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lyljane02 a 14 points de bonté.

lyljane02
Niveau
75
Mangaka
Flash

 

Sceptre avec une chouette: Hommage à Athéna.

Lune et animaux: Hommage à Artémis (<= ma déesse préférée)

Le plus beau cadeau que ma grand-mère Babouchka m'a fait: Un livre de partitions de West Side Story (bon, c'est vrai, j'ai piqué une colère pour l'avoir...)

 

Je suis gothique et fière de l'être.

Si ça te pose un problème,

tu n'as rien à faire ici.

 

 

DATE IMPORTANTE (SI T'OUBLIES, T'ES MORT!!!) :

5 JUILLET: ANNIVERSAIRE (THE MINE)

 

 

 

 


Mes règles:

- On tient un français CORRECTE! Je refuse les messages du genre:

"Slt! sava ? je te kiff <3!"(ça risque pas d'arriver, mais bon, on sait jamais!)

Je me ferais un plaisir de jouer le professeur de français (même si je détèste cette matière) à tout(e)s les auteur(e)s de ce genre d'obscénités. Pour ceux qui ont deux de tension, le ditionnaire a été inventé.

 - Je refuse les propos homophobes.

- One Direction et Justin Beiber sont bannis FOREVER de CHEZ MOI!

- Les insultes et remarques sont à faire par Messages Privés.

- Les +2 (ou +1) sont bienvenus!


 

 

 

Je suis pas vaniteuse mais voilà quelques photos de Moi :

 

Ha! J'adore l'effet!

 

 

I LOVE MILAN!(pendant le voyage, donc... RAISON PAR MP)

 

Un côté gamine... j'adore!(idem qu'au dessus... j'ai honte!)

 

 

 

Alors, elle, c'est Mary... Que dire. Bah, elle est trop belle pour exister et pourtant, je l'ai dans ma classe. Mais parfois elle me tape sur le système!

 

 

Imane, elle est comme Mary. Mais elle me sort pas par les trous du nez! ^^

 

 

Je tiens à faire une dédicasse spéciale à Nilvenia, une amie super chouette que j'adore, alors voilà, c'est pour toi ma Nini!

Ma petite poupée cadavérique t'offre une rose bleue, car une amie comme toi, c'est aussi rare que cette rose.

 

 

 

 


Hey ! Qui a déjà essayé de sauver la Terre ? Moi ! Et vous ? Rares seront ceux qui copient-colleront ce message sur leur qsj. Faites passer pour ceux qui ne savent pas que notre planète est en danger. Faîtes-le, pour la Terre.

 

Je tente un poème:

/! Risque que ce soit nul /!


Un jour on me l'a dit,

Ce dont elle rêvait

Mon cable, je pétais

Quand j'ai répondu "oui"

 

Au début c'était cool

C'était comme un beau rêve

Les sorties entre nous

Tous les jours sur la grève

 

J'ignore encore quoi

Mais quelque chose cloche

Je ne sais pas pourquoi

Mais mon coeur était mo.che

 

Ensuite, j'ai compris

Je l'avais bien trahie,

Mon coeur était sali

Ma vie était finie

 

Grâce à cette ***rie,

J'y étais, j'ai compris

Qu'une amitié durait

Plus que toi et mes rêves

 

Alors je t'ai offert

A la fille que j'aime

Car tu étais si cher

A son gros coeur qui t'aime

 

Cette fille c'est elle

Amie que j'adore

Celle qui n'a pas d'ailes

Mais qui vaut plus que l'or

 

Mon cher petit lapin

On doit se dire adieu

On doit offrir nos voeux

Aux amis batraciens.

 

_______________________________________________________________

 

 Je vais aussi écrire une histoire. Depeuis le temps que je voulais tenter mes "talents" d'écrivaine!

 

 

 

   Je n'ai jamais tué sans raison. Le pire des crimes à mes yeux c'est la trahison. Mais, je ne me suis toujours pas présentée. Je suis une fille de 19 ans, ça fait huit ans que je tue les personnes qui le méritent. La raison ? Je n'ai pas le choix. C'est ce secret qui ronge mon âme. Comment j'en suis venue à ce point de non-retour ? Moi-même, je me le demande. Sur moi je n'ai que des tatouages d'anges et de paradis. Tu as compris ? Oui, je suis dans "la mafia japonaise". Ne l'appelle pas comme ça, je suis une Yakuza. Une des plus terribles. Pourquoi je ne suis pas en prison ? On ne m'arrête pas en envoyant un c*n le faire. Combien j'en ai tué des comme ça ? T'as de la chance, je tiens les comptes. J'en ai tués 499. Mais, ne t'en fais pas, je tuerais le 500ème après de t'avoir raconté mon histoire. Ce sera le dernier. Je me donnerais la mort juste après. Promis juré.

 

   Mon premier meurtre c'était après avoir perdu mes parents. C'était des gens bien. J'ai honte d'être leur opposé mais c'est la loi de la jungle, le monde. C'était en hiver et j'avais des gants en cuir. Mon père me les avait offert pour noël. A présent, j'étais dans la voiture, seule, mes parents morts à cause de Lui. Il leur avait tiré une balle dans la tête. C'étais pas un yakuza, c'étais un homme jaloux de mon père qui aimait ma mère. Dans un élan de colère, j'ai pris un bout de verre et j'ai attendu qu'il approche. Quand il m'a caressé le visage, Je lui ai planté "l'arme" dans le ventre. Avant qu'il n'ai pu m'en mettre une, j'ai pris son pistolet, je le lui ai mis sur la tempe et j'ai tiré. J'ai pas réfléchi aux conséquences, j'ai tiré. Je paniquais mais j'étais fière de moi. J'ai gardé le sac de ma mère où j'y ai caché l'arme.

 

   J'ai commencé à courir. J'ai jetté le portable de ma mère dans le sol. Je continuais ma course mais j'ai butté quelqu'un. L'homme souriais normalement et, voyant mon état, m'a proposé de se faire soigné chez lui. J'ai accepté. Il m'a ramené chez lui, ses enfants et sa femme étaient contents de voir un nouveau visage. Moi aussi, j'étais contente. Mais la femme a voulu savoir pourquoi je courais dans cette nuit eneigée. J'ai répondu que je m'étais perdue pas loin et que je voulais retrouver un village. Ils étaient très gentils avec moi. Ils m'ont proposé de dormir chez eux. J'ai acquiécé mais je savais que je devais m'enfuir d'ici. Je devais rester loin des personnes vulnérables. Quand tout le monde dormait, je suis sortie en prenant de leur argent. Je me suis remise à courir, cette fois-ci en direction de Tokyo.

 

   J'y suis arrivée le matin, fatiguée. Un homme tatoué semblait attendre quelqu'un. En me voyant, il s'est approché. J'ai pu distinguer ses tatouages. Lui, c'étais un yakuza. Il m'a acceuilli et m'a dit qu'on m'attendais. Qui pouvais m'attendre ? J'allais bientôt le savoir. Un autre yakuza. Une femme.

<<- Tu dois être fatiguée. Vas te reposer. Je te parlerais à ton réveil.>>

   Je n'avais pas confiance mais la fatigue a gagné. Je me suis endormie sur une chaise. J'ai dut dormir longtemps car le soleil étais déjà dans sa descente. Elle m'a proposé de rejoindre les yakuzas. J'ai refusé et là, elle m'a menacé avec l'arme que j'avais utilisé la veille. Je vous l'ai dit, c'est une jungle. J'ai été forcée à accepter. Ils m'ont donner le sang qu'ils ont pu récolter sur ma victime. C'est comme ça que j'ai commencé ma collection. Ils ont dit qu'ils s'étaient arrangés pour que son décès passe pour un suicide. J'ai dit "merci". Ils m'ont donné à manger. J'avais peur. Ils m'ont dit que j'étais une vraie yakuza, maintenant.

 

   J'ai enchaîner les meurtres, tous plus sanglants que les autres. On a envoyé des gens me tuer, on m'a tatoué, j'ai agrandis ma liste. Mais là, je n'en peux plus. Je n'en peux plus de ce monde. Je n'en peux plus des meurtres. Je veux mourir. Je serais la 501ème à mourir de ma main. Je serais la dernière.

 

   Je sors de chez moi, confiante et stréssée. J'ai toujours le sac de maman avec le pistolet dedans. Je vais chez cette femme qui m'a obligée à être une yakuza. Elle m'acceuille, souriante. Depuis huit ans j'attends la fin de ce cauchemard. Depuis huit ans je rêve de quitter cette organisation. Aujourd'hui, je réalise enfin ce rêve. Elle est tournée. Je sors le pistolet et lui tire une balle entre les deux yeux quand elle se retoune. J'écris son nom, la date et l'heure sur le calepin de mes meurtres. Je déchire les autres pages. Je bois un verre d'alcool. J'écris une lettre où je dit que je me suis donnée la mort. Je reprends le pistolet et tire une balle dans mon ventre.

 

   Je meurs et commence une ascension au ciel. Je pensais finir en enfer, et je vais au paradis, c'est le monde à l'envers! Les corbeaux sont blancs et la neige est noire ?! L'or et l'argent sont détestés ?! Les pauvres sont les plus riches ?! Beyoncé est détestée ?! Ah, ben non! Les corbeaux sont noirs, la neige est blanche, l'or et l'argents sont adorés, les pauvres sont... pauvres, Beyoncé est une idole. Alors, pourquoi je vais au paradis ?! Je pensais me retrouver en enfer et me faire torturée. Pour moi ça aurait été la juste punition pour mes crimes. Mais justement, le monde est injuste! Alors, je suis au paradis, le vrai. Dans ce lieu où toi tu rêve d'aller, moi je pleure toutes les larmes de mon corps. Pour moi, c'est un enfer.


Cassandra, Yakusa et ange.

 

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HISTOIRE 2


CHAPITRE 1:

Première journée, la décision d'une fuite.

 

Cathy est une gothique geekette. Elle est blonde. Aujourd'hui elle doit rentrer dans un collège pourrav de la banlieue parisienne à cause d'une ***rie. Bah, elle s'en fout. On parie que dans deux mois elle n'y est plus ? En attendant, elle prépare ses affaires et sa robe. Elle est prête. Son café avalé, elle sort de chez elle. Elle descend une pente assez abrupte. Elle est arrivée devant le collège avec cinq minutes d'avance. Il y avait déjà du monde. Ils la dévisageaient. Ils étaient tous habillés en mode "swag", ce qui est ridicule vu que swag veut dire Secretly We Are Gay. Ca l'étonnerais qu'ils soient tous homo***uels. Le portail vert s'ouvre dans un grincement. Une dame ronde y est et vérifie des livrets bleus... affreux.


"- Excusez-moi, je suis nouvelle et on ne m'a pas donné de carnet. Dit-elle.

- Donc tu es la nouvelle. Lui répondit la grosse dame. Je suis madame Meringuée. Je serais ta Conseillère Principale d'Education. Tu seras affectée dans la classe de 4°6. Leur projet est le sport. Voilà ton carnet avec ton emploie du temps. Il ne reste plus que ta photo."

 

Classe sport ? Quelle plaie! Elle est rentrée dans l'enceinte de l'école sans rouspéter. Elle a sorti son téléphone de son sac pour envoyer un texto à son ami de toujours, Lucas. Il est blond, lui aussi, mais il a un visage de gamin. Il est sympa, lui.


"Alors, sympa ton collège ? Demanda-t-il.

Ironisé ou pas ?!

A mort. Ici on se les brise sans toi.

Ici, ils sont tous en mode "swag"...

Je vois le genre. Tu dois saigner des yeux.

Trop.

A+, les cours commencent.

Dure, ta vie."

 

Elle range son portable. Quelqu'un approche. C'est un gars arabe apparemment, lui, il a pas trop le look swag. Il venait de quitter ses potes.

 

" - Pas trop dure d'être nouvelle ?

- On se connait ?

- Je voulais juste être sympa!

- Keep cool! Je déconnais. Je m'appelle Cathy.

- Salut alors, je m'appelle Ali. T'as pas répondu à ma question.

- Tu lâches pas! J'ai l'habitude. C'est la deuxième en deux ans. Je connais le truc.

- Bon, je te dis à la prochaine, on m'attend."

 

En effet, ses potes lui faisait signe de venir. Il a calmement avancer vers eux. Elle s'est retrouvée seule. Ses amis loin d'elle, ce collège de mes deux... elle savait qu'elle n'avait rien à faire ici. Une blonde s'est approché avec deux filles de joie à ses trousses.

 

"- Bonojur ? A tenté Cathy.

- Tu as déjà choisis ton prochain collège ?

- Non, mais j'y travaille"

 

Cathy a examiné la blonde qui avait tout d'une bimbo. Une de ces blondes sans cervelle qui souillent la réputation des blondes. Une pou.ffiasse, pour rester polie.

 

"- Quoi ? Tu veux ma photo ?

- Oui, oui, pour mon album de sirène. Je voudrais aussi que tu me la dédicasses, s'il te plaît."

 

Elle était toute contente. Elle a sorti la photo de son livret, l'a signé et l'a donné à Cathy.

 

"- Je m'appelle Nina. Tu trouves vraiment que je ressemble à une sirène ?

- Bah, oui! Mi humaine, mi thon quoi!"

 

Elle s'est échappée d'ici. Elle se fait beaucoup d'ennemis rien qu'à cause de son look. Il faut avouer qu'Ali est sympa... et mignon. Elle verrait. La cloche sonne. Cathy s'est rangée sur une "base". La classe qui  lui avait été attitrée était celle de ce charmant jeune homme, Ali. Mais aussi celle de cette pimbêche. Elle montait en classe. Elle avait un cours de mathématiques. Elle excellerait, c'est sur! Elle a passé la porte mais n'a pas osé s'asseoir. Nina était au premier rang tandis qu'Ali était au dernier, seul.

 

"- Je vous demande d'acceuillir notre nouvelle élève qui s'appelle ? A dit le professeur.

- Cathy. Cathy Noct.

-Soit, Cathy, je te proposes de t'asseoir aux côtés d'Ali, c'est la seule place libre.

- Je vous remercie."

 

Elle s'est empressée de rejoindre son voisin. Elle reçut un message de May, sa seule amie de l'école pour jeunes filles.

 

"Tu me manques!

Toi aussi u_u.

Les filles commencent à me soûler de dingue!

TKT, tu vas t'en sortir. Coeur de pierre, allure de Déesse.

Ouais, c'était plus facile quand t'étais là.

Le prof me voit. Suis en Maths. Ciao."

 

Cathy n'aime pas envoyer bouler ses amis, mais là, c'était en urgence. A toutes les questions que le professeur posait, Cathy répondait avec brio. Le professeur, monsieur Jones, et la classe en étaient bluffés. Ils se demandaient tous comment Cathy faisait. C'était simple: dans son ancienne école, elle avait toujours un livre de mathématiques dans son sac. Elle le sortait en français, en histoire française, en histoire égyptienne (une matière disponible seulement dans ce collège) et en EPS ... Quand sa mère lui avait interdit sa console, ce qui arrivait souvent. Elle avait donc réussi à comprendre des notions qui sont étudiées à l'université, rien que pour le plaisir. Elle sorti de la salle, le sourire en tête.

Son cours était à présent musique. Dès qu'il s'agirait de Danny Elfman pour Tim Burton ou de rock, elle écouterait. Elle avait écouté les morceaux de Tokio Ho.tel pendant tout le cours. Si bien que quand la cloche sonna, Ali dut lui faire signe de sortir. A présent, ils avaient un "trou".

Elle se rendait en permanence avant de rebrousser chemin et d'aller traîner dans les couloirs. Elle passa l'heure à rendre les pions malades en jouant avec les étages. Plusieurs fois, elle se montrait, en espérant qu'ils la poursuivent. Pour elle, le sport, c'est ça et rien d'autre. Elle aurait des problèmes... Tant mieux, elle voulait sortir de ce collège. Elle voulait exprimer sa colère! Elle voulait faire sortir la timide de son corps. Non! Elle ne se laisserait pas faire ici non plus! Elle deviendrait la pire de toutes les pestes. Elle serait la reine. Quand elle irait en enfer, on la craindra. Pour le moment, l'enfer c'était ici. Elle sortirait d'elle même après avoir dicter ses lois. Qui le lui avait dit ?! C'était une chanson. C'était les Tokio Ho.tel. Elle n'avait pas cesser d'écouter la voix de Bill, elle n'avait pas cesser de suivre la mélodie hargneuse de la chanson qu'elle préférait, Schrei. Elle redescendit calmement dans la cour quand la cloche sonna.

Elle s'adossa à un préfabriqué orange fluo qui était la cantine. Elle changa de musique. Cette fois, Heilig jouait. Elle n'était pas hargneuse. Cathy était triste. Triste de laisser Lucas et May sans elle. Elle se fit la promesse d'alle les chercher mercredi. Ensembles, ils s'enfuiront loin des règles que leur imposent les écoles. Ils apprendront ensemble. Ils vivront ensemble. Ils se débrouilleront pour le logement et la nourriture. Ce n'était pas comme si ils n'avaient pas de carte de crédit ou que leur parents ne les couvraient pas de cadeaux et d'argent!La cachette de Cathy était un faux livre sur la culture de satan et les vampires de nos jours. Sa mère n'y mettait jamais le nez, persuadée qu'elle irait en Enfer si elle en lisait une seule page. Cathy le gardait sur elle précieusement. A ses yeux, c'était encore plus précieux que tout l'or que sa mère lui offrait. Ali s'approchait, craintif. Cathy avait laissé couler plusieurs larmes de tristesse en faisant sa promesse. Elle tenait son livre sérré contre sa poitrine.

"- Tu me veux quoi encore ?! Dit-elle d'une voix étranglée.

- Toujours aussi agressive. Calmes-toi! T'étais où ?

- Pas tes affaires. Lâches-moi.

- J'ai fais quelque chose de mal pour mériter ça ?

- Lâches-moi si tu veux continuer de vivre."

 

Ali s'éclipsa à la vitesse de la lumière. Cathy réfléchit à la place actuelle de son passeport. Il était sous son lit, elle n'avait pas rangé sa chambre. Elle rangea son livre, sortit son téléphone et exposa  son idée à Lucas et May par texto. Ils hésitaient mais, elle ne leur laissait pas le choix. Il fallait qu'ils soient prêts mercredi. Cathy était déjà prête. Il lui restait donc deux jours pour faire sa loi dans ce collège. Le son de la cloche annonça la fin de la récréation. Cathy alla directement devant sa salle. Elle avait anglais. Elle se mit tout au fond quand la prof, madame Ahoni, ouvrit la porte. Cathy prit une feuille où elle avait reporter toutes les paroles de Heilig. Elle les traduisit en Anglais et en français. Elle continua avec Beichte. Elle décida de ranger ses affaires alors qu'il restait encore une demi heure de cours. Elle sortit son livre sur les vampires d'aujourd'hui et le lut. Il était beaucoup plus passionnant que de savoir comment "épave" était traduite du français à l'anglais...

"- Peut-être que Cathy peut nous le dire ?

- Huh ? Welche ? Wie? (Hein ? Quoi ? Comment ?) Demanda Cahy en Allemand.

- Comment dit-on "naufrage" en anglais ?

- "Shipwreck", madame.

- J'espère que tu répondras plus vite, à l'avenir.

- Nous nous tutoyons ?

- Cela te pose un problème ?

- Dans mon ancien collège, le dialogue entre un professeur et un élève ce faisait en vouvoiement. C'est une marque de respect."

 

Bien qu'elle ne l'ai jamais fait. Madame Ahoni se retourna, irrité. Elle n'adressa plus la parole à Cathy pendant le cours. Cinq minutes avant la sonnerie, Cathy se leva et prit la place de Billy, l'élève le plus dangereux.

"- Sors de ma place. Dit-il, calmement.

- Sinon quoi ? Tu vas me frapper ?

- Pourquoi pas.

- Tu serais capable de frapper une jeune fille innocente ?

- C'est quoi innocente ?

- Le dictionnaire est une bonne source d'inf.ormation. Sinon, Google est ton ami.

- C'est ça innocente ?

- T'es sot naturellement ou tu prends des cours du soir ?

- J'y comprends rien. J'aime pas comprendre. Tu vas voir à la sortie.

- Maman! J'ai peur! Ironisa Cathy."

 

La cloche annonça la victoire de Cathy. Mais également ce qui sembla être son arrêt de mort. Cathy sortit de l'établissement et attendit.

"- Alors gros balourd, toujours prêt à mettre la main sur moi ?

- Quand j'aura fini, ta mère te reconnaitrais plus.

- Toi bien parler français! Toi attendre."

Cathy appela quelqu'un. Un homme.

"- Allô, Cathy ?

- Ouais. Bon, tu as des infos sur un certain Billy, 4°6 ?

- Ouais, c'est le plus dangereux de ton collège... mieux vaut ne pas l'approcher.

- Trop tard. Je peux lui refaire le portrait ?

- Je t'en prie. Fais comme tu veux. Je veux juste que Nathalie soit hors d'atteinte.

- T'en fais pas... je gère."

 

 

Gérer quoi ? Cathy ne savait même pas où était sa soeur! Elle devait rentrer de son tournage aujourd'hui et venir chercher Cathy devant le collège. En attendant, elle mettait une bonne raclée à Billy. Surement grâce à ses années d'entraînement. Son patron, le type qu'elle a appellé, lui avait obligé à apprendre au moins deux arts martiaux. Cathy avait choisi le karaté et l'aikido. A présent, Billy était à terre et tout le monde acclamait Cathy.

 

"- Je ne tolèrerais pas que quelqu'un se mette en travers de moi. Compris ?! Déclara Cathy. Les nouvelles règles seront instituées cet après midi. A tout à l'heure."

 

Et elle monta dans le bus. Une jeune femme y était déjà installée. Cathy s'avança vers elle et elle s'assit à côté d'elle. La jeune femme posa sa tête sur Cathy. Cathy lui a caressé la tête.

 

"- Toujours aussi gamine, Nathalie.

- Pourquoi tu es encore la "reine" ?

- Billy.

- Ta mission, cette fois.

- Te le dirais pas."

 

Les deux soeurs sont sorties du bus. Elles sont rentrées chez elles et ont mangé des pâtes.

 

"- Dire que je ne vous ai pas élevées! Dit la mère.

- T'en fais pas, c'est comme si! Répliqua Nathalie.

- Ca fait dix ans que tu t'occupes de nous deux. Mais tu ne remplacera jamais totalement notre vraie mère.

- Je ne vous le demande pas... Repris la femme. Je me souviens du jour où je vous ai trouvées. Il pleuvait à Berlin...

- Max venait de nous quitter après deux mois à traverser les pays européens depuis la Russie. Dit Cathy. Dommage qu'il soit mort...

- Pour toi. Ajouta Nathalie.

- La ramène pas avec ça.

- Je fais ce que je veux!"


Nathalie a baffé sa petite soeur insolente. Cathy a pris son jogging noir avec des dentelles et son élégant t-shirt violet foncé avec imprimé tête de mort qu'elle avait conçu la semaine précédente. Elle prit cinq euros et se rendit dans la sandwicherie qui se situait en bas de chez elle. Tout le monde la regardait bizarrement. Elle prit un sanwich végétarien et elle s'installa à une table. Elle mangea calmement et rentra chez elle pour récupérer son carnet.

"- J'y vais. J'ai quatre heures de sport. Inutile de préciser que c'est une torture pour moi.

- Sauf si c'est de la gymnastique, de la lutte ou du sprint. Dit sa "maman".

- Ouais..."

Cathy prit son téléphone et écouta Eternal Life de Jeff Buckley. Elle s'était enfin lassée de Tokio Ho.tel. Elle sortit de chez elle et descendit la pente, comme le matin. Elle arriva devant la grille aux alentours de 13 heures 30. La grille, cependant, ne s'ouvra pas tout de suite. Cathy gromella. Elle continua d'écouter de la musique, jouant avec son téléphone, et parfois en tentant d'en écouter plusieurs à la fois pour faire un bœuf... sans résultat satisfaisant. C'était... catastrophique!

La grille s'ouvra enfin. Cathy attendit quelques minutes pendant lesquelles aucune personne autour d'elle ne bougea. Cathy fit un grand sourire et entra dans l'établissement qui n'était qu'effrayant aux yeux de la blonde. Elle s'adossa au préfabriqué, rien que pour ne plus le voir, et continua la lecture d'un livre qui la passionnait. Elle se fit vite entourée de la bande d'Ali. Cathy ne leva pas les yeux, lisant le passage le plus crucial du bouquin.

"-Hé, la blonde! Commença l'un d'entre eux.

- Oui ? Demenda Cathy, les yeux rivés sur son livre.

- Tu voudrais pas avoir des amis ? Continua le garçon.

- J'en ai assez comme ça. Et, en plus, ce sont de vrais amis." Répliqua Cathy en insistant sur le mot "vrais".

 

Cathy marqua sa page et rangea son livre. Elle leva la tête. Elle était encerclée par dix garçons, l'air ébêté. Cathy poussa l'un d'entre eux pour passer. Elle ne prit pas la peine de dire pardon et monta dans les couloirs. Elle s'assit au troisième étage et prit son téléphone pour appeller Lucas. Lucas ne répondit pas. Cathy jura - autant ne pas les mettre - et redescendit car la cloche signait son arrêt de mort.

Le professeur de sport était court sur pattes et il avait un air de pervers. Cathy avait foot. Pour elle, QUATRE HEURES DE FOOT = ENFER! Non, sincèrement, Cathy allait métaphoriquement mourir. Elle ne loupait pas les passes, marquait à tous les coups et était trop rapide pour être marquée mais Cathy détestait le sport pour la simple et bonne raison qu'après deux heures de sport elle doit se doucher. Alors après quatre heures... Cathy eut un mach contre l'équipe d'Ali. L'équipe de Cathy gagna. Un autre match contre l'équipe de Nina... l'équipe de Cathy gagna. S'en était lassant. Cathy était blasée de ce cours. Elle en avait marre de cette école. Vivement Mecredi! Elle pourrait enfin partir... enfin!

Le cours se termina et Cathy ne prit pas la peine de faire quoi que ce soit. Elle prit son sac et rentra chez elle. Elle mangea un goûter rapidement et alla dans sa chambre pour préparer son sac. Elle y mit son passeport, son livre secret, sa nintendo 3DSxl et des vêtements. Elle prit son ordinateur et tchatta avec ses followers américains de Twitter. Elle leur demanda plein de renseignements sur certaines régions, au cas où ils devraient fuire. Cathy descendit au rez de chaussé pour aller dans la cuisine. Elle prit son diner et remonta se coucher.

_______________________________________________________________________________________

 

Chapitre 2: 

Une personne s'incruste

 

 

Mercredi... enfin! La veille, rien d'important. Cathy était malade et n'était pas allée au collège. Elle en avait profité pour surveiller sa soeur et louer un T3 à Boston... Sans oublier les billets et finir les valises de sa soeur et elle.


Cathy était obligée de "garder" sa soeur. Elle prit Nathalie par la main et l'emmena jusque chez son ami Lucas. Elle ne parla pas, empoigna Lucas et se rendit chez May et fit comme pour Lucas.

 

Pas de blabla, direction l'aéroport, terminal 2. Cathy n'avait rien dit à sa soeur sur leur destination. Elle lui avait seulement dit où elles devaient aller. Mais, là, Nathalie s'impatientait.


"- Où on va ?

- On quitte le territoire.

- Pour aller où ?!

- Aux Etats-Unis... On rentre à la maison.

- Mais, t'es folle!"

 

Cathy n'écoutait plus sa soeur, poussant le chariot sur lequel trônait les quatres valises et le sac à main de Cathy. La blonde commençait à avoir faim. Elle commanda à manger chez "Paul", une sandwicherie. 

 

 

Ali était là, à observer Cathy. Il l'avait suivie tout le long de la journée. Il la regardait de loin. Toujours et encore de loin. Il avait prit un billet pour les Etats-Unis, lui aussi. Cathy devrait arrêter de parler en écrivant!

 

Lucas et May appréciaient de plus en plus la fugue avec leur meilleure amie. Au début, ils hésitaient car ils savaient que partir avec Cathy sigifiait ne plus revoir leur famille. Mais, Cathy était leur famille, alors, tout allait bien! Souvent, ils se disaient - avec Cathy - qu'ils aient la famille parfaite. Lucas le père, May la mère et Cathy le fruit de leur amour. Oui, May et Lucas s'aiment. Non, ils ne le sont jamais dit. Pourquoi ? Comme tous les adolescents - en général - ils pensaient que l'autre n'avait pas les mêmes sentiments et que donc si ils se déclaraient, ils détruieraient leur amitié, chose qu'ils souhaitaient le moins du monde.


Cathy se rapprocha d'eux. Elle émit un léger rictus puis elle dit:


"- Vous vous souvenez de ce qu'on disait, avant ? Hé bien, maintenant on a une tante en plus!"


Elle élargit un sourire flamboyant avant de prendre - une fois n'est pas coutume - sa soeur dans ses bras et de la serrer tellement fort que Nathalie manqua d'air. Cathy désserra son étreinte et reprit le sanwich qu'elle avait posé à une table. Elle le mangea rapidement et récupéra le chariot des mains de sa soeur. Elle se dirigeait vers le pose-bagages et inconcsiemment, vers Ali qui manquât de griller sa couverture. Cathy était suivie de peu de sa famille véritable, celle avec laquelle elle se sentait bien.

 

 

Le jour suivant, toute la "famille" était installée à Boston, dans un petit appartement deux chambres. Cathy déposa ses affaires dans une des chambres où trônait un lit superposé. Elle les rangea soigneusement en se disant "nouveau départ, nouvelles habitudes". Elle s'affala sur le lit du dessous en tenant fermement son ordinateur. Elle pleura pendant longtemps.

 

Depuis le salon, tout le monde l'entendait, mais personne ne bougeait. Ils savaient tous que Cathy devait avoir une bonne raison de faire couler ses larmes, car elle ne le faisait que rarement. Lucas alla dans la chambre de Cathy et il mit ses mains sur les épaules de la jeune fille. Cathy renifla et elle le regarda. Ses yeux étaient rouges sang et gonflés. Elle ne dit rien, Lucas non plus, cherchant tout simplement les mots justes. Cathy se cacha sous la couverture qui trônait le lit tandis que Lucas partit, mécontent de son piteux résultat. La jeune fille se resaisit, sécha ses larmes et rejoint les autres au salon, comme si de rien n'était.

 

Après le repas, quelqu'un frappa à la porte. Cathy, Lucas, May et Nathalie ne bougèrent pas. Ils attendirent. Les coups à la porte s'accentuèrent, comme si la personne savait qu'il y avait quelqu'un. De ce fait, May alla ouvrir la porte et découvrit un adolescent, tout tremblant. Elle le fit entrer.

 

Le jeune adolescent salua les occupants de l'appartement en anglais américain. Cathy le regarda étrangement. Nathalie lui répondit. Lucas appréhenda sa venue. May était désappointée. 

C'est Cathy qui brisa la glace, dans un anglais américain parfait.

"- Donc, qui êtes-vous ?

- Je m'appelle James Holt. répondit le jeune garçon.

- Quel âge ?

- Treize ans.

- Lieu de résidence ?

- Dans la banlieue de Boston.

- Que faisais-tu dehors ?

- Mes... Mes parents se sont encore disputés... A cause de moi. Je pense que cette fois c'est la fin. Mon-

- Peu m'importe. le coupa-t-elle. T'as fuis, quoi. C'est une attitude de lâches. Je n'aime ni les lâches, ni les gens faibles. Tu peux partir.

- Mais, Cathy, tu n'y penses pas! Regarde dans quel état il est! Il a besoin de soins, il a besoin d'aide! répliqua May, en français.

- Non, non, elle a raison. Je n'aurais jamais dû fuire de chez moi. Je... désolé, je pars. reprit l'étranger."

 

Comment, diable, pouvait-il comprendre le français ? Ce n'était pas normal. Cathy songeait déjà à l'enfermer quelque part et à le torturer pour avoir des renseignements. Cependant, ce ne serait pas bien vu vis-à-vis de sa famille. Et puis, elle aussi, elle avait fui. Même si les conditions étaient différentes, même si les raisons étaient largement valables, elle avait fui, deux fois. L'une de ces fois, elle avait perdu un ami, un ami cher à ses yeux. Cette fois, elle ne commeterais pas d'erreurs, aucune.

"- Non, c'est bon, il peut rester. May, je te laisse t'occuper de lui, mais fais quand même attention, tu veux ? Lucas, tu pourrais le prendre avec toi dans la deuxième chambre ? Nathalie et May dormirons dans la première, moi, sur le canapé. Je vais préparer à manger.

- Hêm... Oui, oui, pas de problèmes. dirent les trois habitants en choeur."

Tout le monde se mit au boulot, donc. Cathy aux fourneaux, May aux soins, Lucas et Nathalie à la préparations des chambres. Tout devait être parfait. Absolument tout. 

 

Ils étaient tout les cinq à table, comme une sorte de famille. Cathy avait préparé du riz à la canelle. Recette qu'elle avait elle même "conçue". Tout le monde mangeait, sans un bruit. Un coup de fourchette par ici, un coup de fourchette par là, et que je lève les yeux pour savoir si tu me regardes avant de les baisser immédiatement, et que je tape du pied sous la table... De vrais gamin. Enfin, quatre gamins, et une mère. May.

"- De vrais enfants, vous quatre! répliqua-t-elle.

- Mais c'est normal maman, il faut bien que papa Lucas et toi ayez des enfants, non ? lança narquoisement Cathy. Et puis, c'est moi qui ai fait à manger, alors..."

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