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Sous doll de Zannia

 

Sur ce compte je vais vous parlez du 13ème Disney :

Alice au Pays des Merveilles !!

 

Je vais parler des personnages du dessin animé et pas des films car même ils sont très bien réalisé tous les deux c’est le dessin animé qui a bercé mon enfance !

 

Donc pour le moment je vais en présenter que quelque uns que j’approfondirais plus tard, les présentations seront accompagnées d’illustration. Bon lectures à vous. 

préférance pour: le chat de Chershire, le Livre de mars et le chapelier toquer

Alice

Cette fillette née dans une famille de la bourgeoisie anglaise est l'héroïne du 13e Grand Classique des studios Disney. Alice est une petite fille blonde, portant une robe bleue et un tablier blanc. Elle se révèle être une enfant bien éduquée et très polie, qui écoute sagement ce que les personnages qu'elle rencontre ont à lui dire, tentant de les comprendre même lorsque leurs propos n'ont ni queue ni tête. Mais cela n'empêche pas sa trop grande curiosité de prendre souvent le dessus...

Au début du Grand Classique, Alice, petite fille à l’imagination féconde, s'ennuie lorsque sa grande sœur lui lit sa leçon d’histoire écrite sur un ouvrage « qui n’a même pas d’images ». Elle préfère jouer avec sa petite ***, Dinah, puis flâner dans les champs en songeant, rêveuse, à un ailleurs meilleur, plus excitant. Très vite, l’attention de la petite fille est attirée par un lapin, vêtu comme un humain, et obnubilé par la montre à gousset qu’il tient dans sa main, se plaignant d’être terriblement en retard. 

 

"La curiosité est un bien vilain défaut". Voilà le dicton populaire qu’Alice aurait dû garder à l’esprit avant d’emboîter le pas au Lapin Blanc, de pénétrer dans son terrier puis de se lancer à sa poursuite au cœur du Pays des Merveilles

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 En effet, après une chute vertigineuse dans le terrier du lapin pressé, Alice se retrouve à l’entrée du Pays des Merveilles. Sur le seuil de ce monde onirique, la fillette rencontre une Poignée de porte animée, gardien de l’entrée du Pays des Merveilles. C’est ce personnage qui initie Alice à la magie de cet univers nouveau pour elle en lui indiquant une table où se trouvent des gâteaux et une petite fiole de potion… La boisson, dont Alice prend une petite gorgée, la rapetisse de façon spectaculaire, lui permettant de franchir la porte d’entrée… Problème, la clef est restée en hauteur sur la table… Heureusement, la fillette a gardé sur elle l’une des sucreries dont une seule petite bouchée permet de grandir de façon démesurée. Devenue géante, la situation d’Alice ne s’est pas améliorée car désormais elle est bien trop gigantesque pour franchir la porte du Pays des Merveilles, ce qui la plonge dans un profond état de tristesse. Fondant en larmes, Alice remplie de liquide lacrymal la pièce gardée close par la Poignée de porte qui est forcée d’ouvrir bien grand sa bouche pour en écouler le flot. C’est l’opportunité que va saisir la petite fille : buvant une nouvelle gorgée du breuvage magique, elle rapetisse de nouveau et, dans la fiole, dérive de l’autre côté de la porte d’entrée du Pays des Merveilles.

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Le Lapin Blanc et la Poignée de porte sont les premiers habitants saugrenus du Pays des Merveilles que la petite anglaise rencontre mais sûrement pas les derniers ! Lors de son périple dans le royaume du merveilleux et de l’absurde, elle rencontre en effet un grand nombre de personnages loufoques dans leur comportement, incohérents dans leurs propos, en somme totalement fous ! C'est ainsi qu'elle rencontre un Dodo, les jumeaux Tweedle Dee et Tweedle Dum, des Fleurs chanteuses, une Chenille fumant le narguilé, un Chafouin excentrique, le Chapelier Toqué et le Lièvre de Mars célébrant sempiternellement leur non-anniversaire ou encore la cruelle Reine de Cœur, souveraine du Pays des Merveilles, qui la condamnera plusieurs fois à avoir la tête coupée...

 

Alice ne semble guère être amusée par ses rencontres avec tous ces personnages plus cinglés les uns que les autres. Il faut dire que certains d’entre eux ne lui prêtent aucune attention particulière (comme le Lapin Blanc qui ne semble jamais véritablement la remarquer ou la Chenille qui se lasse très vite de leur discussion), d’autres s’en prennent ouvertement à elle (comme les Fleurs lorsqu’elles se rendent compte qu’Alice n’est pas l’une d’entre elles ou la femme Oiseau qui couve ses œufs perchée sur la branche d’un arbre et la prend pour un serpent) ou cherchent à lui nuire (comme le Dodo qui est prêt à la brûler vive ou le Chafouin qui met tout en œuvre pour que la fillette soit condamnée à la décapitation par la terrible Reine de Cœur). C’est pour ces raisons que la petite fille va très vite déchanter et regretter d’avoir succombé à la tentation de la curiosité : perdue dans la Forêt de Tulgey, la petite fille fond en larmes et ne rêve plus que d’une chose, retrouvée sa tranquille campagne anglaise, voire ses leçons d’histoire.

Outre les rencontres saugrenues, c’est aussi la magie qui se trouve au cœur du périple d’Alice dans le Pays des Merveilles. La fillette va plusieurs fois changer de taille, être confrontée à d’invraisemblables animaux, voir un chat apparaître et disparaître à volonté, totalement ou membres après membres, emprunter des passages secrets qui s’ouvrent au milieu du tronc d’un arbre…

Le périple d’Alice dans le Pays des Merveilles se termine d’une façon particulièrement brutale, dans un tribunal. Accusée à plusieurs reprises d’avoir ridiculisé la Reine de Cœur, la fillette est condamnée à avoir la tête coupée. Elle ne parvient à fuir la salle d’audience du procès qu’in extremis et avec la Reine de Cœur, sa garde et une partie de ses sujets à ses trousses. La course-poursuite prend fin dans un tunnel de fumée psychédélique lorsqu’Alice se retrouve face à la Poignée de porte qui lui révèle que tout ce qu’elle vient de vivre n’était qu’un songe, qu’elle n’a jamais quitté les vertes campagnes anglaises.

 

Réveillée, Alice semble définitivement guérie de ses accès de curiosités… Comme quoi, une mauvaise expérience vaut mieux qu’un bon conseil ! 

Zoom sur…  Dans l’œuvre original

La jeune héroïne du 13e Grand Classique des studios Disney ressemble en bien des points à la petite fille créée par l’auteur britan*** Lewis Carroll (pseudonyme de Charles Lutwidge Dogson), principale protagoniste de deux de ses plus célèbres romans, Alice au Pays des Merveilles (Alice in Wonderland, 1865) et De l’autre côté du miroir (Through the Looking-Glass, 1871), illustrés par John Tenniel.

 

L’héroïne de ces deux romans est directement inspirée de la petite fille d’un des meilleurs amis de la famille Carroll,  Alice Pleasance Liddell, pour qui l’écrivain entrepris à l’origine la rédaction de ces aventures oniriques.

Zoom sur … Les personnages rencontrés par Alice

La plupart des personnages rencontrés par Alice lors de son périple au Pays des Merveilles sont tout droit sortis de l'œuvre de Lewis Carroll, en particulier de deux de ses romans Alice au Pays des Merveilles (Alice in Wonderland) et De l'autre côté du miroir (Through the Looking-Glass). Ce tableau résume l'origine des personnages :

Personnages apparaissant dans Alice au Pays des Merveilles 

Personnages apparaissant dans De l'autre côté du miroir 

Personnages créés par Disney et n'apparaissant pas dans l'oeuvre de Carroll 

Le Lapin Blanc 

Tweedle Dee et Tweedle Dum 

La poignée de porte 

Le Dodo 

Le Morse 

Les animaux de la forêt de Tulgey 

Bill le Lézard 

Le Charpentier 

 

La Chenille 

Les Huîtres

 

Le Chafouin (Chat de Chester)

Les Fleurs

 

Le Chapelier Toqué

Le Chapelier Toqué (sous le nom de "Hatta")

 

Le Lièvre de Mars

 

 

La Reine de Coeur

 

 

Le Roi de Coeur

 

 

Le Lapin Blanc est un personnage d'Alice au Pays des Merveilles, le 13e Grand Classique des studios Disney. C’est lui qui mène, bien involontairement, Alice au Pays des Merveilles.

Alors qu'Alice se met à rêvasser pendant que sa sœur lui lit sa leçon d'Histoire, la jeune fille aperçoit un lapin vêtu comme un humain qui tient à la main une grosse montre à gousset et court en se lamentant à tue-tête qu'il est en retard. Elle se lance alors à sa poursuite en pénétrant à plat-ventre dans son terrier et atterrit au Pays des Merveilles après une chute vertigineuse et interminable.

Une grande partie du film retrace alors la poursuite du Lapin Blanc par Alice. La fillette recroisera sa route à trois reprises.
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Elle le retrouve tout d'abord dans sa "jolie petite maison". Obnubilé par son prétendu retard, il la prend pour sa domestique, une certaine Marianne, et lui ordonne d'aller lui chercher ses gants. Alors qu'Alice fouille dans sa chambre à la recherche des gants oubliés, elle trouve des biscuits et décide d’en goûter un. Il la fait grandir de façon démesurée ce qui a pour conséquence de la rendre prisonnière de la maison… Ses bras et ses jambes gigantesques sortent de la maison et poussent le lapin, inquiet de sa lenteur et donc venu à sa rencontre à l’intérieur, à fuir à toutes jambes. Le Lapin croit que sa maison est occupée par un terrible monstre et fait appel au Dodo, qui passait par là, pour le déloger... Le problème est que le Dodo n’a pas le sens de la mesure et décide très vite de mettre le feu à la maison, malgré les vives protestations du Lapin Blanc qui voit sa charmante maisonnée sur le point d’être totalement détruite, comme l’ont déjà été la porte de son jardin, une partie de son mobilier ou son perchoir à moineaux…. Heureusement pour lui, Alice croque dans une des carottes du jardin du lapin et rétrécit immédiatement.

Le Lapin Blanc réapparaît un peu plus tard lors de la scène du non-anniversaire organisé par le Chapelier Toqué, le Lièvre de Mars et le Loir. Les compères examinent sa montre et constatent qu'elle retarde de deux jours... Le Chapelier tente de la réparer à sa façon en y mettant du beurre, du thé, deux cuillères à sucre, de la confiture et un peu de citron. La montre, cadeau de l'oncle Jeannot reçu à l’occasion de l’un des non-anniversaires du Lapin Blanc, tremble, s’agite, bref devient folle ! Elle finit par rendre l’âme sous les coups de maillet frénétiques assénés par le Lièvre de Mars.
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Finalement, Alice découvre que le Lapin Blanc, qui a eu le temps d’enfiler sa tenue de travail, est en fait une sorte de laquais, chargé d'annoncer très officiellement l'arrivée de la Reine de Cœur… et accessoirement celle de son freluquet de mari, le Roi de Cœur. C’est, sans nul doute, cette importante responsabilité auprès de la souveraine du royaume qui expliquait l’empressement du Lapin Blanc. Sa fonction veut que ce soit lui qui, à l’aide de sa trompette, introduise la partie de croquet puis le début du procès d'Alice. C’est en effet lui qui rappelle à la cour les faits reprochés à la jeune prévenue.

Le Lapin Blanc est sans nul doute le plus sensé des personnages qu'Alice rencontre au cours de son périple au Pays des Merveilles. En effet, il ne poursuit qu'un seul et u*** but du début à la fin du film, être à l'heure à son travail ! Nul autre habitant du royaume ne peut prétendre être aussi responsable ! A l’inverse, il manque sérieusement de caractère et se laisse souvent débordé par ses loufoques compagnons. Ainsi, il se révèle à plusieurs reprises totalement impuissant à s'imposer face aux autres personnages, comme lorsque le Dodo décide de brûler sa maison, ou lorsque le Chapelier Toqué et le Lièvre de Mars détruisent sa montre.
zoom sur... Dans l'oeuvre original 

Le Lapin Blanc est l’un des plus célèbres personnages créés par l’auteur britan*** Lewis Carrol dans son roman Alice au Pays des Merveilles. Comme dans le Grand Classique de Disney, c’est ce lapin – qui ici a des yeux roses – qui porte un gilet et possède une montre à gousset qu’il ne quitte pas des yeux, persuadé qu’il est d’être constamment en retard, qui attire l’attention de la jeune Alice et, en suscitant sa curiosité, la conduit bien involontairement à pénétrer dans le Pays des Merveilles. Il y a finalement très peu de différences entre la Lapin Blanc de Carroll et celui de Disney, saut peut-être que l’auteur britan*** utilise le personnage pour insister sur le fait qu’au Pays des Merveilles le temps est totalement déréglé, ce qui explique que, quoi qu’il se passe, le personnage craint toujours d’être en retard…

Ce personnage est devenu une icône, le symbole d’un être qui crée l’aventure en suscitant la curiosité puis sert, bien malgré lui, de guide à celui qui le suit. Nombreuses sont en effet les œuvres, particulièrement cinématographiques, qui ont fait référence au Lapin Blanc d’Alice au Pays des Merveilles : citons, sans souci d’exhaustivité, la saga Matrix (Neo, qui entre dans la Matrice, reçoit le conseil suivant « Suis le lapin blanc »), le film Donnie Darko de Richard Kelly…

Le Chafouin est le chat à rayures roses et mauves et aux yeux jaunes que rencontre Alice lors de son séjour au Pays des Merveilles. Totalement cinglé, il est l'un des personnages les plus excentriques du film dans lequel il apparaît à plusieurs reprises, dans des moments cruciaux où Alice est perdue et ne sait où aller. Il semble, tout au long du film, prendre un malin plaisir à jouer de vilains, voire méchants, tours à la fillette.

Doté de la capacité de disparaître et de réapparaître à volonté, entièrement ou certains de ses membres indépendamment des autres, le Chafouin fait irruption pour la première fois – ou plutôt son seul sourire dans un premier temps – en chantant une chanson sans queue ni tête, alors qu'Alice cherche la trace du Lapin Blanc qu’elle a perdu depuis un certain temps, à l’orée de la Forêt de Tulgey. Commence alors un dialogue totalement saugrenu au cours duquel il mène Alice en bateau sans jamais lui donner de véritables réponses aux questions qu’elle s’entête cependant à lui poser et en lui indiquant une direction à suivre puis une autre totalement opposée quelques instants après.

Tout au long de cet échange, le chat n’a de cesse de faire des pitreries et des acrobaties. Après un certain temps de discussion ne menant nulle part, le Chafouin finit par conseiller à Alice d'aller rendre visite au Chapelier Toqué et au Lièvre de Mars, deux personnages au moins aussi fous que lui !

Le Chafouin réapparaît plus tard, lorsqu'Alice, qui a perdu son chemin dans la forêt de Tulgey, a fondu en larmes. Il lui indique alors, en actionnant la branche d’un grand arbre tel un levier, un raccourci qui mène directement au Royaume de la Reine de Cœur, la seule capable selon lui de permettre à la fillette de rentrer chez elle, ce qu’elle désire désormais plus que toute autre chose. La petite fille curieuse décide d’emprunter le passage ouvert par le Chafouin alors que celui-ci a de nouveau disparu tel qui était apparu, c’est-à-dire sans crier gare.

Lors de la partie de croquet organisée par la Reine et qui la voit s’opposer à Alice, il se montre de nouveau, mais seule la petite fille blonde remarque sa présence. Très vite, la Reine de Cœur s’impatiente de ne pas apercevoir le chat dont son adversaire au croquet essaye de démontrer la présence, en vain car le Chafouin ne cesse de disparaître à chaque fois que la souveraine pourrait le voir. Les facéties du chat ne s’arrêtent pas là : il fait en effet en sorte que le bec du flamant vert que la reine utilise comme maillet se prenne dans sa robe, ce qui a pour conséquence, lorsque son tour de jouer arrive de nouveau, de provoquer sa chute la tête la première. Pire, celle-ci se retrouve en jupons devant une bonne partie de sa garde et de ses sujets ce qui provoque chez la déjà très colérique Reine de Cœur dans un accès de rage terrible la poussant à réclamer la tête d’Alice, souffre-douleur idéal. Seule l’intervention tout en douceur du Roi de Cœur qui suggère qu’Alice a le droit à un procès avant toute sentence permettra à la fillette de gagner du temps…
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La dernière apparition du Chafouin intervient justement lors de ce fameux procès. Comme lors de la partie de croquet, le Chafouin s’amuse à apparaître et disparaître à chaque fois que quelqu’un d’autre qu’Alice, notamment la Reine alors présidente du tribunal, pourrait le voir. Il provoque un nouvel incident car, en entendant Alice déclarer que le chat est dans la salle d’audience, le Loir qui a une peur pa*** des félins se met à courir dans tous les sens. Le Chapelier Toqué et le Lièvre de Mars se lancent à sa poursuite pour essayer de lui mettre de la confiture sur le museau, la seule façon de calmer le Loir… Malheureusement pour la Reine de Cœur, c’est elle qui finit par recevoir la confiture au visage et même un coup de marteau accidentel de la part de son mari. Comme à son habitude lorsqu’elle est en colère, elle crie qu’elle veut couper la tête du coupable. Encore une fois, c’est Alice qui endosse le rôle de la coupable idéale, les sujets de la Reine de Cœur lui transmettant habilement et le marteau et la confiture !

Pour tenter de s’en sortir indemne, Alice croque dans le champignon qu’elle gardait sur elle et qui la fait immédiatement grandir démesurément. En position de force, elle entreprend alors de dire à la Reine ce qu’elle pense véritablement d’elle, c’est-à-dire qu’elle est « vielle, pompeuse, tyran***, méchante, grossière et laide », des adjectifs extrêmement péjoratifs que le Chafouin s’empresse de répéter à haute voix une fois qu’Alice a retrouvé sa taille normale… Pour la Reine de Cœur c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase et la pousse à poursuivre Alice, suivie par sa garde, avec pour seul but d’enfin lui couper la tête.
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zoom sur.. Dans l'oeuvre original

Le Chafouin est un personnage issu de l’imagination débridée de l’homme de lettres britan*** Lewis Carroll. Dans son œuvre, ce chat farfelu est un orateur de qualité qui use souvent d'une rhétorique débridée voire surréaliste qui trouble Alice. La folie du chat est toutefois plus apparente que réelle dans le roman, alors qu’elle semble bien véritable dans le Grand Classique Disney, et il passe pour l'un des rares personnages pourvus de raison au sein du Pays des Merveilles. Pour l’écrivain, le chat du Cheshire est le reflet imaginaire de la *** d’Alice, Dinah, que ne l’a pas suivi au Pays des Merveilles.

Pour le reste, les artistes Disney ont été assez fidèles au personnage créé par Carroll : le chat a bien, par exemple, la faculté d'apparaître et de disparaître selon sa volonté, entièrement ou par morceaux (la scène du Grand Classique montrant le chat disparaître totalement à l’esception de son sourire est ainsi une adaptation totale d’une scène du roman). Ce don pour la disparition/réapparition est inspiré de la tradition du fromage de Chester, modelé selon la légende en forme de chat souriant et consommé à partir de la « queue », ne laissant peu à peu que subsister le « visage » du « félin ».

A noter que la chanson entonnée par le Chafouin lors de sa première apparition dans le long-métrage des studios Disney reprend les paroles exactes de la première et de la dernière strophe d’un des plus célèbres poèmes de Lewis Carroll, apparaissant dans son roman De l’Autre Côté du Miroir, deuxième volet des aventures de la jeune Alice :
« Fleurpageons Les rhododendroves Gyrait et vomblait dans les vabes, On frimait vers les pétunias et les momerates embradent. ».
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zoom sur... Le nom du Chat 

Dans la version originale, le personnage se nomme « The Cheshire Cat », en référence au comté de Cheshire au nord-ouest de l'Angleterre, d'où était natif Lewis Carroll, l'auteur de l'œuvre romanesque qui inspira le 13e Grand Classique des studios Disney. Le comté anglais s'appelait autrefois comté de Chester (du nom de son chef-lieu administratif) et le chat est pour cette raison parfois nommé « The Chester Cat », terme traduit par « Chat de Chester » en version française.

Néanmoins, si l'on se base sur les propres déclarations du chat bariolé, il se considère comme un « Chafouin », terme français du XVIIe siècle composé des mots « chat » et « fouin » (à l'origine le mâle de la fouine) signifiant « rusé » ou « sournois ». Un adjectif qui colle parfaitement avec le caractère du personnage !

A noter que le chat ne fait aucune référence à ses origines anglaises dans la version francophone du film.

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