----------------<< La femme coupée du monde >>---------------
"Tes pas en éco jusqu'au fond de salle, sentir ton poul sans le toucher, être ébluie par les projecteurs et avancer, avancer jusqu'au devant de la scène pour enfain regarder tout les spectateurs, qui une fois la tête levée, t'aplodissent comme si leurs émotions les noyaient et que frapper dans leurs mains leurs permetaient de remonter à la suface. Et tu te sent seule, aimée mais seule et tu l'exprime directement par des pas qui stopent tout; fais juste un pas en arrière et le silence raigne. Puis des mouvements de bras, ton pieds t'encerclant puis partant toucher les étoiles, ton rêve de gamine qui se réalise, sourire de bonheure. Ressentir cette chose que tu ne peux trouver dans la vie, oui, je vis dans un rêve, oui, mon rêve de gamine. Et quand je sort du studio, c'est l'enfer à nouveau... Mon cauchemar de gamine. Ne croyais pas que mon talent me rend riche, je suis riche de quelque chose mais ce n'est pas de l'argent. Je suis riche de bonheure." ;; "Prune danse, exprime ce que tu ressent dans tes pas. La jambe, plus haut et ne regarde pas le sol, il te rabesse, regarde plutot les cieux, eux t'élévent, Prune. Il faut que tu fasses les bons choix, que tu y crois. Nous avons tous confiance en toi, seul les gents qui aime ce qu'ils font arivent à réaliser leurs rêves alors ne t'arrête pas; recommence. Voilà, c'est beaucoup mieux." ;; "-Prune... Pourquoi maman dit que tu ne sais rien faire? -Vania, tu sais... Ce n'est pas que je ne sais rien faire, c'est juste que je ne fais pas ce que maman voudrais..." "Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Prune, joyeux anniversaire, allez, souffle tes bougies, 21ans ça se fête, Chérie."
Etre Maman, ça doit être un bonheur, oui franchement un bonheur. Mais je n'ai ni le temps, ni le job, ni l'homme pour ça.