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Fiction

 

 

A book and a rose

 

 

In ations diverses


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In ations sur moi

 

Je m'appelle Eva, j'ai 16 ans... J'écoute beaucoup de musique et particulièrement le reggea... Mon idole ? Bob Marley. :) 

J'écris depuis longtemps et le lis beaucoup. Je lis beaucoup de Stephen King... J'ai adorée la trilogie Hunger Games et je m'en suis inspirée pour écrire cette fiction ! 

Il faut savoir que je suis plutôt quelqu'un de perchée... :) Voilà voilà ! 


 

 

 

Chapter 1 


 

3 Février 2084, 01h37, Banlieue Sud de San Diego.

 

Il faisait chaud, comme toujours ici, à San Diego. Une chaleur suffocante malgré que la nuit ne soit tombée sur la citadelle. Allongée à même le sol, je ne dormais pas, j'attendais... Un calme pesant régnait sur le territoire des "nu-pieds". Les "nu-pieds", c'est comme ça que nous appelaient les cossus, de l'autre côté du mur. Je me levais et jetais un regard derrière mon épaule, m'assurant que maman dormait toujours. Elle répétait constamment que j'avais les yeux de mon père ; aussi noir que la nuit... Je n'avais jamais connue mon père, abattu le jour de la Grande Révolte... Ma mère était enceinte lorsqu'il était partit derrière le mur. Il n'en était jamais revenu... Personne n'en était jamais revenu.

J'avais 16 ans. Jusqu'à mes 10 ans, j'ignorais ce qui ce trouvait derrière le mur ... Le mur, c'était une damnation... Le mur, c'était l'interdit. On n’avait pas le droit d'aller voir de l'autre côté. Pourtant, l'inconnu m'attirait comme un aimant... Cette nuit, j'avais décidée d'enfreindre les lois et d'escalader le mur. La convention numéro 5, je la connaissais sur la pointe des doigts, faute de nous l'avoir rabâchée à longueur de journées. "Mur de silex vous ne franchirez, de l'autre côté vous n'irez jamais."

Cette belle nuit de Février, j'avais décidée de ne plus vivre dans l'ignorance. Les bidons-ville de la banlieue Sud de San Diego étaient tout ce que j'avais jamais connu. Je connaissais l'endroit comme ma poche... Pourtant, jamais personne ne c'était sentit réellement en sécurité ici. La confiance était inexistante, la méfiance toujours présente.

Je m’éloignais dans l'obscurité, pressant le baluchon que j'avais improvisé contre ma poitrine. A l'intérieur, j'avais mis quelques bibelots nécessaires à ma survie. Une dague, une tranche de pain et une lampe torche ainsi qu'une corde le tout enveloppé dans un épais lainage.

 

Je progressais rapidement, sans me retourner. Avec un peu de chance, je serais de retour avant le lever du soleil... Maman ne saurait jamais que j'aurais violé le traité.

Quand j'aurais franchis le mur, je serais une criminelle... Si j'étais prise, je risquais le bannissement. 

A mesure que j'avançais, un nœud se ait dans ma gorge, me donnant l'impression de suffoquer. J'avais le dos courbé, les épaules basses, écrasée par le poids de la culpabilité. Essayer de me convaincre que je ne faisais rien de mal ne faisait qu'envenimer les choses. Mon cœur battait la chamade... Il tambourinait si fort dans ma poitrine que je crains de me faire prendre. A cette idée, j'accélérais le pas...

Soudain... BAM 

Je rentrais de plein fouet dans un homme.

Mon souffle se figea. Je levais lentement le regard vers l'inconnu, le souffle coupé. Il était grand... Il avait de petits yeux sombres bordés par d'interminables cils. Dans l'obscurité, il me sembla qu'il avait les cheveux noirs corbeau… Un visage anguleux aux traits durs. 

J'eu un mouvement de recule. Je remuais frénétiquement les lèvres, terrifiée. Un cerbère ? Ou alors un de ces détraqués qui courait les rues ? 

Je pinçais les lèvres. Il fronça les sourcils et jetait un coup d'œil derrière son épaule. Je profitais de se court instant d'inattention pour plonger ma main dans mon baluchon et en tirer mon canif. 

Il haussa les sourcils et recula d'un pas. 

"- Eh, doucement ma jolie, tu vas t'blesser..."

Je déglutis péniblement et agitais mon arme, mettant de la distance entre nous, les dents serrées.

"- Allez, baisse ça, j'te veux aucun mal...", continua-t-il.

Un sourire effleura ses lèvres et j'eu tout juste le temps de fermer les yeux avant d'être projeté au sol.

 

 

Alors ? Suite, pas suite ?

 

 

 

 

Chapter 2


 

3 Février 2084, 6h51.

 

Quand je repris connaissance, j'étais dans un hangar excommunié... Un atelier révolu dont l'enseigne "Alpina" clignotait toujours. 

Je me redressais péniblement, les lèvres serrées et balayais l'entrepôt du regard. Je voulu me lever mais une vive douleur me cloua au sol. Je relevais mon tee-shirt et gémissais en faisant glisser mes doigts le long de mon abdomen. 

Aucune blessure visible... J'étais pourtant incapable de me lever. 

Je frissonnais malgré la chaleur accablante qui régnait sur le territoire et bientôt, je cédais à la pani’que et je m'agitais sur le sol froid et sale du hangar. 

"- A l'aide ! M’époumonais-je, aidez moi, j'suis blessée !"

J'avais l'estomac noué. 

Soudain, un bruit de pas se fit entendre. C'était insensé, les nu-pieds ne portaient pas de chaussures, faute de moyens pour obtenir les matériaux nécessaires à leur fabrique... Mon sang se glaça. Se pouvait-il que je sois passée de l'autre côté du mur ? 

Je me sentis pâlir. 

"- Réveillée ?", jaspina une voix féminine derrière mon dos. 

Je me retournais avec difficulté pour voir son visage. Elle était d'une beauté à couper le souffle. Des yeux ambrés, une peau hâlée parsemée de quelques tâches de rousseur et de belles boucles brunes qui reposaient sur ses épaules carrées. Je glissais mon regard vers ses pieds, affublés de bottines de cuir.

"- Qui êtes vous ? Où m'avez-vous emmené ?", m'empressais-je de demander. 

La brune sourit. 

"- C'est moi qui pose les questions ma chérie." 

Mon cœur manqua un battement. La brune m'agrippa par les cheveux et me tira vers le haut, me forçant à me lever. Je poussais un cri, une douleur insoutenable me transperçant le bas-ventre.

"- Alors... Qu'est-ce qu'une jeune fille comme toi vient faire du côté du mur en pleine nuit ?

- Je me promenais.", je gémissais. Une larme coula sur ma joue.

Son visage se durcit. 

"- Mauvaise réponse. Tu viens d'épuiser ton premier et dernier joker. Es-tu une espionne des cerbères ?"

Je serrais les dents et secouais la tête.

"- Non..., lâchais-je, je voulais voir... Je voulais voir ce qu'il y avait de l'autre côté du mur... Je le jure !

- Ton nom.

- Abella, j'm'appelle Abella..."

Elle lâcha prise et je retombais sur le sol. 

J'essayais de me lever mais elle me vissa au sol d'un coup de pied dans le thorax. Ma vue se troubla... Un flot de paroles confuses m'égratignait les tympans. Je grimaçais et fermais les yeux, couchée en chien de fusil. Puis je perdis connaissance. 

 

 

 

Voilà le deuxième chapitre... Je vous avoue que je le trouve pas terrible... Mais il est là ! La suite à 10 abonnés... 

 

 

 

 

Chapter 3

 

 

3 Février 2084, 8h27.

 

Je me réveillais allongée sur un matelas. Encore un luxe que seul ceux qui vivaient de l'autre côté du mur avaient les moyens de se payer... A l'école, on nous avait racontés l'époque où l'égalité faisait la force du peuple. Je me souviens des regards pétillants d'envie de mes camarades. Le mien semblait produire des éclairs, la flamme de la vengeance chatoyant dans mon regard sombre.

J'étais enfermée dans ce qui ressemblait à un cachot.

Je me redressais en serrant les dents. Il me semblait avoir perçu plusieurs voix avant que je ne sombre dans l'inconscience.

J'appuyais ma main sur mon ventre douloureux, le souffle court. Il fallait que je sorte de là avant qu'ils ne reviennent...

Je me levais péniblement et fut parcourue d'un frisson lorsque mes pieds entrèrent en contact avec le sol froid de ma prison.

Soudain, j'entendis des bruits de pas précipités. Mon sang ne fit qu'un tour et je me ruais vers le fond de la caverne où j'étais confinée.

J'étais prise au piège... Je me laissais glisser contre le mur, terrifiée et ramenais mes genoux contre ma poitrine, le regard rivé sur les grilles qui me séparaient de la liberté.

La première personne que je vis fut cette femme...

Je reculais encore et ma tête se heurta au mur. J'aurais voulue qu'il m'avala.

Deux hommes se placèrent de chaque côté de la jeune femme... Je reconnue le type qui m'avait emmener ici. Ses cheveux étaient en fait bruns et noués en une queue-de-cheval.

L'autre semblait plus âgé. Ses cheveux violines tombaient sur ses épaules. Une balafre traversait son visage... Il avait de fines lèvres gercées et ses yeux semblaient presque ivoirins. Il me dévisageait avec suspicion.

"- Qu'est-ce-que tu veux faire d'elle ?", demanda le brun. Son regard était rivé sur moi.

La femme secoua négativement la tête et un sourire malsain se dessina sur le visage de l'homme aux cheveux couleurs parme. Il tira sur la grille qui me séparait d'eux et plongea la main dans sa poche sans me lâcher du regard pour en sortir un canif.

Un spasme de terreur secoua ma poitrine.

Il avançait avec la grâce d'un félin d'un pas lent et léger sur les dalles de marbre. Il était le prédateur, j'étais sa proie.

Une évidence s'imposa soudain à moi... J'allais mourir.

Je serrais les dents et réprimais mes larmes. J'étais tétanisée, attendant patiemment ma mort. Mon regard glissa sur le brun qui ne détachait pas son regard de moi.

Il y avait cette chose dans le regard... Quelque chose de rassurant, de sain. Je devinais le miens emplit de terreur et d'incompréhension.

Soudain, mon agresseur me saisit la cheville et me tira vers lui. Je fermais les yeux...

"- C'est vraiment nécessaire ?", s'éleva la voix rauque du jeune brun. Je rouvrit les yeux... Je n'étais pas morte. Pas encore du moins.

Le type aux cheveux violets c'était tourné vers le brun et ils débâtaient à mon sujet. Devais-je vivre ou mourir ?

"- Qui vous dit qu'elle ment ?", il plissa les yeux et jeta un coup d'œil en ma direction.

"- Après tout elle est des nu-pieds, pourquoi serait-elle une traitre ?", continua t-il.

"- Putain Evgeny elle a vue nos visage, tu sais ce qu'il se passerait si elle allait nous dénoncer ?!", s'impatienta l'autre en triturant le manche de son opinel.

"- Mais on ne peut pas tuer une innocente ! Et si elle était des nôtres ?

- Alek a raison... On ne peut pas laisser cette petite s'en aller et révéler notre existence... Elle n'a rien d'une traite, c'est une ignorante mais il est trop tard...", expliqua doucement la jeune femme.

"- Alors vous allez la tuer comme on a tué les nôtres il y a 16 ans ? Sans aucune raison valable ? Dois-je vous rappeler que c'est contre ça qu'on se bat ?!

- Merde Evgeny et si cette idiote est pas foutue de tenir sa langue, t'y a pensé à ça ? C'est pas une raison suffisante pour toi ?!", s'emporta-t-elle.

J'en avais assez qu'on parle comme si je n'étais pas là. Je décidais donc de prendre à mon tour la parole.

"- Mon... Mon père c'est fait tué le jour de la Grande Révolte. Il faisait partit des militant."

Tout les regards se braquèrent sur moi. Je prit une profonde inspiration, décidée à sauver ma peau. J'avais compris que ces personnes étaient des militants. Ils étaient de ceux qui criaient vengeance... Ils étaient de ceux qui voulaient se battre. Une organisation secrète qui avait pour seul but de déclencher une seconde guerre et de vaincre.

Ils reproduisaient le même schéma que 16 ans auparavant sans réaliser qu'ils fonçaient droit dans le mur... La folie de conquérir, mon père l'avait entretenue... Il en était mort.

 

"- Moi aussi je... Je suis venue pour me battre."

 

 

 

Le voici, comme promis... Désolée pour ma longue absence, j'avais des problèmes d'ordre personnels à gérer mais je serais beaucoup plus présente pendant toute la durée des vacances. J'écrierais autant que possible et je vous promet au moins un chapitre toute les semaines si ce n'est pas plus. Voilà voilà ! Je m'excuse mille fois et j'espère tout de même que ce chapitre vous aura plus... :) Je posterais la suite très bientôt ! 

 

 

 

 

Chapter 4

 

4 Avril 2084, 13h54, appartements d'Evgeny 

 

En l’espace d’un mois, j’étais passée du statut de potentielle source d’ennuis à éliminer à celui d’allier.

J’étais au centre de toute les discutions, les polémiques à mon sujet faisait rage au sein du groupe.

Alors que je pensais qu’ils n’étaient que trois, ils étaient plus de 2000 à vivre dans la clandestinité, à l’abri des regards... Le repère se trouvait sous terre. Les installations avaient été méthodiquement structurées au file des années…

Kaya, m’avait enseignée leurs valeurs et les règles qu’ils avaient mises en place. Je faisais à présent partie intégrante de leur société secrète.

Je m’étais liée d’amitié avec Kaya… Elle avait 31 ans et entraînait les combattants. Toutes ces années d’entraînement avaient un objectif commun à tous, ici : se battre, vaincre. Depuis maintenant plus de 15 ans, les enfants étaient és dès leur plus jeune âge, atés pour gagner. Le jour de leurs 18 ans, ils étaient ensuite considérés comme de véritables soldats révolutionnaires et apprenaient à manier les armes, quelle qu’elles soient.

Evgeny et moi avions développés une amitié fusionnelle qui déplaisait. Je lui devais la vie. Sans lui, Alek m’aurait tuée.

Quand à ce dernier, il semblait me haïr… Evgeny disait qu’il était juste un peu saumâtre.

Cet endroit était inquiétant car une bombe à retardement résidait en lui, mais aussi sécurisant. Cette sécurité, je ne l’avais jamais ressentie autre part qu’ici.

« - Qu’est-ce-que tu penses de ça ? »

Je montrais fièrement à Evgeny un dessin que j’avais fais. Je m’étais habituée au luxe de ces matériaux dont les nu-pieds ne disposent pas. Du papier et un crayon faisait mon bonheur, ce qui amusait Evgeny.

« - Je pense que tu peux faire mieux. », répondit-il sans lever les yeux vers moi.

« - Mais tu n’as même pas regardé !

- Possible… »

Déçue, je froissais mon dessin et me levais en soupirant.

« - Tu pourrais me rendre un service ma belle ? », demanda Evgeny.

Je voulue rétorquer qu’il pouvait aller se faire voir mais au lieu de ça…

« - Ouais… », je maugréais.

Il leva enfin les yeux et sourit.

« - Merci princesse… J’ai besoin d’Alek pour l’entraînement de demain… Tu pourrais aller le chercher ? »

Je soupirais.

« - Tu sais bien qu’il me déteste…

- Abella… Je te demande pas de lui parler de la pluie et du beau temps… Vas juste lui dire que j’ai besoin de lui parler… »

Je pinçais les lèvres et passait fébrilement une main dans mes cheveux.

« - Bon, ok… »

Il me fit un clin d’œil et je levais les yeux au ciel avant de fermer la porte. Je zigzaguais dans les couloirs, cherchant Alek.

J’arrivais dans le sombre entrepôt où j’avais été interrogée et ma gorge se serra. Cet endroit me rappelait tout les jours l’impassibilité et la violence dont avait fait preuve Kaya, pensant que j’étais une espionne.

Ils n’auraient eu aucun scrupule à m’éliminer… Comme si ils étaient dénués de sentiments. La vie était rude, ici. Au moindre faux pas, s’en était finit de votre vie… Les règles étaient inflexibles.

Un frisson parcourut mon échine et je déglutis péniblement. Je m’apprêtais à m’en aller quand je le vit. Alek. Debout dans l’obscurité, il semblait m’attendre, les bras le long du corps, le visage inexpressif, le regard éteint.

Peut-être aurais-je du dire à Evgeny que je ne l’avais pas trouvé… Je ne distinguais pas son visage mais devinais qu’il me fixait.

Je restais planté là pendant quelques secondes, immobile.

« - Qu’est-ce-que tu fais là ? », demanda t-il d’une voix rauque.

Je prie mon courage à deux mains et ravalais ma peur.

« - Evgeny veut te voir… Il… Il dit que c’est pour l’entraînement de demain… Je crois… », Bafouillais-je.

Alek avança vers moi dans la pénombre de cette même démarche nonchalante que ce jour où il avait bien faillit me poignarder sans la moindre once d’hésitation.

« - Il n’y a pas d’entraînement demain. »

Je m’apprêtais à répondre lorsqu’il se rua sur moi et me plaqua contre le mur avec une force qui me coupa le souffle.

« - Je sais qui tu es… Et tu n’es pas des nôtres… Alors un conseille chérie, tu devrais pas traîner par ici si tu veux pas finir la gorge tranchée. »

Il caressa la courbe de ma gorge et un sourire carnassier étira les commissures de ses lèvres. Son visage était à quelques centimètres du miens et je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres.

« - T’as de la chance d’être la p’tite protégée d’Evgeny… »

Il me libéra et je vacillais.

« - Si tu parles de ça à qui que ce soit, tu le regretteras… Maintenant dégage. »

Mon sang ne fit qu’un tour… Je reculais, terrifiée et me mise à courir. Je courrais à en perdre haleine à travers les couloirs, le cœur battant…

 

Il faillait que je m’en aille… Il faillait que je sorte d’ici.

 

 

 

Voilà le chapitre 4 ! Très honnêtement je suis pas très satisfaite par ce chapitre... Bref, j'espère quand même qu'il vous aura plu... Je dis un grand merci à tout mes abonnés, vos commentaire sont très encourageant. :) 

 

 

 

 

 

Chapter 5

 

 

 

4 Avril 2084 14h13, point de vue Evgeny

 

 

J'avais toujours vécus ici... Un orphelin, comme la plus part, ici... Alek et moi on ce connaissait depuis ce fameux jour... Le jour de la Grande Révolte. J'avais 5 ans, il en avait 9... Nous étions deux gamins perdus parmis une centaine d'orphelins. Les hommes étaient partient en première ligne... Quelques femmes c'étaient mêlées à eux... Ma mère et celle des 108 autres orphelins en faisait partie. 

Alek ne c'était jamais complètement remit de la mort de sa mère. Personne ne s'en était jamais remis. Plus de 16 ans après le drame, les cauchemars persistaient et les souvenirs des défunts semblaient hanter les lieux.

Je pris une profonde inspiration et me redressais, écoutant le silence pesant qui s'insinuait doucement en moi. Je me levais, la gorge nouée et jetais un coup d'oeil à ma montre. 20 minutes qu'Abella était partie... Que faisait elle bon sang ?


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