Coucou! Moi c'est Isabella!

J'AI VRAIMENT LES CHEVEUX VERTS EN VRAI! JE SUIS FIERE!

Bon j'ai crée cette doll car j'aime écrire. Chaque jours, ou tous les deux jours, j'écrirais un nouveau chapitre et je le mettrais dans mon QSJ. Voila, je n'ai pas de dollz principale. J'accepte tous les commentaires (même les critiques quand elles sont justifiées)! Bizz.

CHAPITRE 1

C’était un jeudi du mois de juillet. La chaleur étouffait Londres depuis plus d’une semaine et le vent frais se faisait rare. A minuit les habitants de William Street étaient tous éveillés : MR et Madame Adams regardaient tranquillement la télévision tandis que leurs charmant voisin, Mr Cooper avait invité une belle demoiselle à dîner et bien surs, à dormir ; Madame Cannon appelait son mari qui séjournait depuis une semaine en France et la fille Curtiss, profitant de l’absence de ses parents, avait organisé une soirée qui se faisait entendre jusqu’au 2^ème patté de maison. Bref, dans William Street, les maisons étaient toutes allumées et leurs demeurant respectifs étaient tous occupés chacun de leurs côté.

Dans ce même quartier séjournait une jeune femme se nommant Cynthia Roberts. Elle non-plus ne dormait pas mais contrairement à ses agréables voisins, elle ne s’amusait pas de la même manière que nous le voyons. Elle n’était pas du genre à s’affaler dans le canapé pour regarder une de ces séries américaines qui passent tous les jours à la télévision, ni de faire la fête avec ses amis jusqu’à deux heures du matin, et encore moins de passer la nuit chez un homme qu’elle ne connaitrait à peine. Non, pour elle, ce n’était pas de l’amusement. Elle n’arrivait à se divertir qu’en résolvant des énigmes. Ce n’était pas une femme à se reposer. Le seul fait de ne pas arriver à savoir la réponse pouvait la mettre dans tous ses états. Elle avait besoin de fourrer son nez partout pour découvrir les secrets les plus intimes et honteux des gens. Elle avait une sorte de don pour résoudre les affaires non classées et pour de ce qui était des énigmes, elle était la première à avoir la bonne réponse. Elle n’était pas inspectrice, ou policière, elle faisait un métier d’autant plus intéressant : elle était journaliste. Son besoin de découvrir les cachotteries était irrémédiable et de plus elle savait où chercher et par ou commencer.

Or justement, à minuit pile, Miss Roberts était en train de résoudre une énigme sur laquelle elle avait longuement réfléchis. Sa tête était posée sur sa main gauche tandis que dans sa main droite un stylo frôlait la feuille de papier. Mais quand celui-ci s’apprêtait à toucher la page pur écrire la réponse, un bruit de pistolet. En entendant tout ce tapage, la curiosité de Cynthia prit le dessus. Oubliant la maudite enigme, elle se leva et en quelques secondes à peine elle était dehors, cherchant la source de cet étrange bruit.

Les activités des habitants de William Street cessèrent tout d’un coup. Quelques seconde après que Miss Roberts fut sortit de chez elle, Mr et Madame Adams ouvrirent leur porte pour aller voir ce qui s’était passé, Mr Cooper et la charmante demoiselle à ses côtés s’empressèrent d’aller à leur fenêtre, Madame Cannon raccrocha à son mari et Miss Curtiss arrêta la musique. En une seconde, les demeurant de William Street partageait la même pensée, la même activité et la même question. Mais la peur des habitants dépassait tout, même l’ignorance et même la curiosité si bien que personne n’osait aller découvrir la source de ce mystérieux bruit. Personne sauf Cynthia Curtiss.

Ella avança alors dans la nuit noire sans se retourner vers ce qu’elle pensait être l’endroit du tapage. L’humidité et la chaleur faisait transpirer Miss Curtiss mais elle n’avait pas la moindre peur de ce qu’elle allait trouver, ni de l’obscurité qui la gagnait à chaque pats. La ou elle marchait, les lampadaires était presque tous éteins et l’absence de lumière faisait trébucher la jeune femme mais ce n’était pas cela qui lui ferait faire demis tour. Puis elle sentit un liquide toucher le bout de ses orteils. Peu à peu, celui-ci devenait de plus en plus abondant et au fur et à mesure qu’elle avançait elle sentait ses pieds marcher dans une flaque de plus en plus grande. Si il y avait eu de la lumière, Cynthia aurait put apercevoir un homme allongé, mort baignant dans son propre sang mais l’obscurité rendait la demoiselle aveugle. Son pied chuta sur le bras du cadavre et elle tomba la tête la première.  Elle ne cria pas, elle n’eut pas peur : elle s’attendait exactement à ce qu’elle avait trouvé et elle trépignait de joie.

Chapitre 2 : 24 heure auparavant

Tout au long de sa vie Cynthia Roberts avait fait en sorte d’être là aux bons moments. Elle sentait quand les choses prendraient une ampleur, ou quand il allait se passer quelque chose de dramatique, ou de burlesque. C’était plus qu’un talent, c’était un vrai don, ou un sixième sens si vous préférez. Mais le terme de sixième sens peut être pris au premier degré, ou peut être vu comme fantastique. Mais non, il n’y avait rien de magique en elle. C’était plus de l’intelligence et du flair que de la magie ou des supers pouvoirs. Elle sentait ces choses là, le matin en prenant son café, ou au travail entre deux articles, ou même en pleine réunion.

Mais aujourd’hui, elle l’avait sentit en se réveillant. Contrairement aux autres matins, une angoisse avait gâché son petit déjeuner, elle était en retard pour le travail et avait oublié ses clés, ce qui était d’autant plus bizarre.

Généralement elle était toujours très ponctuelle et non du genre à oublier ses affaires. C’était une femme sérieuse mais elle n’avait pas la carrure d’une Madame Jesaistout. Elle était brune, aux yeux marrons/verts, moyenne de taille, mince, elle était plutôt jolie. Elle ne portait des lunettes u***ment pour lire.

Ce matin là, Cynthia n’était pas d’humeur enjouée. En arrivant au bureau de presse, ses cheveux étaient tout en broussailles, elle n’avait pas eu le temps de bien se maquiller, ce qui faisait ressortir de légers cernes. Ses yeux étaient encore petits, mal réveillés.

Quand elle arriva enfin dans son bureau, elle ouvrit son ordinateur et essaya de l’allumer. Evidemment elle s’attendait à ce que cette journée de merde fasse planter le seul matériel indispensable à son travail. Elle ferma l’ordinateur et restait sur son siège, à contempler un stylo bleu.

Elle savait. Elle savait que par une telle journée quelque chose de grave allait se passer. Quelque chose de grave oui, mais ceci allait changer sa journée et allait la ravir car elle savait aussi qu’elle allait être là au bon moment. Et pour sa petite personne, rien n’était plus important que cette gloire d’être là en première.