Je suis là devant mon ordinateur , à attendre , attendre quoi ? que le temps passe , j'étais dans mes pensées , j'étais paumée jusqu'à ce que l'ont crie mon nom . 

.. : AMELIA DESCEND ! 

Sans trop prêtée attention à la voix qui m'avait appellée , je descendi .

Ils étaient touts les deux à table , comme si de rien était , je haïssée tellement cette atmoshpére .

Je pris part au diné comme on dit si bien .

Mon Père : Alors pour ton orientation l'année prochaine ? 

- Je te l'ai dis , je veux pas vous faire payez des études qui me serviront strictement à rien , je vais au public . 

Mon Père : Elle veut allez au public ? ELLE VEUT ALLER AU PUBLIC ? MA FILLE VEUT ALLEZ AU PUBLIC AVEC LA SALLE RACAILLE ? 

Il prit sa fourchette et la cogna fermement sur la table , il était rouge , rouge de colère n je le craignais , j'en avait peur , maman en avait peur , il avait un regard si percent , percent la chair de l'admirateur en un seule regard .

Mon père : TOUT LES JOURS , TOUT LES JOURS TU VAS TE LEVER POUR ALLER VOIR CES SALLES BOUGNOULES , TOUT LES JOURS TU VAS TE LEVER POUR ALLER VOIR CEUX QUI POURRISSENT LA FRANCE ? TU VAS LES SOUTNIRS EN PLUS DE CA ? TU VAS ALLER VOIR DES PROFS QUI TOUT LES JOURS SE FONT MALTRAITER PAR CES MERDES QUI NOUS ENVAHISSENT ? 

J'étais morte , morte intérieurement , extérieurement , je l'écouter plus , pas une larmes tomba sur ma joux , j'aurais pleurer ils s'en s'aurrait douté , je rester calme , je m'imaginée ailleurs , bien , seule .

Mon père : ELLE M'ECOUTE PAS EN PLUS , ELLE M'ECOUTE PAS !

La première fois , la première fois qu'il avait oser me mettre une claque , il frapper ma mère , il l'a frapper mais moi , jamais , jamais il m'avait levé la main dessus , de longues larmes couler sur ma joux , mes long cils les recouvrés , mais les larmes s'échappent comme une bouteil à la mer , j'avais pas mal , loin de la , le geste ma blesser intérieurement , il m'a encore prouvé aujourd'hui qu'il était des pires ordures qu'il éxiste sur cette terre .

Je me leva , courra jusqu'a ma chambre , un étage plus haut et je m'écroula sur mon lit , des larmes dans le silence , ma vie était loin d'être un film , je devais subir mais je me plaignais jamais , j'encaissée , les coups de la vie sont parfois mal placés , j'vais tellemnt mal de l'intérieur que je me haïssée moi même , je m'aimais pas , je me posée un tas de questions , pourquoi j'ai aps d'amies tah les oufs comme les autres ? , pourquoi prsonnes me reagrde ? je suis si différentes à ce point là our pas que vous m'aimiez ? 

Je m'endormie encore une fois de plus sur ce lit , ce lit qui lui seule avait connue la souffrance et la douleur que je ressentée à chaque larmes qui coullaient desus . 

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1 Mois était passer et toujours rien , pas d'amies , une vie toujours aussi instable , j'avancer dans le noir , Ma vie était un désarvoie de peines .

J'étais dans mon lit , je me racontée quelques histoires , je rêvée  , pensée , je me posée quelques questiosn comme à on habitude de grande phylosophe , sans prêté attention , au grand attention du bruit qui m'entouré .

Un bruit , un bruit ,ou plutôt une voix , un mot , une voix qui m'éttait pas familière , une autre voix , mais celle de qui ? un mot , un mot pas commun chez moi, c'est qui ? , c'est quoi ? mes oreils me jouent t-elles des tours ? 

Mon père : DEGAGE JE T'AI DIS ,  DEGAGE , TU ME FAIT HONTE , HONTE ! 

.... : - POUSSE TOI , POUSSE TOI , LAISSE MOI RENTRER ZEBI , C'EST MOI  QUI A HONTE , HONTE DE 

La fin de la phrase ? j'lai même pas écouté , je me susi préssipitée dans les escaliers , j'ai courue comme une folle .

Mon père , mon père devant la porte , de l'autre côter de la porte , un homme , un jeune homme , un homme avec une grande robe blanche , mes yeux , mes yeux se sont arrêter . 

- Mon père avait une haine raciale envers un peuple , D'où vennez t-elle ? .