PROLOGUE

???- Mais Livia, je t’aime, ne me laisse pas s’il te plait.
Livia- Tu as voulus jouer, Nick.
Nick- Je t’en prie Liv, tu ne ressens donc rien, tu n’as pas de coeur?
Livia- Ce n’est pas la question, j’ai gagné tu as perdu fin de la partie, allez salut Nick.
Je fais demi-tour et traces en l’entendant pleurer, comme moi j’ai pleurer une fois.Je crois que depuis qu’il est parti ça m’amuse. Ça m’amuse de les faire souffrir un par un comme moi je souffre. Je sais c’est égoïste, mais il est également égoïste d’être parti. De me laisser détruite. Il me manque putain ce qu’il me manque, tout les soirs je repenses au fois où il passait par ma fenêtre tard le soir pour me rejoindre dans mon lit. Ce lit qui maintenant est froid, je n’ai jamais emmené de garçon dans ma chambre il était le seul à pouvoir aller sous mes draps.L’autre jours en cours de philosophie mon prof nous a posé une question.

???- Mlle.Stone?

Livia- Oui?
???- Que pensez-vous de l’amour?C’est cette question, cette question qui finalement n’a aucune réponse, parce qu’au fond qu’est-ce que c’est l’amour? Un truc que les hommes ont inventés? Un truc réelle?

Livia- Je n’ai pas de réponse Mr.Silver.
Il m’a sourit, et à re ulé sa question.
Mr.Silver- Êtes- vous amoureuse Stone?
Des ricanements se sont fait entendre, évidemment tout le monde connaît ma réputation de «coeur à prendre» mais ils ne connaissent pas ma vraie histoire.
Livia- Peut on dire monsieur que nous sommes amoureuse d’un cadavre sans pour autant passer pour une folle au yeux de la société?La classe s’est tu et ma fixé, quand à mon prof lui il a plongé son regard dans le miens en me certifiant que oui on peut.

Mr.Silver- Bien sur mademoiselle.
Livia- Alors oui je suis amoureuse.

Chapitre 1 :

Je m’appelle Livia ou Liv, j’ai 17 ans je suis en terminal L, je suis juste née en fin d’année, nous sommes en Janvier, un mois froid, le début de l’hiver, la neige, le chauffage, bref tout un tas de trucs inutiles à préciser, tout le monde le sait ça. On est exactement le 5 Janvier 2016 et ça fait 1 an qu’il est partit, qu’il m’a quitté.

-FLASH BACK 5 JANVIER 2014-

Je suis avec lui sur le pont juste au dessus de la ou passe les trains on est le 5 janvier 23h50, à 10 minute de la nouvelle année, il fait nuit noir, les étoiles brilles aucun train pas un bruit, des flocons qui tombe gentiment sur nos têtes pendant qu’il m’embrasse, à cette époque je n’ai que 16 ans et lui 17.

Livia- Dit moi que tu m’aimes.
???- Tu le sais déjà.
Livia- Redis le moi.
???- Je t’aime.
Livia- Dit le avec mon prénom, Jesse.
Jesse- Pourquoi je ferais ça?
Livia- Dit le.
Il fait non de la tête, un coup de vent passe et mon écharpe s’envole elle tombe sur les rails du train.
Livia- Oh putain merde! Fait chier!
Jesse rigole.
Jesse- Je vais te la chercher!
Il me lâche et cours vers les escalier de secours qui mènent jusqu’au rails.
Livia- Remontes Jesse on s’en fou c’est juste une écharpe!
Il continu de descendre.
Livia- Jesse remontes c’est trop dangereux!

Jesse- Rien n’est trop dangereux pour toi ma bien aimée!
J’éclate de rire, Jesse était un passionné de grande pièce de théâtre et de roman.
Il se dirige sur les rails du train et la récupère.
Livia- Allez remonte maintenant! Je n’ai pas besoins que tu fasses ton héros!
Jesse- Dit moi que tu m’aimes Livia.
Livia- Je t’aime.
Je vois les fards du train.
Livia- Qu-est-ce que tu fais Jesse, reviens le train arrive! 
Jesse- Dit le avec mon prénom!
Le train classons c’est grand fards jaune éclaire Gage de dos.
Je cris de toute mes forces.
Livia- MAIS ENFIN JESSE REMONTES PUTAIN T’ES FOU!
Il hurle ces dernière parole.
Jesse- JE T’AIME LIV!

Et puis plus rien, juste un train qui passe sur mon amour, le bruit d’os brisée résonne dans ma tête comme celui de mon coeur.
Au début j’ai crus que c’étais un suicide, mais lorsque que le corps à été ramassé on ma bien préciser qu’il c’était en faite coincé le pied entre deux rails de trains.

-RETOUR AU PRÉSENT-

Il m’a quitté, il est partit pour une foutue écharpe, et un coup de vent.
Jesse me disait souvent quand on regarder les infos et qu’il annoncé les différent terribles accidents qui causait la morte de plusieurs personnes que «c’était leurs heure, que c’était comme ça et puis c’est tout.» Alors quand j’ai vus le train et que je ne l’ai plus vus lui je me suis dis «si son destin c’était de mourir pour une putain d’écharpe peut être que je mourrais pour un bonnet.

Je repenses sans cesse à lui, à ces promesses merveilleuses qu’il m’avait promis et que la vie ma retiré. Je m’en suis longtemps voulus, je pensais que c’était ma faute entièrement et j’ai passé des journée entière à pleurer, puis un jours, ça c’est arrêter la tristesse que j’avais c’était trans ée en colère, en haine et j’ai juste chercher à me venger. À me venger de «l’amour», alors depuis je m’amuse, je brise des coeurs un a un histoire de me remonter le moral.

CHAPITRE 2:

Je suis dans la voiture avec ma mère, elle m’emmène dans mon nouveau lycée, j’aurais une chambre en internat, et elle passera me prendre à chaque vacances, elle m’as demandé si je voulais venir le week-end j’ai répondu que non, que retourner dans cette chambre ou il c’est passé tellement de chose ça ne me disais rien puisque que maintenant tout est fini. Ma mère écoute la radio «Nostalgie» un morceau de Céline Dion passe à la radio « Pour que tu m’aimes encore» j’écoute avec elle, elle fredonne les airs de musique, c’est la seule personne qui à réussi à me faire sourire depuis que Jesse ne peut plus le faire. Je ne souris plus à part avec elle. On arrive devant l’établissement immense.
Mère- Tu es sûre que tu ne veux pas rentrer à la maison le week-end?
Livia- Non maman, merci.
Elle sort de la voiture, moi également, elle sort mes affaires du coffre, puis me sert dans ces bras.
Mère- Fait attention à toi, et si tu as un problème…
Livia- Je t’appelle, t’inquiète pas maman tout ira bien.
Elle prend son visage dans mes mains.
Mère- Je t’aime.
Je souris elle m’embrasse sur le front.

Je ne dis plus «je t’aime» à personne, c’est un mot qui lui est réservé.
Une larmes coule sur sa joue, je lui fais un bisous sur la joue, prends mes sac et rejoins le groupe de «jeunes» comme nous indique le pion.
Elle rentre dans la voiture m’envoie un bisous du bout des doigt et s’en va, la petite BMW de ma mère s’enfonce dans l’allé jusqu’à ce que je la perdes de vus.
???- Salut!
Je me retourne et vois une fille model parfaitement maquillé, bien habillé, bien coiffé, je me sens naze à côté.
Livia- Coucou.
???- Je m’appelle Maggie mais pour toi Mags si tu veux.
Livia- Livia.
Elle me sourit.
Maggie- Nous sommes dans la même classe il me semble!
Livia- Ah bon, comment tu sais ça?
Je rajuste mon chignon et remontes mon jogging.
Mags me regarde de haut en bas.
Maggie- C’est marqué la-bas.
Elle me pointe une affiche ou un groupe d’élève se trouve.

J’essaye de porte tout mes sacs, elle claque des doigts et un homme en cravate arrive, il prend mes sac et le pose sur un chariot digne d’un grand hôtel.
Maggie- Laisse moi t’aider!
Je lui gratifie un sourire.
Livia- Merci beaucoup Mags.
Maggie- Aucun problème Liv aha.
Un groupe de fille passe devant nous elle sont du même style que Maggie mais avec des habits de moins bonne marque j’en suis sur, elle ricane en me pointant du doigt.
Je regarde comment je suis habillé, je suis en pyjama quelque sorte, mais on est dimanche il est 18h et je suis crevée. Je rajuste mon tee-shirt, Maggie pose la mains sur mon épaule.
Maggie- Tu es très jolie, tu as… (elle déglutis) ton style, mais tu es ravissante.
Livia- Oh, c’est un vieux jogging hein je ne m’habille pas tout les jours comme ça.
Maggie- Tu aimes «Star Wars» ? 
Livia- C’est un tee-shirt à mon co… Ce n’est pas à moi.
Maggie- Tu as un copain?
Livia- Non enfin… c’est long à expliquer.
Maggie- D’accord.
Elle passe son bras autour du miens et m’entraîne avec elle.
Maggie- Je t’emmène à notre chambre.
Livia- Mais enfin d’où tu connais tout ça?
Maggie- Je t’ai dis, les affiches.
Elle me lâche le bras et avances pour rejoindre un groupe de garçon devant nous.
Maggie- James, Tony, Edward! 
Les trois garçon se retourne.
Edward- Oh bichette!
Elle part devant avec eux, je la suis puisqu’apparemment je suis avec elle, autant ne pas se perdre tout de suite…

Maggie 17 ans.

Tony 18 ans.

 James 17 ans.

 Edward 19 ans.

c h a p 3 p1/

Elle se sépare vite fait des garçons lorsqu’ils rentrent dans le bâtiments des hommes, elle reviens vers moi toujours le sourire au lèvre.
Mag- Ils sont gentil, c’est ma bande de copains quoi.
Liv- Tu restes avec des garçons toi?
Mag- Pas énormément de filles veulent rester avec moi, d’un côté pour mon côté superficielle et pour autre chose également.
Liv- Qu’est-ce que c’est?
Mag- «C’est compliqué» 
Elle dit ceci en essayant de refaire ma voix mais ça voix est beaucoup trop régulière dans le même ton, comparé à la mienne qui monte dans les aigu quand j’accentue certains mots.
Elle me sourit et je lui sourit également, nous continuons d’avancer dans les couloirs et entre les regards que nous jette les autres filles et les hurlements des autres quand elles découvrent qu’elles sont dans la même chambre nous arrivons à entretenir une conversation.
Mag- Alors tu viens d’ou?
Liv- De Washignton, Seattle plus précisément, et toi?
Mag- San Francisco, Californie, tu fais quoi ici à Portland (Oregon)?
Un coussin s’écrase contre le mur on se stop net je pousse un cri, Maggs rigole, une fille sort de la chambre reprend son coussin et s’excuse avant de repartir dans sa chambre.
Liv- Je ne supportais plus mon ancien lycée.
Mag- Pourquoi?
Liv- Trop de souvenirs.

Je ne me voyais pas lui déballer ma vie alors que je la connaissais depuis seulement 20 minutes.
Mag- Moi aussi je suis partis à cause de mon lycée, mais je ne suis pas arrivé en milieu d’année, je suis la depuis le début.
Liv- Tu t’es fais des ami(e)s alors?
Mag- Tony, James et Edward c’est tout.
Liv- Alors tu ne traîne vraiment qu’avec eux?
Elle me sourit.
Mag- Non avec toi maintenant aussi, et puis il y a un autre gars, un ami de Reid qui traîne un peu avec nous de temps en temps.
Liv- Ah d’accord.
Je remets une mèche derrière mon oreille.
Liv- Tout les élèves sont arrivé ce soir?
Mag- U***ment ceux qui sont dans l’internat.
Liv- OK.
Un silence se propage entre nous on arrive devant la porte.
Mag- C’est ici, mon père a payé la plus sublime chambre de l’établissement pour nous.
Liv- Il ne fallait pas je…
Mag- Enfin pour moi au départ mais j’ai absolument voulus que tu viennes avec moi alors c’est ta chambre aussi maintenant.
Liv- Merci.
Elle tourne la clef dans la serrure, elle ouvre la porte et la je vois une chambre immense, il y a un renforcement avec une immense fenêtre et un lit vide qui prend toute la place de l’encadrement. Maggie me regarde.
Mag- Tu fais une de ces tête, tu serais à prendre en photo!
Liv- Je peux prendre le lit la-bas?
Mag- Bien sur mon côté est ici.
Il pointe son «côte» et c’est un esprit tout à fait différent une chambre de princesse, vraiment, le major d’homme de Mag rentre dans la chambre ouvre une porte et y dépose nos sacs, elle m’attrape le poignet et me tire.
Mag- Regard notre dressing!

(dressing)