Hey,

ALLEZ EN BAS DE MON QSJ PREMIER CHAPITRE DE MON LIVRE:

merci a apple lola!!!!

je suis nouvelle donc soyez pas trop méchants sur les com'z!

Je demande qu'à me faire des amis , je suis sympa mais faut pas m'embêter!!!

Je tutoie ou vouvoie c'est comme vous voulez mais pas de language grossier sinon c'est signalé direct. Les rageuses, je les signale je ne répond même pas ca s'appelle la suprématie regardez dans un dico et apprenez à parler et écrire correctement. TOUTES les pubs sont supprimées directement et suivi d'un commentaire négatif, rappelant que je déteste les pubs: "Bonjour, au cas fort probable où tu n'aurais pas lu mon QSJ, je déteste les pubs. N'espère donc pas avoir un +2 de ma part. Merci de m'exclure de ta liste."

Les pubs genre "+2 rendu pendant X jours" ne m'intéressent pas. On met un +2 quand on le pense. Point.

J'adore les elfes, la fantasy, LIRE, le hip hop, les pandas...

Ma Dollz:

Je l'ai faite à mon goût, les suggestions sont les bienvenues mais pas de simples remarques négatives qui ne servent à rien. Je recycle les tenues cadeaux au début, l'argent ne tombe pas du ciel, donc ne hurlez pas au scandale s'il-vous-plaît-merci.

Je recois volontiers des MP et je rends tout les +2 si je le pense vraiment, par contre vous pouvez mettre +1 je me fiche d'égaliser ^-^. JE NE METS PAS FORCEMENT DES +2, C'EST CE QUE JE PENSE.

LES PUBS NE MARCHENT PAS AVEC MOI, ALLEZ VOIR AILLEURS SI J'Y SUIS.

Je vous ajoute en amie quand ca me chante, en revanche je ne vais pas vous harceler pour obtenir votre amitié ;)

Je suis pas une méchante ni une idiote donc n'hésitez pas à me parler si c'est sincère et honnête.

Je cherche pas spécialement un garcon donc ayez pas peur les mecs si je vous parle c'est que je cherche en premier lieu à faire connaissance et plus si affinité ;)

Ça s'appelle le test de l’œil: trouve le "L" minuscule: LLLLLLLLLLLLLLLLLLLlLLLLLLLLLL maintenant le "Q": OOOOOOOOOOOOQOOOOOOOO maintenant le "N" (celui-là c est le plus difficille): MMMMMMMMMMMMMNMMMMMMM elle est où l'erreur ? ABCDEFGHIJKLNMOPQRSTUVWXYZ fais un vœux après le comptage: 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 maintenant fais le vœux ! Maintenant mets ça sur ton QSJ pour que ton vœux se réalise. Attention tu n'as que 5 minutes, si tu ne le fais pas ton vœux se réalisera mais a l'envers

Un noir entre dans un bar. Un blanc dit :"Les hommes de couleur ne sont pas permis d'entrer." Le noir dit :"Je suis né noir, quand j'ai froid je suis noir,quand je suis malade je suis noir, quand je vais mourir je resterai noir. Toi, quand tu est né t'étais rose, quand t'as froid t'es bleu,quand t'es malade t'es vert ,quand tu vas mourir tu resteras violet et tu oses dire que je suis une personne de couleur? Mets ça sur ta fiche si t'es contre le racisme

Comment voulez-vous que les enfants écoutent leurs parents, puisque Tarzan vit à moitié nu, Cendrillon rentre à minuit, Pinocchio passe son temps à mentir, Aladin est le roi des voleurs, Batman conduit à 320km/h, Blanche Neige vit avec 7 mecs. Faut pas s'étonner que les enfants fassent des ***ries.

Regarde le point blanc pendant 30 secondes puis regarde ton clavier .

Voici la stricte vérité 

Les mecs, c'est comme...

- Les mecs, c'est comme les allumettes : Tu les allumes et tu les jettes.
- Les mecs, c'est comme les fruits : Plus c'est mûr, plus c'est bon.
- Les mecs, c'est comme le caramel : C'est bon, mais c'est collant.
- Les mecs, c'est comme les maths : C'est dur à comprendre.
- Les mecs, c'est comme les éléphants : ça trompe tout le temps.
- Les mecs, c'est comme les oignons : ça fait pleurer.
- Les mecs, c'est comme les crevettes : Rien dans la tête, tout dans la queue.
- Les mecs, c'est comme les jeans : Il faut tous les essayer avant de trouver le bon.
- Les mecs, c'est comme une branche : Tu t'accroches, puis ça casse.
- Les mecs, c'est comme un chien : Tu le flattes, la queue se lève.
- Les mecs, c'est comme la lettre Q : Un gros zéro avec une petite queue.
- Les mecs, c'est comme les trains : Si tu le manques, tu prends le prochain.
- Les mecs, c'est comme la nuit : ça fait rêver.
- Les mecs, c'est comme la bière : Les deux rendent malade.
- Les mecs, c'est comme les fruits : Après la saison, ils sont pourris.
- Les mecs, c'est comme les allumettes : Quand tu les frottes, ils perdent la tête.
- Les mecs, c'est comme les grenouilles : ça saute sur tout ce qui bouge.
- Les mecs, c'est comme les places de parkings : Les meilleurs sont pris.
- Les mecs, c'est comme les Pokémons : Il faut les dresser pour qu'ils évoluent.
- Les mecs, c'est comme de l'or : Une fois que c'est plaqué, ça vaut plus rien.
- Les mecs, c'est comme le mascara : ça disparaît au moindre signe d'émotion.
- Les mecs, c'est comme la grippe : ça se chope dans la rue et ça finit au lit.
- Les mecs, c'est comme les smarties : Il y en a de toutes les couleurs, mais quand on y goûte, ils ont tous le même goût.
- Les mecs, c'est comme le café : C'est bon quand c'est chaud mais ça tape sur les nerfs.
- Les mecs, c'est comme les chewing-gums : Au bout de 2 heures, ça n'a plus de goût, faut les mettre à la poubelle.
- Les mecs, c'est comme le rugby : ça commence par un placage et ça finis par une touche.
- Les mecs, c'est comme les chiottes : C'est toujours occupé.
- Les mecs, c'est comme le cristal : C'est beau mais ça casse vite.

:* Bon jeu ♥♥

trouvé chez bebe--kawai allez voir

Biz

Chapitre1

-Ahlàlà…

Je soupirais avec ma meilleure amie. J’étais chez Emma pour la nuit. Nous regardions sur l’ordi les images Facebook de Loïs Varcia. Le mec le plus populaire du lycée. Il était un an plus âgé. Brun, yeux bleu ardoise, aimé de ses professeurs, respecté des racailles, corps parfait. Emma le connaissait un peu, et moi pas du tout. Nous ne nous étions jamais adressé la parole. Pourquoi aurait-il fait attention à moi, Selena Moneil, fille banale, aux cheveux bruns raides fins, yeux vert, grande, maigre, avec peu de poitrine, alors qu’il y avait des bimbos blondes aux yeux bleus, bouche rose en cœur, et 95B  de poitrine ?

Non, plus banale que moi, ca ne risquait pas. Et féminine, je ne l’étais pas… Je déteste les One Direction, Justin Bieber. Et ayant pour passions le foot, la guitare et le hip-hop, je n’attirais pas les garçons comme des mouches…

Emma, elle, est plus petite, bronzée, les cheveux bruns soigneusement coupés, une poitrine respectable… Ayant toujours le dernier IPhone d’Apple et les vêtements dernier cri. De plus, elle est Beliebers. Dans le lycée, la règle était la suivante. Ou tu étais Belieber ou Directioner, ou tu craignais grave.

Moi, j’aime Joyce Jonathan, qui n’est certainement pas à la hauteur de ces messieurs pour les pimbêches du lycée. En plus, avec mes bonnes notes et mes lunettes que je portais u***ment en classe, je suis une intello parfaite. Emma a des notes moyenne, « normale ». Je parle couramment l’allemand, me débrouille en anglais. Emma parle quelques mots d’italien, d’où elle vient.

Je suis américaine, ce qui normalement est cool. Mais je n’ai pas appris à parler anglais, ce qui fait que c’est un atout moyen.

Enfin, nous étions en train de nous rouler d’extase devant le must. Et de soupirer.

-Si il te dit qu’il veut sortir avec toi, tu dis quoi, me lança Emma.

Je lui envoyai un polochon dans la figure. Elle l’esquiva en riant.

-Bah, tu sais bien que c’est impossible, soupirai-je.

-Surtout avec ta tête, remarqua une voix narquoise étouffée sous le polochon.

Je bondis sur sa couette et la chatouilla jusqu’à se qu’elle crie grâce.

-Tu peux dire ce que tu veux, je suis sortie avec plus de garçons que toi, remarquai-je en ricanant.

-Mieux vaux rester célibataire que de sortir avec une bande de ***s et de cons, répliqua-t-elle en me tirant la langue.

Je soupirai une nouvelle fois avant de refermer l’ordi portable.

-Bah, arrêtons de déprimer. C’est quand que tu reviens chez moi pour qu’on refasse un dîner toute les deux ?

-Chais pas. Il faut que je regarde.

-Mmm.

-J’aimerais tellement échapper à ma vie, c’est tellement banal, grognai-je.

-Ah ouais ? Je suis sûre que tu aimerais pas avoir ma vie.

-Oh si, toi au moins y a des garçons qui te parlent et tu es appréciée de tout le monde… T’es une fille normale, dis-je avec une pointe d’envie dans la voix.

-Mais tu ne connais pas encore tout mes secrets, répondit-elle avec une grimace.

-Mouewuitgua.

Je venais de fourrer ma tête dans l’oreiller. Nous piquâmes un fou rire.

-Oh naaaan on a maths, grognai-je, traînant des pieds dans le couloir. La prof va encore rendre l’atmosphère aussi glaciale que le Pôle Sud.

-Salut, Jasmine, dit Emma sans prêter attention à mes plaintes. On a quoi maintenant ? poursuivit-elle.

-Tu m’écoutes, oui ? On a maths ! Je disais que…

-Quoiiiiiii ?!!! On a maths aujourd’hui ?!

-Euh oui, comme tout les lundis.

-J’ai pas fait mes devoirs !! Passe-moi les tiens que je puisse recopier ou la prof va me démonter !!

-Rohlàlà mais t’as foutu quoi hier, râlai-je en fouillant dans mon sac.

-Euh… J’étais chez mon père et j’ai oublié qu’on avait maths aujourd’hui.

Brusquement, je sortis la tête de mon sac et dis à Emma :

-Ma chérie, on a un très, très gros problème.

-Quoi ?! Ne me dis pas que…

La sonnerie noya à moitié mes paroles.

- ……….oublié à la maison.

Et moitié riant, moitié angoissées, nous filâmes vers Jasmine en la suppliant de nous filer ces devoirs.

-Euh ok mais que Emma.

-Quoi, nous nous exclamâmes en cœur.

-Arrête, tu crois pas que je vais TE refiler des devoirs quand même, ricana-t-elle en me regardant comme si j’étais un crapaud.

Emma soupira. Je lui dis :

-Emma, si je me prends un mot aujourd’hui, tu peux oublier que je t’accompagne au concours d’équitation la semaine prochaine.

Le concours dont je parlais était un concours national où Emma avait été sélectionnée. Et comme elle avait le trac et que j’étais sa meilleure amie, elle tenait absolument à ce que je vienne. Elle se mordilla les lèvres, signe de stress chez elle et dis :

-Bon, pas le temps de discuter.

Elle se tourna vers Jasmine, et, en me cachant ses mains, marmonna :

-Obéis.

Et soudain, une lueur violette vint des mains d’Emma et Jasmine eu soudain un regard vague avant de se tourner vers moi, Emma aussi, les mains parfaitement normale et me dis avec un délicieux sourire :

-Bon, Jasmine, tu nous les donnes, ces devoirs ?

-Ou…Oui, tenez.

Nous recopiâmes à toute vitesse. Je voulais absolument demander à Emma comment elle s’y était prise et qu’est-ce-que c’était que cette lueur que j’avais vu mais la prof entra dans la salle, et nous annonça qu’elle avait une mauvaise grippe, qu’elle était venue pour nous (et toute la classe pensa qu’elle n’était absolument pas obligée de penser à nous si fort) et qu’elle n’hésiterait pas à distribuer des heures de colle. Je choisis donc de me taire jusqu’à la récré et présenta mes devoirs faits sous son nez crochu avec un air sombre.

Quand la sonnerie retentit, tout le monde se précipita dehors. Sous le beau soleil de juin, on profitait de la moindre seconde de libre dehors à lézarder paresseusement. Mais je n’étais pas d’humeur à ca, aussi, une fois nos sacs installés sur le rebord d’une fenêtre, je pressai Emma :

-Comment tu as fait ca ?

-Fais quoi ?

-Convaincre Jasmine de me donner ses devoirs juste en disant « obéis » ?!

-Qui ? Moi ? Je lui ai dis que je n’hésiterais pas à avouer à Angelina (amie d’Emma, fille la plus populaire du lycée et grosse c*nne si vous voulez mon avis) qu’elle dormait encore avec sa vache en peluche, c’est tout, fit-elle avec un air d’ange, si convaincant pour toute autre personne que moi qu’on dirait presque qu’une auréole apparaissait au-dessus de sa tête.

-Arrête de me faire marcher. Je t’ai clairement entendue. En plus, tes mains se sont illuminées.

-Hein ?! Mais qu’est-ce-que tu racontes ? T’es folle ou quoi ?

Je roulais des yeux, exaspérée. Lorsqu’Emma me mentait, impossible de lui faire avouer. Elle m’avait dit une fois qu’elle partait faire du shopping dans une grande ville un après-midi, alors que j’étais sûre de l’avoir vu furtivement dans la forêt. Elle avait nié l’accusation d’un « quoi ? Mais qu’est-ce-que j’irais faire dans la forêt ? Tu me vois aller dans la forêt ? T’as qu’à demander à ma mère où j’étais ! » Il est clair que cela ne collait pas avec la personnalité d’Emma d’aller faire un tour en forêt mais j’étais certaine à 200% de l’avoir vu. Et le « t’as qu’à demander à ma mère », elle le dit souvent pour se justifier, et j’ai déjà tenté l’expérience. Et quoi qu’il arrive, sa mère me certifie ce que viens de me servir Emma.

Je laissai donc tomber, très énervée. Je murmurai néanmoins d’un air furieux pour moi-même ; « un jour, tu m’avoueras tout »

Emma eu un sourire triste, et murmura également « Je ne sais pas si j’ai envie que ce jour arrive… »…

Je sortis du bus et me dirigeai vers ma maison/villa en plein cœur de la forêt. Je traînais des  pieds en repensant à ce qu’Emma m’avait répondu. Que  voulait-elle dire ? Je cherchais des possibilités mais aucune ne me semblait réelle. Lorsque j’ouvris la porte, ma mère cria depuis la cuisine ;

-Ryan et un de ses copains sont dans le jardin vers la piscine. Tu peux les rejoindre aussi si tu veux. Je t’ai préparé un smoothie. Tu fais attention, je viens de passer la serpillère dans la salle de bain.

-Je t’aime aussi maman, soupirai-je.

-Pardon ? Viens dans la cuisine si tu veux me dire quelque chose, continua-t-elle.

-Rien rien m’man, dis-je en haussant la voix.

Je me posais une question ; le soleil brillant fort, j’avais envie de me baigner. Mais supporter Ryan, son pote et leurs sarcasmes était tout aussi insupportable que la chaleur… Et puis quoi faire d’autre ? Je montai dans ma chambre, m’assit à mon bureau, déballai mes devoirs… Pour les remballer aussitôt. J’ouvrai la fenêtre. La refermai. Soupirai. Et ouvrit brusquement un tiroir, me mit en bikini, sortit mes Ray Ban que j’affectionnais car je me trouvais un petit air de star avec même si c’était parfaitement puérile. Ma serviette sous le bras, mon IPod dans une main, mon smoothie dans l’autre, je sortis sur la terrasse, et sans accorder  regard vers la piscine, je m’installai.

-Oh non, dégage !

Ca, c’est Ryan, mon grand frère. Tout mon contraire. Blond aux yeux bleus comme ma mère, populaire, avec des tablettes de chocolat, un air idiot de Robert Pattinson. Nous sommes comme chien et chat. Incapables de se saquer. Je l’appelle le -1 de Q.I, lui m’appelle l’araignée intello.

Je respirai un grand coup avant de me tourner. Et faillis me décrocher la mâchoire. Car le garçon qui se tenait aux côtés de mon frère n’était autre que Loïs Varcia.

-Eh, t’es sourde ?, me nargua mon frère. Ou tu admires les deux beau gosses que tu as l’honneur  de pouvoir voir avec tes misérables yeux ?

-Toi, un beau gosse ? Moui. N’empêche qu’apparemment ta matière grise a fondu dans les muscles, répondit-je enlevant les yeux au ciel.

Je n’avais rien dit au sujet de Loïs car j’allais rougir comme une tomate rien qu’en prononçant mon nom.

-C’est tout ce que tu trouves à dire? Et je répète mon ordre : dégage!

-Oh mon Dieu j’ai offensé sa Majesté Ryan ? Que puis-je faire pour me pardonner ?  Peut être lui organiser un rencard de secours avec Gertrude ?

Gertrude était dans la classe de Ryan, et sa plus grande fan. Elle lui envoyait une lettre d’amour par semaine, passait régulièrement pour voir si il était là (Ryan faisait bizarrement des devoirs super importants dans ces moments), et elle avait même une fois écrit « Ryan je t’aime » au tableau pendant un cours de français. Le souci était qu’elle très ***. TRÈS. Elle me faisait pitié.

La réaction de Ryan à ce prénom fut immédiate. Il devint rouge et il dit :

-Un seul mot de plus et tes yeux vont tripler de volume, microbe.

-Oh, le voilà qui rougit. Aurais-je touché un point sensible dans ce cœur de brute insensible et désespérément con, continuai- je en souriant d’un air féroce.

Je jetai un coup d’œil imperceptible à Loïs. Il contemplait notre échange d’un air amusé. Ryan, lui, bondit hors de l’eau, et essaya de me faire basculer dans l’eau. Il n’y parvint. Au foot, nous étions habitués au sprint. Ryan, avec la muscu, n’était pas particulièrement rapide. Je courus en direction de la piscine  et plongeai. Trop près de Lois et je l’éclaboussai.  Au fond de l’eau, je décidai d’une phrase bateau pour m’excuser. Mais quand j’atteins de nouveau la surface, il m’éclaboussa en riant. Soulagée, je me mis à rire à mon tour. Je me détendis enfin. Mais c’était sans compter Ryan. Il m’attrapa brusquement par les cheveux et me plongea la tête sous l’eau. Je me débattis de toute mes forces, mais peine perdue, il était plus fort que moi. Lorsqu’enfin il me remonta, je recrachai rapidement toute l’eau que j’avais avalée.

-Tu devrais faire gaffe, Ryan…

C’était Loïs. Il était sorti de l’eau, s’était assis sur son transat et regardait avec une lueur d’inquiétude dans le regard. Evidemment. Entre les mains de Ryan sous l’eau, je suis un pauvre petit animal sans défense.

-Oh, ca va, elle devrait supporter une plongée de plus… À moins que tu ne regrettes ce que tu as dit, ricana mon frère.

-Ja….Mais…. Conn….Ard, hoquetai-je, le souffle court.

Et ce qui devait arriver se passa. Il me refit faire de la plongée. Cette fois, j’avais pris de l’oxygène. Mais il me laissa si longtemps sous l’eau que je n’en eu plus. Je me débattis, mais sa main demeura ferme. Une vague de colère s’empara de moi, tandis que je recommençais à me sentir vraiment mal.  Et soudain, sa main me lâcha. Je remontai à la surface et inspirai de longues goulées. Mais il n’y avait pas  que moi qui reprenais mon souffle. Ryan était au bord de la piscine, et n’avait pas l’air bien non plus. Il vomissait de l’eau.

Mais je me sentis lentement sombrer. Un bras me retint juste à temps et me hissa hors de la piscine. On me transporta sur mon transat. J’ouvris les yeux et découvris que je n’étais pas sur mon transat mais sur celui… De Loïs. Qui me regardait d’un air indéchiffrable.

-Merci, parvins-je à articuler.

-De rien, dit-il, l’air toujours aussi indéchiffrable.

-Qu’est-ce qu’il a ?, hoquetai-je en pointant Ryan du doigt.

-Tu lui as envoyé une énorme gerbe terriblement forte dans la figure.

Moi ?! Je m’étais débattue, lui avait donné des coups de pieds mais je n’avais pas cherché à lui envoyer de l’eau à la figure. Cependant, il paraissait vraiment sous le choc. Je le contournais, avec un air dégoûté. Je savais que Loïs guettait ma réaction. Je pouvais facilement pousser mon frère dans l’eau, histoire qu’il avale un peu plus d’eau.  Je m’agenouillai. Plaçai mes cuisses sous son dos. Je mis mon poing sans ménagement sous son sternum et appuyai dessus terriblement fort. Il put expulser le reste d’eau et respira enfin normalement. Il se redressa, prenant de grandes goulées d’air. C’est le moment que choisis Maman pour arriver.

-J’entends des gens qui toussent, vous ne chopez pas un rhume au moins ?

Prenant Loïs de vitesse, je répondis avec un sourire :

-Pas du tout Maman, tout va bien. J’aimerais bien une glace, d’ailleurs, et les deux garçons aussi.

-Ok, ca marche. Donc, toi je sais que tu veux chocolat blanc, Ryan fruit de la passion, et toi Loïs ?

-Chocolat blanc aussi s’il vous plaît.

Elle farfouilla 10 secondes dans le frigo et revint avec nos glaces, puis s’éloigna.

Je remis mes lunettes, m’étendis sur mon transat avec ma glace, et contemplai mon frère. J’avais demandé une glace pour Ryan car le froid ferait du bien à sa gorge. Nous léchâmes nos glaces en silence. Puis Loïs se leva et dit :

-Il est temps que je rentre.

Il remit son tee-shirt, rangea sa serviette dans son sac. Il tapa dans la main de Ryan. Il me regarda, sembla hésiter. Je le regardai fixement. Il sourit, hocha la tête et partit.

Quelques minutes plus tard, je reçus une notification sur mon IPod :

« Facebook : Loïs Varcia vous demande en ami. »

Je souris en savourant mon petit triomphe et cliqua sur « accepter ».

Fin du chapitre 1 pour la suite envoyez moi un MP