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Note de l'auteur :  Bonjour à vous, qui vous soyez. Je tiens à préciser quelque petites choses avant d'aller plus loin. 

-Je ne prend pas "d'abonné ", j'en ai rien à faire que ma fiction soit lu ou pas, cette dollz à été crée pour les personnes suivant le personnage de Nathan Scherk sur la dollz RPG, de comprendre un peu mieux le personnage en retournant en arrière et vivre l'histoire que j'ai voulu faire passer.

-Ma dollz ne ressemble à rien mais c'est pas graaaave ! 

-Les dollz RPG sont dans mes amis. 

-Un personnage RPG de Guina, la personne la plus importante de la fiction, va bientôt être crée. 

-Je cherche quelqu'un pour interprêter le rôle de Harry Scherk, avant sa mort. (fille ou garçon peu importe). (Je viens légèrement de spoiler mais c'est pas grave) 

-La dollz Nathan-Scherk est crée par moi. (on s'en fout je vous l'accorde) 

-La suite de la fiction ne sera pas postée de suite car il va falloir que je corrige toutes les fautes et modifie quelque trucs, ça risque d'être long. 

-Les personnages RPG évoluent selon la fiction, quand des secrets sont découverts, que le héro est à l'hôpital ou autre.. Le rpgiste en est tout de suite in é. 

Et c'est tout ^^. 

 


 

 

 

Tu n'es que l'ombre de toi-même.

tome1.

 

"La famille Scherk est bien la pire famille que le monde ai porté."


Résumé : 

"Ouvrez un peu plus vos oreilles,n'entendez-vous pas ? Ces rires diaboliques, ces mumures insupportables chaque nuit ? Ouvrez vos yeux, ne voyez-vous pas ? Ces ombres intriguantes dans l'obscurité, ces yeux glacials ? Le noir du soir cache beaucoup de chose,l'inimaginable se cache en moi. Vous ne dormirerez plus, vos nuits seront courtes,tout comme votre ennuyante vie. Même un cauchemard est plus doux et paisible que ma présence. Je ne suis pas le diable,oh ça non,je suis beaucoup pire. On ne m'appelle pas la fille du diable pour rien. " -Guina Vanderwood.


 

Pensylvannie – Château Scherk - 1956.

 

Nous sommes en décembre. Cette magnifique saison,bien que froide,pénétrait en moi l'envie incessante de sortir de cette prison. Mon visage se pâlit au contact du vent contre ma peau. Mes yeux bleu se dirigèrentt vers la façade détruite et grisâtre du château qui me plonga dans une profonde dépression. Ce paysage triste et peu coloré me donnait la chair de poule. Avec difficulté, je referma ma fenêtre,dans un bruillant et surprenant grinçement. Une voix forte et familière me fit sortir immédiament de mes pensées :

 

« Nathan ! Tu regardes une nouvelle fois dehors ?  

 

-Oui. Père,je veux sortir,voir la ville. Père,s'il vous plaît,ne serais-ce qu'une heure ! Je serais de retour pour dîner et j..

     

-Nous en avons déjà parler,il me semble. Non et non. La ville est trop dangereuse,le mal est partout,Nathan. Maintenant,je te prierais de faire ta toilette et enfiler ton costume,nous avons des invités qui vont arrivaient d'une minute à l'autre,il serait préférable que tu sois un minimum présentable.

 

-Mais père,rien ne presse et j'aurais largement le temp de..

 

-Bon,ça suffit maintenant ! Nous n'allons tout de même pas revenir sur ce sujet,jeune homme ?! Dépêche toi de te préparer,avant que je ne me fâche !

 

-Mais.. D'accord père.

 

-Bien.»

 

Sur ce dernier mot,aussi banal qu'il soit,la porte en bois blanc de ma chambre se referma dans un claquement colérique de mon père. Mes yeux se dirigèrent une fois de plus immédiatement sur mon large lit,avalant la moitié de l'espace de la pièce. Sur celui-ci,un costard noir,ideux et délavé,est étendu. Mes mains pâles se posèrent sur le tissu,encore mouillé. Dois-je vraiment mettre cette chose ? Un lourd soupire s'échappa d'entre mes lèvres. La routine.

 

« Quatres mois. Deux mois,et tu pourras enfin partir de là,découvrir la beauté du monde. Tes dix-huit ans vont être la clé de beaucoup de chose,croit moi. »

 

Sans volonté,je me diriga vers la grande salle de bain,au fond du couloir. Les métres à parcourirs me paraîssaisent interminable. Mes pieds nus se glacaient de plus en plus. Après trentes secondes qui m'ont parût être des siècles, je m'arrêta enfin devant une porte en bois ciré. Je pénétra avec précipitation dans la pièce afin que tout cela se finisse rapidement :

 

« Je détéste ces foutus costards » pensais-je.

 

Sans un effort,j'enfilais mon costume. Il était tellement serré que je ne pouvais à peine bouger les bras :

 

« Je ressemble de plus en plus à un pinguin avec ça » pensais-je à nouveau en me regardant dans le mirroir face à moi.

 

Mes mains se posèrent machinalement sur la poignée en argent du tirroir se tenant à mes côtes. Celui-ci s'ouvrit sans difficulé et laissa place à plusieurs outils de coiffure.

 

« Où est ce peigne démêlant ? Et mon gel ?! » ralais-je à voix haute tout en fouillant de fond en comble le tirroir.

 

Mon coude heurta violement le bout de la commode à quelques pas de moi. Dans un cri de douleur, j'aperçu le sang couler de ma peau. Instinctement, j'attrapa la valise de secour et en sortit un pansement. Sans attendre, je retira avec agitement le papier et colla l'outil médical sur la zone endomagée.

 

« C'est vraiment une journée pourrie » grognais-je en fixant mon reflet pâle dans le mirroir.

J'attrappa dans un soupir le peigne et peigna alors mes cheveux avec vitesse avant d'ajouter une touche de gel. Je rajouta une touche de parfum masculin,ici et là. Enfin prêt,j'ouvris sans envie la porte et sortit de la pièce. Je traversa de nouveau ce couloir sans fin,les pieds glacés. Je descendis abilement les escaliers,et attrappa en bas de ceux-ci des chaussures en cuir noir que je me précipita d'enfiler. Je me dirigea ensuite vers le grand salon. Ma mère, habiller d'une robe très chic et paillettée,était en train de rire avec mon père,qui lui aussi est vêtu d'un costard,mais,au contraire de moi,trop grand :

 

« Je suis prêt père.

 

-C'est parfait. Tu vois,quand tu veux. » me dit-il d'une voix lourde de reproches.

 

Je m'efforcais alors de sourire. Sûrement le plus faux sourire que j'ai pû faire jusque ici.

 

« Je l'aurais bien tué,mais je n'ai pas envie d'aller en prison » pensais-je.

 

« Quoi que,j'y suis déjà » me murmurais-je très bas.

 

La sonnette du portail se mit soudainement à sonner. Prit par surprise, je sursauta légérement. Un bruit très perçant se faisait à présent entendre dans tout le château, ce qui fit également bondir Mirou,notre chat blanc,installé confortablement sur le vieux fauteil.

 

« Ha ! Les invités sont là. » s'exclama mon père en se levant difficilement du canapé.

 

« Nathan ! Ne peux-tu pas aller leur ouvrir,au lieu de rester cloué là ? » m'interrogea ma mère d'un regard noir.

 

J'hocha alors la tête et me dirigea,au bord du suicide,jusqu'à l'immense porte du château. Mes mains commençèrent à chercher les clés en tapotant sur le mur,à la recherche du porte-clé visiblement introuvable.

 

« Mais quel empôté celui-là !  me crit-elle,en piétinnant vers moi,la clé à la main.

 

-Sans la clé,je ne pouvais pas faire grand chose,vous savez. Fis-je remarquer.

 

-Il ose me répondre en plus de ça ! » s'exclama t-elle avant de claquer sa main contre ma joue pâle,maintenant rose.

 

J'émis un petit cri de douleur,avant de poser ma main sur ma joue douloureuse. Ma mère,fière d'elle,pénétra la clé dans la serrure de l'entrée. Un petit « clic » indiquant que celle-ci était ouverte,se fit entendre. Mes parents acceuillirent alors les invités,de nouveau souriants. Les retrouvailles faîtes,nous nous dirigions vers la salle à manger. La large table était décorée de chandelles,quelques pétales de roses,des couverts d'argent et des assiettes en vieux porcelaine. Les invités commençèrentt alors à prendre place,pendant que je me dirigeais,fatigué,vers la cuisine.

 

« Où est-ce que elle a était mettre les petits fours celle-là » me demandais-je à moi-même,en fouillant tout les coins de la pièce.

 

Avec précipitation,j'ouvris le four. Une odeur délicieuse s'en échappa,ainsi qu'une vague de vapeur qui s'étala sur mon visage. Je m'occupa donc de mettre la nourriture dans de petits bols,et les amènèrent sur la table où se déroulait l'événement. Je m'installa ensuite sur la seule chaise restante,entre deux personnes que je ne reconnaîssait pas. Leur discussion était basée sur la politique,le travail,et l'économie. Des sujets bien ennuyants,quoi.

 

***

 

Pensylvannie – Château Scherk – 1956 – 2 mois après.

 

Il était à présent dix heure du matin. Les rayons lumineux du soleil transperçant mes rideaux donnèrent une teinte bleu à la pièce. Rêveur,je fixais le plafond totalement blanc et vide,les bras croisés derrière la tête. Ce moment de rêverie me fit immédiatement repensé que je devais me lever. Mes cousins allaient arriver d'une minute à l'autre, et j'étais encore au lit. C'est alors avec difficulté que je me levais, en soupirant. J'ouvris les rideaux et me dirigea vers mon armoire. «Qu'est-ce que je vais mettre,moi,..» Mes yeux voyagèrent parmit mes vêtements à la recherche de quelque chose de potable. Ils se posèrent sur un pull rayé rouge et blanc et un jean. « Hm, ça fera l'affaire » pensais-je avant de prendre les vêtements que je posais sur mon grand lit, à quelque mètres de ma penderie. Je tournais la tête sur ma droite, en direction de ma fenêtre. Nous pouvions entendre le rire des enfants qui couraient face au château, les voix des personnes qui se mélangaient pour donner résultat à quelque chose d'incompréhensible. Je me rapprochais de cette fenêtre, et l'ouvrit. « Demain, demain je pourrais enfin sortir. J'ai tellement hâte» pensais-je tout en fixant l'extérieur. Le temps était frais, mais ça allait encore pour un mois de décembre. Je refermais tout de même la fenêtre, sans ambition, et me dirigeait vers la porte de ma chambre. La poignée de celle-ci était glaciale, mais je la tourna tout de même. J'attrapais, d'un coup de bras, mes affaires posés sur le lit et commença mon chemin vers la salle de bain. Il paraissait interminable. Après une longue minute, j'entrais dans la salle de bain. De l'humidité se colla à ma peau. J'ouvris alors la petite fenêtre ronde de la pièce afin d'aérer. Puis fit ma toilette pendant environ vingt minutes. Je ressortit ensuite de la salle de bain, propre. Je recommença mon chemin vers ma chambre, en soupirant. Mon soupire fut interrompu par un cri féminin, celui de ma mère.

 

« Nathan ! Tony et Harry sont là. Me criait-elle depuis le bas de l'immense escaliers.

J'arrive. » répondis-je en dévalant les escaliers.

 

Il ne me restait que quelque marches à franchir, mais j'entendais déjà les rires de mes cousins, résonnés dans le château. Un sourire se dessina sur mon visage, pendant que je marchais jusqu'au salon, où ils étaient installés, se chamaillant sur le large canapé. Mon regard se posa inconsciement sur les bras de Harry, le fils aîné de ma tante et mon oncle. Il était, encore une fois, couvert de bleus. Celui-ci devait l'avoir remarqué, car il abaissa en vitesse sa manche et se leva afin de faire notre tchek habituel, accompagné de son petit frère, âgé d'un an de moins que lui, Tony.

 

« Cette fois, Harry n'a pas oublié sa basse, miracle !  S'exclama Tony en regardant, un sourire moqueur sur le visage, son frère.

Hey mais, mon petit chanteur de mes deux, tu aurais pas oublié ta tête toi, par hasard ? Je l'avais déjà prise la dernière fois, ma guitare. Face d'anchois.»

 

Nous nous mîrent à rire en cœur face à la remarque du grand blond, qui prit son instrument, qu'il avait posé sur la table face au canapé.

 

«En tout cas, il faut que cette répétition soit extra, demain, notre cher Nathan a dix huit ans ! S'écria le petit blond.

 

-Ce qui veut dire que.. Je vais enfin pouvoir sortir ! Repondis-je, un sourire idiot coller au visage.

 

-Oui enfin, ne parlons pas trop vite.» Dit le plus grand.

 

Moi et Tony lui jetèrent un regard noir, auquel il répondit par un sourire gêné. Il fit ensuite un geste de la main, comme pour dire que ça n'avait aucune importance.

 

« On y va ? Demanda t-il, l'instrument à la main.

-Ouais, on y va. » Affirmais-je en sortant du salon, suivit par mes cousins.

 

Nous avions traversés le château entier, avant d'arriver au sous-sol, où ma batterie et le matériel sonnore de Tony résidaient. Cet endroit était parfait pour les répétitions, et les murs camoufflés parfaitement le bruit, qui ne gênait donc personne. Je m'installais à ma batterie, pendant Harry prépara sa basse, et son frère le micro et sa guitare éléctrique. De mon côté, je commençais à m'entraîner en faisant quelques morceaux sur la batterie, plutôt sauvagement, ce qui fit sursauter les deux garçons.

 

« C'est une batterie pas un puching ball ! S'exclama Tony, en riant.

-En tout cas, moi je suis prêt. Tony ? Le garçon interrogea son frère du regard.

-Moi aussi, je t'attendais en fait, tu vois. »

 

Les deux blonds se regardèrent avec des yeux moqueurs, puis les répétitions commençèrent enfin. Pendant plus de deux heures, nous répetions une seule et même chanson qui se devait d'être impeccable pour la semaine prochaine. La troisième heure nous servis de pause et de détente. Les deux frères n'arrêtaient pas de se dis***r pour des choses futiles, comme le fait qu'Harry ai prit le médiateur de Tony et qu'il assumait pas, ce qui énerva son petit frère.

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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