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aurorextrouble a 9 points de bonté.

aurorextrouble
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11
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Flash

 

 

Il n'y a pas de mystère, il n'y a plus de fantasme, il n'y a rien -en somme- qui ne retiennen plus mon attention, qui ne requiert plus ma compréhension.

 

 

Quitte la terre qui fait mal,

Qu'importe que le prix en soit fatal.

 

 

 


  

 

 

 

Sans la nuit, la lune n'existe pas.

Si tu meurs, tu m'emportes avec toi.

 

 

Sunrise on paper

 

 

L'idée :

Chaque semaine, je publierais un texte vu sur un qsj

 

 


 

Offre un enfant à l'écho du silence.

Feedback. Feedback.

 

Ici, on est chez Madame Sunrise. On pourrait croire, à l'instar de son nom, que Madame est gentil. Or elle ne l'est PAS. Ici c'est chez elle, et bien qu'elle y organise de petites chouetteries de temps à autre, il est préférable de suivre les règles suivantes...

Règles :

On ne TOUCHE PAS aux invités de Madame Sunrise, à sa porcelaine de Chine, ainsi qu'à sa collection de vases en verre de Murano.

 

 

 

 


 

 

 

Le monstre c'était elle. On la préférait parce qu'elle était juste. Elle pouvait faire cela. On ne l'aimerait plus, on ne l'apprécierait plus non plus. On la détesterait facilement. Lady Jess.

 

 

Je suis la douce perversion. Celle qui a le goût de la tolérance et des rêveries de passion.

 

Microcosme.

 

Je préfère perdre une amitié sincère...

 

"Je m'approche du soleil !

-Comment le sais-tu ?

-Mes doigts brûlent..."

 

 

"Que le meilleur gagne, que le coupable meurt."

 La foule d'applaudissement qui s'en suivit confirma les pensées de la jeune reine. Elle ne se trompait pas. Si tant de personnes la soutenait, sa réalité était forcément la bonne. Ca sentait bon le sang. Il ne tarderait pas à en couler. Mais à chaque fois comme à chacune de ses paroles, rien ne déborderait de la cité. 

 

 

Policière intersidéral et exemple même de la fille modèle. Respectée par ses supérieurs et ses collègues, Lady Jess est enfermée dans un moule qui lui a coûté milles efforts à modeler bien qu'il lui semble désormais naturel. Ce moule lui a valu beaucoup de respect. Cependant, lorsqu'elle rencontre Yeol, le monde de Lady Jess s'effondre. Elle trouve injuste que l'homme arrive à accéder aux honneurs policiers en capturant des criminels par des actions peu réglementaires. Elle qui fait tant d'efforts pour se tenir au protocole. Elle le jalouse. Elle n'en dort plus la nuit. Il la nargue d'ailleurs parfois. Gentiement, bien sûr, mais ça lui est vite devenu insoutenable. Lady Jess a alors la pire idée de sa vie : tuer. Si ce type incivile arrive à être aimé -et qu'il est parfois admiré pour cette désinvolture- alors elle aussi sera désinvolte ! Et peut-être reconnaîtra-t'on à nouveau son talent de flic ! Et si on l'aime autant qu'on le prétend, la petite Lady Jess, eh bien on l'aimera encore toujours sinon mieux après, n'est-ce pas ? Hélas... tuer Yeol, est-ce la solution ? Mais il n'y a plus qu'une solution, pense-t'elle. Son quotidien si beau est devenu un enfer, la proximité de Yeol est un véritable foutage de gueule, une ironie monstrueuse. Les gens croient qu'ils s'entendent super-bien alors qu'elle se contente de faire bonne figure comme on lui a toujours appris. Comme elle a toujours vu que cela réussissait ainsi. Mais désormais cela ne fonctionne plus. Le cordial est impossible. C'est la guerre civile.

Au dernier moment, Lady Jess se raisonne. Elle ne peut. Décemment, elle ne peut. Son code d'honneur, mais plus forts encore, ses sentiments, lui interdise de faire du mal même à quelqu'un qui lui en aurait fait. Elle ne peut arrêter Yeol pour aucun prétexte -dommage-, alors plutôt que tous ces macabres scénarios, elle range son épée dans son fourreau, se lève et part. Elle rentre chez elle, se pose à sa table et après un long moment de silence, elle se rend à l'évier, prend la bouteille de javel, se sert un verre, et boit.

  

 

[Tout se finit dans la mort, mais si tu n'en peux plus, voilà. La texture est délicate, le goût tout nouveau. Elle l'apprécie au possible. Le goût des larmes. Voilà quelle aura été la dernière sensation de Lady Jess.]

 

 

Au secours. Je n'ai pas réussi. J'ai voulu, j'ai oublié. J'ai eu peur. AU SECOURS. DONNE MOI ENCORE UNE CHANCE/ NE ME PUNIT PAS. AÏE ! Si tu m'aidais au moins, j'aurais une chance de réussir, mais tu demandes à un aveugle de reproduire la Mona Lisa qu'il n'a jamais vu. Si encore tu proposais à cet aveugle de dessiner dans de la terre d'argile, mais non ! Ce que tu me demandes est stupide. Tu réduis un arménien à lui demander de l'aide en néerlandais. Quoique j'ai déjà demandé de l'aide. POURQUOI ? J'ai peur. J'ai mal. Dis-moi de sortir. Cris-moi de partir. Dis-moi que tu veux me retenir mais juste après fiche-moi de bons coups de pieds ! AU SECOURS ! J'étouffe ! J'ai mal ! Ma gorge brûle ! Ma mâchoir s'empâte dans la nourriture qu'elle n'arrive à ingurgité. J'AI MAL.

 

 

"Tu vas fonctionner à nouveau, foutu robot !"

Romanen le regarda de petits yeux à leds.

"Tu dis ça parce que suis la preuve que tes principes et tes théories sont fausses. Oui, un robot peut souhaiter s'éteindre même s'il lui reste de la batterie. Oui, un robot peut tenter l'autodestruction même s'il n'a pas été programmé dans ce but."

"Je ne peux pas tout faire... mais j'ai besoin de ses sourires Romanen !

-Amante stupide. Tu crois en moi maintenant ?

-Pourquoi cette distance soudaine ?

-Tu veux dire pourquoi cette sincérité soudaine ?

-Tu ne peux m'abandonner comme ça ! Tu renies tout ce que nous avons vécu !

-A-t'on jamais une preuve que le passé a existé ? L'amnésique est un nouveau-né. Il n'a jamais eu besoin de réminiscence pour continuer de respirer."

 

 

J'ai encore rêvé, l'autre soir, que je brisais mes chaines. Je prenais alors tout ce que j'avais à emporter, et je fondais dans les escaliers pour les descendre à toute allure. -Trébucher- Je ramassais mes affaires sans prendre le temps de masser ma cheville enflée. -La peur effraie les réflexes- Je ramassais le tout et me remettais à descendre. Courir. Descendre. Imparfaite. Quelqu'un me prenait le bras soudainement, et je tournoyais autour de lui le temps de perdre mon élan. -Surprise- Je le regardais, ses yeux réclamaient une attention à laquelle je ne pouvais rien refuser. Il semblait triste, mais il n'en dit rien. Il me conta combien il fallait que je n'oublie pas tel et tel chose, de faire ceci ou cela plutôt. Je ne retins pas tout. -On est tous parfait, sauf en ce qui concerne des demandes impossibles. Dans ce cas, l'imperfection ne qualifie pas notre incapacité, mais plutôt l'infaisabilité de la chose.- Ces requêtes avaient l'air d'une extrême importance pour lui. J'hochais de la tête avant de le quitter précipitément, une fois qu'il eut disparu. (mais sans rien retenir clairement de ce qu'il m'avait dit que des bribes de mots sans sens. Javel. Mémoire. Ta soeur) Ma route reprenait. Hors d'haleine, je courrais. Quand finissent ces escaliers ? Je veux descendre et il n'y a aucune fenêtre par laquelle abréger ma route ! Je suis dans une tour moyen-âgeuse et il n'y a que mon bras que je peux passer par les fines fenêtres. Les gens croient que je les salue simplement. J'aimerais pouvoir aider. (Si j'étais à l'éxtérieur, j'aiderais) Mais il faudrait que je crie dans les petites fenêtres et qui sait si ce n'est pas le loup qui entendrait mes secrets ? Mes faiblesses ? Et tout ? Alors je continue ma route. Je reçois à pleines oreilles l'écho de mes gémissements. Je ferme les yeux et je serre les dents pour les ignorer, mais cela me fait perdre mon orientation, et je me cogne aux murts, et j'en pisse le sang. Mes gencives me font moins mal que mes jambes pourtant. Et surtout mes bras. Qui porte mes livres. Très important. Tout ce qu'il me reste. Mes seuls amis. Je cours. Je cours. Ce n'est pas une vie ! Je veux descndre ! Arrêter le manège ! Stoppez la machine ! La décadence n'existe pas dans un monde où le sol est en coton. Je ne fais plus qu'un avec ses pavés. C'est bon, mes souliers s'incruste dans les marches de l'infini escalier. Ca recommence. NON ! AU SECOURS ! LAISSEZ-MOI !

Je cours, je cours, car les étages sont en feu. Descendre est facile vous croyez ? Non, car je descends aux enfers ! Je quitte un foyer en feu pour trouver le pays du feu. Je brûle pas encore pourtant. Tant que mes muscles sont actifs, il me laisse un peu de temps de répit, de toucher les flammes, le Satan. J'ai peur. JE CRIE. AH.

(en faire un Gif)

 

 

L'expression sans écho d'un mal intérieur.

 

Ce n'est pas parce que tu ne peux pas le prouver que ça n'a pas exister.

 

 

J'ai putain besoin de ton aide. J'ai mal. J'ai mal. Qui me connait ? Je ne veux pas vous voir, bande d'imparfaits ! Au secours ! La Tolérance ! J'implore la vérité ! J'angoisse !

 

 

Soucieuse.

"Parce qu'une fille est en train de crever, là, juste sous mes pieds, et que personne ne s'en occupe. Aidez-moi ! Sauvez-nous ! J'implore votre secours !"

Mais les anges n'avaient plus d'oreilles, et ils étaient sourds et muets. Les démons n'avaient pas fait que leur couper, ils les avaient crevés. Réduire leur possibilité de sentir le monde. Leur sensibilité. Les anges ressemblaient aux âmes errantes ainsi. A hurler qui voulait de l'aide alors que tout le monde les suppliaient. Et ils nous marchaient dessus.

Cauchemard. Je cris, je crois que tu peux m'entendre, tu me regardes comme si tu me comprenais, mais tu n'en fais rien, et ré-interprétant le message, tu ris.

 

 

Une  rue d'Espagne, bindonville.


CALL THE 666 IF YOU STILL WANNA LIVE TOMORROW

 

Qu'est-ce qui te rend humain ?

 

Minnie était perdue, Minnie était désemparée. Tout ce qui lui restait, c'était ce numéro. Ce personnage étrange avec son haut chapeau qui lui avait donné sa carte il y a quelques jours, "si quelque chose ne va pas dans les temps à venir". Comme s'il savait, comme s'il avait toujours su.

Elle se saisit du téléphone, et composa avec un dernier espoir les trois chiffres symboliques.

La tonalité fit trois fois écho à ses sanglots hoquetant, puis soudain, un silence attentif.

"Ca ne cesse de recommencer, je n'en peux plus, je ne veux plus, j'ai besoin de vous ! s'écria la voix déchirante.

- Pardon ?

- Ca a recommencé, je veux en finir !

- Pardon ?"

La voix était humaine, l'interlocuteur l'était aussi sûrement, pourtant, c'était la même question, le même mot répété La jeune femme ravala ses larmes, et articula avec rage :

"Ô toi l'Indulgence, s'il-te-plaît, prends pitié de ma longue misère. Je le veux."


 

Fanana/

 Confiance. NE ME PARLE PLUS JAMAIS DE CETTE CONERIE.


 

Je me suis jetée du haut du ravin, j'ai voulu me rattraper, mais la roche était lisse.

Tant pis, la prochaine fois, je mettrais une corde au cou.


 

Vous cherchez une victime fragile et pas loin de chez vous ?


Inn.

Broutille.

 

 

:D/D/D/D/D/D/D/D/D/D/D:

J'appellerais ça : traverser les couches d'un masque.

Ca peut se lire de gauche à droite, comme de droite à gauche.

 


Bump. Suicidaire multi-récidiviste et sévère recruteur.

 

Chir. Le péril de la magie et la dérive des sentiments.

 

"Se fourrer le doigt dans l'oeil jusqu'au coude."

Esprit mal placé.

Mystères et imagination éclairés par la télé-réalité.

Sauts à pieds joints.

Séquelles invisibles à l'oeil nu.

 

 

 

Se souvenir des bons moments.

Non. Je balance des idées noires comme ça.

Je sais pas. J'étais triste parce que j'ai vu ces deux s'envoyer des messages d'amour. Ils sont beaux. Beaux et parfaits. En harmonie.

Ca m'a rendue triste et jalouse.

J'ai vu.

Mais je suis triste.

TRISTE. J'AI ENVIE DE...

...je dormirais bien si je pouvais ne pas me réveiller le lendemain matin. Après avoir crier pendant mon sommeil combien mes préoccupations sont puériles et faibles.

Non, je ne suis ni pauvre, ni violée comme ces personnages de rpg. Je suis juste... addicte... à la flatterie. A la reconnaissance. A l'amitié.

 

Et quand je suis en manque. ...C'est affreux.

 


 

 

Harpie-ste

LOL

 

Fastella avait une curieuse façon d'aimer. Ne vous rappellant jamais. Elle ne disait jamais rien et ne se plaignait de vous. Cependant, il arrivait qu'elle puisse trouver à vous rappeler, quelques mois, années après, et vous annoncer une grande nouvelle, soutenir une grande envie de vous revoir, et argumenter son importance, et ce comme ça.

 

 

Quand se soulèveront des milliers de mains suppliantes du fond de la rivière,

Elles t'embrasseront dans une onde comme un souvenir...

Couvrant tes ossements de leurs / civière.

Que reste-t'il donc comme avenir ?/

 

Suggestion/

 

Des Enfers.~

Une ville au Nord de l'Italie, (?)

Recueille d'un garçon tous les écueils.

/Aurpès d'un garçon se reeuille, Un garçon aux nombreux écueils./

La vie et les hommes ce soir sont en deuil, / Oeil

Sillage- rivage- mirage

 

//

Ce soir les étoiles du ciel s'étiolent,

Volent en un vent violent de lucioles.

Bourrasque.

L'eau embrassait à chaque coup de rame la gondole,

Derrière le garçon s'éteignait de l'astre une auréole.~~

//


Quelques filets d'eau, comme des mains tremblantes semblaient s'y accrocher. -s'accroche- écorche- ricoche- hocher- fantôche- -

Le courant d'eau gémissant comme un nom

Une bouffée du gouffre se soulève. S'élève.

Le ciel s'ouvre et les étoiles filent dans l'eau.x

Pour atteindre le rive, il n'y a qu'un pas à faire au-dessus de l'eau vive,

Mais alors que l'homme /à la traine blonde /

risque une jambe au-delà de l'embarcation,

Le ciel orageux gronde, /soulève l'onde. Un tremblement orageux /gonfle l'onde.

L'homme aux avirons se retourne,

//L'oeil de l'Enfer aspire l'âme du garçon comme un trou noir.

Marée, lagune, lacune, aucune, chacune, rancune, accaparé

Puant le rance.

La bora se gonfle chassant le lourd Scirocco, une langue chaude et humide sur son cou, et la brume s'écarte, laissant apparaître un ciel limpide.

De la poussière s'élève de la terre,

brouillard- noir- are

//D'accord/ mort

 

 

 


 

 

 

Monster-pie ?

mr-ster ?

 

-Prenons Art par ex'emple.

-Prenons Art.

-Je lis : "Ce qui est académiquement admis comme tel".

-Ah !

-Tout à fait.

-Mais alors, pouvons-nous considérer que cela est de l'Art dès lors que nous appartenons à l'Académie, mon petit ?

-Il paraît logique que nous pouvons, mon grand. Mais alors il faut de toute obligation appartenir à l'Académie.

-Ah !

-Oui, c'est la définition même. Seule l'Académie -quelle figure de style remarquable pour dire en fait : les membres de l'Académie !- peuvent se permettre de voir de l'Art.

-Seuls eux ?

-Il n'y a qu'eux qui sachent, et qui y soient autorisés !

-Aah. Je ne pourrais jamais savoir si mon tableau est Art alors ! Quelle tristesse !

-Mais s'il n'était pas Art ?

-S'il n'était pas Art ? Croyez-vous vraiment que...?

-Je ne crois qu'en ce que je vois monsieur ! Et je me méfie quand on raconte qu'il existe des atomes, parce que jusque là, on ne m'en a jamais montré de vrais !

-Qu'au microscope !

-Où quelqu'un a très bien pu tout trafiqué.

-C'est la peine de vivre dans un régime implicitement totalitaire.

-Les régimes totalitaires ne se l'avouent jamais...

-

 

 

-(ensemble) Toi occupe-toi de ton jardin ! Paysan' (/Payes-en) !

-Roh, roh, au calme ! Mais dîtes-moi au moins pourquoi, vous les érudits !

-Boldair a dit cela, à la toute fin de son grand écrit.

-Et nous savons combien Boldair est un grand homme.

-Ah oui ? Nous le savons ?

-Bien sûr Paysangiste, nous le savons.

-(le porteur de lettres se rapproche alors du commissaire et renchérit, plus à l'adresse du commissaire) Qui ne le sait pas ?

-Qui ne le sait pas ?

-(le commissaire, répéte comme une évidence) Qui ne le sait pas !

-Mais qui était Boldair ?

-Boldair !

-(le commissaire, qui ne sait pas) Aaah, Boldair !

-(le lettré) Ce grand politicien écologiste de la fin du XIXème siècle, un homme idable !

-Admirable, même !

-Et fort aimable !

-Fort affable, même !

-Et très capable !

-Très excécrable, même !

(Les deux se regardent, puis jette un coup d'oeil au paysangiste qui n'a manifestement pas compris.)

-C'était un homme qui pensait bien en tout cas mon ami.

-Car lui, il pensait !

-Il savait comment penser !

-Et il pensait bien !

-Il pensait bien ?

-Bien sûr. C'est lui qui a sauvé les Nouaches de la misère.

-Comment ça ?

-Il a autorisé le bombardement de leur pays.

-Et nous lui devons notre survie.

-Tout à fait, mais ce qu'il a fait est misérable !

-Tout à fait ! Mais souvenez-vous qu'il en est le seul responsable !

-Tout à fait !

-Tous les autres qui se porteraient responsables d'un tel événement se feraient couper la tête !

-On fait mieux, on fait mieux !

-Que dirait la population sinon ?

-Pis encore mon ami, qu'en penserait la population ?!

-(Le paysangiste, perdu, et au fur et à mesure que les "grands" parlaient, ) ("Le seul responsable de quoi ?") Penser quoi ?

-Occupe-toi de ton jardin toi !

-Oui, oui, arrête de t'occuper des affaires du monde, tu risquerais de t'y noyer un peu !

-Mais je-...

-Qu'a dit Boldair ?

-Euh...

-Qu'a dit Boldair ?

-Eh bien...

-(les deux "grands" en choeur) Occupe-toi de ton jardin !

-(le lettré, ou le commissaire) Car ce ne sont pas des affaires qui vous regardent.

-Comment ?

-Elles ne vous concernent pas.

-Pourquoi ?

-Elle font parti du Monde !

-Mais j'appartiens au monde !

-Et pas l'inverse, Dieu merci !

-Vous jurez sur Dieu ?

-Je préfère jurer sur Dieu que sur la politique mon ami, c'est déjà plus sûr.

-Ah oui, vous avez raison !

(+ scène d'avant/d'après : l'un lui dit de faire a, l'autre lui dit de faire b, tout ça avec une merveilleuse logique x))

+Révolussionarum (les trois amis, l'ana, le "beau", et l'"illuminé")

 

 

RPG-expéditif.

 

/J'aurais dû commencer par "virtual-suicid". Ou "suicid-online" ? Non ? Non...

Zut alors./

 

Et on se contre-balançe de la censure, le bateau coule alors vous n'avez plus qu'à faire vos prières.

Parce qu'ici un gars comme moi peut être une fille comme toi.

Parce qu'on est que ce qu'on écrit. Ce que les gens projettent sur soi.

Parce que c'est qu'un pseudo, et qu'il faut pas s'emballer pour ça. Et qu'on aura beau penser "Ouais, ca commence comme ça et..." et je vous dit que ça c'est un aboutissement. Que ça a fini comme ça. Là. Tout a fini là en fait. Tout une vie vécue, tous ces efforts, pour finir sur ce pseudo, sur ce jeu, maintenant. Avec vous. La fin commence.

Ca vous dirait pas d'être négatif et de se demander comment on en est arrivé là pour une fois ? On fait avancer un train par l'avant, pas par l'arrière.

Alors ce soir, quand sonne minuit, prenons le train qui nous mènera droit en Enfer.

 

 

C.e.n.s.u.r.e

P.o.u.f

M.o.c.h.e

F.o.r.m.e

S.c.r.i.p.t

P.a.n.i.q.u.e

S.u.i.c.i.d.e

 

 

Et comme trouverait à le dire certains personnages admirables et récalcitrants : Je m'en bats les c.o.u.i.l.l.es !

Age Genre Ville Pays
27 ans Femme Ohmydoll city
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Maybe you x))) -Multistyle.- -La haîne.-
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
-Bleu obscur...- -Poète...- -Penser...-


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