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belle168
AHHHHHHH
27/12/2015 à 03:09:53
belle168
ok check faut que jlaisse fkg cinq commentaires...
27/12/2015 à 02:57:34

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pennyyy-love
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 DOLL ABANDONNÉE

 

 Si vous aimez, laissez-moi vos impressions! Un p'tit commentaire fait plaisir et je vous répond toujours... Je tiens à préciser que ce n'est qu'une histoire, mais inspiré de faits réels. En pause, (manque de motivation)

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Prologue

 

 

 Mes parents sont morts lorsque j’avais 14 ans.

 

Ils avaient été cruellement assassinés par un meurtrier.

 

On n’a jamais retrouvé les corps.

 

J’avais 14 ans et j’ai tenté de me suicider

 

Je ne sais pas comment décrire la relation que j’avais avec mes parents. Je savais qu’ils m’aiment, et eux savaient que je les aimais. Je n’avais jamais pensé à leur montrer à quel point j’étais contente qu’ils soient mes parents. Les fois où je me souviens de leur avoir dit «je t’aime» se comptent sur les doigts de la main. Je me suis dit, que si je me suicidais, je les rejoindrais, et je pourrais enfin leur dire à quel point ils étaient tout pour moi.

 

J’étais, un couteau à la main, dans mon bain. J’étais extrêmement nerveuse, le couteau tremblait. Je m’étais soulé pour ne pas ressentir la douleur, comme une lâche.  J’étais chez ma tante, ma famille d’accueil provisoire. Je savais qu’il faudrait que je me dépêche, car elle revenait bientôt. D’un geste décisif, je pris ma lame fermement, et me tranchais les veines. Une coupure, une autre, encore une autre. Je voyais le sang couler de mon bras. J’en étais étrangement fasciné. Je voyais l’eau de mon bain prendre tranquillement cette teinte rouge. Je voyais des points blancs, je ne sentais plus rien. Puis j’attendis frapper à la porte avec hystérie

 

«Pennyyyy!!! Pennyyyyy!!!!!!»

C’était ma tante, elle avait lu ma lettre d’adieu. Mais je souriais doucement, c’était fini.  Je sentais la vie me quitter. Malgré tous les coups frappés à ma porte, j’étais calme. Tout était fini. Mais dernière vision avant de perde connaissance fut ma tante qui défonçait finalement la porte.

Lorsque je me réveillais, tout était blanc autour moi. « J’ai réussi» me suis-je dit. Mais ma joie fut de courte durée lorsque je vis ma tante, qui pleurait abondamment, les yeux rouges, et les cheveux en bataille. Même si j’étais à moitié consciente, j’eus quand même de la peine pour cette femme. Je m’en voulu un peu de lui causer autant de peine. Mais lorsque je vis le docteur arriver, je refermais les yeux pour me rendormir, et essayer de ne plus me réveiller.

 

 

Maintenant, j’ai 21 mais ma vie à été changée à jamais. Je ne serais plus la gentille petite fille.  Je ne serais plus celle qui arrive à trouver un côté positif à tout. Je ne serai plus celle qui parvient toujours à rire. Je ne serais plus comme avant. À présent je suis adulte. Je n’ai beau de plus être suicidaire, ne plus vouloir m’enlever la vie, je suis tout de même dépressive. Dépressive d’avoir raté ma vie, de pas avoir mes parents avec moi.  J’ai coupé tout lien avec amis, ma famille. La seule personne que je laisse m’approcher est ma tante, celle qui m’a sauvé la vie. Mais personne d’autre. Plus jamais je ne veux souffrir. Plus jamais ça.

 

Chapitre 1

 

 

-         Un capuccino avec le spécial du jour! Dis-je en ouvrant la porte la porte de la cuisine, pour apporter une commande au chef.

Je travaillais dans un petit café. Évidemment puisque j’allais à l’université et que, comme n’importe quelle étudiante, j’étais complètement fauché. Je m’étais donc trouvé un petit boulot pour arrondir les fins de mois. J’aimais bien travailler ici, ça marchait bien, sans pour autant être la foule.

Après avoir refermé la porte, j’allais à une des tables pour nettoyer et ramasser les déchets. Lorsque je fini mon travail, une petite cloche sonna. C’était le signe que la commende était prête. Je pris le plat et me dirigeais à la table 3. La cliente à la table semblait assez jeune, environ mon âge. Ses vêtements étaient sombres, mais pas complètement noir, contrairement aux miens. Mais se qui me frappait le  plus était la couleur de ses cheveux. Ils étaient d’un blond éclatant, qui contrastait énormément avec ce qu’elle portait. Je regardais son visage. Des traits doux, de grands yeux bleus. Elle était seule, mais elle semblait très joyeuse, très enjouée. Elle avait un grand sourire et regardait tout avec amusement.

Lors que je suis arrivé à sa hauteur, je lui déposais son plat sur sa table. Elle me regarda, et son sourire grandis encore plus.

-         Hé! Mais je te connais! Tu es dans mon cours de littérature, à l’université. Pénélope c’est ça?

Je grimaçais à l’entente de mon nom. Personne ne m’appelait comme ça. Personne… Sauf les profs. C’était surement comme ça qu’elle l’avait entendu

-         Penny.

Je ne voulais pas prolonger cette conversation. Je voulais juste repartir à mes taches. Mais elle en avait décidé autrement.

-         Je t’en pris, assied-toi! On pourra discuter un peu.

«Hors de question» pensais-je intérieurement. Mais ne voulais pas être impolie envers une cliente, j’allais prétendre d’être trop occupé, mais comme toujours, le destin était encore contre moi.

-         Mais bien sur qu’elle veut! Après tout c’est l’heure de sa pause. Dit une vois derrière moi.

Je me retournais pour voir qui avait parlé. C’était mon chef. Il me donna une petite poussé dans le dos pour me forcer à m’assoir avant que j’ai pu protester. Il partit pendant que je lui jetais un regard haineux, mais lui me répondit par  un simple clin d’œil. J’étais assise, les jambes croisées, à essayer d’éviter le regard joyeux de cette fille. Puis d’un coup elle se mit à parler

-         Oh mon Dieu! J’ai oublié de me présenter, haha, désolé. Donc mon c’est Amy. Dit-elle en me tendant sa main.

Je ne fis que lui prendre brièvement la main. Nullement découragé, elle continua de me parler.

-         Ça fait longtemps que tu travail ici?

-         Deux ans

-         Oh! Depuis le début que tu es entré à l’université

Je hochais la tête.

-         C’est vraiment bien comme café, c’est tranquille, c’est agréable comme ambiance

Un autre hochement de tête. Tout ce que je voulais, c’était partir. C’était pile le genre de situation qui me mette mal à l’aise

-         Tu ne parles pas beaucoup, hein, sourit-elle. C’est pas grave! Je parlerais pour deux!

Mais pourquoi cette fille voulait me parler?? Merde…

-         Est-ce que tu aime travailler ici?

C’est pas possible, elle me lâche pas cette fille. Oui j’aimais travailler ici, mais ce n’est surement pas quelque chose que j’irais  crier sur les rues. Je ne voulais pas lui répondre, et elle enchaina sur une nouvelle question qui me surprit

-         Est-ce que tu es… Heureuse?

Son regard n’avait plus rien de joyeux, il était incroyablement sérieux et froid. Elle me fixait intensément, comme pour lire ce qu’il y avait en moi. Non, décidément, cette fille n’est pas celle qu’elle prétend être.

  

 

 

Chapitre 2

 

 

Est-ce que tu es… heureuse?

 

 

Une simple question, mais qui pouvais représenter tellement de choses pour moi. Heureuse. Un sentiment que je n’avais plus ressenti depuis des années. A vrai dire, à présent tout m’indifférait. Plus rien ne comptait. Je restais un moment à fixer. L’ombre que j’avais vue passer avait complètement disparu, remplacé par son sourire habituel. J’arrêtais de vouloir essayer d’être gentille. Elle avait dépassé ma limite. Je la regardais avec colère, et sans qu’elle si attende, je me levais d’un coup, frappant mes mains contre la table, créant ainsi un claquement qui résonna dans toute la pièce.

 

-          Dit un seul mot de plus… commençais-je d’une voix menaçante.

 

-          Penny!! Ça suffit, reviens ici.

 

C’était David, le «chef». Le même qui m’avait envoyé là. Et c’est entièrement son problème, il connait mon caractère. Il aurait pu au moins comprendre que ça terminerait mal. Comme à chaque fois qu’il me pousse à socialiser avec quelqu’un. Je partis, furieuse, de la table. En colère contre cette fille qui se croit tout permis, mais aussi contre moi, qui avait encore exagéré pour rien.

Deux jours sont passés depuis cet «incident». La fin de semaine était passée, et les cours commençaient. Je me sentais légèrement mal, donc je priais pour ne pas a croiser. Cette fois, la chance était de mon coté. Durant toute la journée je ne la vit pas. Puis, je vis que j’avais une heure de littérature en fin après-midi. Mais je ne m’en inquiétais pas. L’amphithéâtre était grand, et nos places, éloignées. Bien sur, je ne pouvais pas prévoir ce que allait arriver

 Le cour commençait. Lentement. Le professeur parlait des auteurs marquand du 19e siècle. Je m'ennuyais à mourir. Je dessinais dans mon cahier en faisant semblant de prendre des notes. Puis, fatidiquement, j'entendis les mots «projet en équipe». Merde. Suis-je la seule à detester autant ces projet?  

 

-          Je vais faire les équipes, annonça-ti-il à toute la classe

 

J’attendis qu’il dise mon nom. Les équipes commençaient à se céer. Les gens discutaient et on avait de plus en plus de misère à entendre ce que le prof disait.

 

-          Pénélope Lovett avec… Amy Hanger.

 

 Oh bon sang. Non.

 

Chapitre 3

 

-Pénélope Lovett avec… Amy Hanger Qu’est-ce que j’avais à ce foutu destin. Mon karma doit être horrible. J’étais, en train de me morfondre dans mes pensées, quand on bruit sourd me fit sursauter. On venait de déposer des manuels sur mon bureau. Je levais les yeux. C’était elle. Amy. Apparemment elle ne m’en voulait peut-être pas trop, elle me regardait avec son sourire habituel. On discutait… Enfin, elle m’expliquait le sujet parce que moi… Je n’avais rien écouté. On avait un poème de Victor Hugo et il fallait faire l’analyse complète, trouver tous les figures de style, faire une bibliographie de l’auteur, et bien plus. J’étais juste découragée à entendre Amy me réciter tout ce que nous allons devoir faire. Ça promettait d’être long.

 

 

 

 

La coche sonna, on sortit tous rapidement de la classe. Personne ne voulait vraiment rester plus longtemps dans cet endroit. Et la plupart avaient tous une vie sociale. C’était vendredi, il y aurait des partys partout. Et moi, comme une criss d’associable, n’irait nul part. J’étais à mon arrêt, attendant que mon autobus passe. Il commençait doucement à pleuvoir. C’était un son relaxant, le bruit que font les gouttes sur le toit. Je fermais les yeux, pour me concentrer u***ment sur cela. Le jour de «l’enterrement» de mes parents, il pleuvait comme cela. Comme si le ciel pleurait lui aussi. Je me revois, plus jeune. Complètement mouillée, sans parapluie. Je sentais mes vêtements de deuil collés à ma peau, mes cheveux, chargés d’eau, me rendais l’air encore plus misérable. Une larme silencieuse me glissa sur ma joue. Peu importe j’étais seule. Enfin, c’était ce que je croyais

Je sentis une petite tape sur mon épaule. J’eut un hoquet de surprise, j’essuyais rapidement ma joue et me retournais vivement. C’était Amy, elle me regardait surprise, la main sur la bouche

-Oh mon Dieu…

C’était elle qui avait parlé. Elle m’avait probablement vue pleurer. Je regardais en avant, lui tournant le dos.

 

 

 

 -Ne dit à personne ce que tu as vu, lui chuchotais-je.

 

 


 

Chapitre 4

Ce chapitre est pour toi Belle168, je t'adore! Merci pour tout!

un peu court mais la suite arrive bientôt


 

 

Vous savez, lorsqu’on pleure, il devient très difficile d’arrêter, si l’on essaye, ça empire. On se met à hoqueter, on s’empêche de respirer. À ce moment précis, c’était ce que je ressentais. Je ne voulais plus que disparaitre.

La réaction que j’avais attendue de cette fille aurait été soit une gêne inconfortable, de la pitié. Il n’en fut rien.

Je lui montrais toujours mon dos, refusant de la voir dans les yeux. J’essuyais péniblement mes larmes et tentai de me calmer. J’eu sursaut lorsque je la sentis mettre son manteau sur mes épaules. Malgré moi, je me retournais pour la voir. Elle portait un simplement un T-shirt. Ses yeux bleus étaient écarquillés, avec sa coiffure habituelle, deux couettes de chaque coté de sa tête qui lui donnait un air enfantin et innocent. Elle me regardait, attendant ma réponse, je ne pu que lui balbutier un merci. Me surprenant elle s’avança et me prit dans ses bras, je ne sus comment réagir, avant d’a mon tour, l’entourer de mes bras et me lâcher, complètement. Comme je ne l’avais fait avec personne avant. Personne ne m’avait déjà vu dans cet état-là. Mais, cette fois, je ne m’en préoccupais pas. Je sentais que je pouvais lui montrer ma faiblesse, sans m’en sentir gênée. Tout semblait si… naturel. Comme si en vérité nous connaissions depuis toujours. Je ne saurais dire comment bien de temps nous avons passé comme ça. Cela a semblé si long, mais en même temps si court. Lorsque je fus calmée, je me sentais extraordinairement bien. Je n’avais probablement jamais eu l’air aussi pathétique devant quelqu’un, mais, comme je me sentais soulagée, comme d’un lourd fardeau. Quelque chose que j’avais gardé en moi trop longtemps.

Je me séparais d’elle doucement, à présent calmée. Honnêtement, je ne comprenais pas cette fille, qui, malgré notre première rencontre un peu dur. Cette fille qui restait là, et m’aidait, sans peut-être même s’en rendre compte. J’eut un petit rire d’embarrsa et cette fois, je tombais dans la réalité. Qu’est-ce que je venais de faire? Devant cette fille? Comment est-ce que j’avais pu? Je commençais à geindre intérieurement, me sermonnant sur ma stupidité. Je m’éloignant d’elle plus vivement que je l’aurais souhaité.

-Qu’es-ce que tu veux dis-je, essayant de ne pas faire trembler ma voix

Elle ne me répondit pas et continua de me regarder. À présent elle semblait plutôt gênée et baissa son regard. Elle murmura :

-Je… enfin, j’étais venu pour te demander de venir chez moi? Pour le projet, je veux dire.

Je la regardai haussant légèrement les sourcils, étonnée. Je le vis tourner encore plus rouge, et balbutiai :

-Si-si tu veux bien

Elle gardait la tête baissée, n’osant me regarder. Je fus la première surprise lorsque je m’entendis dire :

-Pourquoi pas?

 

 

 

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