans des dossiers. Je fermai

doucement la porte derrière moi et allait posait la tasse de café sur son bureau.

Il leva la tête, me regarda un long moment et lacha:

"Quelle petite stagiaire seexy, j'en ferai bien mon quatre heures.

-Enfin surveillez vos paroles docteurs, êtes vous fou? Je vous interdit de me 

toucher, dis-je en plaisantant.

Il se leva et m'attrappa.

-Dis donc c'est une menace??? demanda t-il? Mais c'est qu'elle a du cran en plus.

Il me serra contre lui; je fis semblant de me débattre. Il poussa un cri comme

si je lui avais fait mal, il s'assit sur une chaise et prit un air de chien battu.

"Je vous ai fait mal, docteur?

-Oui.... euh vous pouvez me soigner?

-Faut voir, où avez-vous mal?

-Ici, dit-il en me désignant sa bouche.

Je me penchai vers lui.

-Ce que t'es con, murmurais-je en rigolant.

Puis on s'embrassa.

"Toc toc".

On fit un bond en arrière se détachant instinctivement l'un de l'autre.

"Entrez dit Romain".

La blonde entra souriante sur ses talons haut perchés.

"Qu'est ce qu'elle fait là elle? dit-elle en me montrant d'une moue dédaigneuse.

-Je lui apportais son café. dis je tout sourire, alors que j'avais envie de l'étriper.

-Très bien pouvez vous sortir Romain et moi on a quelques choses à régler.

-De quoi parles tu Alizée? dit Romain étonné.

-Alizée........ ée..... comme prosstituée... dis-je à voix haute.

Il se tournèrent tout deux vers moi, Romain était devenu blanc comme un linge.

Moi je restai calme et souriante.

-Vous trouvez que c'est une coïncidence, pas étonnant non? rigolai-je.

-Mais... que... que vous prend il mlle? balbutia Romain.

-Je dis le fond de ma pensée, c'est quelque chose dont je ne peux pas

m'empêcher. 

-Vous savez que je peux vous faire virer??? dit la blonde en s'approchant de moi.

-Ca m'est égale, je pars ce soir. "

Elle bouillait ça se voiyait, elle s'approcha de moi, et me fila une claque!

Puis elle partit en claquant des talons. Je me tenais la joue.

-Juliette!!!!! Mais enfin tu es folle???!!! s'écria Romain en avançant vers moi.

Je ne répondis pas, il enleva ma main, et regarda ma joue.

-Tu as mal?

-Ce n'est pas toi qui serait intervenu... dis je en serrant les dents.

-Mais arrête!!! Ce n'est pas possible tu ne comprends pas ou quoi? Pour toi

ce n'est qu'un jeu, alors que moi je peux perdre mon travail apprends à te 

controler merde!

-Parles moi sur un autre ton j'en ai marre de tes airs supérieurs!!

-Mes airs supérieurs??!! Mais je rêve là, tu me fais une crise d'ado ou quoi.

On se disputa ainsi pendant de longues minutes puis Romain s'assit sur

une chaise et se prit la tête entre les mains. 

-Juliette... Cela fait déjà 3 dis***s en une semaine, ça ne peut pas durer,

je n'en peux plus on se dis*** comme 2 gamins.

Je réfléchis un long moment. J'avais les yeux mouillés, il avait raison 3 dis***s

en une semaine, ça faisait beaucoup, c'était peut être l'homme de la vie mais 

pour l'instant on était pas prêt. Je croyai beaucoup au destin, si on était fait

pour être ensemble on le serait. Mais là moi ausssi je n'en pouvais plus.

Quelques larmes coulèrent sur mes joues. Je déposai ma blouse.

Il me regarda l'air interrogateur.

"Tu as raison murmurais je.... Je te promets qu'il n'y aura plus jamais de dis***..

C'est fini"

Il pleurait comme moi, mais ne disait rien, c'était beau de le voir pleurer, c'est

tellement rare pour un mec, je lui tournais le dos, avant de franchir la porte, 

je lui jetai un dernier regard, on se sourit tristement. Puis je partis, la tête

haute sans me retourner, j'avais largué un trésor mais c'était fait, à partir de 

maintenant je devais me concentrer sur l'avenir, et peut être que la destinée

nous poussera de nouveau l'un vers l'autre. Confiante je rentrai, demanda à ma

mère de me changer de médecin, et je ne répondis pas aux appels de Romain.

Finalement toutes mes belles pensées n'étaient pas si mal mais ça ne 

m'empêcha pas de mouiller chaque soir mon oreiller, et ceci sans fin.



Petit résumé.

Juliette a quitté Romain et à coupé tout contact avec lui. Pendant 2 longues

années elle n'eut plus gout à rien. Puis elle décida de se reprendre en main.

D'oublier tout les moments désagréables. Nous reprenons l'histoire aux 19 ans

de Juliette, qui est désormais plus sûre d'elle.  Elle est devenu journaliste dans

une entreprise à Paris. Chouchoute de son patron, elle vit dans un grand 

appartement design. Mais si désormais elle regarde vers l'avant, et est plus

forte que jamais, il ne faut pas oublié que parfois et malheureusement il faut

s'attendre à revoir le passé surgir de n'importe où, et le pire c'est que quelquefois

le passé revient en force....



Partie 2.

Chapitre 1:

   J'ajoutai quelques barettes à mon chignon tressé, je me mis un coup

de mascara et de gloss. Puis je vérifiai que je n'avais aucun plis à ma robe.

C'était une robe magnifique. Une robe bustier dos nus bleu marine, et 

me descendant jusqu'au pied, ceintrée en dessous de la poitrine par une

ceinture d'or blanc. J'avais des boucles d'oreilles discrète, un bracelet, et

des chaussures à talons vertigineux. J'étais prête.  

Je me lançai un sourire dans le miroir pour me donner confiance, puis je pris

 mon sac et sortit. Dehors la voiture de mon équipe de journalisme

 m'attendait. Je montai. Il y avait Marc le caméraman et Lucie mon assistante.

Il y en avait aussi 2 autres: Jean et Vincent, je n'ai jamais bien compris

leurs fonctions mais ils nous suivent partout. Lucie donna quelques

 indications aux chauffeurs et passa nerveusement un des plis de sa robe

entre ses mains.  Je lui lançai un sourire rassurant, qu'elle me rendit.

"Bon alors, lança t-elle, rappelle moi quelle est notre mission de ce soir 

Juliette?

-Mais enfin destresse, rigolai-je. On va à au Milady, une grande salle de

réception très classe. Où ce soir se réunissent les plus grand médecins, et

chercheurs de tout le pays, on doit interroger au moins 10 personnes

différente sur les nouveaux recherches de la médecine etc....

-Ok ok ok. Oh regarde on arrive."

 Je regardai dehors. Des grosses voitures de luxe étaient garées autour

d'une immense fontaine, bon j'avoue que là on était dans une limousine

mais elle est pas vraiment à nous, c'est une voiture de fonction, et encore

d'habitude on roule en camionnette blanche. Enfin bref tout ça pour dire

que c'est assez impressionant. Un portier nous ouvrit la porte de la voiture,

il me tendit la main par galanterie. Il y a 2 ans ce genre d'attentions

m'auraient touchées, mais j'étais de plus en plus habituée à aller dans 

 de grandes cérémonies pour le travail. La dernière que j'ai faite c'était

pour interroger de grands et beaux sportifs, c'est la seule cérémonie

qui m'ait marqué, et pour cause, je ne suis pas reparti seule

ce soir là si vous voyez ce que je veux dire.... ;).

On entra dans la salle de réception,  tout les hommes étaient en costard

et les femmes avaient des robes plus belle les une que les autres. 

Certains gentlemans me souriaient, c'était assez agréable de se sentir

regardés. On interrogea un médecin sur les remèdes à venir, il nous sortit

qu'ils faisaient beaucoup de recherche sur la dingue en ce moment. Et

que les recherches sur le siida étaient de plus en plus concluantes.

Je croisai Maria, l'ancienne "chouchoute" de mon patron si l'on puit dire,

mais mon arrivée au journal à quelques peu chamboulée sa place. Elle 

me lança un regard noir, mais je n'y prêta pas attention. C'est alors qu'un

homme attira mon attention, je ne le voyais que de dos mais une équipe

de journalisme avait l'air très captivée parcequ'il disait, je me dirigeais

vers lui en faisant signe à mon équipe de me suivre. Il nous tournait toujours

le dos, quand les autres équipe de journalisme le laissère, je pris la parole;

"Excusez moi, je voudrais vous poser quelques questions sur..."

Il se retourna tout souriant, mais moi en le voyant mon sourire disparut

aussitôt c'était...



Chapitre 2:

C'était Romain. Je fermai les yeux et les rouvrit, oui c'était bien Romain. Je reçu

ça comme un choc électrique dans la poitrine, j'avais à peine réussit à me 

le sortir de la tête qu'il revenait comme ça dans ma vie. Je tremblai, aucun mot

ne réussit à sortir de ma bouche. J'étais comme paralysée.  Lui il n'avait pas 

l'air de m'avoir reconnut, je le regardai, tout les moments passés avec lui 

me revenaient en mémoire, ma première fois, le plus beau *** de ma vie,

et la façon terrible selon laquelle c'est tristement finit notre relation. Le destin

nous mettait de nouveau face à face mais pour quelle raison?

Mon coeur battait la chamade, tout le monde paraissait par ce silence qui régnait,

je faisais un effort surhumain pour trouver quelqe chose à dire mais rien ne sortit.

A ce moment j'aurais voulu m'enfuir, mais ce n'était pas une solution.

Point de vue de Romain.

Elle restait silencieuse, je la regardai inquiet et d'un air interrogateur. Drôle de 

journaliste cette fille, mais mignonne. On aurait dit qu'au moment où elle m'avait

vu elle s'était comme... paralysée, une adorable ride s'était dessinée sur son

front, et à présent elle paraissait chercher à chasser un problème qui la rongeait.

Peut être bien qu'elle ne se souvenait plus des questions qu'elle devait poser.

Moi je ne disais rien, je me contentais de la dévorer du regard, elle me rappeler

quelqu'un, mais je n'arrivais pas à mettre la main dessus. En tout cas

elle était magnifique, malgrès que ses cheveux soit relevés en chignon 2 boucles

encadraient son beau visage. Ses yeux étaient magnifiques, ils brillaient 

d'intelligence, elle avait l'air jeune tout de même, sa robe metait en valeur

ses es parfaites. Je croquerais bien dedans, me dis-je intérieurement.

En tout cas ce long silence commençait à me peser. Je posai la main

sur son épaule, elle eut comme un sursautement.

"Eh, ça va? lui demandais-je d'une voix charmeuse.

Aussitôt son assistante renchérit.

"Qu'est-ce qui t'arrives Juliette?"

Je retirais ma main de son épaule. Elle releva ses yeux, et les plongea dans les

miens. Juliette.... Comme... comme.... mais ça ne pouvait pas être. Je cherchai

dans son visage, un souvenir, quelque chose qui me permettrait d'être sur. 

J'eus le courage de soutenir son regard, oui c'était bien ses yeux, et en y 

réfléchissant sa voix si belle, si cristaline, oui évidemment, c'était bien elle.

"Ju... Juliette??!!! balbutiai-je."

Elle baissa les yeux, elle devait être aussi embarassé que moi.

"Pas, pas d'interview, déclarais-je en me dirigeant vers les toilettes."

Je me passai un coup d'eau sur la figure et me regardai dans le miroir.

Juliette... la revoir ainsi c'était un véritable choque pour moi. Elle avait

tellement changé, elle était magnifique, une véritable créature de beauté.

Comment réagir face à elle, je n'avais eu aucune de ces nouvelles pendant

les 3 dernières années qui s'étaient écoulaient. Qu'elle âge avait-elle

désormais? 19ans?  Qu'est-ce que je devais faire retourner la voire ou faire

l'indifférent?

Point de vue de Juliette.

Je serrai les dents.

"Non mais j'halucinne, nous refuser un interview! A nous un des plus grand

journals de France, non mais quel manque de politesse!!! s'énervais Lucie"

Moi je ne dirigeai toujours pas cette apparition. Je tandis le micro à Lucie.

"Remplace moi s'il te plaît, je ne... je ne me sens pas d'aplomb pour continuer"

Avant qu'elle ait eut le temps de répondre, je la laissai planté là, et me dirigea

vers le bar. Je commandai une coupe de champagne et une autre. J'essayai

de réfléchir calmement 1000 et 1 pensée s'emmélaient dans ma tête.

C'est comme si mes sentiments pour lui s'étaient tous réveillaient d'un coup.

Mais ne c'était-ils jamais éteind? Ils étaient toujours là, mais j'avais refusé

de les écouté. Je me pris la tête entre les mains. Quand je remarquai que 

Romain était assis à côté de moi et qu'il me regardait. 

"C'est génant d'être dévisageai ainsi, murmurais-je.

-Désolé, dit-il".

Un long silence s'ensuivit, au bout de plusieurs minutes au cours des quelles

je bus 6 coupes de champagne, Romain décida de briser ce silence mais

il avait beau tenter de prendre de l'assurence, je sentais bien dans

sa voix une sorte de gêne:

"Alors qu'est... qu'est ce que tu deviens?

-Je suis journaliste, et j'ai un appartement à moi.

-Ca te réussit,(je lui lançai un regard interrogateur) enfin tu es... tu as changé..

tu es magnifique, balbutia t-il.

-Merci... dis-je sans le lacher du regard. Et toi qu'est ce que tu...?

-J'ai gravis beaucoup de grades. Je suis un des plus grand médecins de Paris et

aussi un des mieux payés. 

-Ah tant mieux pour toi.

-Tu as quelqu'un dans ta vie? dit-il en me regardant fixement .

-Non enfin... j'ai eu quelques coups d'un soir, mais aucune relation vraiment...

euh et toi?

-Pareils, mais pas vraiment de bonnes relations depuis toi."

Sa voix se brisa quand il prononça les derniers mots, ce qui m'arracha un léger

sourire. Je bus ma septième coupe de champagne, et on se regarda un long 

moment sans rien dire. C'est alors que je vis mon équipe interrogeait

une grande femme blonde ressemblant aux filles des clips. C'était... c'était...

"Ah non!!!!! m'écriais-je."

Je me levais d'un bon et me dirigea vers mon équipe en titubant.

"Interrogez de vrais médecins!!! Pas des femmes qui ne connait rien de la 

médecine mis à part la chirurgie esthétique!!! criais-je.

La blonde se pétrifia vexée, et mon équipe fut plus que surprise par ma 

déclaration. Je me rassis prés de Romain et commanda une huitième coupe

en ralant:

"Je ne m'attandais pas à la voir ici celle-là!

-Toujours jalouse à ce que je vois, déclara Romain en rigolant, puis il s'adressa

au serveur, arrêtez de la servir je pense qu'elle a assez abusé du champagne

pour ce soir.

-Je ne suis pas jalouse!!!! Tu crois quoi que pendant 3 ans tu n'as pas quitté

mon esprit, et bien figure toi que j'ai complètement tourné la page alors...

-Vraiment?

-Mais ouiii!!! Et puis d'où tu te mèles, de ce que je dois boire ou pas, ce ne sont

pas tes affaires, j'ai la majorité maintenant je fais ce que je veux.

-Tu es bourrée.

-Mais n'importe quoi, m'écriais-je. 

-Bon puisque tu le prends comme ça je m'en vais dit-il en se levant, salut!!!"

Avec difficulté, je me mis debout, l'attrapa par le bras.

"Attends, dis-je

-Quoi???!!! "

Je l'embrassai.




Chapitre 3:


Au début il ne me repoussa pas, mais après une courte minute, il recula et me

regarda hébahit. J'étais extrèmement génée parce que je venais de faire, je

ne savais pas ce qui m'avait pris. Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque

chose, mais je ne lui en laissais pas le temps, je mis ma main sur ma tempe

et déclara la première chose qui me passait par l'esprit:

"Je.... Tu as raison je ... je dois être saoul."

Il me prit par le bras et m'assit sur une chaise.

"J'ai toujours raison..."

Il me regarda longuement en souriant. Moi j'évitais son regard, j'observais

autour de moi, en cherchant quelque chose à fixer. 

"Je vais y aller"

J'ochai la tête, déçu; mais hors de question de le laisser paraître. Il se leva et me

tourna le dos. Je ressenti comme un manque. Il ne pouvait pas me laisser là

comme ça, est-ce qu'on aller se revoir? Le fait qu'on se soit recroisé n'était-il

pas une sorte de.... signe??? Ses questions s'entremêlaient dans ma tête quand

il se retourna vers moi, comme s'il avait lu dans mes pensées il déclara:

"Tu n'as qu'à passer chez moi un de ces quatres, j'ha*** toujours au même

endroit".

J'ochai la tête en souriant. Il s'en alla définitivement cette fois. Je voulais 

me relever et continuer d'interroger des personnes mais l'alcool faisait des

siennes. Mon équipe en me voyant au plus mal, décida de rentrer. Ca n'allait

pas plaire à mon patron. 


Il me brandit une photo prise hier soir, me montrant entrain d'embrasser Romain,

non ce n'était pas une photo, c'était LA photo, celle qui allait me mettre dans

une sale situation.

"Je.... je ne comprends pas qui vous l'a envoyée? 

-Maria!

-Pfff celle là elle n'a pas finit de me faire payer d'avoir pris sa place, ralais-je.

-Mais ça m'est égal!!! Le fait est là, tu n'as pas à fricoter ainsi!!!  Tu étais

censé travailler...

-J'étais bourrée...

-Encore mieux!!!!"

Mon patron s'essuya son crâne dégarnit de cheveux avec un affreux mouchoir

jaune canaris. Il avait l'air anxieux. Beaucoup auraient perdus leurs postes

pour moins que ça, c'était ma deuxième bavure en un mois, après le beau

sportif qui m'a ramené chez lui.

"Tu sais pourquoi je te gardes Juliette? Alors tu vas me faire le plaisir de ne 

pas me décevoir. Ok?

-Ok... 

-Tu peux disposer."

Je sortis, je décidais de prendre mon après midi. J'avais besoin de respirer un

peur d'air frais. Je marchais en pensant à tout mes petits problèmes du quotidien

mon patron, et lui: son fils. Je ne savais pas à qui me confier. Je marchais

sans but précis, une des choses que je faisais le mieux, quand je m'aperçus

que je n'étais pas loin de chez Romain. Il serait sûrement au travail à cette

heure et tenter. Je me dirigeai vers son appartement, je n'hésitai même pas,

c'est comme si j'étais venu hier.Je frappai timidement à la porte. Celle ci s'ouvrit

laissant apparaître Romain. Son visage s'illumina quand il me vit.

"Oh Juliette?  Tu es venu? Entre fais comme chez toi."

Je m'assis sur le canapé.

"Ca ne va pas?"

J'haussais les épaules.

"Des problèmes à mon boulot, une langue de vipère m'a prit en photo en train

de t'embrasser et la envoyer à mon patron. 

-Ah j'en suis désolé... Il ne fallait pas boire."

Je lui tirais la langue excédée, mais est-ce que c'était vraiment l'alcool qui m'avait

fait embrasser Romain. Et ce que je ne m'étais pas dis que c'était à cause de 

l'alcool parce que c'est ce qui me plaisait de croire. Je ne voulais pas croire

que j'avais fait ça de mon plein gré.

"Un truc à boire?

-Non ça va. 

-Rohlala. Il regarda sa montre. 19heures!!!

-Je vais peut être rentrer.

-Non reste!!!"

Je le regarda sans comprendre. Il essaya de se justifier:

"Je... Je vais te remonter le moral"

Il sortit une bouteille de vin et de whisky. Fit des sandwichs qu'il déposa

sur la table basse. Il baissa la lumière et mit une musique de fond. On discuta

et rigola comme de vieux amis. Puis au fur et à mesure que la soirée avançait

on était de plus en plus bourrés.  On dansait et se dessinait sur le visage

comme des gosses. Puis on s'écroula sur le canapé. Nos rires cessèrent.

Nos de visages était si près l'un de lautre. On se regardait les yeux dans les

yeux sans rien dire. Romain murmura:

"Ca me fait plaisir de voir tes yeux brillaient ainsi"

Je ne répondis pas. Est-ce que c'était vrai? Est-ce que les étoiles brillaient de 

nouveau dans mes yeux? Est-ce que c'est Romain qui les avaient rallumés.

Je le scrutahttp://www.ohmydollz.com/?p=fiche&pseudo=kissdelisa#is du regard, il me regardait en souriant, je me demandais si la

petite boule que j'avais dans le ventre, c'est ces papillons qui virevoltent en nous

quand on est heureux. Mais non c'était impossible que en un regard, quelques

phrases, je sois retombé amoureuse de lui... Ca semblait trop... "filmique".

"Hey princesse ça va? dit Romain, brisant le silence.

-Ne m'appelle pas princesse ça datait de avant...

-Oui; des merveilleux moments maintenants bels et biens terminés. Enfin

est-ce qu'ils sont vraiment terminés?"

Sa question me déstabilisa, je le regardai la bouche ouverte sans rien dire.

On ne pouvait pas retomber ainsi dans les bras l'un de l'autre bon sang!!! 

Ca se finirait aussi vite que ça aurait recommençait. 

"Je... je vais y aller" 

Je me levai le laissant ainsi planté sur le canapé, je ramassai mon sac, et me 

dirigea vers la porte.

"Juliette!!!"

Je me stoppai net, le coeur battant, qu'allait-il me dire??

"Je je... je veux te revoir.

-C'est l'alcool qui te fait dire ça? lui dis-je en souriant.

-Non j'en ai vraiment envie.

-Eh bien disons demain 19heures on ira prendre l'apéro dans un de ces cafés

tu sais à côté du magnifique parc.

-Ok a demain."

Je fermai la porte et m'en alla.

Point de vue de Romain.

Chaque seconde me semblait interminable, je regardais sans arrêt ma montre,

j'avais hâte de quitter mon service pour la revoir. Je ne savais pas d'ailleurs 

pourquoi je me mettais dans un état pareil. Enfaite je m'étais décider de lui

demander quelque chose. Je m'étais décidé de lui demander de se remettre

avec moi. Rappelez vous c'est elle qui m'a quitté, je ne l'ai pas retenu parce que

ça me semblait être le mieux pour nous deux. Mais au fond je n'ai jamais cessé

de l'aimer. Elle faisait battre mon coeur comme personne ne l'a jamais fait.

Alors je voudrais qu'on ressaie. Et puis si jamais ça se passe encore mal on 

sera fixé. Mais je voulais la rembrasser sans retenue, la serrer dans mes bras,

la faire rire, la protéger , être la pour elle, sentir son corps sur le mien, l'aimer.

Et si ça se passait bien je la demanderais en mariage. Tout ce que je dis

peut vous paraître incensé, exagéré, mais à ce moment j'étais sûrement l'homme

le plus amoureux de la Terre. Je quittais enfin mon travail, le coeur battant,

sûr de moi, et un fichu sourire niais collé aux lèvres. Au fond de moi la réponse

de Juliette ne pouvait pas être autre que: OUI. En chemin j'achetai un bouquet

de fleurs ça lui ferait de l'effet sans aucun doute.J'arrivais à la rue de café le long 

du parc, je la longeais en cherchant ma Juliette du regard. C'est alors

que je vis une chose à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Une chose que

je n'aurais jamais voulu voir. Pire que tout, pire qu'un coup de poignard en plein

coeur. Je vis... Juliette embrasser un autre homme.






Chapitre 4:


Je ne pouvais pas y croire, ça ne pouvait pas être Juliette qui embrassait cet 

homme c'était juste..... une fille qui lui ressemblait comme 2 gouttes d'eau. 

Une boule vint se coincer dans ma gorge, un mélange de colère et de tristesse.

Tellement de questions se mélangeaient dans mon esprit. J'étais persuadé que

Juliette ressentait encore quelque chose pour moi, mais là c'était comme la mort

de tout espoir. Je devais savoir, qui était c'est homme et pourquoi il embrassait

ma Juliette. Avant d'abandonner je voulais avoir le coeur net que je n'assistais

pas un malheureux malencontrendu. Oui, l'espoir fait vivre, et heureusement

parce que sinon je serais déjà mort et enterré.


Point de vue de Juliette.

Julien m'embrassait à pleine bouche. Je n'osais pas le repousser, je ne savais pas

comment on en était arrivé là. Reprenons, je m'étais assise en terrasse pour

attendre Romain, et puis j'avais vu Julien (le fils de mon patron qui au passage

est épris de moi) passait. Comme il fallait me faire pardonner par mon patron

je décidai de marquer des points avec son fils. Je l'interpelais. Il est venu s'assoir

à mes côtés, et comme à son habitude m'a fait des avances, et comme à 

mon habitude je ne l'ai pas repoussé de peur d'attirer les foudres de son père.

Julien me parlait de tout et de rien, il me complimentait sur ma beauté et sur

"mes es exquises" c'est homme me répugnait littéralement, mais c'était

grâce à lui que j'étais devenu la préféré de mon patron. Et au moment où il 

se décidait enfin à partir il m'avait attiré contre lui et embrassait. Sous le choc

je me suis laissé faire mais là je devais réagir avant qu'il se fasse trop de films.

Je le repoussai légèrement.

"Mais mais enfin.... Julien que...

-Ca t'as plûs?

-Mais non comment as tu osé posé les mains sur moi!!! m'emportais-je.

-Je ne me suis pas contrôlé, on devrait passer plus de temps ensemble tu ne 

crois pas? Je suis sûre que tu apprendrais à m'aimer.

-...

-Et puis ça plairait beaucoup à mon père, ajouta t-il un clin d'oeil malicieux."

Il me laissa planté là et s'en alla, je me rassis tout chamboulée de ce qui venait

de se passer. C'était aller tellement vite. Une voix retentit alors dans mon dos:

"Vous êtes si mignon tous les deux, pourquoi ne pas m'en avoir parlé".

Il ne manquait plus que ça, j'aurais reconnu cette voix entre mille, c'était Romain.

Je me retournais pour découvrir une expression chez lui que je ne connaissais

pas. Dans ses yeux il y avait un mélange de colère de tristesse, il était blessé ça

se voyait.

"Romain ce n'est pas ce que tu....

-C'est dommage qu'il soit parti moi qui pensait que tu m'avais invité juste pour

que je fasse sa rencontre, pourtant je m'en serais bien passé.

-Romain non ce n'est pas ça, tu enfin... Je ne pensais pas le croiser, et ce n'est

pas mon petit ami il m'a embrassé par surprise.

-Pourtant tu ne l'as pas repoussé.

-C'est compliqué....."

Je le regardais, je ne savais pas vraiment comme lui expliqué j'étais bouleversé, 

puis je me repris.

"Mais qu'est-ce que ça peut te faire? On n'est plus ensemble après tout pourquoi

ça te met autant en rogne?"

Il eut comme un mouvement de gène. Apparement j'avais touché un point 

sensible. C'est alors que je remarquai le bouquet de fleurs qu'il tenait dans sa

main droite. Je me sentis encore plus mal à l'aise. Je plongeai mon regard

dans le sien.

"Tu voulais me dire quelque chose?"

Il me dévisagea longuement, puis il laissa tomber son bouquet par terre et 

murmura:

"Tout à l'heure oui, mais désormais ce n'est plus d'actualité." 

Il me tourna le dos et se dirigea vers le parc.  Je me sentais terriblement 

coupable. Je ne savais pas comment réagir. Je laissai un pourboire sur la table

et partit. J'allai vers le parc. En y rentrant je vis tout ce qu'on peut trouvé dans

un parc. Des enfants qui jouent au ballon, d'autres qui nourrissaient les canards.

Avec leurs parents qui disaient: "Fais attention de ne pas tombé dans l'eau."

Des ados qui s'embrassaient dans l'herbe, d'autres qui fumaient derrièrent un 

arbre. Des mères qui promenaient leur enfant en poucette. Un couple de personne

âgée assise sur un banc, se tenant la main. Je souris en me disant que chaque

personne avait une vie, des problèmes, ne voyait pas les choses de la même

manière. Je marchai en essayant de deviner à quoi tous ces gens pensaient

en ce moment même. Je me mis à sourire en m'imaginant qu'en ce moment

même quelqu'un était peut être entrain de faire le même petit jeu que moi.

Puis je m'imobilaisai en voyant Romain assis seul sur un banc la tête entre les

mains. Je souris en le voyant. C'est homme me donnait le sourire... et je me

devais de lui rendre la pareille. Je m'approchai de lui et lui demanda:

"Je peux m'assoir?"

Il leva la tête et me regarda, j'aurais juré qui l'avait les yeux embués de larmes

ça me toucha. Il ne me répondit pas. Je pris ça pour un oui et m'assit à ses 

côtés. Pendant un long moment on resta sans rien dire, puis je brisai le silence:

"Je te dois des explications...

-Oui il me semble.

-Ce n'est pas facile à dire... Je ne sais pas ce que tu vas pensé...

-Jamais je ne te jugerai Juliette..."

Je le regardai et sourit timidement.

"Enfaite l'homme que tu m'as vu embrasser tout à l'heure c'est... le fils de mon

patron.. Et comment t'expliquer, depuis le premier jour ou il m'a vu il m'harcèle

de cadeaux. Son père m'a fait passer directement au stade de chouchoute du

patron, mais je sais que ce qu'il attendait de moi, c'est que je passe du temps

avec son fils. Je me mis donc à en passer avec Julien, il s'appelle ainsi. Puis

je lui expliquai que je ne l'aimais pas mais que sa compagnie m'était agréable,

alors mon patron décida de me laisser tout mes privilège même si je n'aimais

pas Julien, mais je devais lui accorder du temps sinon il me retirerai tout ce que

j'avais."

Je repris ma respiration, Romain me regardait les yeux grand ouverts.

"Tu n'espères tout de même pas que je vais avaler ça?"

J'ouvis la bouche, j'étais frustrée qu'il puisse penser que je mente. 

"Enfin Romain, je te jure que c'est la vérité, je ... je te demande de me croire..

jamais je ne te mentirais. (Il me scruta du regard), Jamais, rajoutais-je."

Il ocha la tête peu convaincu mais il me demanda quand même:

"Alors ton patron te fait du chantage? Tu veux que je te vienne en aide?? Je veux

dire c'est interdit par la loie, je peux t'aider à te sortir de là.

-Non ça va je me débrouille, ne t'inquiète pas. Je lui adressai un large sourire

qu'il me rendit.

-Bon je te crois.

-C'est dingue ce... ce don que tu as de me donner le sourire Romain, je ne sais

pas comment tu fais mais... Enfin ne prend pas ça pour une déclaration mais..."

Il me posa un doigt impératif sur la bouche, zut j'en avais peut être fait un peu

trop et moi qui m'était jurer de ne pas retomber dans ses bras. C'est alors

qu'il me prit la main, je lui lançai un regard interrogateur:

"Juliette j'ai quelque chose à te demander...."




Chapitre 5:


Quand il me dit ces quelques mots, et j'ignore pourquoi, une boule de stress

vient se loger dans mon estomac. J'appréhende ce qu'il va me demander, j'ai

peur de ma réponse avant de savoir sa requête. Je cherche une échappatoire.

"Tu ne voudrais pas qu'on en parle plus tard?"

Il me regarde silencieux, je sens une sortie de secours qui m'ouvre ces portes,

je saute sur l'occasion. Je me lève du banc.

"Allez viens on va manger à Subway et après on ira au ciné ou..."

Il me saisit par le poignet, me stoppant net.

"Juliette... Je veux te le dire maintenant, car c'est que j'avais prévu de faire 

avant de te voir embrasser l'autre... Je veux te le dire maintenant parce que

cette question me torture depuis que je t'ai retrouvé, depuis que j'ai retrouvé tes

yeux brillant de secrets, tes lèvres pulpeuses qui renderaient fou n'importe quel

homme se trouvant à moins de 10 centimètres de ton visage, ton parfum qui 

me rend accro, tes cheveux si doux et ...., il s'interrompt sûrement à cause

de la grimace que j'aborde, il me fait une déclaration je ne vois pas d'autres 

conclusion. Il me scrute quelques instants, hésitant à continuer, peut être va

t-il s'arrêter? Mais apparement il a l'air plus décidé que jamais. Il me prend 

la main et plonge ses yeux dans les miens. Je ne me sens pas la force de 

soutenir son regard, ducoup je promène le mien, sur les plis de mon haut,

mais Romain me prend le menton dans sa main, m'obligeant à le regarder

comme il faisait autrefois. Il prend une grande respiration et me sourit, moi

j'attends avec crainte comme un agneau condamné à l'abbatoir, oui je dramatise

sans doute un peu, mais j'appréhende allez savoir pourquoi, enfin il se lance:

"Je ne t'ai jamais réellement oublié, et le fait que nous nous soyons retrouvés,

je suis sûre que ce n'est pas une coïncidence, c'était écrit (et moi qui pensait

qu'il ne croyait pas au destin) Juliette je veux qu'on re e un couple."

J'ouvre la bouche en cherchant quoi répondre, mais il ne me laisse pas le temps

de trouver il continue:

"Attends avant de répondre, à quoi ça sert de passer à côté on peut au moins

essayer, ça nous coûte quoi? Si ça ne marche pas cette fois on sera fixé, mais

je n'arriverai pas à aimer quelqu'un d'autre, tant que j'ai encore l'espoire, même

si ce n'est qu'un infime espoir, qu'il peut y avoir une suite à notre histoire."

Je me lève déboussolée, il y a 2 jours j'aurais dit oui sans hésiter mais 

entretemps j'avais eu le temps de réfléchir, je ne savais pas quoi dire, je ne 

voulais pas prendre le risque de souffrir comme il y a 3 ans à la suite de notre

séparation, oui il ignorait à quel point j'avais souffert, et d'ailleurs je ne souhaite

pas qu'il le découvre. Il se lève et pose ses mains sur mes épaules pour 

m'immobiliser, sans doute que je gesticule comme un asticot. On reste ainsi 

pendant plusieurs minutes à se regarder en silence, je sais qu'il attend une 

réponse je le lis dans son regard, et même si cette réponse ne lui convient pas il 

en veut une et maintenant.

"Je je ne sais pas... ça va tellement vite, tu sais en te retrouvant je m'étais jurée

de ne pas retomber dans tes bras et...

-Juliette il y a quelques années j'étais "l'homme de ta vie" ça n'a pas changé

en si peu de temps?

-Non... euh enfin.."

Je me rassois et repense à avant... Oui c'est vrai pour moi c'était lui et pas

autrement, mais est-ce que c'est toujours d'actualité? Je n'en savais rien...

Je repensais aux méthodes ridicules que j'avais employée pour le draguer, 

à quand je lui ai avoué tout mes sentiments, quand il m'a avoué que c'était 

réciproque, ma première fois, le *** sur le rebord de la fenêtre et tout le

reste.. Des larmes d'émotions coulèrent sur mes joues tandis que je souriais 

bêtement. Romain me regardait. Je tournais la tête vers lui, ouvrit la bouche 

mais avant qu'il me laisse dire un mot il m'embrassa, je ne le repoussais pas,

et au bout de quelques minutes, j'y pris même goût, ses lèvres sucrées

étaient un délice, alors qui commença à se retirait je le retenue et on continua

de s'embrasser, puis on s'allongea sur la pelouse, la nuit commençait à tomber

mais ça nous était égal...


"Hého les amoureux qu'est-ce que vous faîtes là?"

Je sursaute et me réveille, la lumière du jour m'éblouit,  Romain et moi prenons

quelques minutes pour réaliser que nous sommes dans la pelouse, nus, 

heureusement il n'y encore personne à cette heure. Seulement le vieux gardien

qui nous hurle de dégager en brandissant son rateau. Nous attrapons nos 

vêtements et couront nous mettre à l'abri. Nous nous cachons dans les jeux pour

les enfants (vide je vous rassure), et nous nous rhabillons en rigolant comme des

mômes puis au bout d'un moment on cesse de rire en réalisant ce qui s'était 

passé, je ne me souvenais seulement que nous nous embrassions 

fougueusement dans l'herbe, mais pas que ça avait dégénéré à ce point.

Pourtant les faits étaient clairs, nous l'avions fait et en plein parc. Un long

silence gêné s'installa entre nous. Romain entreprit de lacer ses chaussures,

je le regardai faire en souriant, c'est alors que je mis le doigt sur mes sentiments

enfin.

"C'est d'accord"

Romain se retourna vers moi.

"Comment ça?

-C'est d'accord, je veux que ça reprenne entre toi et moi.

-Vraiment?

-Oui"

En moins de temps qu'il le faut pour le dire il m'enlaçait dans ses bras en

m'embrassant. A moins que mes secrets de ces 3 dernières années, refassent

surface, je suis sûre que tout se passera bien entre nous...


Chapitre 5:


Cela fait maintenant 6 mois que je suis avec Romain tout se passe bien entre nous,

on vit comme un véritable petit couple.

 "Joyeux anniversaire!!!"

Je sautai au cou de Romain et l'embrassa. Il rigola et me serra dans ses bras.

"Mais pourquoi tu es venu à la cli***?

-Bah t'es parti tot ce matin, fallait bien que je vienne te souhaiter ton anniversaire.

-Tu es magique.

-Je sais haha."

Je m'assis sur son bureau, on se regarda longuement en souriant.

"Enfin je suis peut être magique mais je ne sais pas quoi t'offrir pour ton

anniversaire.

-Hum c'est ma pause là on peut aller faire un tour en ville je verrai bien si j'ai des

idées.

-D'accord, répondis-je enthousiasme."

On partit de la cli*** main dans la main, on avait pas besoin de se cacher

maintenant que j'étais majeure. Mais on évitait tout de même que je renconte

des gens qui auraient pu se souvenir de moi à l'époque ou je m'étais fait passer

pour une stagiaire, et qui pourraient faire le rapprochement. On se promenait main

dans la main, on parlait, on riait on s'échanger quelques ***s par ci par là.

Il faisait froid, les avenus étaient remplies de monde,  on passait près des grands

magasins je ne me lassais pas de tout dévorer du regard. On passait alors devant un

grand magasin très cher et très luxueux de lingerie "coquine". Romain s'arrêta

et regarda la vitrine. Ca me fit un peu rire, puis il se retourna vers moi:

"J'ai bien envie de faire chauffer ma carte de crédit, dit-il en désignant quelques

ensembles ravissant et ***ys dans la vitrine.

J'éclatai de rire:

"Je ne savais pas que ton fantasme était de porter de la lingerie féminine haha!"

Il me regarda longuement, il avait son regard de charmeur, son regard quand il

a une idée derrière de la tête, il ne me fallut pas plus de 3 secondes pour comprendre.

Je m'appuyai contre la vitrine et lui lança mon regard de joueuse.

"Mais... Ce n'est pas mon anniversaire, c'est le tien, je ne vois pas en quoi c'est

un cadeau pour toi.

-Je suis sur que tu sauras très bien en user les mettre en valeure, et  que ça

me fera aussi plaisir qu'un véritable cadeau, me chuchota t-il dans l'oreille.

-Ah... Et quand devrais-je les porter?

-Aujourd'hui... C'est mon anniversaire...

Je le regardai amusé et hésitante, il me lança un regard de gamin, et me prit la main:

"S'il te plait c'est toi le plus beau cadeau ma chérie"

Je lui souris et il m'entraina dans la boutique, on observai les ensembles parlant

de nos différents avis comme si on choisissait un meuble. Puis Romain voyant

la queue me dit d'aller tout de suite dans une cabine pendant qu'il chercherait un

petit ensemble. J'attendis au bout de plusieurs minutes il arriva avec un petit

ensemble très très enfin vous m'aurez compris. Il voulut entrait avec moi dans la

cabine mais je le repoussai en rigolant j'enfilai l'ensemble qu'il m'avait choisit

et me regarda dans la glace. Il y avait un espece de collier de dentelle noir très serrée

autour du cou. Le soutien gorge était un soutien gorge bustier rouge légèrement

transparent, il ne couvrait pas grand chose ça ne métonnait pas de Romain.

Il y avait également un string de dentelle rouge légèrement transparant comme

le haut. Des bas de soie transparante noire reliées au string par d bandes de tissus

en cuir, tout ça recouvert d'une toute petite tu*** de soie noir transparante.

"Je peux voir??? demanda Romain de l'extérieur.

Je le fis entrer, il me regarda et émit un long sifflement.

"T'es wahou..."

Je soupirai amusée. Il me retira le collier de soie noir.

-On ne vas pas prendre ça par contre je préfre voir ton cou haha!

-Tu es un vrai gamin, lui dis-je gentiment.

-Mais tu es amoureuse d'un gamin alors.

-C'est parce que je suis une gamine, une gamine idiote et très amoureuse.

-On est un beau couple de gamins alors, il m'attira contre lui.

-Oui... Et combien ça te coute tout ça?

-1200€.

-Hein? Mais tu vas pas le prendre?

-Bah si tu es trooop craquante comme ça je fais ce que je vais d'abord c'est mon

anniv na!"

Je le regardai longuement. Il s'appuya sur le mur de la cabine et me repoussa

légèrement, il me fit un regard que je déteste, c'est son regard qui me rend dingue,

qui me donne envie de l'embrasser, et il le sait très bien, et il fait souvent ce regard

en me repoussant, il sait que ça m'énerve.Je lui attrapai ses mains et l'attira contre

moi:

"Un vrai gamin!"

Et je l'embrassai longuement, puis au bout de quelques minutes son bipeur sonna. Il

se retira la machoire serrée et me regarda de haut en bas.

"Je dois y aller ma chérie."

J'ochai la tête ça me tuait à chaque fois.

"Je laisse l'argent à la caissière, tu lui montreras juste l'ensemble et c'est tout,

ce sera déjà payé".

Il me fit un *** appuyé sur le front et partit comme un coup de vent.

Je soupirai, je me rhabillai, passa à la caisse et sortit marchant lentement vers

l'appart de Romain, oui parce que je vivais avec lui désormais, enfin j'avais encore

mon appartement, mais je n'y allais presque plus jamais, seulement quand

c'était tendu entre Romain et moi. Oui parce qu'on se disputait souvent pour tout

et rien des petites dis***s qui se finissaient en longues étreintes amoureuses pour

la plupart.

Je me posai à la maison. Je mangeai des Pasta box que j'avais acheté en chemin et

me mis la saison 1 de Friends, j'adorai c'est cette série. Quand il fut 18 heures

je décidai de me préparer. J'allai m'épiler à la cire les jambes les aisselles et le

maillot.  Ensuite je me plongeai dans un bon parfumé à la Rose.  Puis je me maquillai

un peu de fard à paupière, du mascara, j'hésitai entre un rouge à lèvres très rouge

ou un autre de couleur prune, je choisis le rouge pour m'accordai avec l'ensemble,

je me défrisa légèrement les cheveux de sortes à ce qu'ils soient seulement ondulés.

Je mis l'ensemble. Avec j'opta pour des chaussures à talons aiguilles noires, il

faisaient environ 12 centimètres. Il y a quelques années j'aurais été incapable

de marchai avec ce genre de chaussures mais désormais c'était différent.

J'allumai plusieurs petites bougies, je mis des coussins par terre de façon à recouvrir

le sol devant le canapé. Je me servis un verre de vin. Je décidai de mettre un masque

qu'on m'avait rapporté de Venise. Et j'attendis, il devait être environ 20h30 quand

la porte s'ouvrit, Romain entra et quand il me vit il ouvrit grand la bouche,

je me tournai vers lui, un sourire amusé aux lèvre que je lui transmis en très peu de

temps. Je tenai toujours mon verre de vin dans la main. Il fit quelques pas vers moi,

le regard joueur.

"Mais que faites vous là Mlle? Et qui êtes vous?

-Peu importe qui je suis, on m'a envoyé ici pour me punir, dis-je un ton de jeu dans

la voix.

Il était à présent tout près de moi, il me caressa la joue.

"Mais qu'avez vous fait?

J'hésitai quelques instants, puis plongeant mon regard dans le sien, je tendis le

bras et et laissa tombé mon verre de vin, qui explosa sur le parquet répartissant des

petits bouts de verre tout autour d'une grosse tache qui imbibait a présent le parquet.

"Oh... Vous êtes une vilaine fille... Je vais devoir vous punir"

Je n'eus pas le temps de répondre qu'il me prit dans ses bras et me transporta

jusqu'au canapé. Il m'allonga dessus et se mit au dessus moi, il me tenait les mains

et m'embrassait à pleine bouche, en me murmurant des "je t'aime" entre deux ***s

,  ma respiration était saccadée mon coeur battait à tout rompre. Il enleva se chemise;

je mis mes mains sur ses magnifiques muscles  qui me faisaient craquer. Puis il me

souleva, s'allongea surle canapé et me plaça au dessus de lui. On continua de 

s'embrasser,  il m'embrassait aussi dans le cou et me murmurait des mots doux

au creux de l'oreille. Ses mains se baladaients sur mon coeur et surtout sur

mon dos. Puis au bout d'un moment il plaça ses mains sur mon soutien gorge et me

l'arracha:

"Non mais tu as déjà oublié le prix de ce.."

Il m'embrassa m'empêchant de finir ma phrase; et rajouta:

"On en achètera un aute!"

Je rigolai et continua de l'embrasser. [...]

Une heure plus tard nous étion allongés par terre, nus, un drap posés sur nous.

On était surement tombés du canapé pendant nos ébats ^^. J'avais la tête posé sur

le torse de Romain et mes mains entouraient ses épaules, lui me caressait les

cheveux.

Tout à coup la sonnerie retentit, on soupira, Romain décida de faire comme si

on était pas là mais là sonnerie retentit encore et encore. Il enfila son pantalon

et se dirigea torse nu vers la porte, moi j'attrapai sa chemise trop grande pour

moi qui me recouvrait jusqu'aux mis cuisses. Il ouvrit la porte laissant apparaître

la blonde.

"Alizée??? Mais qu'est ce que tu fais là?  balbutia Romain.

-Bah je viens pour ton anniversaire mon chou, dit-elle d'un ton sensuel.

-Hum hum!"

Elle se tourna vers moi surprise.

"Oh je ne savais pas que tu avais déjà...

-Oui oui allez aurevoir Alizée, dit Romain en la repoussant vers la porte.

-Non attend.!"

Elle le repoussa et s'approcha de moi elle me regarda longuement je me sentis génée.

"Je vous ai déjà vu quelque part?

-A la cérémonie de la médecine là euh il y environ 7 mois ou...

-Non ça remonte à plus loin.

-Je ne crois pas non, dis-je en lançant un regard angoissé à Romain.

-Ah bon."

Elle se dirigea en haussant les épaules, je me sentis soulagée quand tout à coup

elle se retourna la bouche grande ouverte.

"La... la stagiaire il y a... 3-4 ans, c'était... c'était toi!!! J'en suis certaine...

(Elle regarda Romain) tu as eu une aventure avec une mineure!


Chapitre 6:


Point de vue de Romain:


Le silence s'était installé depuis quelques minutes dans la salle. Alizée me regardait

attentivement le regard triomphant. Cette femme était décidément une vipère.

Elle nous tenait désormais, est-ce qu'elle comptait nous livrer? Me livrer?

Même si c'est du passé je pouvais pendre gros pour l'avoir fait.  Mais je ne pouvais

pas regretter ce que j'avais fait c'était du pur bonheur, je ne regretterai aucun

moment passé avec Juliette. Je lui jetai un regard, elle me regardait une vague

d'inquiétude dans les yeux, elle semblait déstabilisée, elle tremblait et attendre

que je fasse quelque chose.

"Qu'est-ce que ça peut te faire c'est du passé? lançais-je au dépourvu.

-Il est vrai que le passé est le passé mais il ne peut être effacé..

-Qu'est ce que ça t'apporterait  de me balancer?? dis-je."

Elle s'asseya et me regarda longuement, elle réfléchit.

"Disons plutôt qu'est ce que ça me rapporterait de ne pas te balancer? une lueur

brillait dans son oeil.

Je me tournai vers Juliette.

"Tu devrais rentrer Juliette.

-Où?

-Chez toi."

Elle me regarda surprise,  ça faisait bien un mois ou deux qu'elle n'avait pas posé

les pieds chez elle, elle vivait toujours chez moi. Une lueur de méfiance s'alluma

dans ses yeux, je compris bien pourquoi. Mais elle ne s'interposa pas. Elle partit

s'habiller se dirigea vers la porte. A l'encadrement elle se retourna, une ride

inqueite barrait son front, ses yeux brillaient, elle ouvrit la bouche pour dire quelque

chose mais elle leva les yeux au ciel, jugeant sans doute que ce n'était pas le moment.

"Je t'aime."

Elle me regarda me sourit et murmura un "moi aussi..." à peine audible. Et elle

s'en alla. Je soupirai, Alizée fit mine de bailler.

"Qu'est ce que tu veux? demandais-je arrogant.

-Que tu la quittes pour moi.

-Tu n'as aucun sentiment pour moi Alizée.

-C'est vrai mais...."

Je lui attrapai les mains et la plaqua contre un mur, elle me regarda surprise.

"Je sais ce que tu veux, tu le veux depuis toujours, si on le fait, tu me laisseras

tranquille, ainsi que Juliette?

Elle ocha le tête en souriant.

-Promets-le moi!!"

-Je te le promets, murmura t-elle, une fois que ce sera fait je passerai à quelqu'un

d'autre."

Cette phrase finit je l'embrassai, et la porta sur la table, on s'embrassa longuement

et je commençai à la déshabillai, à chaque caresse, chaque contact avec cette femme,

j'avais l'impression de planter un couteau dans le dos de celle que j'aimais, mais

au moins elle nous laisserait tranquille [...]


Elle m'attendait là ou je lui avais donné rendez-vous. Elle remuait une cuillère

dans une tasse de café. Elle avait le regard dans le vague. Elle était moins rayonnante

que d'habitude. Je pris mon courage à deux mains et m'approcha d'elle, quand elle

me vis son visage s'illumina et elle se jeta à mon cou.

"Romain!!!!!"

Je caressai ses cheveux et la serrai fort contre moi.

"Alors qu'est ce qui c'est passé? Est-ce qu'elle...

-Elle va nous laisser tranquille.

-C'est tout? Comme ça ?

-Oui je te le jure."

Je m'efforçai de lui sourire, mais il devait paraître faux. Elle semblait perdue.

"Qu'est ce que tu as fait pour qu'elle nous laisse tranquille? Tu as...

Je la regardai, ses yeux étaient embués de larmes.

"Tu as... avec elle?"

Je me sentis terriblement  mal, je pouvais lui mentir ou non. Je n'avais pas envie de

lui dire ce que nous avions  fait, elle m'en voudrait sûrement. Mais je ne voulais pas

lui mentir.

"Nous... nous avons juste échangé quelques ***s et quelques caresses..."

Elle plongea son visage dans sa main, elle souffla, et sanglota.

"Juliette...

-Tais- toi!"

Elle se leva prit son sac et partit me laissant planté comme ça. Il devait pas ête loin

de 21heures, il faisait nuit, et la pluit tombé à torrents. Il faisait froid. Malgrès

ça je m'empressai de quitter la chaleure du café pour poursuivre celle que j'aimais.

 Sous la pluie je courus, elle marchait à quelques mètres devant moi, je la rattrapai et

la pris par le bras, elle tourna vers moi son visage ruisselant de gouttes de pluie.

"Laisse moi...

-Juliette...

-Quelques ***s, tu me prends pour qui, je sais très bien ce qui c'est passé!!!

-Mais maintenant on est tranquille.

-Oui c'est sûr elle a eu ce qu'elle voulait et toi.... aussi, dit-elle en me regardant

d'un air de dégout avant de tourner les talons.

-Arrêtes un peu! Je la pris violemment par l'épaule et la retourna vers moi. Je

pensais bien faire, j'en ai marre que tu doutes sans cesse de moi, j'en ai assez de

devoir sans cesse te courir après parce que tu doutes de moi! Aucun homme ne

t'aime plus que moi, qu'est ce que je dois faire pour que tu m'écoutes...

-Mais tu as... tu as.... Elle baissa le visage.

-Juliette... Je oui c'est vrai je l'ai fait mais croit moi je n'ai éprouvé aucun plaisir.

Pour moi c'était une torture, je voulais juste nous éviter des ennuis... Elle  ne nous

aurait pas fait de cadeaux. Je t'en pris Juliette ne me tourne pas le dos."

Elle releva le visage et me regarda, je savais qu'elle était blessée, mais ça se voyait

qu'elle ne m'en voulait pas vraiment elle était seulement blessée. Je pris son visage

humide entre mes mains et approcha mes lèvres des siennes. J'hésitai un instant

mais elle ne me repoussa pas. Je l'embrassai longuement en la serrant fort contre

moi comme toutes les fois ou j'avais l'impression de la perdre.

Elle se mit alors sur la pointe des pieds et murmura à mon oreille.J

"Un jour je te le ferais payer M. Romain Ramirez"

J'haussai les épaules et lui prit la main.

"Allez vient on rentre".

Rentré, on s'assit sur le canapé, je préparai des tasses de chocolat chaud, on était

assis sur le canapé, enfin.. j'étais assis, elle, elle était allongé sa tête posait sur mes

genoux. On resta au moins une heure comme ça.  Au bout d'un moment je brisai

le silence qui me pesait:

"Je te prédis ton avenir?

-Hein? dit-elle en se redressant.

-J'ai appris à prédir l'avenir de l'année qui arrive, en seulement 3 cardes, dis-je

en saisissant un paquet de cartes. Je les mélangeais, lui posai des questions, lui fit

piocher 3 cartes qu'elle me donna. Je mis la première sur la table.

"Que dit-elle? demanda Juliette.

-De l'amour... dis-je en lui souriant.

-Ah j'espère bien. Dit-elle tout sourire pendant que je mis la deuxième carte.

-Du ***...

-Hum oui, dit-elle en plaisantant.

Je mis la 3ème sur la table et j'hésitai quelques instants...

-Alors que dit-elle?

-Tu sais c'est rien qu'un tour qui ne veut rien dire après tout comme si des cartes

pouvaient prévenir l'avenir.

-Dis moi.

-Malheur,  maladie, danger..."

Elle me regarda longuement, blanche et elle se rallongea sur mes genoux.

-T'as raison ça veut rien dire."

J'ochai la tête et m'endormit en la serrant dans mes bras.


[Méfies toi Juliette, on échappe rarement à son destin]

 

Chapitre 7:


PDV de Juliette


3 mois plus tard  j'avais presque oubliée ce que Romain m'avait fait. Pendant près

de deux mois je lui avait fait des coups de puutes plus deg les uns que les autres.

Pendant deux mois j'avais interdit qu'on ait un rapport. Je l'avais fait viré de son

travail pendant une semaine. Je l'avais amené à une soirée et l'avait laissé tomber

pour aller draguer des garçons en le laissant seul dans son coin. Il n'avait pas craqué,

il se disait que c'était le seul moyen pour que je le pardonne, et il y a environ 3

semaines il a pété son cable, on s'est engueulé on s'est limite  battu et ça c'est fini

en partit de jambes en l'air... Je hais ce mec, mais en même temps je le hais parce que

je l'aime trop donc bref c'est assez étrange. Donc depuis deux semaine il y avait

plus de rivalités entre nous.

On était en terrasse, on buvait l'apéro, il était 19heures, on profitait d'un rayon

de soleil. Mais Romain avait l'air ailleurs. Je tentai d'engager la conversation. Il me

pressait la main, détournait le regard et replongeait dans son état de légume.

"Il est bon le vin non?

-On peut dire ça, je préfère celui qu'on a l'appart.

-A 10 euros le verre, t'aurais pas pu le dire avant.

-Bienvenue à Paris ma chère.

-Pffff.

-Juliette?

-Quoi? Il me regardait en souriant il avait l'air de revenir actif, je lui souris aussi.

-Raconte moi notre histoire?

-Pardon?

-Je veux dire, pour toi c'était comment quand on sortait ensemble quand t'avais 16ans

pourquoi tu m'aimais?

-Euh ok t'es normal toi, pourquoi tu me demandes ça maintenant?

-Comme ça... S'il te plaît.

-Bah j'étais une gamine, je te trouvais beau, en plus médecin je trouve ça seexy comme

profession ça éveille l'imagina... Je ne pus achever ma phrase que j'explosai de rire.

Mais lui il me regardait le plus sérieux du monde, je soupirais.

-Bah je voulais attirer ton attention, on dit que les hommes pensent au cu souvent

alors je voulais te montrer que j'étais un bon coup... Et je me suis habillé comme une

prostituée.... Oh mon dieu j'ai honte! dis en rigolant, et en me cachant la tête dans

les mains. Romain souriait, amusé lui aussi.

-Quand je t'ai vu habillé comme ça j'étais surpris, mais ça ne m'a pas choqué, après

j'ai compris que t'essayais de m'allumer. Ca m'a fait rire au début parce que je te

pensais pas.... sérieuse.

-Mais tu m'aimais à ce moment? m'enquis-je.

-Non pas vraiment, je te trouvais, jolie, mature, intelligente... bien foutu, drôle. Et

surtout je te respectais...

-A quel moment tu as su que tu m'aimais?

Il plongea son regard dans le mien.

-Tu te souviens quand je t'ai repoussé et que tu t'es enfui... Que tu es tombé sur

ces... mecs qui voulaient te...

-Oui oui je me souviens, l'interrompis-je en essayant de refouler ces souvenirs

désagréables.

-Et bah à ce moment j'ai eu très peur. J'ai cru mourir s'il t'arrivais quelque chose,

d'ailleurs tu as bien vu je me suis jeté tête baissé contre ces hommes qui étaient

plus nombreux que moi.... Enfin... Voilà la suite on la connait, tu as raison je ne sais

pas pourquoi je te demande ça."

Il me sourit et retourna à son état de légume je soufflai. Il était 19h30, quand on

décida de rentrer, on marchait main dans la main, dans une ruelle déserte quand une

voix résonna:

"Hey Ramirez!!!"

Romain s'immobilisa, je me retournai et vu un homme,  la trentraine, grand musclé,

plutôt beau, mais il avait un regard de fou, une tenue pas très rassurante.

Bref, mignon mais flippant.

"Ouais c'est à toi que je parle Ramirez viens faut qu'on cause."

Romain était devenu livide.

"Romain?"

Il me regarda, il tremblait.

"Rentre à la maison Juliette.

-Hein?

-Rentre à la maison, ne pose pas de questions je te rejoins... Dans une heure au

plus tard.

-Mais Romain je...

-Je t'en pris Juliette ne rend pas les choses compliquées."

Je tournai les talons et partit en accélérant le pas. Je rentrai dans l'appartement de

Romain. Qu'est ce qu'il lui voulait ce mec? Pourquoi Romain avait peur? Pourquoi?

Je tournais en rond, en me rongeant les ongles jusqu'au sang, et pourquoi il m'avait

posé ces questions tout à l'heure pourquoi???? Une heure plus tard il n'était toujours

pas là j'allumai la télévision et prit un verre de vin. J'essayai de me distraire,

mais les pires scénarios ne faisaient que s'enchaînaient dans ma tête. 2heures

plus tard, j'avais vidé la bouteille de vin. 3heures plus tard, je pleurais, j'harcelais

Romain de messages mais il ne répondit pas. 3h30 plus tard, la poignée grinça.

Romain entra. Je lui courus au cou  l'embrassa et lui collai une claque.

"Putain Romain!!!! Une heure?!!! Tu te fous de moi, tu sais ce que j'ai cru moi??

J'ai cru que, que , que.... J'ai eu peur!!!! Très peur!!!

-On devrait aller dormir."

Il me tourna le dos et se dirigea vers les escaliers, je ne comprenais pas, j'étais

perdue, les larmes m'embuèrent de nouveau les yeux. Je montai dans la chambre,

il fumait une clope, torse nu, à la fenêtre comme à son habitude. Il avait l'air inquiet.

"Romain... S'il te plait.... Fis-je d'une voix suppliante. Il me jeta un coup d'oeil vite fait.

-Il n'y a rien ne t'inquiète pas.

-Rien??? Depuis tout à l'heure tu sembles ailleurs, tu me poses des questions bizzars

... Un mec flippant t'abordes dans la rue, tu disparaîts pendant 3heures....

Il haussa les épaules.

-Tu ne me prêtes pas attention, tu m'ignores... Romain je veux savoir, qu'est ce qui se

passe, je dois avoir peur? On te veut du mal? Si il y a un problème tu dois me le dire;

pour que je t'aide... Je m'étais rapprochée de lui et avait posée ma main sur son

épaule.

-Tu ne peux pas m'aider Juliette.

-Romain... Tu me tues là, tu me tues..."

A ce moment j'explosai, je lachai des sanglots, et les larmes déferlèrent sur mes joues

comme des torrents. Je m'appuyai contre le mur et me laissa glisser jusqu'au sol.

Jamais il ne se comportait ainsi avec moi. Au bout de une minutes à peine ses bras

m'enlacèrent.

"Je te demande pardon Juliette, mais je ne peux te rien dire. Mais je t'en pris ne

t'inquiète pas... C'est moi qui doit te protéger ici, ce n'est pas à toi de me protéger.

-Mais me protéger de quoi? Je n'ai pas de problèmes moi... C'est toi qui...

-Ecoute je suis fatigué c'est tout ce sont des problèmes au boulot, rien de grave

je te le promets mais je t'en pris ne pose plus de questions. Viens te coucher avec moi

et oublie tout ça."

Il me prit dans ses bras et me porta jusqu'au lit. Il me serra fort dans ses bras mais

j'eus du mal à calmer mes sanglots, malgrès ses caresses, et ses baiisers

réconfortants.

Le lendemain je ne travallai pas, Romain lui passait sa journée à la cli***. Je

décidai de faire shopping haha!!! Toute la journée magasin, magasin etc... Tout

pour oublier hier soir. En sortant de Zara, j'avais à présent plusieurs sacs dans mes

mains, Mango, h&M, Channel, Sephora etc... Mon portable vibra. Un sms inconnu.

"Je te guettes, je te retrouverai, je te ferrais souffrir ça me fera sourir."

Je relus plusieurs fois le sms, ok alors soit ya erreur, soit cette personne est

tarée. Je décidai de ne pas y prétai attention. Je rentrai chez Romain, alors que je

m'apprêtais à sortir les clés, je perçus des bruits de voix. Romain devait être

rentré surement au téléphone... J'ouvris la porte.

"Romain tu..."

Je m'immobilaisai net. Romain était là avec l'homme celui d'hier. Le silence

s'était installé au moment où j'étais entré. L'homme me scruta en souriant de

la tête au pied.

"Tu devrais partir ,souffla Romain à l'homme."

L'homme ricana, puis il passa près de moi. Il s'arrêta, me regarda longuement

et passa sa main sur ma joue, je tremblais.

"Dis donc tu m'avais pas parlé de ce beau morceau Romain, ça risque de changer

beaucoup de choses.

-Dégage Matt, ordonna Romain.

-On en reparle"

Il sortit, je n'eus pas le temps de dire un mot que Romain m'engueula:

"Putain qu'est ce que tu fous là?

-J'ha*** ici avec toi non?

-Mais t'étais partit faire du shopping tu rentres pas avant 19h d'habitude!!!!

-T'as des trucs à me cacher ou quoi?

-Roooh ta gueule!"

Je le regardai un long moment.

"Je te reconnais plus t'es vraiment devenu con depuis hier.

-C'est ça..."

Je montai dans la chambre rassemblait quelques affaires. Quand je passai de nouveau

dans la salle il se vidait une bouteille de whisky.

"Quand tu te décideras à me parler appelle moi"

Et je claquai la porte.










Laissez vos avis cpnstructif et impressions en comz.


Petit question aux abonnés:

-Ca vous dérange s'il y a trop d'actions?

-Quel est votre chapitre préféré?

-Quelques idées pour la suite de la fiction. (J'ai l'histoire déjà toute tracée dans

ma tête mais si certaines de vos idées me plaisent je peux essayer de les insérer

dans le texte.


 

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