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 Les Allergiks

 

 

 

Bonjour, j'ai écris cette fiction car j'adore écrire!

 

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Bannières :

 

J'ai deux choix de bannières pour les adresses valides :

 

Aller voire lo985 car moi je peux seulement mettre des images dans deux mois...

 

 

Pour les non-valides mettez seulement une ^phrase qui mentionne que vous lisez ma fiction !

 

Mes chapitres seront un peu longs...

 

 

Mes personnages :

 

Agota : Elle est le personnage principal(mais c'est aussi cele qu'on va le moins voire dans ma fiction...), son jumeau est Vincent, elle vit avec sa mère et son frère car son père est mort et elle est allergique c'est pour celà qu'elle fait partis d'un groupe appeller les Allergiks fonder par ses 4 amis, son frère et elle.

 

 

Vincent: Il est le jumeau d'Agota, Vincent vit avec sa mère et sa soeur car son père est décédé, il fait partis du club les Allergiks.

 

 

Paulo: Il fait parti du club les Allergiks.  Ses amis l'appelle Ritalin à cause de son hyperactivité.

 

 

Zoé: Elle fait parti du club les Allergiks et sa meilleure amie est Agota.

 

 

Gab: Il fait parti du club les Allergiks.

 

Jeanne: C'est la mère de Agota et Vincent. Elle est alcoolique

 

Justin : C'est l'ami de Jeanne...

 

Plus d'in ation sur les personnages à venir...

Photo à venir... (Il faut que j'attende 2 mois ... )

 

 

 

Chapitre 1

Où est Agota ?


 

Vincent comprend les décrocheurs.  Il y a des soirs où il ferait volontiers comme eux : tout planter là, bosser chez McDo et se laisser vivre en rigolant avec les copains.  L'avenir est trop loin pour le captiver.

Dire qu'on juste mardi, et que, en ce début de septembre, l'année scolaire ne fait que commencer...

En poussant le tour***t de la station de métro Mont-Royal, il pense à sa mère.  Elle travaille à la maison mais, à ce moments ci, passé cinq heures, elle a déjà commencé à boire l'apéro, comme elle dit.  L'idée de la retrouver en train de parler un peu trop fort angoisse Vincent.  Il faut qu'il explose la boule de nerfs qui s'est ée dans son ventre. 

Il lève la tête, observe l'interminable escalier méca*** qui monte vers la lumière du jour, mais se dérige vers celui qui descends.  Il s'assure que son sac est bien d'aplomb sur son épaule, inspire à fond et s'élance à contresens.

 

- ON SE POUSSE !

 

Il hurle un bon coup pour que les voyageurs se tassent.  Tous ces bornés qui s'acharnent à croire qu'on doit toujours utliser un escalier qui va dans la même direction que soi... Vincent déteste qu'on lui impose une voie à suivre.  Les sens u***s, c'est pour les lâches

 

- ATTENTION !

 

Surtout ne pas ralentir, ça fait perdre de l'altitude.  Garder son élan, augmenter son rhythme et, si possible, grimper deux marches à la fois.  La majorité des gens se tiennent immobiles sur leurs droites.  Seul quelques irréductibles s'obstinent à couper la partie gauche de l'escalier : ceux-là sont des obstacles qu'il faut surmonter.  C'est la partie la plus excitante.

 

-YEEEAAAAAH !

 

Vincent se trouve déjà à mi-parcours, quand un obèse lui barre la voie.  Le gros somnole au millieu d'une marche avec ses écouteurs sur les oreilles.  Il ne voit pas Vincent qui arrive sur lui à la vitesse d'un missile en quête de sa cible.  Il ne l'entends pas non plus.  Vincent bondit dans le petit espace demeuré libre entre l'éléphant sur deux jambes et la rampe.  Il se projette de côté pour tenter de se faufiler.  Il force le passage sans ménagement.  Son sac bourré de livres heurte le type qui, surpris, cherche d'où est venue l'attaque.  De devant ?  De derrière ?  Le sprinteur à l'envers est déjà loin.

Même au bord de l'asphyxie, Vincent accélère encore.

Il achève sa course en répétant son rugissement bestial, mélange de cri guerrier maori et de hurlement de cow-boy de rodéo.

 

- YEEEAAAAAH !

 

Pendant trente secondes, Vincent souffle comme un taureau dans l'arène  Il a oublié ses sucis et s'apprête déjà à recommencer.  Il est chaud, il est prêts.  Il va fraccaser le reccord du monde de la catégorie.  L'irruption de deux membres de sécurité du métro refroidit ses ardeurs.

 

-EH TOI, LE CHAMPION !

 

Vincent n'attend pas de savoir ce qu'ils veulent.  Depuis le temps, ils se conaisent.  Il leur adresse un bye-bye de la main, pousse l aporte et sort sur la place animé.

 

Il est arrivé chez lui.  Ça grouille de vie.


Vincent connaît par coeur la faune de la place Gérard-Godin, aux abords de l'avenue du Mont-Royal.  Il a grandi dans ce quartier qu'on appelle le Plateau.  C'est son monde

  trouve de tout ici : des amis chex Jean Coutu, des taxis haitiens, un petit marché, des vélos volés, une bibliothèque, des chiens qui pissent, de quêteux, des musciens et des flics qui rôdent en mordant dans leur muffins achteés au Tim Hortons.

Vincent s'installe sur un muret en ciment sous les jeunes érables.  Il salue quelques connaisances.

Il se sent bien.

 

-Nan merci, répond-il à un gars avec une casquette qui lui demande s'il a besoins de quelque chose.

 

Il demeure ainsi quinze minutes, rêveur.  Les bus s'arrêtent, se vident, se remplissent, repartent.  Des flots de travailleurs surgissent par centaine des profondeurs du métro.  Commen font ceux qui vivent à la campagne ? On doit y mourir d'ennui.

Il vérifie l'heure sur son cellulaire, se dresse d'un bond.  Sa mère a déjà dû boire la moitié de sa bouteille de vin.


- JE SUIS LÀ !

 

Vincent s'égosille toujours ainsi quand il arrive chez lui.  Sa mère, Jeanne travaille à l'étage et elle laisse en permenance la porte dévérouillé dans la journée.  Les amis le savent et entrent sans attendre qu'on les y invite.  Seuls les visiteurs étrangers sonnent.

 

Il accroche son blouson dans le vestibule et fonce dans sa chambre pour mettre de la musique.  Le silence le tue.  Son ordinateur est un dinosaure fainnéant, pire que lui.  Après quelques minutes, il peut enfin lancer Itunes.  Il y a trois jours de musiques non-stop, là-dedans.

 

Il grimpe saluer sa mère.  En haut, l'espace est réparti entre un minibureau, une cuisine, une chambre  et une salle de bain.  Une terrasse ombragé fait office de salle à manger en été.

 

- Ta soeur n'est pas avec toi ? demande Jeanne.

 

Le timbre de sa voix indique trois vers bien tassés au détecteur personnel de Vincent.  À quinze ans, il a eu le temps d'apprendre à décoder les travers de sa mère.

 

- Nan.

 

Vincent l'embrasse furtivement en évitant son haleine, puis se dérige vers le réfrigérateur.  Son torse disparaît à l'intérieur tandis qu'il cherche des victuailles capable de rassasier un gars qui à passé plus de six heures assis en classe à faire semblant d'écouter.

 

-Elle devait voire quelqu'un,crie-t'il.

-Qui ça ?

-Tu ne le connais pas.

 

Vincent ressurgit du frigo, une pinte de lait et une pointe de pizza à la main.  Il libère un coin de la table de travail encombrée par les papiers de sa mère et s'installe pour dévorer son butin.

 

- Tu bosses sur quoi ?

 

Jeanne avale une gorgée de vin blanc et désigne l'écran dix-sept pouces.

 

- Une affiche pour un centre de prévention de la toxicomanie.  Ils n'ont pas un rond, mais c'est un beau contrat.  Je me débrouille avec les moyens du bord.

 

Vincent vide un grand verre de lait en jetant un oeil sur les maquettes préparées par sa mère.  Il pose sa vaisselle dans l'évier qui déborde d'ustensiles et de casseroles sales.

 

- Je gage qu'Agota va encore raconter qu'elle avait oublié que c'était son jour de ménage, râle-t-il.  Je suis sûr qu'elle le fait exprès.

-Mais où est-elle, ta soeur ?

- Je te l'ai dit, m'man : chez quelqu'un que tu ne connais pa.

- Un ami du collège ?

- Nan.

 

Vincent redescant dans sa chambre sans préciser.  À quoi bon sert perdre son temps ?  Lorsque Jeanne a entamé son apéro solitaire, elle parle sans écouter.  Ses lèvres articulent des questions générées aléatoirement par son cerveau.  Elle fonctionne sur le pilote automatique.

 

Il consulte ses messages.  Il ne trouve qu'un bref texte provenant d'Agota "JE VAIS CHEZ H. " Sa jumelle fréquente la même école que lui, mais il sont dans deux classes différentes de quatrième secondaire.  Tant mieux, parce que chacun a son propre rhytme.  Depui quelque temps, l'écart entre eux s'est accentué.  Agota sort sans lui, elle se maquille, elle ne raconte plus grand chose à son frère... Ça agace Vincent. car il trouve qu'elle mamque parfois de jugement.  Il voudrait bien lui donner son avis sur ses choix, mais il sait qu'elle va prendre le haut.  À force d'entendre répéter qu'elles murisent plus vite que les garçons, les filles finissent par y croire.

 

Paulo appelle.

 

- Salut Vince ! Je termine mon quart chez Couche-Tard à sept heures trente. Je suis sur le plancher, alors je peux finir plus tôt pour regarder la partie de hockey.  Je peux venir chez toi ?  Tu fais quoi, là ?

 

Paulo est un maniaque de la rondelle.  Les matchs préparatoires viennent de commencer avec le mois de septembre, et il n'en rate pas un.

 

- Arrive quand tu veux, lâche Vincent.  J'ai un bouquin à finir pour le cours de français : Le torrent, d'Anne Hébert.  Je ne bouge pas d'ici.

 

Paulo travaille depuis trois mois pour gagner de l'argent de poche.  Ses parents ont cesser de lui en donner quand ils l'ont surpris en train de fumer du pot.  Son père, un authentique Sicilien, a le sang chaud.  On ne rigole pas tous les jours chez lui.

 

- Agota n'est pas arrivée ?

- Nan.

 

Vincent raccroche et s'allonge sur le canapé avec son livre.  Il s'endort après deux pages.

 


 

Deux heures plus tard, Jeanne débarque dans le salon, les yeux cernés d'avoir trop fixé son écran plat.  Elle a la tête d'une personne qui vient de se rappeler qu'elle a une famille.

 

-Où est Agota ?

Vincent se réveille en sursaut.  Il plisse les yeux et, sans prononcer un mot, lui montre le message texte sur son cellulaire.  Elle l'examine sans comprendre.

-Ça veut dire quoi, "Je vais chez H. "?

Son fils prend un air excédé.  Il en a marre de gérer les retards de sa jumelle.

- "Je vais chez H.", ça veut simplement dire qu'elle va chez H.  C'est plus rapide à écrire que "je vais chez Harry".

-C'est qui, Harry ? demande Jeanne.

-Un gars qu'Agota voit pour des histoires d'écologie.

-Il sort d'où ?

-Il est venu à notre école l'an passé pour nous expliquer le principe du " zéro carbone".  Ils se sont recroisés un peu plus tard et sont restés en contact depuis.

- Quel âge il a ?

-Je ne sais pas, moi.  Cinquante ?

 

Jeanne considère son fils comme s'il venait de lui annoncer que le 11 septembre n'avait jamais eu lieux.  Elle se contrôle pour articuler:

-Ça, c'est la meilleure ! Ma fille de quize ans fréquente un homme plus vieux que moi et j'en suis la dernière in ée !

- Tu connais Agota : il faut lui arracher les mots de la bouche.

 

Vincent n'a pas le temps de continuer, car Paulo arrive au même instant.  Petit, nerveux, le teint basané, les cheveux mi-longs dépassant de sa casquette des Canadiens avec la palette droite, il salue son ami d'un sourire.  Jeanne se tourne vers lui.

 

-Vous nagez en pleine inconsciense, les gars.

- De quoi ? demande Paulo.

-Laisse tomber, Ritalin.

 

Ce surnom lui colle à la peau depuis l'enfance.  Au primaire, sa mère avait eu la bonne idée d'expliquer à l'enseignante que son fils souffrait d'un manque d'attention à cause de son hyperactivité chro*** et qu'il prenait un médicament bien connu pour l'aider à se concentrer.  C'est ainsi que le " Rital " a hérité du nom de ses pilules miracles qu'il ne prend plus.

 

- Tu lui poseras tes questions directement: je l'appelle, lâche Vincent à l'intention de sa mère.

Il compose le numéro de sa jumelle et patiente, l'oreille collé à l'écouteur.  Jeanne fronce les sourcils, ôtant puis remettant sans arrêt son alliance, signe de nervosité extrême chez elle.  Vincent recommence à deux reprises.  ll tombe à chaque fois sur la voix enregistrée :" L'abonnée que vous tentez de joindre ne peut vous répondre en ce moment..."

-Coup classique : elle a éteint son cell ou elle a oublié de le recharger.

Jeanne ne trouve pas ça drôle.

- Vous n'êtes qu'une gang d'irresponsable ! Je me saigne à payer ces foutus cellulaires pour pouvoir vous joindre en permanance, et vous les laisser fermés !  Vous savez combien me coûtent ces cochonerries ?

 

- Généralise pas, m'man.  C'est Agota le problème, pas moi.  Puis il est juste sept heures et demie.  Faut pas capoter !  On n'a qu'à regarder un peu la partie en l'attendant.

-Hum.

Vincent allume la télévision et s'installe avec Paulo.  Jeanne retourne à son apéro en solo.

 

J'espère que ce nouveau chapitre vous a plus !

Note de l'auteure :Le chapitre n'est pas fini je vais le continer plus tards...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Je lis la fiction Risk it All de chrowni.que et j'aime ça!".


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