Tellement besoin de parler. Je suis dépréssive au 44éme degrès la beu n'arange pas ça. 1g 10euro sa fait mal. Mais si quelqu'un veut venir parler. J'en estbesoin je ne suis pas forcement super social, le trip bestha tout ça n'est pas mon truc. 

Mathilde, 15ans, sucuidaire. 

Assassin! Vous avez tués mes rêves. L'implacable et dure loi de la vie se résumerait-elle alors a une succession de déceptions les plus amères les une que les autres? Vous avez tué toute bonté en moi. Vous l'avez torpillé et souillé. Que reste-t-il de la petite fille au couette? Rien. A part un corps désarticulée,des yeux livides et un coeur glacé. La jolie petite poupée manipulée a rendu l'âme. Regardez la bien,souriez la interpellez la, réanimez la. Allez y. Essayez. La poupée sans ficelle,sans étincelles,sans rêve vous l'avez perdu. Vous m'avez perdu. Assassin! Vous m'avez tuée, société meurtrière et assoiffé de jeune sang plein de naïveté. Vous m'avez noyé dans vos beaux discours. Oh,que des charlatans! Vous,aux grands sourire,vous m'avez fait croire au bonheur. Ou est-il? Dans lequel de vos centaines de produits que j'ai acheté. Vous avez fait perdre tout humanité a la belle jeune fille. Celle qui croyait que tout était possible. Assassin! Assassin! Société,vous m'avez rendu mauvaise et solitaire.
Oh soyez fière,l'innocence de ce que j'ai pu être s'en est bien volé. Tel un papillon ma spontanéité s'est enfui. Robotisé et aveuglé par vos lumières si artificielles,j'ai perdu ma vie.

Le sang qui coule, un cri perçant et puis plus rien. 


Y a tous ces gens qui je rêve d’assassiner. Toutes ces personnes que je rêve de voir abattu. 

Cette *** de bibliothécaire bien trop sage et bien trop discrète. Cette *** de prof de français qui ne me saque définitivement pas. Cette *** qui veut briser mon couple. Ce débile de steward qui et une demie heure avant de me faire traverser. Ces gens trop hypocrites qui pensent me *** avec leurs sourires de merde. Ce vieux chien qui se sent obliger de chier au milieu du trottoir. Son maitre de ne pas ramasser sa merde. Cette vieille mémé qui se sent obligé de me regarder de travers dans la rue. Ces gens qui se sentent ‘’famous’’ car ils portent un pull de telle ou telle marque ou qu’ils sont amis avec tel ou tel gens. Cette *** qui balade en mini-jupe alors qu’il fait -10 degrés dehors. Ce connard qui fait croire a cette fille beaucoup trop naïve qu’il aime. Cette petite *** qui le croit. Ces gens qui n’ont font croire que tout est possible mais qui ne font que nous mettre des bâtons dans les roues. Cette *** au supermarché avec ses putains jambes de mannequin. Cette meuf trop belle qui ne le voit pas. Cette meuf trop belle qui fait genre de ne pas le voir pour qu’on la gonfle. Ces boloss qui se sentent trop swagg parce qu’il porte un pull ‘’YMCMB’’ ou une snapback. Ces meufs qui font des coups de ***s comme elles changent de slips. Tous ces gens qui se sentent obliger de l’ouvrir pour montrer qu’ils sont là. Ces mecs trop infidèles. 


Je rêve de tuer tellement de personne. Je rêve de tuer cette putain de société. Je les verrais agoniser. Je les regarderais dans le blanc des yeux, je leur ferais dire leurs derniers mots. Les mettrait à genou. Ah pouvoir, autorité je vous veux. Je vous respecte. Je 
La haine m’envahit. Mélange nostalgique de ce que j’ai pu être et frustration de ce que je ne saurais jamais me tourmente. Je crie, vocifère de l’intérieur. Je rêve d’assassiner ces gens trop parfaits ou trop idiots. Je sens des boules de feu naitre de mes entrailles. Que de maux enfermés, que de haine à exprimer. Par où commencer ? Que dire ? 

Je haie ma vie. Je haie haïr.