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03/07/2014 à 21:29:19

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bat-nathan33333 a 0 points de bonté.

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N A T H A N

 

 

'' C'est qui Descartes ? 

Un joueur de poker. '' 

De Bastian.

 

 

Jeva



 

 

 

Vieux texte d'un an :


Alors c'était ça ? C'était un goût novice, amer comme acide, dur comme doux. Mon palet ne le connaissait pas, il était un anonyme bouleversement étonnant. Inconnu au bataillon.

Je t'ai vu approcher vers moi et tu étais devenue méconnaissable, c'était comme si le soleil n'éclairait plus la Terre mais toi.

Tu brillais plus que les autres, ta lumière m'a aveuglé, mes pupilles ce sont dilatés et ma rétine m'avait plongé dans le noir. Impuissant devant tant de bouleversement j'étais parti me réfugié dans mon enfer, le cocon que mes blessures ont crée, mon nid douillet.

 

Ton air enfant, ta timidité extravagante et ta beauté incomparable m'a toujours charmé. A ta façon tu étais la perfection de l'imparfait.

Tu t'es approchée vers moi, le sourire aux lèvres ne sachant pas quant moi tout se mélanger, s'en mêlé. Sauves moi de ce déluge, rentres dans ma fournaise, éclaires moi le chemin, donnes moi juste une lueur d'espoir, un soupçon de direction à prendre. Dresses moi une carte abîmé et indéfrichable, je m'en contenterai.

 

Tu m'avais souris bêtement et timidement, malgré depuis toutes ces années tu n'avais pas changer d'air. C'était toi, tout simplement.

Tu m'as prit dans tes bras et ma posez cette question, celle où à chaque fois je mens. La vérité n'a aucun intérêt, puis tu la posais par éducation, rituel.

Oui j'allais.

J'ai perdu le contrôle, tu as vue ma gêne et mon inhabituelle manque d’assurance. Tu as fait tomber mon masque en un battement de cil. J'étais nu devant toi, découvert de ma carapace. Tu aurais pu comprendre à cet instant et surtout y croire. Oui tu aurais dû.

J'ai cherché longuement à comprendre ce que c'était, j'ai observé et analysé toutes les possibilités, probabilités j'y ai fait des calculs et casses têtes Chinois. J'y ai trouvé qu'une réponse, une solution.

C'était ça ? A mon habitude je suis passé outre, j'ai fait semblant de rien et loin de moi tu étais ma carapace me couvrait.

Le temps passait, c'était la fin de l'année, je partais pour deux mois loin de toi, près à oublier l'évidence, l'enterrer vivante.

Imaginer un seul instant que j'étais éprit de toi m'effrayer et me culpabilisé. Notre bonheur allait être imparfait, comme nous. Comme vous.

Les heures défilaient, ta présence été omniprésente. Mes pensées t'était destiné, tout comme mes rêves, mes soupirs et illusions. Le fardeaux de toi pesait trop lourd pour moi, je me suis courbé pour finir rétamé.

Tu ne m'a pas délivré de ton ensorcellement, j'étais condamné à l'éprouver.

Pendant cet été j'ai énormément fauté, je n'ai rien compris je me suis encore laisser couler.

Tu as voulue venir me tenir la tête, mais j'étais déjà noyé.

Je sais à quel point tu m'en n'as voulu, d'être si inconscient. Mais tu aurais dû comprendre ce jour-là. Et les jours d'après.

'' - Qu'est ce qu'il y a ? Tu es différent.. ''

Comment as-tu pu me poser cette question ? La réponse n'était pas écrit en gros sur mon front ? Nous sommes devenus aveugles tout les deux, chacun confinés dans sa prison. Sourd de réponses.

J'étais seul, horriblement isolé dans mon désespoir sentimental. Et ça depuis le début.

En vous voyant j'avais envie de l'étrangler jusqu'à qu'il meurt en vingt.

Malheureusement les signaux ne te sont pas parvenus, car je les brouillés avant que tu puisses les identifier.

Je te savais heureuse avec lui, comblée et tu le méritée. Depuis lui tu ne l'avais jamais été. A y croire que le bonheur imparfait te conviens.

J'ai osé me murmurer, alors pourquoi pas moi ?

Je ne me reconnaissais plus, j'en n'ai eu des migraines à me questionner, réfléchir à cause de toi, pour toi.

C'était l'été le plus orageux que je n'avais jamais eu, en moi. Tout allez dans tout les sens et ne frappé jamais au même endroit. La haine débordé d'énergie, le calme n'était jamais constant.

J'avais la gueule de bois sans avoir ingurgiter une seule goûte d'alcool. Saoul d'amour et ivre de remords. Je ne vivais pas, je survivais.

J'ai buté aux mêmes endroits. La leçon ne rentrait pas. Loin de toi j'ai perdu pied, et fini par couler.

Tes armes me visaient, j'étais dépourvu de défense. Tu avais déjà gagnée le combat, et la guerre.

J'étais à genoux, la fierté remballé, la cœur emballé.

Déposes tes armes. Sourde j'ai dis ? Oui tu l'étais. Muets et aveugles on n'était. On me pouvait plus communi.qu.er.

A mon tour j'ai fini par être en couple, elle m'a suivit dans la région Parisienne, à mon grand désespoir.

Le jour où on sait revus, après deux longs mois sans contact physique, j'ai eu l'impression que ça faisait une éternité. J'avais presque oubliée ta senteur, ta douceur et ton sourire si parfait.

A vouloir trop t'oublier je m'y suis perdu.

Mes efforts ce sont tous envolés, et sur leurs chemins vers les cieux ils ont été attaqués et anéantis.

En un battement de tes cils.

Je ne pouvais plus te lâcher, c'était différent, j'étais prêt à l'avouer.

Tout s'est modifiés.

Une nouvelle année à pu commencer, on n'était dans la même classe. Intérieurement j'ai crié un son muet. Une joie invisible mais intense.

Mais elle aussi était avec nous.

J'étais avec elle par obligation, frustration et délation commise par moi derrière son dos.

Elle a tout gâchée dans ma vie.

''Vulgairement'' ce jour-là j'aurai du me retenir et ne croire en rien à ces mots. J'étais perdu, je m'en fichais, immature et inconscient.

Puis toi de ton côté tu étais encore avec lui, j'ai pu tant le haïr. Le jour où je t'ai embrassé devant lui j'ai eu tant de satisfaction, une autre jouissance que de t'avoir dans mes bras, accroché à mes lèvres.

La roue tourne.

Mais là j'ai fait un énorme saut dans le futur et maintenant ce jour où j'écris ce texte, le passé.

Le jeu entre nous a pu commencer. J'avais décider d'y aller par étapes, calmement et intelligemment, pour changer de l'ordinaire.

J'ai commencé par te laisser détecter certains signaux, j'ai été plus tactile avec toi, présent à chaque instant.

Je ne t'ai plus caché ma jalousie, elle m’étouffait, j'ai suffoqué.

Tu m'as demandé pourquoi je l'étais, je t'ai dis de deviner.

Pourquoi tu as rigolé ? Tu m'as anéanti, et ma dit d'arrêter mes bêtises que mes combines n'avaient plus aucuns secret pour toi.

Tu m'as tué, une fois, deux fois et des pxtains de millions de fois.

Très bien, j'ai compris l'incompréhensif que tu voulais me cacher.

Il t'en fallait plus, une once de vérité, pourtant elle t'était inconnue. Alors j'ai dû t'ouvrir mon cœur, j'ai même dû m'arracher la poitrine et te le montrer.

J'étais nu, complètement atteignable face à toi.

Mes souffrances, mes faiblesses et mon cœur t'étais connue et reconnue.

Et tu as bien jouée avec.

Les autres voyaient que ce n'était plus comme avant entre nous. L'amitié faisait place aux désirs, avant avec toi j'y avais pas songé, mais il a finit par toquer à ma porte, j'étais devenu par être un pantin, à qui tu tirais les ficelles. Tu me repoussait et je te désirais encore plus. Car derrière tes '' non '', '' qu'est ce que tu fais '', '' arrêtes '', tu avais envie, sinon pourquoi en redemander ?

Un soir j'ai voulu essayer, seulement un bai.ser, pour voir si c'était réel, si ça en valait la peine que je souffre, que je m'enterre à chaque regard posé sur vous.

On n'était seul, je t'ai dis de fermer les yeux, de rien craindre, que je veux juste essayer.

Tu t'es laissée faire sans rien dire, tu as acquiescé.

C'était une victoire pour moi, juste un bai.ser rien d’extravagant.

Puis je me suis retiré, on sait regardés dans les yeux sans émettre le moindre son, et tu es venue m'embrasser, mais cette fois si pas un simple bai.ser.

La façon dont la situation tournée, tes gestes sur moi m'ont vite fait comprendre que tu en voulais plus, je n'avais même pas osé imaginer ça. Pas un seul instant, les faux espoirs m'ont toujours fait reculer.

Je t'ai posé LA question, celle dont j'ai vite regretté juste après l'avoir dit :

- Tu es sûre ?

Je n'ai pas eu le temps de m'en vouloir longtemps, t'as réponse fût un sourit, mais pas timide cette fois si, charmeur, tout en me tenant la nuque, tu me rapprocha vers toi puis m'embrassa.

Pourquoi alors tu as regrettée la seconde d'après que c'était fini ? Tu m'as jeté comme un malpropre, comme ci on n'avait commit un crime.

Tu m'as criée de partir en pleurant, qu'on n'avait tout gâchés.

Mais c'est toi qui à gâché ce moment-là, c'était une des meilleures nuits de ma vie, et tu en n'as fait un désastre en quelques mots, en quelques gestes.

J'étais l'ombre de moi-même, je me sentais d'un coup coupable car chaque larmes que tu verses pour moi m'a toujours heurté et révolté de moi-même.

Je n'ai eu aucunes réponses en mes messages, j'ai passé un dimanche monochrome, sombrement noir.

Le lendemain je l'attendais chaque instants, pouvoir enfin te parler, que tu puisses répondre à mes questions resté en suspend et sans réponses dans ma tête. Ça me hanté, j'étais paralysé de toutes autres pensées.

Puis le lendemain fût. J'ai guetté ton arrivée, près de moi il y avait ma copine, me parlant de ces petites histoires sans intérêt à mes yeux. Dès que je t'ai vu au loin j'ai couru vers toi.

Ton état n'avait pas changé, tu étais toujours autant révoltée, tu m'as suppliée de te laisser.

Je ne voulais que des réponses, je voulais savoir, comprendre. On fût vite interrompue pour ton grand plaisir. J'ai eu tant de mal à t'avoir qu'un instant en face à face avec moi.

Puis après un cour j'ai réussi à te coincer dans un coin. Tu t'étais décidée d'être muette. J'en devenais fou de ne pas savoir. La colère montait et l'incompréhension m'avait abattu, mais ça je le cachais.

Puis tu t'es décidée à délier ta langue. Mais je peux affirmer sans l'ombre d'un doute que j'aurai préféré que tu ne dises rien. Tes mots ont sonné et tapé avec leurs picots pointues dans ma tête.

 - '' Je préfère qu'on s’oublie, définitivement, on n'a tous gâchés, tu es en couple et moi aussi, tu dois rester avec elle. ''

 Tu t'en rends compte, je m'en souviens encore, c'est inscrit en moi au fer rouge. Tu m'as brûlé à vif.

 Pour des raisons qui m'échappent encore aujourd'hui j'étais condamné à être avec une fille qui m'est complètement égal.

 Je sais pourquoi je devais rester avec elle, mais la progéniture d'une après midi un peu arrosé et surtout débile ne devait pas gâcher ma vie.

 L'homme à plusieurs fonctions, plusieurs cordes à son arcs. Et le miens n'en manque aucunes. C'était des fausses excuses donc ?

Après toutes mes explications, tu m'as dis '' Pourquoi ? ''

 

Parce que je t'aime.

 

Tu es redevenue muette et moi je me suis bouche-bé moi-même d'avoir réussi à dire à haute voix ce qui été en moi.

Et là, tu m'as re-tué encore une fois.

Mais reprends ton souffle un instant, aère ton esprit, décrasse tes oreilles et comprends. Pourquoi j'irai autant me donner autant de mal si c'était faux ? Tu sais que j'aime la facilité. Que je suis un feignant et que je regarde le verre à moitié vide.

JE NE TE DEMANDES JUSTE DE REFLECHIR.

Mais ça, tu l'as fait des mois après. Tu pensais qu'à ''moi'' comme tu disais. Qu'il était judicieux que je reste avec elle et que toi tu n'allais pas briser ma relation avec elle.

Mais, il y en n'a jamais eu, tu étais en moi avant, depuis des mois auparavant mais j'ai rien dis, j'ai été encore une fois faible.

Tu t'en n'ai voulue face à ton copain, à tel point que tu l'as quittée la même semaine si mes souvenirs sont bons.

Le mois de novembre c'est fini, on se ne parlait plus, je t'ai ouvert mon cœur et de mon côté je ne savais pas tes sentiments pour moi. J'ai longtemps nagé dans l'inconnu, traversant certaines fois des phases plus froides que les autres. J'ai peu souvent eu pied, mais je n'allais plus couler.

Être assied à côté de toi lors des cours de mathématiques été mon plus grand plaisir, j'avais une excuse à te regarder, te dévisager du coin de l’œil. J'ai été démasque des milliards de fois, je plaigne coupable. Que ma sentence soit l’enfermement à perpétuité, je suis déjà mort.

Décembre, le mois de ton anniversaire, tes dix huit ans. Après des jours '' d'harcèlement'' tu as acceptée mon invitation, j'avais tout prévu chez moi, ma famille parti pour le week-end.

Le plan été parfait, je te connaissait par cœur, sur le bout des doigts et grâce à mes doigts tapant sur le piano j'ai su te séduire.

Tu m'as dit qu'on ne t'avais jamais rien fait d'autant romantique, puis tu m'as embrassait pour finir nos affaires sur le canapé. Cette fois si tu n'as pas pleurer ni regretter.

C'était le début pour nous ? J'aurai pu l'espérer.

A ce moment-là je le pensais tellement fort et l'espéré si ardemment que mes envies n'ont pas eux lieu.

C'était le bon moment pour savoir, tes sentiments pour moi.

Je t'ai posé la question, tu m'as fait taire d'une façon très féminine. Une autre arme qu'elles possèdent. Mais la tienne, c'était un délice.

On sait endormit ensemble, pas comme des amis, comme ?

Je ne savais pas ce qu'on n'était.

Le dimanche, je n'ai pu le passer avec toi, ma copine voulait absolument me voir. Elle m'a gâchée mon week-end, elle n'avait pas le droit et en n'a payé très cher.

Je l'ai quitté, c'est sorti tout seul, naturellement. Sans même que j'ai avant à réfléchis, j'étais soulagé et libéré d'un poids.

C'était pas la première fois, c'était habituelle mais cette fois si, je ne voulais plus t'écouter, non je n'étais pas condamné à me contenter d'elle, je te voulais tout simplement.

J'avais décidé de ne rien te dire en messages, on se reparlait et au fond de moi je savais que cette nouvelle n'allait pas te plaire. Pourtant tu l'avais faite cocue avec moi encore une fois.

Mais ça, ça te gêné moins.

Le lundi venu, cette fois si c'est toi qui a couru vers moi, tout avait changé ? C'est bon nous ça pouvait commencer ?

Tu as dis que tu avais quelque chose d'important à me dire, primordiale.

Mais j'ai voulu commencer, t'as réaction fût sans appel, comme je le craignant.

Ma rupture ne t'allait pas, mais POURQUOI ?

Je n'ai rien compris et tu avais beau m'expliquer c'était illogique, pourquoi tout compliquer ?

C'est de ma faute tu as dis en me tapant le torse à moitié en pleure.

Tu te compliques la vie. Tu l'as rendais invivable pour nous deux.

J'ai déprimé, je n'étais qu'un torchon, j'ai voulu à tout prix t'oublier. J'ai eu quelques aventures, tu l'as très mal prit, très très mal.

Tu étais jalouse à ton tour, enfin tu l'étais. Tu te rendais compte de l'importance que j'avais pour toi ?

Mes questions me hantaient encore.

Je rendais tout le monde fou, toi, elle et moi au passage.

Le mois de décembre c'est fini.

Je n'avais rien de ce que je désiré, je te faisais du mal mais tu m'en faisais tellement.

Je voulais juste être aimé, mais ton emprise sur moi ne me quitté pas.

Crois moi que j'ai essayé, avec une amie surtout.

Je me suis énormément rapproché d'elle.

Tu étais folle et moi fou d'amour et de haine.

Tu ne me croyais pas alors que je crié partout dès je t'aime qui t'était destiné.

Moi j'étais encore dans le flou complet, peut être que je me ridiculisais, ça ne m'a jamais tué.

J'ai tellement accepté pour toi, tu t'en rends compte ? Ton emprise sur moi ma métamorphosé. Ce n'était plus la gravité qui me tenait sur le sol mais toi. Mais comme le vent mon amour pour toi t'étais invisible et inodore.

J'avais toujours pensé que j'aurai été mieux seul.

Cette fille, j'ai voulu l'aimer, de toutes mes forces. Je n'ai jamais réussi, même pas une seule seconde, c'était toi et encore toi.

Elle avait tout simplement pas la petite chose qui faisait que. Elle n'était pas ce qu'il me fallait.

I Janvier, début d'une nouvelle année, 2013 en l’occurrence. Je m'étais mit dans un bel état, j'avais une vraie raison de le faire, je sortais moins qu'avant, l'envie n'était plus là.

Tu m'avais pompé toute joie de vivre. Adsorber ma gaieté et dissout mon entrain.

Au désespoir de mon meilleur ami, qui a toujours été là même si je ne l'ai pas encore cité dans ces lignes, son rôle aura un enjeu primordiale dans le passé, malheureusement.

En Janvier il n'y avait rien de nouveau entre nous, larmes et désespoirs été nos amis.

Certaines fois on se voyait après les cours, chez toi ou chez moi au choix. On se demande pour faire quoi.

J'étais ça pour toi ? Le garçon amoureux que tu te faisait quand tu avais envie ?

J'étais toujours présent, pour ça on me dira, mais même pas pour l'acte en lui même. Pour juste passer du temps avec elle. Être à tes côtés et me sentir apprécié en quelque chose par toi.

Puis tu me jeté après comme une vieille chaussette sale.

Tu m'as toujours reproché mon côté volage, pourtant tu l'as alimenté durant des mois. Nourrit et rendu obèse.

Tu avais même fini une fois par te déshabiller seule pour ensuite m'attraper vulgairement. Je n'avais pas apprécié, mais je n'ai pas pu résister, comment lui faire comprendre alors ? Je suis tellement faible quand il s'agit de toi.

Étant né depuis mars j'avais décidé de fêter mes dix huit ans, fin février. Ma famille n'étant pas présente.

Ce mois de février, si horrible pour moi, je n'ai qu'une hâte le quitter au plus vite à chaque fois qu'il se pointe. Une semaine avant la fête de mon anniversaire tu m'as dis quelque chose.

- ''Je t'aime.''

Rien d'autre, c'était le début de notre relation.

Tu m'avais dis ça parce que tu t'en voulais ? Tu pensais qu'en me le disant et en te mettant en couple avec moi j'allais moins mal le prendre ?

Il n'avait même pas honte de marcher à côté de moi. A me parler de ces histoires, à dire que j'étais son '' petit frère.'' Comment vous avez osés ? ME TRAHIR.

Ce fût un horrible anniversaire, la vérité dîtes après quelques verres je t'ai quitté, mais comment veux-tu que je reste avec toi ? Tu m'as détruit, m'as prisé les os, ma tordu les tripes et enterrer mourant. COMMENT TU AS OSEE ?

Une semaine de bonheur à l'état pûre. Tout envoler. Je vous avez fait dégager de chez moi et pendant des jours tu m'en n'a voulu que ce soir là j'ai fini avec une autre.

Et lui, durant des mois n'était qu'un étranger, il avait en plus rajouter une couche.

Mon monde s'est écroulé, j'ai tout perdu en quelque mots, j'étais apeuré, je ne tenais plus debout.

Le lundi fût horrible, vous voir j'avais tant de haine, c'est inde ible. Tu as voulue me parler à de nombreuses reprises, je t'ai jeté, j'aurai pu te tuer tu sais.

Mon silence en disait loin, indirectement vous m'aviez tapé à mort, et tu étais là à vouloir te faire pardonner à tout prix, mais mon pardon n'en n'a pas.

J'étais l'ombre de moi-même, non j'étais rien même pas une poussière.

Tu as tant aimer me faire souffrir.

Ça passera Nathan je me disais, encore des illusions.

Elle, elle était là près de moi, elle m'a aidée. Pourtant elle m'a mit des couteaux dans le dos, énormément mais je ne voyais rien, ne sentais rien, ils étaient indolores car les tiens m'avais déjà percés tout mon corps, j'étais à sang. Tu m'as rendu aveugle, j'étais au fond des eaux, toujours survivant.

Dès que j'ai su des mois après qu'elle m'avait trahit, elle a payée cher ces délits.

Malgré qu'elle, elle était là, elle n'était juste qu'un réconfort, un oreiller sur lequel j'allais pour pleurer mais bon je m'en fichais royalement.

Elles n'avaient aucunes importances face à toi.

Puis je me suis rapproché de Maelenn, une fille hors du commun, qui m'a sorti de ma mélancolie. Les vacances passa et j'en sorti en couple avec elle.

Mon anniversaire été passé, j'avais fêté mes dix huit ans avec ma famille et les 14 ans de ma sœur. J'ai fait un vœux. Devines lequel.

Mars, le meilleur mois à mon goût, le renouveau après l'horreur.

Aaron arriva, les responsabilités avec.

J'étais pas près, pourquoi elle m'a fait ça ? J'ai à peine dix huit ans. Je suis qu'un enfant, rien n'est stable dans ma vie. POURQUOI ? POURQUOI.

Maelenn m'a apaisé, elle m'a aidé à gérer. Comment j'ai pu lui faire ça ? L'a trompée allégrement avec toi. On n'est resté en couple quatres mois à peu près, ça c'est fini un peu avant que j'aille au Portugal. Pour qui ? Toi qui ne supportais plus ma relation avec elle. J'ai fini par pardonner à mon meilleur ami, après tout, on n'était pas ensemble quand ça c'est passé. Et moi je t'ai fait pareil, dans un sens.

Ça allait mieux, mise à part tu sais quoi ou plutôt tu sais qui. Je ne vais pas en parler ni même y glisser quelques indices, je sais que d'en parler ça te fait du mal.

Ça t'a changé, je t'ai changé et fait tellement souffrir.

On sait détruit, encore et jusqu'à la fin.

Le Portugal ça m'a ressourcé, je me sentais tellement mieux, plus léger, mais j'ai du rentrer en France, j'avais décidé de passer quelques jours avec une ''amie'', mais ça aussi ça te fait du mal alors je n'en parlerai pas.

On passait nos jours ensembles une semaine touchant la per.fection.

Mais, car chez nous il y a toujours eu des mais, ma relation que j'avais ne te plaisait pas, j'y ai mis un terme, mais le mal été fait.

Désolé

Tu m'as vite pardonner, voulant faire abstractions des intrus voulant ruiner le ''nous'' pas encore existant.

Après cette semaine je suis parti à la campagne, tu es venu et un certain 10/08/13 notre histoire à pu commencer, c'était il y a quelques jours, j'écris ça pour le relire plus tard, dans un an par ex.emple.

Si ça fait un an, qu'on n'est le 10/08/14 alors tu le verra.

C'est une sorte de ''surprise'' car on connaît la chanson par cœur

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100 ans Homme Autre
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Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré


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