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Qui viendra panser les blessures rincées par la pluie et dévorée par les insectes ?

 

"Tout est volontairement involontaire."

 

On va réussir à rater. Stocke-moi ça.

 


 

 

 

Ma mère le seum.

Oh ! Un oiseau !

 

 

Le steak est bien cuit, mais trop tôt.

Il est raté.

Putain.

 

 

 


 

 

 

AIME DES AIRS

 

Le sang doit couler...

<3<3<3

 

Tmdisloques.

Tu me disloques.

Tu m e disloques .

 

 

 

 

RPG :

"C'était une princesse. Il lui suffisait de vouloir pour que ses voeux soient exaucés par ses amoureux de sujets."

Je joue uni.quement ce personnage.

 

En ce moment :

Lieu : Dans les allées commerçantes près de la plage.

En train de : Sortir de la limousine de son chauffeur.

Temps : Neige légère. Ciel nuageux. Bientôt de l'orage ?

 

 
Je pense que one-or-another sera à venir.

J'ai envie de créer un refuge de nekos aussi. Avec plein de nekos, pas forcément que les miens, qui viendraient boire du lait et ronger des os là-bas, lorsque les temps sont durs et que la pluie batterait son plein au-dehors.

Serait-ce intéressant ?

 

 

 


 

 

 

Cadavres sémantiques :

`.`

 Rescapé d'un nauffrage. Scientifique solitaire. Secret et brisé.

 

[Anika55 : Partir à la chasse de tes dollz me manque.]

 

 

Cours vers moi comme si j'étais un rire. Le vent. Un rire porté par le vent et qui te mènerait à la source de ce rire : une personne toujours heureuse, une personne capable d'écouter des sentiments, une personne qui déménagera dans quelques ans.

 

`Le problème vient des gens, non pas qui voient les complexités de toute une chose, ni même de ceux qui savent prendre de la distance par rapport aux choses comple.x.es pour vivre simplement ;

Le problème vient à mon sens des gens qui compliquent les choses simples, et qui croient voir simples les choses compliquées.`

 D'une maturité sans égale. Incapable de sentiments. Garde du corps.

 


`Ne perds jamais une occasion d'enrichir ton âme.`

 

Curieux. Eternel insatisfait. Médecin wagabond.

 

 

 

 


 

 

 

 

Automatttisme.

 

il détruit village sur village - plus belle la vie

 

AAlors. Bon. Faisons triompher le rire, svp.

Je suis sûre que Roméo est sorti avec Juliette parce que c'était une fille.

Si ç'avait été un gars, il l'aurait sûrement frien'zoné.

Sëxfrienzoné..?

 

Coucou toi !

Je viens te dire que je t'aime !

Oui, toi, derrière ton écran !

Je voudrais t'envoyer de l'amour pour que tu te sentes bien.

Bien et heureux-se.

Ca peut paraître naïf, après tout, je ne connais rien de toi.

Surtout pas tes côtés les plus sombres.

Surtout pas tes côtés les plus brillants.

Tu peux m'avoir fait de l'ombre,

ou m'avoir déjà trahi...

Peut-être me détestes-tu car je t'ai fait du mal...

Je m'en fous à vrai dire.

A vrai dire, je m'en fous.

Je vous aime, et je me déleste de votre amour et de votre haine.

Votre indifférence n'est rien comparé aux rires que j'aime faire naître au bord de vos lèvres.

J'aime partir après avoir vu ces enfants éphémères naître entre nous.

J'aime revenir vous proposer d'en enfanter d'autres.

Et juste ceci. Pas plus. Ni moins.

L'agonie viendra quand ma maison me sera retirée par l'envie lugubre et insouciante d'un tsunami.

Je vous aime.

Je n'ai jamais voulu vous trahir.

Je l'ai fait.

 

Sortie !

Torrentielle.

 

Mon job est d'éclater toutes tes illusions, tes convictions.

Je te prouverai que tu n'aimerais pas voir tes fantasmes réalisés.

Tous tes principes et les stratagèmes que tu mets en place en croyant te protéger ainsi des peurs que tu as accumulées, je les balaierai.

Non, je ne suis pas un être mauvais.

Je m'appelle simplement Vérité.

 

Je fume. La vie est nulle. Mais je ne fume pas.

Faut s'résoudre à l'évidence :

Y aura toujours des trucs nuls dans ma vie, comme dans la vie de bien d'autres en fait.

Pour moi, une vie nulle, c'est une vie sans illusion.

Car j'ai besoin d'illusions pour vivre.

Des illusions du genre :

"Mais oui, plus tard tu auras un job qui te plait."

"Mais oui, tu vas trouver un amoureux, et tu seras amoureuse."

Des illusions qui te font croire que t'es pas là pour regretter.

Puis je regarde mon quotidien, et je me dis qu'il faudrait

tout de même déchirer sa peau à coups répétitifs de couteau

pour retrouver mes illusions perdues.

Ma mère déprime car mon père lui dit qu'elle a tort de trop croire.

Bientôt plus de batterie sur mon ordi.

Aïaïaïa. J'manque d'amis.

Voyons les points positifs de ma dépression [non diagnostiquée, j'y crois pas de toutes façons. Saleté de père-Noël !]

J'ai un petit ami.

Ca c'est un point positif de ma vie tout court.

J'ai pas envie de travailler.

C'est mon point noir, épais.

Je pourrai faire d'autres trucs que mon boulot : le code, du coréen, et puis voilà.

Mais non. Ah bah, ça m'enjaille pas.

Tu crois que ça fait plaisir d'avoir une réputation de flemmeuse, toi ?

Personne veut se mettre dans ton groupe.

Je vais à demi-bien.


.No stress baby.

 

Qui prendra ma défense si je me tais ?

Qui sait mieux que moi ce que je ressens ?

Alors nous sommes peut-être comme deux instruments

désaccordés.

Mais dans ce cas ne jouons plus ensemble,

et faisons en sorte de servir d'autres musiciens.

-j'ai peur. je veux descendre !-

 

Se-duc-tiv-ness~

 

Un mort manque éternellement. Une morte aussi.

 

On ne choisit jamais son apparence, on fait avec, voilà tout ! Moi, je sais bien que l'apparence ne compte pas, c'est pour ça que j'sors avec Elvy.

Tout vient à point à qui sait attendre. L'homme aux poupées hantées.

Obsession : Sentiment dominant :

La femme dragon.

 

Nouvelle de mon frère : Il a du mal à suivre la cadence de ses cours... Trop de pression, peut-être ? En tout cas ça le rend grognon comme un cadre qui va bientôt faire un burn-out.

 

Régression au poignard.

 

Les écailles de certains poissons sont comme mille perles de tristesse colorées.

 

Genre.

 

Perdue dans un corps de grosse femme, comme pourvue du pouvoir distortionné de bousculer tout ce sur quoi mon regard pourrait se promener, je suis tellement préoccupée par mon corps que j'en oublie de me demander de quoi mon esprit est fait. Que mettre, que mettre, dans un si gros corps ? N'est-il que vide alors qu'il parait tant me peser ? Ballon d'air, ballon d'air... dois-je te remplir de profondeur afin que tu te dégonfles ?

Les voix qui se promènent autour de moi ressemblent à des poissons qui sautent autour des interprètes principaux d'une comédie musicale. Comme j'aimerai que ma vie soit bien réglée, à moi aussi ! Un chemin tout tracé, une réponse à laquelle on n'émet pas de doutes.

 

J'ai grand ouvert, le cadavérique intérieur de mes humeurs, à des docteurs peu renseignés, permettant aux mouches d'y entrer.

Mais les laisserai-je pondre ? Les laisserai-je me bouffer ?

Je sais que pour certaines personnes, le pardon compte, et les paroles sont comme des coups de griffes dans un être vivant, nouveau-né.

Gue/ule, gue/ule, gue/ule. Sculpture de pâte à modeler. Ecrasée. Ecrase, jamais fixe. Tu mutes afin de te ranger dans le tiroir de chaque commode de la maisonnée. Mais jamais ma femme, jamais celle d'un autre, jamais toi-même non plus pourtant...

Tu me fais peur, amour de ma vie et à qui j'ai tout confié.

Je veux perdre perdre perdre.

 

 

 

La divinité aux milles masques vous salue.

Mère des réincarnées,

Amie des farceurs.

 

La meilleure façon de détruire un système est parfois le fait de demander à tout bout de champs : pourquoi ?

Pourquoi mets-tu des fleurs dans ce vase ? Ne serait-ce pas mieux autrement ?

Mais elles peuvent aussi aider à grandir, à faire croître, à déployer. A moins que ce soit plus aidant en comment.

Comment as-tu choisi de coller des pailettes sur la crête de ton poulet ? Ca donne un très joli résultat.

Correction, solution, etc.

 

Est-ce que la santé de notre fille vaut vraiment les honoraires d'un avocat en cas de divorce...? Pas assez à mon goût ! c:

 

Encore une journée passée à ne rien faire !

 

Le problème avec les esprits, c'est qu'ils viennent et partent sans dire ni bonjour ni au revoir !

...mais à mon tour, je disparaitrais, et j'espère vous retrouver, à mon retour...!

 

inven.tion :

//Papa est mort. Ca a été brutal, sachant que je comptais le voir demain, après 5 ans d'hésitation.//

 

[Il ne voit rien, participe sans même savoir pourquoi, croit sa compagne sur parole, ne remet rien en cause. Surtout ne pas se poser de questions, surtout ne pas voir…]

 

/Je cherche des gens capables de satisfaire mon ego./

/J'avais oublié qu'il ne faut pas remplir son ego avec n'importe quoi./

 

 

LOGAN, passeur

Il pue une odeur indéfinissable, qu'étouffe avec peine des vêtements toujours frais et repassés.

Froid et romantique.

Amateur de poésie et de personnages malsains, et charmeur dont les conquêtes ne se comptent plus, il exige tout pour lui sans rien lâcher en contrepartie.

Jaloux, possessif et violent. Pseudo-paranoïaque.

L'homme est de ceux à qui il faut opposer le monde entier avant qu'il ne se remette en question.

Plus il éprouvera d'admiration pour votre personne, et moins il arrivera à vous traiter avec respect.

 

 

 


 

 

Alice Spell , guérisseuse

"Et j'entends parfois des gars partir en riant, me lançant qu'il y a des choses auxquelles je ne comprendrai rien aux trucs de garçon qui leur arrivent. Pour le trésor enfoui des templiers, qui reste un mystère pour nous tous, n'est-ce pas nous le mystère ?"

Histoire : Alliée de la communauté gay depuis l'épidémie du SIDA dans les années 60.

Apparence : Le noir absorbant de ses gants soulignait la nudité de ses épaules. Proche quarantenaire bien conservée. Des jaretelles pour qu'on identifie facilement sa féminité.

Catactère : On associe volontiers le pouvoir de guérison à celui de pureté. Mais apprenez qu'il n'y a jamais eu plus grossier mensonge que ce dernier. Les médecins trempent leurs mains si agiles dans des mares et des mares de bile et de tripes, ils dégustent volontiers les breuvages odorants des pariats atteints de gastro-entérite, et ils iraient fouiller jusque dans des corps vivant pour trouver l Trop pauvre pour s'acheter encore une paire de gant qui sied à sa taille, Alice fait partie de ces héros qui ont décidé de ne pas abuser de leurs dons..

Cyborg à mi-temps, pour survivre.

 

 

 

 


 

 

 

 one by one, i will kill themselves

 

  

Alors, j'ai fait la connaissance que je n'appréciais pas du tout. Je peux vous assurer qu'on ne survit pas longtemps en faisant semblant d'être ami-ami avec !

 

Si Dieu existe, c'est un alcoolo.

N'essayez pas de me faire croire en son existence si vous ne me permettez pas de croire en l'incompétence inextricable de sa personne.

 

Vaste Gag

Jette ton cadeau !

 

Et mon coeur s'ouvrit comme une orange pelée de tous les côté à la fois, la peau retirée par des couteaux invisibles, tenus par des mains célestes et sombres, mais infiniment douces dans leurs mouvements.

Je ne veux gâcher ce qui m'est précieux.

Mon coeur à ciel ouvert, nu et vulnérable, tel une femme exhibée en musée, tel un nourrisson, tel un homme qu'a la flemme de mettre son pantalon. HAHAHA ! Echangeons les mots les uns avec les autres ! Tu transmets des visions incorrectes. Et multiples. Et les prénoms se démarquent des chiffres seulement parce qu'on ne peut les additionner.

Ils t'aideront. Les voix de tes crottes de nez sont tes amis. Toujours là au refuge, avec le sourire et la consolation. Te donneront le meilleur de ce qu'ils trouvent à se partager.

 

La publicité m'a dit que tu serai heureuse si je t'achetai des fleurs.

Le porneu m'a conseillé de te su.cer les boules pour te faire bander.

Et en fait, je me suis rendue compte que tu étais une statue et que c'est moi qui te faisait parler.

 

Apprenti-Magicienne ~*~*

 

Listen to me

Ecoute-moi

Si tu me le demandes une fois

De ma bouche ne s'écouleront plus des mensonges

Mais des reflux immondes de cadavres aux os emmêlés dans des étreintes figées, et aux cages thoraciques remplies de TOK TOU MI pierres précieuses et de dimants colorés.

 

Momentanément tombée dans un sarcophage de fakir aux murs couverts de branches de rosiers, me faisant prendre une position étriquée, je lutte pour montrer que je suis toujours un serpent, capable de me contorsionner, tout en souplesse et en agilité, avec la joie d'agiter ma que.ue tel un poisson dans l'eau, et sifflant, sifflant, un sifflement que les Hommes n'arrivent à maîtriser.

 

Allez, regarde, t'as d'la chance dans ta vie : ton frère ne t'a pas blessé. Son ton monocorde et son regard débarrassé de toute estime à ton encontre ne t'a pas faire sentir comme une affreuse bête, une chose indélicate, irrecevable, un enfant non désiré...

Avorte-moi, bro. Parce que je ne supporterai pas de vivre à côté de toi avec ce regard-là.

Il est revenu m'expliquer qu'il était fatigué. Il m'a écouté quand je lui ai dit qu'il pouvait me virer gentiment de sa chambre à tout moment. Et il a même discuté un peu avec moi :3 Cet effort vaut la peine les gens, il vaut la peine ! :)

C'est un mille pour moi !

 

La déprime, c'est l'obsession des choses négatives.

L'optimisme, c'est un aveuglement permanent.

La déprime n'est pas la vérité.

L'optimisme c'est personnel.

La joie ça se partage, et c'est Langoisse.

 

Je suis extrêmement neutre. Si on considère la mauvaise foi comme une prise de position, et la prise en compte des idées, peurs, volontés des autres comme de la soumission, et les préférences personnelles comme des évidences pour tous.

Mais vous avez passé ce stade, sinon vous ne liriez pas ces lignes (et ça, c'est fou de le dire, mais j'en suis ceratine !)

Parlons de ce que j'aime :

-les trucs débiles (comme la chanson Chacaron Macaron)

-les trucs qui semblent débiles si on ne re/connait pas leur signification/histoire (comme la chanson Trololo)

-les gens que j'aime, et éventuellement ceux qui m'aiment (mais je suis ingrate avec eux, au point juste assez hypocrite pour qu'ils n'en soient pas au courant)

-moi (car je suis drôle, et belle, et sympa, même si j'ai plein d'autres défauts)

-et je n'aime pas dormir.

 

Si quelqu'un ne veut plus de toi, ne te sui.ci.de pas. Sors avec quelqu'un d'autre ou toi-même. Quitte à ce que tu sois déçue de n'être plus triste par amour, quitte à ce que cette envie s'estompe au profit de constructions plus difficiles, qui rapporteront moins, mais réalisables.

 

J'ai fantasmé la dépression. Je me suis droguée -dans le sens : j'ai fait souvent, et j'ai fait en faisait comme si le côté négatif n'existait pas... à vrai dire, il concernait les autres et m'importait peu- pour gagner l'euphorie de nouveaux projets. La seule fois où j'ai pris un risque pire que la mort -j'ai abordé un garçon- j'ai survécu pendant au moins un an. A quand mon prochain amour ?

-Une autre a construit un empire. Je l'admire sans l'envier. C'est sain.

 

Y a-t'il un chemin plus court pour aller de la naissance à la mort ? Où est-on sans cesse obligé de passer par la vie, et toutes ces couleurs infâmes, brillantes, mêlées les unes aux autres, et pourtant plaquée dans une espèce de ton monotone...?

x Les expériences sont nécessaires pour se délier des préjugés. Tu choisis quelle expérience passer en quel moment de ta vie. C'est tout ce que tu pourras choisir

 

J'ai l'apparence de ce que tu refuses d'aimer. Amie des corrompus, et partenaire éternelle de la reversabilité, on me croit souvent fakir consommatrice d'indolorescence, quand je ne suis qu'une araignée de plus parmi les bienheureux vivants que vous constituez.

Je déchire vos plaies comme du papier de soie, et quand votre corps me résiste, c'est de votre coeur que je me saisis. Regardez-moi, car je n'existe que par vous ; et je fais mon costume des couleurs qui nécessitaient l'intervention de l'aveugle qui n'a pu être peintre. Ingorée parce qu'insoutenable, oubliée comme endormie à vos côtés, on me retrouve

Et les plus forts d'entre vous auront trouvé ma semblable en eux : de réactions  toutes autres, mais d'une chimie exactement reconnaissable.

L'une ne peut exister tant que l'autre, verso d'une sphère aux entrailles écartables sans souffrance,

Il suffit de changer de lunettes pour m'apercevoir, mais plus dure est la tâche pour me quitter, car telle une tique amoureuse d'une partition de musique, je souhaite implanter mes griffes en vos chairs profondes afin que vous continuez votre route en y battant des pieds à mon rythme !

Avez-vous connu l'amour ? Souhaitez-vous le connaître ? Je vous souhaite de connaître tout ce que vous aimeriez connaître, même ce qui vous fait peur ou honte en plus. Forcez-vous à essayer. Forcez-vous à devenir déçu, terriblement déçu, et triste, et honteux, ou révolté, terriblement effrayé par cette révole qui coule en vous, qui menace de menacer tous les autres autour de vous.

Je vous aurai conseillé de ne que peu prendre garde aux gens qui vous entourent, car quand je vous embête, ils souffrent en général pas de ma présence : je ne suis qu'à vous ! Je vous appartiens !

Et vous me détestez, et je vous supplie de devenir mon rêve, de correspondre à mes opinions, de négocier, toujours, à peine, à point, à vous... Trève ! Je vous ai perdu ? Si le cas est, j'ai gagné ! Pour aujourd'hui seulement ? Mais pour encore combien de temps seulement ? Trop peu à mon goût, là est mon avis.

TU ME FAIS SOUFFRIR. POURQUOI NE VEUX-TU PAS BAI.SER AVEC MOI ?

Il va falloir finir par m'interner. Agonie, agonie, agonie.

Je t'ai quittée ! Car j'ai l'amour que je souhaitais tant avoir en retour !

Est-ce le vrai ? Qu'importe ! Je l'ai !

Dimensions correctes, quoique coins à polir... Les polir de mes mains ? User mes mains pour offrir leur douceur à ce vase plein de coins ? Eh oui...

Maîtresse de la transförmation, reine des mensonges, et déesse déchue des rêves mal nés -ou nés en période de guerre, c'est tout comme- je vous quitte pour digérer un peu de crêpes confectionnées par la farine d'un robot-tueur d'air, un genre de machine, conçu pour me nourrir de ce qui affamera une autre...

[J'ai marché sur la Terre sans lui offrir les restes de mon dernier repas, j'ai nourri des fourmis pour attirer des corbeaux, et maintenant, je sais que la mort m'interdira d'en faire plus que ce que je n'ai eu le temps de réparer, et que la loi -instrument de contrôle et de régulation, aussi artificielle que de la gélatine, sur celles qu'elle croise- sera un tuteur qui me fera pousser ou pour servir de perchoir aux colombes ou bien de perchoir aux vautours. Heureusement que -comme avec un parent béni sinon normal- je peux tromper ou voter les lois. Et tuer ce qui ordonnent que je les tue avant de voter.]

 

C'est-à-dire qu'elle s'est travestie sans s'en rendre compte.

-Comment ça ?

-Elle a acheté des baskets pour homme.

 

Ha xD Je vous aime. Je vous aime.

 

Il est temps de le faire passer !

 

VA FAIRE PIPI.

MANGE EN 5 MINUTES UNE CUILLEREE.

PUIS UN FRUIT ENTIER EN 5 AUTRES MINUTES.

 

Par l'Absurde, on retrouve le sens de la vie.

 

 

 

 

 

x

x

x

 

Zephyra

 

Alcoolique, sale, et dérangé.

   

S'ils ne nous reste plus la passion à apprivoiser, l'amour auquel obéir, ni la fierté d'un parent désagréable... Mourrons ?

JE VEUX ORGANISER UNE REUNION COLLECTIVE ARTISTIQUE

Sur quoi ? Sur quoi ? Sur quoi ?

 

Mlle Turner est un produit. Un produit à demi-performant.

 

Ce n'est pas parce que tu ne l'as pas vu que ça n'existe pas.

Tu ne connais rien de mon existence, et pourtant, tu continues à te désespérer que le prince charmant n'existe pas.

 

 

''Tu es stupide.

-Ben oui, comme toi.'' 

 

 

umnt

 

Jumping mood miss~!

 

L'argent me manquait.

Plus que tout amour sur terre, plus que l'eau à la bouche d'un touriste l'été.

Tu me manquais.

Chaque fois que tu revenais tu repartais. Tu nichais ton corps rond et léger entre mes doigts pour en glisser.

Argent. Argent. Argent.

Comment faisait-on lorsque tu n'existais pas dans nos vies ? Lorsque tout coûtait cher, mais que tout m'était gratuit.

 

L'orthographe est l'ami qui me reste de toi.

 

Si tu ne voulais pas aller en cours, alors tu n'y serais jamais allé.

J'ai arrêté un moment pour voir. C'était décevant.

J'y suis retourné.

C'était tout aussi décevant.

J'ai commencé à faire des bêtises. Des petites pour pas se faire trop chopper ou seulement en écopant de la peine minimale.

Ca ne me suffisait pas. Le temps m'échappaient toujours. Il n'y avait jamais de sang.

J'ai ouvert les vannes. J'ai fait de plus en plus tordu, grave, complexe, rigolo, caché, signé, deviné, énigmatique.

N'y avait plus de vide qui me prenait désormais. J'étais seul, sauf avec les bolosses qui s'marraient de m'voir agir comme ça. Ils me payaient le spectacle pour la classe en cours de géo et de français. Y avait le bac quand même.

C'était maintenant.

J'avais la tête prise par un engrenage génial. C'était pas celui que j'aurai voulu, c'était pas celui qui plaisait à mes parents, mais c'était celui qui me faisait vivre. J'aurai pu apprendre autre chose, mais c'était beaucoup moins vivant.

 

 

Il me reste 1h avant mon rdvous.

 

Les murs sont absents, il ne reste plus personne pour te frapper.

Mes cris qui crachent m'égorgent, ma mâchoire calcaire s'écorche.

 

Un jour, le chaperon rouge devait rendre visite à sa bien-aimée. Elle prit des galettes, un peu d'encre et des feuilles de papier. Puis elle se rendit à l'hôpital, et veilla sur la jeune Alice, que les rêves lui avaient volés.

 

faux-espoirs fake-hopes

 

J'aime l'orage.

 

Mes cheveux c'est le souk.

 

 

J'ai commencé à devenir comme Maman, une matrice. Réponses automatiques, enregistrements systématiques.

Tu lui as prêté ta jambe, et tu ne t'es jamais senti aussi vivant que lorsqu'on t'a volé ton coeur.

 

 

Maman m'a dit que si je continuais à rester möche comme ça, j'aurai pas de petit ami.

Moi au début, je n'ai pas compris pourquoi elle disait cela, maman. Ca ne me dérangeait pas de ne pas avoir de petit ami, et j'aimais bien comme j'étais.

Mais elle l'a répété deux-trois fois dans la journée, puis elle a continué la semaine, et puis cela semblait une évidence que je fasse tout pour devenir quelqu'un qui aurait un petit ami. Il me fallait un petit ami. Sinon, je n'étais pas viable aux yeux de maman.

Alors que quand j'en ai eu un, j'te raconte même pas comment c'était encore un autre job. Parce que maman, elle voulait pas vraiment que je ne sois plus célibataire, elle voulait surtout que je trouve quelqu'un pour me mettre la pression à sa place pour le reste de ma vie.

Les gens, souvent maman d'ailleurs, ils te disent "soi comme tu es. accepte-toi comme tu es. deviens qui tu veux."

Mais déjà que les sérial killers ne sont pas bien encouragés, on notera également ces remarques attentionnées -pour ne pas dire attentives- à l'égard de mon comportement en société :

Mais ton petit ami sait que tu fais ça ? Que tu t'habilles comme ça ? Il est au courant que tu ressembles à ça parfois ?

Et si tu laisses aller plus loin :

Mais et il te dit quoi du coup ? Il en pense quoi ? Il trouve ça comment ?

Un jour, je quitterai mon petit ami imaginaire, parce qu'il est franchement nul : quand je lui ai demandé s'il m'aimait bien, il m'a répondu oui, mais avec plus de rouge à lèvres.

 

Lola Chuil...

 

"Je pourrais prendre ce bonnet, tu vois, et le mettre, tu vois. Avec ou sans tenue qui va avec. Parce que je sais que tout le monde trouvera ça mignon de toutes façons, tu vois. Et par extension, beaucoup de gens m'associeront à la fille mignonne que je pourrai être... Mais ce ne serait pas moi, tu vois. Parce que, moi, j'en n'ai rien à *** d'être mignonne. Parce que même si je ne dis aucun gros mots que lorsque je suis très en colère, eh bien, je reste quand même insensible à ce genre de ... niaiseries. Et je n'ai rien contre elles et eux tous qui aiment les choses mignonnes, tu vois. Ce que je leur reproche, c'est de ne pas s'intéresser à moi. De ne pas s'intéresser à autre chose que ce qui leur met des paillettes dans les yeux. Moi, je comprends, j'arrive à maitriser un peu leurs codes, j'ai réussi à comprendre pourquoi ils aimaient ces choses attachantes... Mais eux, pour eux, tant que je n'ai pas ça, je suis invisible. Enfin, non, ils me parlent... Mais... Il faudrait que je me trouve des amis qui aient mes goûts, et qui n'attendent rien de plus de moi que ce que je suis. Pas comme la bande à Michaël. La bande à Michaël, ils ont tous des dreads, mais moi, ils n'aiment pas quand je porte des dreads. Je préfère encore qu'Emile mon pote gothique me charie, pour te dire, plutôt qu'eux m'fassent une remarque. Parce qu'Emile, il fait ça pour rire, il a du temps à perdre, et après on discute d'autres choses, des cours, de ce que j'aime, de ce qu'il cherche, etc... Alors que les dreadeux, on dirait qu'ils veulent que j'sois autrement. Et j'peux pas être moi. J'peux pas être dreadeuse comme eux. C'est pas possible, ils ne l'acceptent pas. Ils veulent bien trainer avec moi si j'ai un look de sportive, et c'est tout. Je serai la sportive de leur groupe. C'est naze."

Extrait de Déjà quinze ans de célibat.

 

 

Clues will become evidences.

 

Et dire qu'elle pensait le tromper. Kubo, elle n'en n'était pas amoureuse. Peut-être pas. Qui pouvait savoir ? Comment savoir ? Il paraît qu'il n'y avait pas besoin de chercher à savoir, que cela était évident. Mais elle qui doutait toujours, ne savait pas, et voulait savoir. Cela était sans doute son plus grand défaut : ne pas se laisser faire les choses, donner trop d'importances et placer des enjeux dans des questions qui auraient été réglées avec sagesse et mesure exacte et convenable si elles avaient été traîtées plus simplement.

 

"Tout ce que vous voudrez, qui m'est possible."

Est-ce ça, l'amour ? 

 

Listen to the chinese Joke,

A Joke counted by a yellow mouth.

 

Légère Plume Turner

L'insouciance criminelle mêlée de fils d'argent

 

Née et élevée dans une usine chinoise loitaine, mais de nationnalité strictement britannicque, Mlle Turner a très tôt connu la violence des rendements induits par une besoin de performance jamais rasssasié, comme craintif qu'on ne le respecte plus parce qu'il s'est essoufflé et recquiert l'aide d'autres pays mieux placés dans la course sans fin, plus sereins, et censés être prodigues en vertu, noblesse et tutelle. La plus concrète incarnation de cette apétence humaine, cruelle et quotidienne était sans aucun doute monsieur Tang, un chef de rang semblant avoir été taillé dans un bloc non de marbre mais d'une barre de Mars géante. Il avait l'air gras, et la lumière plus jaune qu'un casque de chantier que dépeignait sa lampe torche le long de son visage à la peau épaisse lui prêtait un teint toxique digne du déchet qu'il se devait d'être à la perfection pour rabrouer ses troupes d'ouvriers et d'ouvrières, croisé à la limace amorphe et à la bave parfaite qu'il ne pouvait que devenir pour caresser d'une main moite, au toucher gâté par un gant de plastique officiellement obligatoire et officieusement trop fin pour correctement protéger des substances nocives qui remplaçaient l'air véritable, l'espoir malsain d'un jour n'améliorer que sa seule condition tout en reniant le passé qu'il vécut et qui serait aux mêmes heures le présent d'autres pauvres délaissés, en léchant les bottes de son écrasant supérieur, s'il ne révélait cette immondice que la rencontre des poubelles et des marchés puants avec la brillance lisse et plate de femmes inexistantes et de diamants faux à la télévision l'avaient fait devenir. une queue de rat qui bouffe la truffe de son propriétaire Mlle Turner n'est plus choquée de rien Elle ne reproduira cependant jamais ces gestes de violences, ces questions d'harcèlements, Pourtant, il y a des gens qui se démenaient pour aider monsieur Tang a sortir de son état de larve rongeuse et appeurée, impitoyable car perfectionniste, peu confiante peu réfléchi, risques et hiérarchie, peu confiante, nommé responsable car lâche,

"Que faire avec cette passoire pleine de pâtes chaudes ? Tenter de t'ébouillanter ?...

Hm, non, je ne crois pas.

 

J'ai confiance en toi." Le vague truc qu'on disait pour se débarrasser d'elle.

En somme, Mlle Turne trouvait le monde autour d'elle déplorable. Quand elle se rendit compte enfin qu'elle était la seule chose bien de sa vie, elle ouvrit la porte de sa chambre, et sortit.

  

 


 

 

 

Vertueuse - Dégoûtante - Logique

 

Silencieuse - Pauvre - Dangereuse

 

Maniaque - Sëxuellement attirant - Chaotique

 

 

 

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~Yellow screen Artiste en tous genres   Frapper des fronts pour guérir des maux de tête.



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