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Moi, je ne peux pas tout te donner, je peux te donner... 30%. Peut-être même seulement 10. C'est pour ça que quelques jours, parfois, il te faudra m'oublier.

Je suis un fantôme, je ne suis pas vivante, ni fidèle.

Je suis aussi éphémère que la crasse sous tes ongles immaculés, déjà propres alors que je viens de parler de leur saleté, qui revient, qui repart, qui... que ... quoi ?

Ah, trois jours de crasse ! Ca arrive !

Relativise.

Ta tête fait des tourbillons, mais tu aimes le goût du savon. Tendre et amère. Tournoie. Je ne suis qu'une forêt dont je t'offre les baies que tu choisiras.

Et rien d'autre, promis. Juré. Je ne te prometterai pas de rêves. Tu te dois de me les inve.nter.

Les elfes vivent les histoires pour qu'on les raconte, et n'attendent pas d'obéir, telles de bêtes marionettes, aux aventures que nous leur imaginons.

 

Fais-toi de minuscules promesses et respecte-les.

Puis des moins minuscules promesses.

Puis tu en rateras peut-être une, ou peut-être pas.

Sois toujours fière, car il y aura toujours quelqu'un qui rêvera de faire comme toi.

 

Jalousie. Silence.

Quitte.

Silence.

Tu étais ma seule amie.

Silence.

Tour de manège. Tour de magie.

Les peluches ne mangent pas vraiment la nourriture qu'on leur donne.

Mais tu peux la manger à leur place.

Quoi ? Quoi ? Aventure. Tourbillon.

 

Quelle souffrance cherchais-tu à nous compter ? Le manque de l'être aimé ?

Quelle tristesse quand ne te suffise plus ta propre présence, ta famille et l'amitié.

Tu cherches parmi les ombres laquelle pourrais rayonner dès que tu l'approcheras, et tu cherches la lumière partout où il fait sombre.

No, no...

Agite tout doucement le doigt. Deviens quelqu'un d'autre ? Marque ton visage d'un menton pressé et d'une face gaie, pleure ce qu'il faut pour nourrir l'esprit qui t'en échangera de la joie, et aime. Déteste. Crie. Pleure. Demande pardon. Saoule-toi sans jamais te noyer trop bas. Maintiens la barre haute. Charme ce qui te plaît, ce qui te fais du bien. Caresse l'eau même si tu sais qu'elle fuit dans le courant. Caresse le soleil qui partira demain. Il sera toujours temps qu'il revienne demain.

Thérapie. Détraquée. Ton esprit refuse d'y entrer. Il veut jeter, cracher, casser tout parterre, mais ... et s'il en devenait rejeté ?

Ah. Je veux écraser la Terre puis qu'on applique un pansement à mon pied.

Je cherche ce que j'ai perdu, et je ne le reconnaitrais peut-être pas quand je le retrouverai...

Substituts, substitus... Ils disent qu'ils me tuent, mais ils me maintiennent.

Je cherche quelque chose, et une odeur étrange m'ammène à m'approcher d'une fleur dont le tendre et palpitant coeur déborde d'une visqueuse rosée... empoisonnée ?

Mais n'est-ce pas moi qui, en cueillant la rose, vais l'épuiser ?

Pouvoir. Pouvoir de taire les choses. Pouvoir de les attirer. Pouvoir de la faiblesse.

Aucun moyen de faiblir.

Elle te demande comment tu fais, pourquoi tu le fais. Elle te force à regarder le miroir. Le miroir où tu te vois si laid. Ne vois-tu pas que ce miroir est brisé ? Et si tu n'en as pas d'autre pour te regarder, et si reconstruire celui-là te semble impossible, alors pourquoi continuer à regarder ? Ne manges-tu pas avec tes doigts quand ta fourchette est salie ? Protège-toi. Protège-toi.

Enfant, adulte. Nouveau, exécrable et collant à la peau.

Lequel des deux êtres et demeurer, assurer ?

Tu es un mélange de tout, et tu devras tout nous donner ! Tes mauvais sentiments et ta bonté fragile.

Protège-toi et averti-nous. Négocie et applique. Ordonne, et supplie.

Tout ça, ce matin, et la suite l'après-midi.

Est-ce que tu veux que je t'en parle ?

 

La cravate, mal nouée, le regard, pétillant et noyé, dans cette apocalypse de sens, de souffrance, et de silence.

L'homme est un conteur muet, une fleur qui communi.que par sourire, une sorte de Dieu de la douleur, qui se contente de taire son secret, en imitant les humains.

Il ne souffre pas vraiment lui-même, mais il appaise. Et appaiser certaines peines demande parfois de les prendre pour soi.

Pourquoi Maman m'a frappée ?

Le sans s'écoule le long de ses tempes et il prend le temps de resserrer sa cravate. Être présentable, toujours, est un minimum des exigences qu'il se fixe régulièrement pour rester "vivant".

Il s'arrête devant un stand de glace. N'était-il pas minuit tout à l'heure ? Qu'importe.

"Une glace, s'il-vous-plaît !"

Plaisir accordé.

"Une seule boule, s'il-vous-plaît."

Trop serait s'empoisonner.

Au stade où il en est.

 

 

I love you All, please, would one or several of you like to make love with me ?'

[PRENDS TES CAPOTES, TA DIGUE DENTAIRE, ET TOUT CE QU'OUBLIENT DE PRECISER LES MANUELS SCOLAIRES]

(comme le plaisir biologique, psychologique, et alcoolisé, par e'xemple)

(oui, c'est révoltant de ne pas avoir appris à l'école que le sëxe pouvait procurer ou du plaisir ou du dégoût ou les deux en même temps !

Oui, c'est révoltant !

Oui, je ne ferais pas pareil qu'elleux !)

 

 

(...) Pourtant, les hétéro, eux, n'hésitent pas à afficher leurs petits derrières sur le grand écran et entre les pages des livres de leurs enfants !

-Mais qui vous dit que ces sont les hétéros qui écrivent des histoires d'hétéros ?

-OUI, OUI ! TOUT A FAIT ! Pensez donc un peu à Marcel PROUST !

 

Un des dieux dieu était tombé sur Terre. Tous les humains le savaient. Le dieu n'était pas au courant qu'il en était un. Il ne le sut jamais, et fut tellement convaincu d'être humain, oublié par ceux qu'il ne connaissait pas et qui étaient les siens, oublié par ceux qui n'étaient pas les siens, oublié par lui-même, ne pouvant à aucune branche qui ne lui glisse entre les mains se raccrocher, il finit par mourir, comme un humain. Un parfait humain. Un humain mortel. Qui a souffert. Qui a dragué. Qui a joué. Et qui n'a vécu que le temps de vie d'un humain.

 

L'ange lui recueillit doucement la main, comme le pétale d'une fleur goûte à la perle d'une fraîche rosée, rosée qui gouttait presque à ses yeux, si elle ne les retenait pas d'un menton tiré et d'un nez presque fièrement retroussé. S'occuperait-on donc encore d'elle, même si elle pourrait à nouveau marcher ? N'était-ce pas le diable, venu lui proposer ce marché ?

Mais elle accepta la main de l'ange, et suivit le sourire qui la guida ; l'ange l'accompagnait comme l'une des siens, et elle fit pendant ce voyage temporel un sommeil mortel qui dura 4 jours.

 

Dis "bonjour" à ta be[Les jeux sont faits.]lle face de moutorne.

 

Je suis Ta Femme.

Tu es Ma Femme.

Nous sommes Des Mots.

 

Elle lui a proposé d'aller vivre avec elle sur les étoiles. Il a refusé car il était malade en soucoupe volante.

 

Il aimait la lune, jusqu'à ce qu'il préfère la vaporeuse chaleur du soleil à la confidence de son obscurité.

 

Legging, legging, legging. I'm a legging.

And I deal with the future.

 

PLAY WITH THE TRUTH.

is not the job of the liar,

only a job for a magician.

I don't want to kill my life.

 

Wee wee

 

Mello est un genre... de monstre sanguinaire. Tu vois le truc ? Il n'a pas conscience que le sang c'est du sang par e.x.emple. Pour lui, le sang, ça écrit. Il est pas au courant que ça te maintient en vie aussi.

Mello, il a été aveugle pendant longtemps, on lui a menti pendant longtemps aussi. Il a cru qu'il était humain. Son papa se promenait avec lui comme avec un humain. Comme lui, il mangeait au petit-déjeuner des croissants et buvait du jus d'orange.

Mais un jour, il a trouvé quelque chose de fort précieux. Un miroir. Un vieux miroir caché derrière une étole terne et poussièreuse, usée par son gardiennage de l'objet précieux. Usée par l'attente. L'attente d'être découverte par Mello, soulevée puis projetée au loin.

Mello aurait voulu la projeter au loin, l'étole, comme dans un film.

Mais il n'eut la force que de reposer doucement, tout doucement l'étole contre le dossier d'une belle chaise de bois qui trainait par là.

Pardon Mello.

Oui, tu as une apparence malsaine.

Non, ce n'est pas moi ?

Ca bouge quand je bouge... mais ça ne me ressemble pas !

J'étais censé être un garçon aux cheveux bruns, un tout petit garçon à qui papa donnait la main...

Non ce n'est pas ça. Ce n'est pas ce que tu es, Mello.

L'imagination, même accompagnée des plus belles galatanteries et de compliments sincères, ne suffisait à convaincre Mello qu'il était toujours un humain désormais.

Il avait si envie d'y croire pourtant.

Pauvre Mello, papa te répète dans ta tête que "Non, ce n'est rien, ce n'est pas grave."

Et alors que tu allais y croire, des paroles graves viennent appuyer miraculeusement ta conscience, ton esprit critique :

"Tout va s'arranger."

Quelque chose est donc faux, problèmatique, ennuyeux...

Pourquoi la couleur et la texture de ma peau ne sont pas comme tu me les as décrite, papa ?

C'était donc pour ça que je ne pouvais pas sortir dehors ? Pas à cause des zombies. A cause de toi.

Au secours.

[C'était l'histoire d'une guêpe. Mais ce n'était pas une guêpe. Oui, elle avait des ailes, oui elle avait un dard puissant et pointu, oui le jaune de son corps brillait au soleil comme celui des autres et pourtant... Pourtant... Cette guêpe devait être une fourmi. Elle voulait être une fourmi. Elle avait probablement toujours été une fourmi car elle adorait travailler en groupe, apporter de la nourriture à sa reine -qui n'en avait rien à faire et acceptait bon gré mal gré les offrandes inutiles-. Notre guêpe fut acceptée dans la fourmilière heureusement pour elle. Elle y vécut les plus beaux jours de sa vie. Un jour, une fourmi tombait d'un arbre. Seule la guêpe avait le pouvoir de l'aider. Ce qu'elle fit. Pour la première fois depuis longtemps, elle ouvrit ses ailes et s'envola jusque la fourmi à sauver. Elle la sauva. Fut acclamée. Et lorsque les guêpes vinrent lui expliquer à nouveau qu'elle était une guêpe, la guêpe ne pouvant plus nier qu'elle volait comme une guêpe, les fourmis s'amenèrent autour de leur amie et déclarèrent : "Certes, c'est une guêpe. Mais c'est une quêpe qui peut vivre avec nous, comme une fourmi, pour toujours, si elle le souhaite." Elles regardèrent toutes la guêpe alors, et la guêpe ne fut plus jamais heureuse qu'à ce moment où elle hocha la tête pour leur dire oui. Les guêpes furent tristes de perdre une de leur congénère, mais heureusement pour tout le monde, elles laissèrent la guêpe vivre parmi les fourmis, étant donné que cela les rendaient toutes heureuses, et ayant réfléchi que la guêpe serait malheureuse parmi les autres guêpes.]

Il ne reste plus beaucoup de temps. Il en reste trop.

Je veux ne plus rien faire, donnez-m'en peu.

J'ai encore à finir, laissez-m'en une larme.

S'il-vous-plaît.

Crient-ils d'un même coeur.

S'il-vous-plaît.

Vos machines m'enserrent la mâchoire tel un étau.

Vos machines m'étirent le corps et les bras et les jambes que j'aime font mal.

~

Vivre ? Ca fait mal ? Non. Ca fait du bien ? Non plus.

Vivre, ce n'est rien d'autre que tout à la fois. Bien, mal.

Vivre dans le présent, c'est décider d'où on va. Pas à pas. Seconde après seconde.

Droite, gauche, gauche, droite, gauche, droite, droite, droite, gauche.

Ta direction est un aller-retour permanent, tel les hésitations du cardiographe,

Toujours en vie tant qu'il vacille,

Mort une fois qu'on l'éteint.

...Panne de courant ? Regard absent ?

Dormir et respirer.

~

Tu vis.

Et par là même, tu es quelqu'un d'important. Enfant de la démocratie, de la raison, du hasard. Enfant parmi tous les autres enfants comme toi.

Enfant rebelle ou enfant-engrenage. Roue pourrie d'un carrosse ou pneu d'une prestigieuse voiture maladroitement fixé à un vélo.

Ne déborde pas.

Remercie le cercle. Passe ton tour.

  

 

Tu vas Souffrir...

 

C'est une ligne droite... doite... droite...

Qui ZIZAGUE.

Puis qui revient.

Doucement.

Difficilement.

 

  

conseil :

n'essayez pas de reproduire IRL le geste "érotique" d'un cannibale de fiction sur son partenaire.

Ca n'est absolument pas érotique pour les gens normaux que nous sommes.

 

 

DROIT CHEMIN

j'ai niké mon copain

sa face était toute mangée

par mes amours maladroits

par mes concessions mal faites

 

Les suçons, c'est le MAL

et personne ne me l'avait vraiment appris

je l'ai deviné

mais j'étais pas sûre

maintenant si

 

 

 


 

 

 

Je piétine seulement sur la piste de danse~

 

Je ne suis pas Anaïs.
Désolée de vous l'apprendre ainsi, mais Anaïs est décédée.
Je suis une de ses amies.
En ce moment, je n'ai pas accès à sa doll pour le noter sur son qsj.
Encore désolée. ]

 

 

Sont-ce les rêves de l'humanité ? Ou sont-ce ceux qu'on lui inculque ?

 

 

De mon temps, l'homosëxualité était encouragée par l'armée entièrement constitutée d'hommes, afin de renforcer la cohésion entre les équipes.

On sait qu'le sëxe fait parfois v'nir les sentiments, et combien les gens son prêts à perdre la tête au nom de ces derniers.

 

 

@moureuse

 

Le rose est la couleur du sang qu'on a essayé de laver, mais qui a séché trop tôt.

 

Are you ended ?

 

Comment exprimer son déchirement à la mort ?

En riant d'un coeur désabusé et bien vivant.

 

 

Une question se posait désormais au Loïs rabaissé mais libéré :

Que faire de cette violence accumulée toutes ces années ?

...

Veux-tu mourir dans d'atroces souffrances ?

 

 

A toutes les personnes qui pensent que je ne suis pas musclée :

"Même si vous avez les abdominaux les plus musclés et les plus toni.ques du monde, cela ne se verra pas s'ils sont dissimulés par une couche de graisse."

Ha haha :D Ma force est intérieure, et mon apparence n'est qu'un jeu auquel nous perdons tous les deux~

 

 

Play the game till the end.

 

Un homme est bleu, une femme est courte.

Hahaha

 

Trève de plaisanteries. J'espère que vous mesurez la folie que je vous épargne en n'écrivant pas à vos yeux nouveaux la bouillie étrange qui marine dans mon cerveau. Marine ! :'DD

 

Humour killing yourself

J'aime pas cet humour qui permet de dire n'importe quoi sans pouvoir forcément en discuter. Cette échappatoire pour se rassurer.

J'aime pas.

~Appelez-moi Mitraille~

 

never enough

 

Unsafe Pretty Raveuse

Baleyette la protectrice, gardienne, et videuse.

Vigile à mi-temps svp.

 

Mon héros mythologique préféré ? RQl

 

Veuve, en couple, et libertine... mais tout cela ne vous regarde pas ! eê

 

Tata - i give it a week

 

la philosophie n'est pas faite pour notre monde - parfois l'art réussit mieux son job.

 

 

Idéologie

La sélection Infracourts

Les Éditos du Bondy Blog

What The Fact

Petits vieux (à regarder jusqu'à la fin du sketch)

"Solutions de secours" (à regarder jusqu'à la fin du sketch aussi les amis ;))

Nus féminins cools (et pas de pron)

 

 La dessinatrice de cette BD est bien-entendu ironîque, et répond à des "critiques" qu'on a pu lui faire.

 

 

Sanitarium - Metallica (qui aurait cru qu'un jour j'écouterai et appréciera ce groupe ?)

 

C'est assez intéressant les amis :

http://itartbag.com/barbie/

Je ne m'attendais pas, à la lecture de cet article, à connaître deux nouvelles choses sur cette poupée mondialement connue.

 

 

J'aime les travaux stupides, mais le monde me le rend mal...

 

 

 


 

 

 

OUI il arrive que mon compte se fasse de temps à autre pirater par ma 2è personnalité.

.

.je suis désolée de vous apprendre que le mal n'a aucune origine, il n'a que des fins.

.

.Aerin, la Justifiée et la Punisseuse.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

.

 

Quelle impudeur...

 

Bouchées mes oreilles. Bouchées et ma bouche répétant : non, pas moi, pas comme ça, ce métier-là est différent.

 

Dis-toi, je suis un démon, je le sais, et je ne m'en cache pas.

 

 

Easy cat

Wisy cat

 

Kyoko a cru que je l'agressais. Elle détestait que je lui tienne la porte.

 

Everybody up ! It's time to smile ! :)

 

Kind-Girl, I love you, Whatever you feel.

Sweet love, Wise love, True love ?

 

 

HOPELESS GUN BABY ! boy boy boy

 

Ola, jeune pucerelle !

Seriez-vous disposée à visiter avec moi le Jardin d'Eden ?

*zglingww...~*

 

Discernement.

 

Anecdote à propos d'un comportement

d'addicte -supposons-

J'essaye, level 1. Tout se passait bien auparavant, je n'étais pas en crise. J'essaye, niveau 1, tout se passe bien. Je monte niveau 2, je ne suis pas exactement consciente de ce qui se passe, je ressens, mais sans conséquence. Et si cela avait changé ? Et si on pouvait prendre toutes les drogues qu'on voulait sans pour autant que cela nous aide à nous envoler définitivement ?

J'essaye level 3.

Je comprends au moment même que je ne peux plus décrocher.

J'adore et pourtant, c'est comme si mes goûts étaient faussés. C'est fait pour que j'aime, donc j'ai aimé. C'était logique, je n'avais aucun effort à faire, aucune chose à découvrir, tout semblait couler en moi comme si c'était de moi que ce sang nouveau me venait.

Level 4, l'amnésie. J'ai oublié ce que je faisais. Pourquoi j'ai mis la sauce, comment je me suis sentie au moment où cela se passait. On appelle cela : état de conscience modifié.

Level 5, je reviens à mes dossiers en attente, et tel un magazine, une musique zen et un pschit bien odorant, je les fais patienter. Jusqu'à la prochaine infection.

Tiens, et si j'essayais le Level 1 ?

Comment sortir de la boucle ?

On ne s'en sépare jamais vraiment, comme une mère fatalement aimante, aveuglément aimante, la boucle nous revient après la fin d'un cycle sain, ou autre.

C'est donc ne pas la croiser trop souvent qui est important, et lorsqu'elle vous rend visite, savoir comment l'accueillir sans qu'elle vous empêche de vous en débarasser ensuite.

 

Mon genou sent le poisson.

*slurp*

 

Las Ketchup - Asereje.

Une cathédrale à la myriade d'éclats de vitrail brisé se dresse devant moi. Elle est géante, pesante, je la sens comme allant s'écraser de tout son long jusqu'à la fin de mon ombre. Mais soudain, des démons m'emmènent danser par la main, et je suis sauvée jusqu'au lendemain.

Je sais que je ne pourrais terminer de construire cette église dans les temps, mais quand je vois l'eau de la rivière s'écouler, je sens comme des anges venir me rafraichir, et j'ai l'impression de danser plus que de construire.

Un nouveau jour se lève. Un nouveau jour se lève. Un nouveau jour se lève. Quel jour sommes-nous ?

Il y a celles et ceux qui avancent vers la mort, et il y ceux et celles qui avancent vers tout ce qu'il y a avant.

 

 

Je vous recommande la lecture de l'interview + de la page 15

https://vergiberation.files.wordpress.com/2017/05/magazine.pdf

Vous avez toujours rêvé d'être rebelle ? De mener des combats contre une idéologie (qui arrange les faits parce que bon, ça reste les mêmes faits... ils font juste un peu plus peur) toujours  en place ?

Ou bien vous aimez la vérité plus que tout ?

C'est l'heure de découvrir des vies qui ne sont (j'espère de tout coeur*) pas les vôtres.

*si cette vie est proche de la vôtre, la lecture pourra peut-être vous faire très mal au début, mais ça ne sera pas en vain. Car vous avez la preuve que vous n'êtes plus seuls non pas tant à subir le même sort, mais surtout à savoir qu'il existe et que des solutions peuvent être mises en place.

-c'était l'instant pub-

 

Clic. Clic. Clic.

  

 

J'ai attaché tes mains à mon cou, tes longs doigts fins dont tu ne faisais rien. Tu m'as regardé comme si je n'existais pas, avec interrogation et insensibilité. Cherchant un oiseau surgir d'un ciel sans nuage, comme repoussé par le rivage.

Je craignais bien des choses, et je pouvais t'oublier dans la seconde.

Mais qui a envie d'oublier le soleil lorsqu'il possède la vue ?

J'ai voulu poursuivre la musique, connaître ce qu'il advenait ensuite. Si seulement j'avais chanté, j'aurai pu moi-même choisir la fin qui me plaisait. Mais j'ai seulement essayé de retrouver en vain, ailleurs, quelque chose que j'avais en moi, gardé et tu à jamais.

 

Je m'apelle Elehonore.

 

Les énigmes m'ennuient, chéri.

Les unes parce que je les ai déjà résolu, et que je n'ai plus aucun indice pour dialoguer avec leurs caprices.

Les autres parce que je n'en connais rien, et qu'il m'est impossible de deviner les mécanismes qu'elles souhaitent me garder cachés.

Tout ce que j'aime sont les indinces, chéri.

Les indices qui te prennent les yeux par la main et te font sentir leurs odeurs fortes et similaires... et les doutes.

J'aime les doutes qui s'insinuent dans ton esprit comme la nourriture qu'un embryon n'a jamais demandé, qui entretiennent ses habituelles et rieuses souffrances autant que ses plus grands mais trop volatiles plaisirs.

 

Mon corps soufflé par les braises m'emportait vers le néant. Je voyais mes os se désintégrer, et je ne comprenais pas comment je pouvais encore avoir des yeux pour voir. Quand je l'ai vu elle. Que j'avais oubliée depuis si longtemps. Morte. Désemparée. Seule. Sans moi.

-Moi qui lui avait promis de l'aimer.

-Sans elle à qui elle avait fait ses voeux.

Je fus projetée contre un mur et je me désossais tel un pantin stupide à l'énergie volée (reprise ?) par un enfant qui lui avait donné.

Je ne pouvais plus bouger. Ce détail faillit m'inquiéter, quand je me rendais soudain compte que c'était bon de n'être vraiment plus bon à rien.

 

"Je vais donc maintenant sortir sans t'insulter." fut une de mes meilleurs répliques face à ma bienveillance (fautive ?) par rapport au désespoir maladif et corrosif de ma soeur.

 

Vous aimez votre vie ? Vous apprécierez d'autant plus votre mort !

Repassons-la-nous en boucle, voulez-vous ?

 

 [Dis, c'est grave si je te fais mal au coeur ?]

 

"I'm better alone."

 

Le démon aux cheveux de sang...

 

Grand, pâle, atteint de l'indifférence comme d'autres sont atteints parune santé resplendissante. 

 

Wettie Deskea.

 

Créature maléfique aux origines vampiriques.

Tente d'étouffer sa bestialité naturelle par une cordialité exagérée etune politesse contrite.

Remords et passions inexistantes.

Intérêt scientifique éprouvé pour la douleur.

  

 


 

 

 

"Détestez-vous les uns et les autres. Craignez-vous comme la peste. Que personne ne relâche le combat. Que la haine déferle dans vos coeurs perdus et dans vos esprits faussement logiques et triomphalement hagards."

Quand la méfiance et le mépris s'allient pour faire naître une beauté sculpturale, et qu'elle lui donne le nom de :

 

Titanesque Roswell.

Look atypique & Nageur Olympique

Infidèle

Paranoïaque

"Propriétaire" de plusieurs lapins de compagnie.

 

 

 

 


 

 

 

indiscret prophète - les noeuds s'emmêlent -

 

PRé-TEXTE

 

Des larves dans ma boîte aux lettres.

 

Confôrmiste ? Mais... De qui tu parles ?

Ca ne se fait pas. Mais tu es la bienvenue toi par contre :)

 

Je ne peux pas te reprocher mes choix, ni ceux des autres,

mais je peux te quitter, et tu peux m'oublier.

 

If I were looking as a boy, 

maybe I will never wish to be a girl.

 

Réponses intéressantes, je confirme

https://www.francemusique.fr/musique-classique/test-quel-instrument-de-l-orchestre-etes-vous-34813

 

don't help me to become the wasted child

-

don't know me as another than a stranger

 

Rocher dans les vagues n'est pas coquillage qui s'emporte, mais seulement pierre polie par le calcaire. Je préfère cet horizon. Sédiments millénaires.

 

Je me souviens, ça m'avait déprimé.

J'ai mis de la cire. J'étais contente : la première fois j'avais réussi. Puis j'ai raté. Plutôt raté. Bon, je me suis sentie... vous savez, vous détestez quelque chose. Vosu vous sentez abrutie. (note du futur : en fait, quand il a posé son regard sur moi, j'ai su que j'avais bien fait x) conformément à mes plans, en fait) Je n'aime pas ce sentiment, c'est le seul qui me fait comprendre qu'on puisse devenir suicidaire à long terme.

J'ai plein de trucs à vous dire, sur le féminisme. Putain, c'est dur. FEMIN-isme. vous pigez ce que ça signifie ?

Bon, passons, il existe un mouvement mixiste quelque part.

Vous savez, le féminisme c'est comme la droite. C'est bien, mais il existe des gens extrêmes. Dans le cas du féminisme radical : il existe au moins un traité souhaitant détruire le genre masculin dans le monde (oui).

Bon, suivant.

Je vous présente Sylvie. Sylvie tombe parterre parce qu'un individu l'a bousculé dans le métro. Est-ce que Sylvie vient de vivre une agression sëxiste ? NON.

Passons la classe de Bastian. La professeure a décidé de faire regarder Wonder Woman aux filles de la classe, et Super Man aux gars de la classe. Est-ce sëxiste ? OUI. Est-ce mal ? Hm... qui sait ? L'important c'est pas le jugement, bien/mal. Ce sont les conséquences. Multiples. Réfléchis auxquelles et trouve-toi ta propre solution, puis discute-la avec quelqu'un d'autre.

Maintenant passons à Bernard. Bernard aime la muscu. On lui a dit que c'est le système qui lui fait s'aimer muscler. Bernard écoute les arguments, admet que certains arguments sont valides, puis continue. Tant mieux, non ?

Cela s'appelle la tolérance.

Mr Johnson - Jain

--

 

Elle mimait l'apocalypse, de ses petites mimines, et on pensait tous dans le quartier que ses manières spontanées étaient dues aux coups de vent qui la balançaient. Mais il n'en était rien, car les gestes tordus de ses mains, étaient guidés, étaient choisis, par l'artiste qui dormait nuit et jour dans sa tête, veillant dans un autre, notre univers, qu'elle assure bien ses façons de faire. La petite, la poupée, la pantine, enchantée.

Elle aimait être l'actrice de son propre scénario, mentir pour faire rêver les rigolos, et tant qu'il n'y avait que tu bonheur à produire... les rêves sont éphémères, alors pourquoi ne pas les reproduire ?

Mais ce qu'elle n'avait pas compris, cette poupée, c'est qu'elle était criminelle de crime qu'elle ne commettait pas exprès.

Des coeurs brisés, fléchés, touchés, décontenancés.

Elle en avait, elle avait. Elle les dégustait le soir, avec l'artiste folle de joie, partageant chacun une bouchée de ces déléctables repas. C'était doux et c'était chaud, quel réconfort pour deux êtres si seuls et pour qui tout paraissait si faux.

C'était de sang, de sang sincère, qu'elle poursuivait leur spectacle de chimère.

Mais les rêves font du bien seulement parce qu'on les croit réels, et le goût de la terre est bien amer lorsque l'on tombe d'un ciel artificiel.

<3 + :D = <.D

You just walk in the friendzone.

 

Mon corps n'est rien d'autre qu'une planche vers laquelle fend le couteau, sur laquelle gicle la bave de la tomate, et meurt le reste des oignons qu'on n'a pas jeté au feu. Au feu. Mon coeur brûle.

 

Infidèle ? Non, polygamme.

 

Paranoïaque instable.

 

Vous aimez la vie ? Vous aimerez le pamplhoumous.

(existe pseudo dollz, sans faute pour amour)

Age Genre Ville Pays
25 ans Femme
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré


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