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JE REMERCIE SARAH QUI A SUPPRIMER MES 60 PAGES DE COMMENTAIRES DE FANS ET TOUT MES MESSAGES PRIVES ! JE NE SAIS PLUS QUI JE DOIS AVERTIR DONC SVP CONTACTEZ MOI... JE TROUVE PAS CA COOL DE SA PART, TOUT VOS GENTILS MESSAGES ME TENAIENT A COEUR DONC VOILA. MERCI ET BONNE LECTURE !

 

                     Blingee

 

Et un grand merci à: faniwritemybook

 

   


ATTENTION:

 

 PUBLIC AVERTIS

(il peut y avoir des scènes choquantes ainsi qu'un vocabulaire vulgaire.)

 

Ce journal est purement fictif CE N'EST DONC PAS MON HISTOIRE

 

Black Grass.

 

 

 

 

« Je n’ai  jamais été amoureuse. Est-ce une si grave erreur ? Comment avoir confiance en un Homme quand lui-même ne se fait pas confiance. Après tout, ils sont tous pareil, incapable d’éprouver quoi que ce soit. Je le sais car ma meilleure Amie Chloé s’est  suicidée l’Eté dernier. Elle ne supporter plus le fait qu’il l’est largué pour une autre. Ce mec, je le trouve, je le bute. »

 

Vendredi 31 Aout 2007.

Hier je suis allé cueillir des bleuets. Ce sont les fleures préférés de Chloé. Je suis allé sur sa tombe et j’ai pleurer.  J’ai sentis un regard posé sur moi. Un regard  pesant, trop pesant. Je me suis retournée et j’ai entendu le bruit d'un pas furtif sur le gravier. Je me suis levée et j’ai juste vu le Grand portail du cimetière se refermer. Trop tard.  Alors j’ai imaginé que ce soit Alex qui viennent se repentir. Cet abruti qui l’a poussée au Suicide. Qu’il crève cet imbécile ! Bref, après je suis rentrée à la maison et j’ai fumer. Je fume souvent depuis qu’elle est plus là. Comme je ne peux plus rien dire à personneje confie tout à ma cigarette. Elle, elle reste muette pendant cinq minutes, temps de conssumer, puis elle finit en cendre tout emportant avec elle mes lourds fardeaux. 

 

 Plus que quelques jours et c’est la rentrée. Après un an d’arrêt de cour –Dépression-  ils ont finit par dire que je redoublais mon année (ce qui est normal) et que je refaisais mon année de Seconde en septembre 2007. Shit ! Je vais retrouver cette c.onne de Bianca. Cette fille ne prête aucune intention à la vie de ces pauvres bêtes mortes pour son maquillage. Avec son fond de teint Chanel, son rouge à lèvre Dior et son mascara Yves-Saint-Laurant là. Par contre son cerveau c’est en Option. Quoi que, elle trouverait un cerveau digne d'un grand créateur je suis presque certaine qu’elle serait assez idiote pour l’acheter. Déjà que les mecs ne sont pas bien futés, si en plus les po.uf-po.uf en rajoute une couche, je pense que je vais finir Lesbienne.  

 

                                          

Samedi 01 Septembre 2007.

 Je rigolais bien sur. Je ne serai jamais lesbienne. Non pas que je ne supporte pas mais, ce n’est pas du tout mon orientation seexuelle. Passons. Mercredi c’est la rentrée. Ca sent mauvais quoi. Je crains le pire. J’ai un mauvais pré-sentiment. Ca fait genre comme dans les films. Trop bidon. Une fois ce journal finit je le brûle. C’est trop la honte. J’ai envie de péter un câble en disant un truc trop bête. Un truc totalement infantile et hors sujet :

kakaboudainproutdemerdefaischierj’enaimarreetcrottedebiqueetcaccadechienallervouspendre.

Haaa. Ca me détend. Je vais dormir. Si j’y arrive. Bonne Nuit. Qu’est ce que je raconte ? « Bonne nuit ». Bonne nuit à qui ? Je suis en train d’écrire pas de parler ! Je deviens folle. Bon aller, au lieu de m’écrire a moi-même je vais aller pioncer.

Mardi  04 Septembre 2007.

00h04. Il est Minuit et Quatre minutes. Demain c’est la rentrée, j’ai la boule dans le ventre, les larmes aux yeux. C’est simple je crois, je ne veux plus aller dehors. Il y a trop de gens, tant de personnalités différentes. Trop d’homme qui ont brisé des cœurs. Où je vais là ? Je devais parler de la rentrée. Enfin peu importe, je divague complet. Je vais aller dormir sans trop réfléchir. Demain est un autre jour, on verra bien après tout.

 

Mercredi 05 Septembre 2007. (7h04)

Je pars dans dix minutes. Je ne vais pas tenir une heure moi. Revenir au Lycée et me rappeler tout ces souvenirs avec Chloé et toute notre bande. Je ne sais même pas si la bande existe toujours. Je verrais bien mais si je les vois, je ne leur parle pas. Ce serait comme tourner le couteau dans la plaie. Je les aime énormément mais malheureusement je ne peux plus repenser à avant. Ca fait trop mal. Maman ne sait plus comment s’y prendre avec moi. Je suis trop faible. Avant j’étais Johanna la fille aimé, forte et gentille. Maintenant je suis Johanna la disparue, faible et renfermée. Un gros changement. Ah ça oui. Je me demande comment les gens vont réagir. En tout cas ma popularité en prendra un coup mais c’est ce que je veux. Car si je n’avais pas était populaire peut être que, à la rentrée les gens n’auraient pas remarqués mon absence et peut être je n’aurais pas étais déranger. Mais, pourquoi  j’écris au Passé ? Ce n’est même pas encore arriver.  Maman monte, je dois cacher ce journal avant qu’elle n’arrive. Elle ne doit pas connaitre son existence.  

 

Mercredi 05 Septembre 2007. (19h36)

 OH PUTAIN ! Ils sont bête ou quoi ?!! Mais ce n’est pas possible ! « C’était pour ton bien » Mais… !! Ils ont fait redoubler Maeva, Charlotte et Rosalie pour la même raison que moi. Et quand ma mère l’a appris elle a demandé à ce qu’on soit tous ensemble car ça me ferais du bien d’être avec  mes amis. Elle est idiote ou quoi ?!! Je ne veux plus aucun contact avec notre bande. Si  je retourne avec eux, ça veux dire que je resterai la Johanna Populaire. JE VEUX PAS ! Et même, ça fais ressortir tout ces souvenirs où nous étions avec… Chloé. Je lui en veux à mort là! Bon, quand il y a eut l’appelle de la Classe Seconde B, et qu’ils nous ont tous appelés, ils se sont tous sauter dans les bras. Charlotte est arrivée vers moi et m’a sauter dans les bras. Moi je l’ai repoussé et j’ai monté les marches du Hall tout en attendant la fin de l’appel. Je crois qu’elle n’a pas encore compris. Je ne suis plus la Johanna qu’elle a chérit. Rien à fo.utre, demain je ne viens pas.

 

Jeudi 06 Septembre 2007

Euuuh, elle se fout de moi ou quoi là ?! Ma mère m’oblige a aller en cour avec la co.nnerie qu’elle à faite. Et elle dit même que je dois arrêter de me plaindre de mon propre sort. Elle n’a pas perdu sa meilleure amie elle, ça se voit.  En y réfléchissant bien, il est vrai que je ne fait que me plaindre…  Mais c’est la seule chose que je sais faire maintenant alors… Aujourd’hui, Charlotte Maeva et Rosalie  sont venue me voir, elle m’ont demander qu’est ce que je foutais. Elles sont vraiment débile. Dire qu’elles ont était mes amies. Elles ne sont même pas capable de comprendre ce que je ressens. J’ai l’impression qu’elles oublient les huit années que l’on a passé avec Chloé. Alors je leurs est criés qu'elles étaient de vraies petite Co.nne et que je ne comprenais pas comment elles ont put tout oublier si vite. J'ai ajouté que je ne voulais plus jamais les revoir. Par la suite, elles m'ont fixé puis elles ont secoués la tête. Rosalie me dit: "Ma pauvre Johanna, c'est toi qui ne comprend rien." Et elles sont parties en soupirant. Charlotte m'a lancer un dernier regard que je n'oublierais jamais, on aurait dit qu'il disait tu es vraiment Bête

 

Après ça je suis retourné en classe. Par chance je suis à coter d’un mec  silencieux et discret. Je ne sais même pas son prénom. Au moins, il ne me posera pas de question. Le professeur est entré et il nous a annoncé que cette année aller être différente des autres car cette classe est spécialement composée de redoublant. Alors il a commencé à présenter le déroulement de l’année. Comme ça ne m’intéresse pas et bien j’ai croisé mes bras, mis ma tête dedans et j’ai  fermé les yeux. Ensuite il y a eut  cette sonnerie qui m’a réveillé. Le prof m’a fachée parce que nous n'étions que le deuxième jour et que j’étais déjà distraite alors qu’en tant que redoublante je devais m’écraser et suivre les consignes. Génial je vous jure, je suis bien contente d’être dans mon lit là.  

 

 

 

Vendredi 07 Septembre 2007. 

 Haha. Drôle ! Aujourd’hui on m’a sortit que j’étais une petite co.nne qui aller finir sur les trottoirs.  Et de qui en plus… ? De Bianca ! J’ai cru que j’allais exploser de rire. Tout ça parce que en l’a croisant dans le couloir je l’ai regardé de travers et je lui est lancer « T’es toujours avec Alex ou bien tu as pris le mec de quelqu’un d’autre ? » A lala … J’étais de bonne humeur après ça. Oh, j’ai appris une chose, le mec à coter de moi s’appelle Max. Avec sa belle gueule il va finir THE mec  Number One ! Moi qui m’étais dit que c’était un mec silencieux et discret, à mon avis ça ne va pas durer longtemps. Et qu’il n’essaye surtout pas de me draguer parce que je me lève et je lui tourne une droite. Je ne sais plus si je l’ai écris déjà mais je hais les mecs. Ils ne comprennent rien à rien et ils ont qu’un seul but : Se faire le plus de petites-amies possible. Alors ce n’est pas moi qui vais compléter leurs collections. Enfin bref, c’est le WEEK – END !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

Samedi 08 Septembre 2007.

Woua ! Ce matin j’ouvre mes volets et que vois-je ? Un beau ciel bleu sans nuage avec un petit Soleil. Ca m’a donné envie d’aller voir Chloé. En chemin j’ai pensé que je devrais peut être essayé de passer à autre chose. Je vais essayer de tourner la page. 

 

Dimanche 09 Septembre 2007.

 Hier, j’ai voulu aller me promener et j’ai croisé Alex et Bianca. Ils avaient vraiment l’air amoureux. Peut être que mon jugement était trop dur ? D’un côté, Alex a était juste envers Chloé, il a était franc, alors qu’il aurait pu ne rien dire et la tromper. Oh et puis merde hein ! Il n’avait qu’à pas connaitre Bianca ! Ce n’est pas de sa faute à Chloé !... Ensuite je les ai évités et au bout de la rue, trois filles se tenaient contre le mur. Une d’elles me poussa et je suis  tombé par terre. Alors elle me tira par les cheveux tout en me soulevant la tête (toujours avec mes cheveux dans sa main) elle appela son amie  « Sarah » si mes souvenirs sont bons, et cette « Sarah », me regarda, rigola puis me mis une claque. Une grosse claque. Ensuite, elle gueula un truc incompréhensible et la troisième fille me cracha dessus puis me mis un gros coup de pied dans le ventre. La fille qui me tirer par les cheveux me laissa tomber au sol  et elles partirent toutes les trois. L’une d’elles me jeta : « Retiens bien nos visages, ose faire un autre truc à Bianca et cette fois on te tue. » Je me suis relevé et j’ai faillit leur sauter dessus. Mais à trois elles m’auraient achevée. Alors je suis rentré à la maison et j’ai écrit. Si ma mère monte, elle va se poser des questions donc je vais aller me mettre un peu de fond de teint et puis ça devrait passer. Ensuite j’ai un énorme bleu sur le ventre mais ça elle ne peut pas le voir en sachant que je suis vêtue. Et bien… Je ne pensais pas qu’en me promenant j’allais me faire attaquer ! Le pire dans tout ça c’est que j’en pleure de rire. Je deviens tarée.

Lundi 10 Septembre 2007.

Je suis rentré en classe et tout le monde s’est mis à parler en me regardant. Quoi ? Qu’est ce que j’avais encore ? Je ne l’ai pas sut directement. Je suis allé m’assoir à coter de Max. Il me regardait bizzard et on aurait dit qu’il avait pitié de moi. Alors je lui dis « Quoi ? » il passa son bras dans mon dos. Je lui ai évidement dis : Dégage. Et là il m’a dit «  tu es bête ou quoi ? Je suis juste en train de t’enlever ce postit’ collé dans ton dos. » Et là j’ai compris qu’il avait pris pitié des blagues stupide d’un des élèves. Il était écrit "Johanna prostitué de luxe". Je l’ai juste remercié.  Ensuite sonna 10h00. Je me levai vite et je couru jusqu'à la salle des Seconde E. Et j’ai appelé Bianca en criant. Elle s’est appuyer contre la porte de sa classe et m’a dit « Quoi ? » Puis j’ai repensé aux paroles des trois filles. Alors je suis repartie en courant et cette peste me cria : « Si tu n’as pas le courage d’assumer tes actes, ce n’est pas la peine de venir ici. » Mais Quel co.nne celle-là alors ! Comment ose-t-elle me parler d’assumer alors qu’elle engage ses trois potes pour me frapper ?!! Enfin passons. Maintenant que c’est terminé je ne ferai plus rien qui puisse m’attirer des ennuis. Mon ventre me fait terriblement mal… Je les hais tous. Le comportement de Max m’a tout de même touché.  Il a était gentil de faire ça. Mais si jamais il continue à se montrer trop gentil avec moi, la classe va le haïr.

 

 

Mardi 11 Septembre 2007

Sur ma table de classe, quelqu’un a écrit au compas « crève Johanna ».  Je n’ai pourtant rien fait. Tant pis. Qu’ils se fassent plaisir à me faire des blagues de mauvais goûts. Max est arrivé à coté de moi  et à regarder notre table. Il a soupiré m’a regarder et s’est assis. Je ne sais pas ce qu’il veut celui là mais il commence à m’énerver à me regarder avec pitié. C’est bon, je ne vais pas être abattue à cause de débiles mentaux qui s’amusent à faire des blagues puériles.

Tout à l’heure, en sortant de la classe, j’ai vu Bianca parler a une des trois filles. Ce qui veut donc dire qu’elle est dans le même lycée que moi. Les menaces sur ma table sont certainement d’elle, j’ai intérêt à être plus prudente, j’ai bien trop peur de devoir faire de nouveau face à ces filles.

Mercredi 12 Septembre 2007

Ce matin, une crainte, une peur, une chose stressante me trône dans la tête. Que va-t-il m’arriver aujourd’hui ? Serais-je encore victime d’atrocité ? Depuis que j’ai aperçue cette fille de la bande des trois je n’ose même plus  m’imaginer mettre les pieds au Lycée. Je dois être forte. Je sais, je ne dois pas me soumettre à elles mais c'est difficile, et ce, physiquement ou moralement. Maintenant je vais passer au dessus de tout ça et me battre. Je ne me laisserai plus abattre.

Ps : au final il ne s’est rien passer aujourd’hui. J’étais bien contente. C’est enfin finis toute ces histoires !

 

Jeudi 13 Septembre 2007 :

Aujourd’hui, nous avons fait sport. Notre cour d'EPS est composé de deux classes : les Seconde B (ma classe) et les Seconde A. Quelle surprise ! Il y avait la fille du gang des trois avec nous ! Je peux te dire que j’ai bien eut peur (et j’ai eut raison d’avoir peur…). Nous faisions de la course dans le bac à sable. Je ne sais plus comment ça s’appelle. Le truc où on cour et après Hop, on saute le plus loin possible dans le sable. Saut en Longueur je crois. A vérifier bref, là n’est pas la question. Je fus très attentive pour pouvoir écouter le prénom de la fille. Son prénom est Inès. Elle est douée d’ailleurs. Quand se fut mon tour, j’ai pris un max d’élan,  j’ai vidé mon esprit, j’ai pensé à un yaourt nature (oui un yaourt, pourquoi ? Bonne question) et j’ai courus à fond. Je voulais montrer devant Inès que je n’étais pas une incapable. Sauf que…. Au moment où j’allais bientôt sauter, un pied se tendit juste devant moi. Et je me suis écroulé par terre. Résultat : entorse et grosse éraflure sur le visage. Ce pied était celui d’Inès. Comment je le sais ? Simple analyse, c’était une chaussure Nike noire avec le signe en rose, exactement comme ses chaussures d’aujourd’hui et exactement comme le pied qui m’a atterrit dans le ventre. Comment l’oublier ? Enfin bref, ce qui est positif dans tout ça c’est que je n’aurais pas sport pendant un Mois donc pas de Inès. La classe sérieux ! Je crois que mon année est tracée : beaucoup d’obstacle a surmonter. Mais bon, je me sens prête à les franchir et si besoin je renverrai la marchandise.

Vendredi 14 Septembre 2007 :

Quand je disais que j’allais me battre contre leurs intimidation... Je crois que c’était plus facile à dire qu’à faire. Explications :

Ce matin rien de spécial à part un mot d’excuse de Inès. Comme si j’allais gober ça. Alors je l’ai déchiré et jeter. Nous avons eut cour de SVT. (La matière la plus inutile que je connaisse après les Maths) la leçon parlée de l’anatomie des êtres vivants. Je hais les SVT déjà car la salle est morbide, il y a une atmosphère pesante, tout est blanc, on est sur des tabourets qui nous cassent le dos et il y a des affiches comme « Sauvons la planète » « prenez une douche au lieu d’un bain, cela s’appelle l’économie » « Chercher l’horreur »… Oh c’est bon quoi, il ne faut pas abuser. En plus on est cinq par table, les murs sont tous à moitié décrépis et le carrelage tout péter. Non, déjà qu’on s’endort limite si en plus l’atmosphère est bidon, dodo pour deux heures quoi ! En revanche j’adore les posters des ours blancs avec leurs petits c’est trop mignon. Bref, ensuite nous avons eut Maths (trois heures de matière horrible, chaud hein ?)  avec Mr ***** (je ne peux citer de nom même dans mon journal que personne lira, imagine il est retrouver ? Ben PAF ! Prison) C’est le prof le plus pervers au monde, il matte toute  les filles sur son passage. Pauvre garçon, en Maths il matte ! (DRÔLE) Et après nous avons eut une heure d’Histoire. L’histoire, j’adore, on apprend la vie de nos ancêtres et la salle de classe est superbe, les murs sont beiges et le sol est en lino. Il manquerait plus qu’une tasse de thé... Non, un verre de Coca et ce serait parfait. Sérieusement, l’histoire est une matière tellement intéressante, imaginez vous à la situation de la population du Chapitre. Se mettre à la place des rois et après des assassins. C’est si excitant ! Aujourd’hui on a terminé le Chapitre sur la guerre d’Algérie. C’est atroce ! Et puis ça a sonné 12h00. On dit souvent minuit l’heure du crime et bien aujourd’hui j’aurais plutôt dit 12h00 l’heure du crime. Après la sonnerie, le professeur nous à dicté les devoirs à faire puis j’ai remballé mes affaires, je suis descendu et je suis passé au self. Il y avait beaucoup de monde, j’avais au moins vingt bonnes minutes d’attente, la file était assombrit par la clarté du jour (J’ai voulu faire une antithèse. Ca gère avouons !) Arriver aux plateaux, j’ai pris une fourchette, un couteau et une cuillère puis j’ai choisis mon verre. Comme la plus part sont sales, il faut regarder à la lumière si il est propre ou pas. Et j’ai pris mes plats (Œufs durs à la mayo,  lasagne, yaourt vanille et éclair au chocolat). Une fois sortie de cette immense queue, que vois-je ? Bianca et Inès. A mon arrivée elles se sont retournées en me dévisageant. Bianca est arrivée devant moi et m’a dit « Des lasagnes ? Et ta ligne mon bichon ? » Elle a pris mon assiette, l’a soulevée et a fait glisser les lasagnes de l’assiette à ma tête. (Aujourd’hui, j’avais un débardeur blanc à fine bretelle avec des petites fleures en motif. Je ne pourrai plus le remettre, même avec le détachent de ma mère ça part pas. ) Elle a rit puis m’a dit « Tu m’as cherché ? Et bien, tu m’as trouvée. Idiote ! ». Elle a rejoint Inès et toute deux sont reparties. J’étais souillée de la tête au pied. Les gens me regardaient et rigoler. Hahahaha qui a-t-il de drôle de voir une fille qui s’est fait renverser un plat de lasagnes dessus ? Bande de cons !  

Enfin voilà cette fin de journée… Là, je suis en pyjama, lavée, propre et… le compas dans la main. Le bras en sang. Je vais tout détailler comme ça, si jamais on retrouve par miracle ce journal, je veux qu’on  sache les répercutions qu’on eut les actes de ces filles. Je poursuis donc, en rentrant je me suis douché et j’ai regardé mon haut tout taché, j’ai repensé à ma table de classe gravé « Crève Johanna » puis au postit’ écrit « Johanna Prostitué de luxe ». Je me suis remémoré les trois filles au coin de la rue. Et je me suis levée de mon lit, j’ai traversé ma chambre rose, je suis allé jusqu'à mon bureau et j’ai saisi mon sac. J’ai cherché ma trousse et une fois trouvée je l’ai ouverte et j’ai sortit mon compas. Maman n’était pas encore rentrée, papa ne rentrera jamais, il n’a fait qu'assister à la scène de la haut. Et j’ai crié « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!! » puis j’ai planté d’un coup mon compas dans ma veine, le compas tomba au sol. Je n’ai pas ressentit de douleur sur le moment, alors j’ai repris mon compas et toujours sur ce bras gauche, j’ai gravé « Crève ».  Crève sans suite. Pourquoi ? Car le crève s’adresse à moi, car j’en peux plus de la vie, il s’adresse à Bianca qui m’a fait souffrir, les trois filles qui m’ont battues.  Je vais mal. J’en peux plus. Je souffre. Et cette chambre, ma chambre dans laquelle je me trouve, rose comme si tout était beau, ce parquet clair comme si je marchais sur un nuage. Ce lit à deux places, comme si un jour il serait remplit de deux personnes ! Je sature, je peux plus là. Heureusement, nous sommes en Week-end. Je ne vais pas aller voir Chloé. Je n’en pleure rien que de me dire que je n’irais pas la voir. Non pas que je ne veux pas, mais je ne peux pas. Si jamais elles étaient à nouveau là-bas ? Non, je n’ai plus la force de résister, de tenir. Je ne peux pas c’est tout.

 

 Samedi 15 Septembre 2007 :

 

Tout à l’heure, Maman m’a demandé pourquoi mon débardeur était sale et à la poubelle. Je lui ai répondu que par manque d’attention j’avais foncé dans le poteau et mon assiette s’était explosée sur moi. Je sais qu’elle ne me croit pas, mais tant qu’elle ne parle pas du Lycée je n’en parlerai pas. Je connais ma mère, un jour elle va finir par me demander mais  ce jour là je lui dirai que tout va pour le mieux. Tout à l’heure je me suis con-necter sur internet et j’ai recherché des œuvres d’art. J’ai trouvé une Œuvre de Pablo Picasso magnifique, c’est Les baigneuses. En premier plan il y a Une fille en maillot de bain violet assise de dos sur le sable, un peu plus près d’elle il y a une autre fille allongée sur une petite dune de sable, elle a un maillot de bain orange saumon et juste derrière celle-ci il y avait une autre femme, debout (je ne sais pas ce qu’elle faisait, elle était genre toute tordue). Derrière ces trois femmes sur la plage il y avait la mer avec un bateau à Voile. Sur le coter je suppose qu’il y avait un port car on voit un Phare. Le tableau est sombre mais j’aime beaucoup.  Il me fait penser à ma vie. Pourquoi ? Bonne question, peut  être parce qu’il est sombre, peut être parce qu’il n’est pas totalement net c'est-à-dire qu’il garde ce côté mystérieux… Je ne sais pas, mais je me retrouve dans ce tableau.  Etrange non ?

 

 

Lundi  17 Septembre 2007 :

Le temps a passer et je n’ai même pas vu que Max était devenu, comme je l’avais dit, une des personnes les plus connues et respecté du Lycée. Toutes les filles lui tournent autour, en classe, à chaque intercours, ya toujours une nana à notre table. Elles disent toutes « Salut Max ! » , « Tu fais quoi ce soir Chou ? » « Haaaaaa max emmène moi au cinéma » Punaise mais Taisez-vous bande de cruche ! Elles m’agacent ! J’ai beau leur dire d’aller lui parler à la récré rien y fait. Bon, au moins Max à la gentillesse de s’excuser pour l’agitement mais bon… Comme si j’allais être aussi débile que ces nanas et que j’allais lui répondre « Mais ce n’est pas grave mon Chou, je comprends totalement … » Pff.  Sinon et bien, je n’ai pas eut de problème aujourd’hui. Mais je sais que ce n’est pas terminer.

 

Mardi  18 Septembre 2007 :

Ce matin, en allant à la cafétéria j’ai bousculé une fille et je lui ai renversé son café dessus. Je me suis excusée et je suis allé chercher du papier essuie-tout. En revenant vers elle, elle me fixa puis me poussa la main. Comme par dégout. Elle m’a lancé froidement « C’est bon, je me débrouille seule. Ne m’approche pas où je vais finir comme toi ! » Comment ça comme moi ? Non mais ! J’ai halluciné quoi. Peut être qu’elle parlait de la persécution ? Enfin peu importe, ceci est un petit détail. Je continue mon récit. Je suis donc allé m’assoir seule à une table quand Charlotte s’assis devant moi et ne dis rien. Je la regardai et lui lança un regard interrogateur. Après un long silence elle me dit « Salut Johanna. » Je lui dis Salut. Elle se leva puis me cria dessus : « Que t’arrive t-il Putain ?! T’es devenue un légume ou quoi ? Merde ! Johanna ! Où est passé la fille forte qui était en toi ? Tu vas te laisser écraser par cette bande de fouille merde ? Bordel ! Atterrit quoi ! Il va falloir attendre combien de temps Jo’ ? Nous sommes rentrée depuis à peine trois semaines et regarde tout ce que tu as subis ! A peine trois semaines ! Il reste encore 10 mois ! Bas toi ou tu risques de finir comme… » Elle se stoppa et fini par dire « Chloé … » J’ai mis du temps à réaliser ses paroles et a les interpréter ; puis j’ai  répondu que c’était comme ça maintenant et que je m’étais habituer au fait d’être maltraitée par mes camarades. Elle en a pleurer et je lui ai dit de ne pas s’en faire.

Mercredi 19 Septembre 2007:

Je n'écris rien car je n'ai rien à écrire. J'ai passé une journée tranquille sans compter les pia pia pia des nanas qui courent après Max.

Lundi 24 Septembre 2007:

Plusieurs jours se sont écoulés depuis ma dernière trace sur ce journal et je n'ai pas eut trop de problèmes. Si, j'en ai eut un assez important en réalité.. Je m'efforce à croire à mes propres mensonges. Je voudrais tellement que ma vie soit paisible et pourtant ce n'est pas le cas. Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je ne demande que le calme et la paix. Laissez-moi tranquille ! Ah.. oui.. il faut peut être que j’explique le fameux incident. Vendredi soir, en sortant du hall pour aller prendre mon bus, une chaise, ou plutôt MA chaise, a été lancée de ma fenêtre de classe juste quand j’étais en dessous. Quand j’ai levé la tête j’ai vu cette chaise me tomber si rapidement dessus, j’oser à peine bouger. J’étais pétrifiée de peur à vrai dire. La chaise était presque sur moi, je la regardais et je pensais « dans une seconde ou deux je serais blessée ou morte ». Mais tout d’un coup, aussi rapidement que l’ombre de Lucky Luke, une main. Une main d’homme. Une main qui m’attrape par le bras et me tire fort vers l’arrière. Je tombe bien évidemment. Je ferme les yeux. Puis, après quelques secondes je comprends. La chaise est déjà tombée depuis un petit moment, une chute c’est tellement rapide. Alors j’ouvre un œil est regarde la chaise, la mienne, à quelques mètres de moi, fracassée. Puis j’ouvre un deuxième œil et sens la chaleur de cette main toujours posée sur mon bras. Je me retourne et le vois. L’homme qui m'a sauvé la vie aussi connu sous le nom de mob voisin de classe: Max. Je me suis d’abord frotté les yeux avant de les ouvrir en grand. Que faisait-il ici ? A ce moment là ? Je n’eus pas vraiment le temps de lui demandé car il posa sa deuxième main sur moi et s’écria : « Johanna ! Est-ce-que tu vas bien ? » Je lui fis signe de la tête que oui. Il me serra dans ses bras. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi mais ça ne m’a pas dérangé, non, j’étais même contente. Je me sentais en sécurité dans ses bras. Alors je fis un truc que jamais, si j’avais était consciente je n’aurais fait. Je levé doucement mes bras et je les ai posé sur son dos. Et on est resté enlacé pendant deux bonnes minutes, comme ça, sans dire un mot, sans même penser quoi que ce soit. Mais j’étais bien, j’étais contente. J’ai ressentis quelque chose. Quoi ? Je n’arrive pas à cerné. Mais j’ai aimé cette sensation. Au bout de ces quelques minutes donc, il se poussa un peu et me dis qu’il aller me raccompagner au moins jusqu'à mon arrêt de bus. Je n’ai pas dit non même si l’idée ne m’enchantée pas mais après ce qu’il venait de faire je ne pouvais refuser. Alors je me suis levée puis lui aussi, je me suis approchée de cette chaise qui dans le passé me servait à moi. Je me pencha pour regarder le dossier car une couleur rouge intrigua mon regard et je pus lire : « Ne reviens plus ici, tu n’as pas ta place ici. ». Je ne pus m’empêcher de pleurer... La chaise puis ces mots de menaces…  C’était trop. Je n’aime pas pleurer pourtant. Mais depuis cette rentrée scolaire je ne fais que ça. Max s’approcha puis regarda le dossier de la chaise à son tour puis me regarda et soupira. «Ces larmes, elles n’attendent que ça, elles vont tout faire pour te mettre le moral à zéro. Alors reste toi-même, prend sur toi et surtout reste forte. Il faut que tu leurs montre à quel point ce qu’elles te font t’es égal. A force, elles finiront par te *** la paix je suppose. Personne n’a le droit de faire ça à quelqu’un, c’est juste inhumain. Tu sais, toutes ces filles qui me parlent aux inter-cours, je ne les écoute même pas, j’acquiesce juste, elles pensent que je les écoutes mais en réalité ce n’est pas le cas. Pour toi c’est pareil, ignore les et elles penseront que tu fais ça car tu ne peux plus lutter contre elle mais en fait, ça ne sera pas le cas. Garde foi en toi Johanna. » Je le fixa puis lui souris. Il est si gentil. Je n'aurai pas du porter de mauvais jugement envers lui. Il m'a donc raccompagné et il est repartis exactement à l'opposé de là où j'étais. Je suppose que je lui ai pris une bonne partie de son temps. Pardon Max.. Si tu savais à quel point je te suis reconnaissante. Et ces mots que tu m'as dits.. Je ne pourrais les oublier.

 Quant à aujourd'hui, je n'ai pas pu le voir. Il était absent, j'avoue que j'ai eut de la peine et que j'ai eut l'impression d'être seule... Mon professeur m'a demandé pourquoi ma chaise avait été retrouvée fracassée avec de telles menaces. Je lui ai dit que ce n'était surement pas pour moi et que je ne voyais pas pourquoi je devrais m'en faire pour une chaise.

 Mardi 25 Septembre 2007: 

Toujours absent. J'ai envie qu'il soit là..

 

Mercredi 26 Septembre 2007:

Max n'est pas revenu, une fois de plus.. Je pense qu'il ne viendra pas de la semaine... Aujourd'hui, en allant en salle de physique-chimie, j'ai ressus une pierre sur la tête.. J'ai un peu saigné, grâce à un stage de secourisme, j'ai pu arrête le saignement assez rapidement. J'ai pris sur moi et je n'ai pas réagit.

 

Lundi 01 Octobre 2007:

Super, un mois de passé. Devrais-je passé les huits mois restant dans la même ambiance???? De toute manière, dès le 27 octobre je suis en vacances, donc j'aurais un peu de repos! 

Max est encore et toujours pas là. Son absence est longue, la journée est plus difficile sans son soutient. C'est là que je remarque à quel point son soutient était présent.. J'ai envie de lui téléphoner.. Demain soir, si il n'est toujours pas là, je l'appelle!

 

Mardi 02 Octobre 2007:

Non, il n'est paaaaaaaaaaaaas là! Bon sang que ça m'agace! J'ai feuilleter l'annuaire, j'ai trouvé son numéro donc je l'appelle. Maintenant. J'écrirais ce qu'on s'est dit.

Alors voilà, je l'ai appeller.. Enfin, je suis tomber sur une autre personne.. Horreur, il a déménagé.. Voilà pourquoi il ne vient plus.. Je suis désespérée, triste, épuisée.. Je me sens seule! Pourquoi ??! J'en perd l'envie d'écrire ce soir..

Mercredi 03 Octobre 2007:

Les filles ont-elles enfin compris que leurs acharnement ne marche plus? J'ai l'impression qu'elles m'ont oublié! Ce n'est pas trop tôt. Dommage que Max ne soit pas là, j'aurais été fière de lui dire qu'elles ont arrêté !! Mais .. il n'est pas là.. Sa chaise est là, sa table est là.. mais pas lui.

 

Jeudi 04 Octobre 2007

Je suis aller voir Chloé. Les fleurs sont fannées. La pierre de sa tombe est mouillée et moite. Le ciel est gris. J'aurais aimé lui parler de Max.. De là-haut je suis sure qu'elle est heureuse qu'il soit là pour moi.. J'ai pleurer. Je suis rentrée. 

Une seconde? mais.. Pourquoi je ne fais que parler de Max?

 

Vendredi 05 Octobre 2007:

Je suis enfin en week-end. Journée terminée et il était temps! Une semaine de terminée, un pas de plus de fait, une semaine en moins jusqu'aux vacances! Enfin un bon truc!

Le sourire de Max me manque, son soutient et sa présence aussi. Je suis heureuse d'avoir connut un garçon bien, du moins il l'était avec moi.

 

Samedi 06 Octobre 2007:

Il commence à faire vraiment froid. C'est dommage.. Le vent du matin est glacial alors qu'on sort d'un beau mois de Septembre. Je m'étais habituée à regarder les rayons du soleil traverser les nuages blanc qui couvraient le ciel bleu. Je buvais mon café sur ma terrasse tout en admirant la tête en l'air, le beau spectacle que la nature m'offrait chaque matin. Désormais je ne vois qu'un ciel gris remplit de petit nuages blanchâtres et accompagné d'un vent pétrifiant. A croire que même la nature se met à me tourner le dos...

 

Lundi 08 Octobre 2007:

Notre classe pars en classe de neige du 17 au 27 Octobre, cool ! J'vais me faire chier, de plus, impossible d'emporter mon journal, il suffirait qu'on fouille dans mon sac pour qu'une main le choppe par "pur" hasard. J'suis pas assez naïve pour l'emporter. 

Aujourd'hui, notre professeur principale nous à annoncer que Max était partit pour de bon, ce n'était pas sur car sa famille pouvait peut être trouver un arrangement mais finalement ils ont trouvé un Lycée plus près. Il vit à Lyon maintenant, son père à été muter pour son travail. J'suis vraiment dégoutée. Mais au moins, il ne prendra plus de risque à me protéger et à perdre son temps à m'accompagner. C'est bien mieux. Et pour lui, et pour moi. J'suis tombée à 3.75 de moyenne. Chaud. Mais de toute manière j'men fiche. Je vais aller fumer, il me reste un peu de weed, juste assez pour me détendre et être cool pour la soirée.

Demain il pleut. Super, et ce, toute la semaine.

 

Mardi 09 Octobre 2007

Putain. Putain. Putain. Pourquoi ? J'avais enfin la paix. J'pouvais enfin respirer et vivre comme une Lycéenne à peu près normale. Mais non, le "bonheur" (aussi minimal qu'il fut) est éphémère. Il pointe le bout de son nez et dès qu'on le remarque il s'enfuit comme un enfant pris en flag'. Pour en venir au fait, aujourd'hui, un mec sortit de nul part, m'a accosté. Enfin, "accosté". A midi, j'étais seule à ma table, je lisais un bouquin pour passer le temps, mon plateau devant moi, intact car la faim n'était pas là. Et puis le fameux mec. Il arrive tout droit de nul part, et s'assoit, à ma table, en face de moi, alors que sur ma table il n'y a absolument personne donc 8 autres places que celle en face de moi (sans compter les deux tables rondes libres). Il se met à manger, je lève le nez de mon bouquin et le regarde. Il pose sa fourchette et me dis: "Je dérange ?", je lui fais "non tu crois ?", il ricanne et me dit "Alors tant mieux, je voulais pas t'arranger justement, j'suis pas là pour faire copain-copain." Je le regarde et lui dit "ça tombe bien je t'ai jamais demander de t'assoir en face de moi pour faire "copain copain" alors soit gentil, prend tes cliques et tes claques et barre toi." Il se lève d'un coup, serre son poing et tape d'un grand coup la table. Il balance son assiette de riz par terre et me dis "arrête de faire la grande gueule un peu, tu peux faire ça avec qui tu veux, mais pas avec moi !". Par la suite on entendit un "Simon, tu fous quoi en face de cette catin ? Viens !". Il retourna la tête et jetta un "J'arrive, deux minutes!" je compris que manifestement j'avais pas finit avec ce spécimen. Il se rassit et repris son calme. Il finit par m'expliquer la "raison" de sa venue: "Tu sais, je suis le frère de Bianca, j'ai cru comprendre que vous étiez en froid. Mais de quel droit oses-tu t'acharner sur elle ? Comment peux-tu être aussi inhumaine ? L'harceler au point de lui balancer sa table de classe dessus avec des menaces écrite dessus. Et puis maline comme tu es, tu as fait croire que c'était ta table. Oh, c'est vrai. Johanna est une victime, Johanna s'en prend plein la gueule! Mais Johanna est une grosse *** qui a coincer ma soeur dans le gymnase et qui l'a tabassé au point qu'elle a un bras cassé et une entorce. Et oui Jo', c'est con mais tu n'as pas réussit ton coup, elle se souvient de tout. Et elle nous l'a raconté. Quel est ton but ?!" il se lève et m'attrape par les cheveux et me lève. Il crit "Hé! Est-ce vraiment une victime ?!" et ses deux blondes crient "Vict.. quoi ? Elle ? Hum hum, le mot salo-pe lui conviendrais mieux non ?", l'autre arriva vers moi, et me regarda d'un air mesquin en disant "tu le paieras, ouais, Max il est plus là maintenant." elle me cracha un molard dessus et elle repartit tout en emportant Simon et son plateau tout salit et renversé.  

Comment cela est-il possible ? Comment aurais-je pu faire une chose pareil ? Ma table celle de bianca ? N'importe quoi! Max peut le prouver ! Oui il le dira lui ! Ah, mais... il n'est pas là...

 

Mercredi 10 Octobre 2012:

Il pleut ce matin. Abondament. Quel dommage. Je file en cours.

Ah. Il fallait s'y attendre évidemment. Ce matin, à 8h je me fais appellé à l'acceuil, on me dit que Monsieur le principal me demande dans son bureau dans un délais du plus court. Je n'ai donc pas tarder. Il m'a interroger par rapport à Bianca. J'ai compris qu'il savait que je n'étais pas coupable. Mais dans son devoir il devait me passer un conseil de discipline car aucune preuve ne pouvait prouver le contraire. J'étais à bout. J'ai pleurer. Je lui ai dit d'appeller Max. Mais il n'a pas voulut... Je suis par la suite rentrée chez moi. Ce n'est pas croyable... Ma mère ne veut plus m'adresser la parole, elle est déçue, mais je ne peux lui dire la vérité, elle ne pourrait la croire...

 

Jeudi 11 Octobre 2012

J'ai reçut un petit mot dans mon casier ce matin:

 

"Salut ! Je sais ce que tu vis... Je vois tout depuis le début, si tu veux, on peut en parler ce soir ? Je m'appelle Anny Scotter. Je suis en Terminale L. Rendez-vous au parc du près madame, sur le banc devant le petit lac des signes. Enfin, si tu le souhaite. Je t'y attendrais vers 18h. Je ne suis pas du genre patiente alors si après 18h30 je ne te vois pas, je serais partie. 

Bye, Anny"

 

 Oh. C'est un piège ça. Mais peu m'importe ce qu'il m'attend, plus rien ne vaut la peine dans cette vie. Si quelqu'un lit ce journal, sachez que je vais dans 15 minutes au parc. Si je suis retrouvée morte, peut être que ce sera ce fameux rendez-vous ? Ou peut être un suicide ? Ahahaha...

 

Outch. Outch. Ouuuuuuuutch. Anny Scotter. Fille bel et bien réélle, ce n'était pas un piège. Anny est donc Lycéenne, mais pas ici. Pas chez moi. A Lyon. A Sainte-Marie de Lyon. Anny est une adorable fille. La première à qui j'ai put parler depuis un long moment. Elle est assez jolie d'ailleurs. Elle était coiffée d'un chignon "à la vite fait", ses cheveux sont blond clair, le soleil qui se couchait laisser des reflets luisants. Elle avait des beaux yeux verts, un petit nez et des lèvres très fine et rose. Des petites taches de rousseur sur ses joues, peu, ce qui donne un petit air assez mignon. Elle portait un jean bleu clair avec des boots marron, un manteau camel, mi-court, accompagné d'une sacoche vintage et d'un petit foulard bleu à pois blanc pour courronner le tout. C'était très élégant. Elle avait l'air assez fatiguée. D'entrée elle me sauta dessus et me dit bonsoir "Salut Johanna! Viens t'asseoir, nous avons très peu de temps, mon train repart dans trentre minutes pour Lyon, voilà pourquoi je voulais que tu te presses. Mais tu es en avance c'est GE-NIAL! Donc je suis Anny ! Enchantée!", je bredouilla un "de même..." elle enchaîna "Johanna, je sais tout. Tu ne peux pas te laisser abattre comme ça. Tu crois vraiment que ça plais à Max ? Putain mais tu vas pas te faire virer à cause de l'autre connasse ? Allô ! Réveille toi ! Max il n'en peut plus d'être à Sainte-Marie à Lyon, il ne parle que de toi, il ne dort plus à l'idée que tu te fasses marcher dessus, il a besoin de te protéger... Je le sais car je suis sa soeur... Il m'a tout raconté, du début de l'année, à maintenant, chaque soir il se plaignait de te voir subir des choses horribles alors qu'il ne pouvait rien faire. Jusqu'au jour où il s'est mis à t'aider. Ce jour là il m'a carrément appeller pour me le dire! Moi j'ai toujours été à Sainte-Marie de Lyon, ma mère y habite déjà, elle tient un commerce, mon père a dut partir à Paris et c'est pour ça que Max était ici avec toi, il a suivit mon père, mais avec sa mutation, on est à nouveau réunit. Du moins nous l'étions... Max ne supporte pas ce Lycée, les filles sont trop bling bling à son goût. Il veut revenir ici, mais il ne peut pas. Alors Johanna, si je suis venue te voir c'est que mon frère est au fond du trou, il s'inquiète! Il ne sait pas que je suis ici, et il vaut mieux. Je ne lui ai pas proposé de venir car il ne serait pas repartit. Alors s'il te plait, ne te laisse plus faire. S'il te plait." 

Je lui répondis "Oh... C'est net au moins. C'est très gentil Anny ce que tu fais, mais c'est pas si facile que ça. Je vais faire des efforts. Max m'a aidé alors je dois l'aider à se relever. Quand je pense que tu es sa soeur. Il ne m'avait jamais vraiment parler de lui. Merci pour tout Anny, bon retour."

 

 

Oui oui oui. Je sais! J'aurais dut dire d'autre chose ! Certes. Mais sur le coup j'ai pas put. Je suis encore plus triste de ne pas pouvoir aider Max. Mais de toute manière j'en serais inccapable. J'suis pas faite pour aider les gens. J'suis pas faite pour avoir des amis.

 

Vendredi 12 Octobre 2007:

W-e bonjouuuuuuuuur. J'ai reçut un coup de téléphone à ma sortie, c'était Anny. Elle me propose de passer le w-e chez elle (elle a un studio pour pouvoir travailler seule et en tranquillité). Elle m'a dit par contre que ce n'était pas très grand et que je pourrais voir Max. Je n'ai pas hésité et j'ai accepter. Elle vient me chercher à 20h pour qu'on prenne le train de 22h30. Entre temps, elle restera à la maison, maman ne m'a pas répondu quand je lui ai demander si je pouvais partir. Elle a rien dit puis j'ai dit "Alors je prend la décision seule: j'y vais". Elle m'a regarder et m'a dis "tu as un conseil de discipline car tu as maltraité une pauvre fille et toi, tu vas faire la folle, sortir dans Lyon. Tu es minable", et elle s'est levé pour mettre sa tasse dans l'évier. Mon père n'est plus là, je ne peux pas lui demander. Je ne sais pas si j'ai déjà parler de mon père, il s'est barrer quand j'avais six mois, il a prétexté avoir un déplacement, mais ce déplacement n'a pris fin que quand ma mère à reçut des papiers pour un divorce, quelques mois après, elle apprend sa mort. Suite à un déséquilibre (ma mère est persuadée qu'on la poussé) , il est tombé sur les rails peu de temps avant que le train arrive. Il ne s'est jamais relevé. Par ce fait, j'ai été élevée par ma mère, et c'est pour cela que j'ai horreur de lui faire de la peine... Maman je t'aime...  

19h45: Anny ne devrait pas tardé à arriver ! Je suis excitée à l'idée de partir loin d'ici ! Je pourrais causer deux mots à Max et lui dire de cesser de ce faire du soucis pour moi car je m'en sors très bien et que je n'ai plus aucun soucis. Oui je lui mentirais mais au moins il n'aura plus de soucis à se faire.

23h55: Dans le train, impossible de dormir, l'air de la liberté me rend trop excitée pour me calmer !!! "Young, wild and free" .

Samedi 13 Octobre 2007:

Son studio est extrêmement petit !  Je sais à peine où poser les pieds ! Mais je sors cette après-midi je pense et puis de toute manière je dois rentrer pour 16h pour voir Max, je ferais un peu de shopping !

15h55: j'ai acheter un petit pull et un ligging avec une paire de boots, je vais les mettres pour voir Max car j'ai enmené que des joggings.

17h00: Je suis... dégoutée. Putain! Mais c'est PAS possible ! Non !! Mais je vais finir par péter un cable pour de bon ! En fait, Anny ne m'a invité pour une seule raison: ce week end il y a Max qui était sur Paris, et pour pas qu'il vienne me voir elle m'a invité. En fait, elle veux qu'il pense à autre chose pour qu'il puisse reprendre une scolarité normale. Voilà. Du coup il rentre demain matin et moi je rentre demain matin aussi... C'est pas plus mal.

Lundi 14 Octobre 2007:

Le temps passe, lentement, mais il passe. Hier, j'suis rentrée bredouille. Je comprend Anny. Elle a raison et puis je vis très bien sans le voir alors autant ne pas le revoir. Aujourd'hui, j'ai pensé à me faire passer pour malade et maman m'a dit que je devais rester toute la semaine au lit pour me reposer. Cool. Et puis, elle va me faire un mot pour me "dispensé" pour la classe de neige. C'est parfait ! J'en ai profiter pour lui parler une bonne fois pour toute. Ca ne pouvait continuer ainsi. Je lui ai expliquer brievement et elle a compris que j'avais rien fait. Elle m'a serrer dans ses bras et m'a embrasser sur le front. Elle pleurait. Je lui ai dit de ne pas s'en faire, que j'étais forte et pour la rassurer je lui ai dit que ce n'était que des petits ennuis et que tout aller bien. Le conseil de classe s'est d'ailleur très bien dérouler, je n'ai eut aucun sanction suite à un témoignage de Max. Même sans me voir, il me sauve toujours la mise.

Mercredi 16 Octobre 2007:

Cette après-midi, j'suis aller voir Chloé. J'y suis rester deux bonne heures. J'ai attrapé froid mais je suis resté auprès d'elle. J'me suis mise à lui parler, à voix haute, comme si elle était assise par terre, sur mon tapis, comme autrefois. Je me suis allongé sur sa tombe humide et je me suis endormis. Le bruits du grand portail m'a sortit de cet assoupissement, il y avait un petit grand père, un bouquet de 6 roses blanches à la main qui était là. Il se dirigeait vers une tombe lui aussi. Il avait l'air triste et faible. Une fois arrivé à la tombe, il a sourit, il s'est assis sur une chaise qui était tout près et à commencer à parler. Il s'agissait de sa femme morte deux ans plus tôt. Je ne me souviens pas de tout mais il disait des choses du genre "la vie a fait que tu m'as quitter, mais je ne t'oublie pas. Quand tu es partie, tu m'as fait promettre de trouver quelqu'un d'autre et je t'ai promis pour que tu puisses t'en aller heureuse. Mais j'ai mentit. Je t'ai mentit. Je ne pourrais jamais Rose. Jamais. Tu es la seule que mon coeur aime. Deux ans que tu n'es plus là et pourtant mon coeur bât toujours autant pour toi que lorsque je t'ai vu la première fois" il a dit plein de truc, mais je me souviens que de ces paroles. C'était beau.. Je me disais, que c'était un homme bien ce petit vieux, vraiment bien. J'ai voulut partir pour le laisser seul, mais quand je m'appréter à partir, j'ai vu une rose blanche à mes pieds, j'ai pensé à ne pas le lui dire, mais après avoir entendu ces paroles, je ne pouvais faire l'égoïste. Alors je l'ai ramasser, et je lui ai amené. Il m'a regardait avec des yeux brillant, émerveillés. Il était heureux, il m'a sourit et m'a dit "Merci". Il a dit une dernière parole à sa femme avant de poser cette rose sur sa tombe et partir, ce fut "Je t'aime". Je suis partie, les larmes aux yeux. Cet homme m'a marqué. Vraiment.

Vendredi 18 Octobre 2007:

Vacances. Les autres sont en classe de neige, et comme je n'y vais pas, je ne compte pas me coltiner une semaine de permanence. Je repense à ce grand-père. Il était amoureux. Un vrai homme. Je le respecte.

 

Samedi 19 Octobre 2007:

Je pense aller en ville. Prendre l'air me fera du bien. Oui, j'en ai besoin. Ecouteurs dans les oreilles, sac en main. Je m'aprête à sortir, je pense que c'est une bonne idée. 

Ma mère m'a proposer d'aller en vacances à Sète pendant 1 semaine. Je laisserai donc mon journal ici. Bye bye.

 

Samedi 26 Octobre 2007:

Semaine banale. Sans haut ni bas. Ca m'a fait du bien de partir d'ici. J'ai pensé à Chloé. J'aurais aimé passer mes vacances avec elles. A rire de tout et de rien. De faire des photos, de faire des mauvais coups. Faire de la cuisine ou critiquer les passants. Oui, tout ce que l'on aurait fait en temps normal. Chloé tu me manque tellement. La vie n'est plus pareil sans toi. Vraiment. Elle est totalement différente je dirais. J'ai acheter un pull montagne un peu. J'ai acheté un gilet bleu marine pour Chloé. J'irais lui poser demain matin sur sa tombe. J'espère qu'on ne le volera pas...

 

Dimanche 27 Octobre 2007:

Il pleut. Génial. J'aime ce temps de me-rde.. (ironie) Aller je file.

Si c'est pas incroyable. Je suis heureuse, j'ai pleurer. De joie. Cette sensation. Oh.. elle m'avait manquée... Voilà ce qu'il s'est passer: Je me dirigeais donc vers le cimetière. La pluie était vraiment forte. Une fois arrivée je me dirige vers la tombe, le gilet à la main et m'accroupit devant. Je le dépose délicatement et vois la pluie s'imbiber dedans. En moins de deux minutes il était trempé. Je dépose un *** dessus et commence à raconter mon voyage à Sète à Chloé. Je parle quand soudain une main sur mon épaule. Je me retourne et là, mes yeux se mettent à briller. Max. Il était là. Derrière moi. Sans rien dire. Je ne dis rien non plus. Il dit "continue. Je t'attend devant". Je finis de raconter mon voyage, carresse la tombe et commence à rejoindre Max. Il sort son parapluie et nous abrite tout les deux de la pluie. Encore un long silence. Il me dit "Comment tu vas ?" je dis "Bien." il hésite et dit "je pense revenir.", je le regarde stupéfaite "Pardon ?", il me regarde et sourit "oui, je pense sérieusement revenir. Je suis trop préocupé là-bas pour travailler. Après ce à quoi j'ai pu assister quand j'étais avec toi, la méchanceté de ces filles envers toi, je ne peux te laisser seule. Elles pourraient te tuer, je ne les laisserai pas faire. Je pense vraiment revenir." Je ne savais que dire, vraiment. J'ai bégayer et finis par dire "Ne t'en fais pas, j'ai fait sans toi au début, je peux finir sans aussi." Il me regarda, s'arrêta, posa son parapluie à terre et me serra dans ses bras. Il ne dit rien, me garda dans ses bras pendant deux bonne minutes. Je passa mes bras autour de son dos et me mis à pleurer. Je lui dis "Reviens, j'peux te dire ce que tu veux comme quoi je m'en fiche, je le pense pas. Depuis ton départ, je me sens seule. J'ai besoin de toi je crois.." Il me regarde et me dépose un *** sur la joue. Il commence à s'éloigner, je cours, je cours plus vite encore et cris "Max !? Où vas-tu ? Reviens" il me dit "Mon train ne vas pas tarder. Je reviendrais, je t'en fait la promesse Johanna". Je repartis chez moi. J'ai vu Max. Voilà ce qu'il vient de se passer. "Je reviendrais" il me l'a dit. 

 

Dimance 28 Octobre 2007

Je ne tiens plus en place, la joie m'envahit de partout. Max revient, il revient ! Il va revenir ! Mais quoi de mieux ? J'espère qu'il sera là avant la rentrée. Suis-je folle ? Pourquoi suis-je si heureuse de le revoir ? Moi qui ne pouvait le voir avant... Comme quoi, on juge toujours sans connaître. Et on juge mal en plus. 

 

Lundi 5 Novembre 2007:

Toujours aucune nouvelle de son "retour". Dans deux jours c'est la rentrée... Je commence à perdre espoir. Peut être que finalement il ne peut pas revenir. Ou alors il revient pile le jour de la rentrée. Je place mes derniers espoirs dans Mercredi...


Mercredi 7 Novembre 2007:

Ouuuuuuuuuuuuuuuuui ! C'est juste énormissime. Je suis tellement heureuse. Non, Max n'est pas revenu, en revanche, notre professeur principal nous a annoncer qu'il serait de retour très prochainement, temps qu'il fasse ses affaires, clos le dossier de son ancien Lycée et c'est repartit. J'ai eut un léger sourir lorsqu'il a annoncer "Max reviendra dans ce lycée car il a du mal à s'adapter dans l'autre" Hahaha.. Si vous saviez pourquoi les filles, vous me regarderiez avec un regard bien méchant. J'en ris déjà.

 

Jeudi 8 Novembre 2007:

J'ai du parler ou penser trop vite. Je pensais que tout était terminé, finit, enterré. Comme quoi, il n'y a que les imbéciles pour continuer et jamais s'arrêter. A peine rentrée, Bianca est arrivée vers moi en me poussant. Evidemment, ça a attirer la foule. Tous encerclé de nous deux, attendant certainement une bagarre, les gens suivaient nos moindre fait et gestes. Bianca me lança une:

-Pauvre fille ! Comment OSES-TU te ramener ici ? COMMENT !? Mon frère ne t'a pas servit de leçon ? Après m'avoir tabassée, enfermée dans un gymnase tu reviens en m'envoyant un petit mot disant "Crève" ? Tu n'es qu'une pauvre fille. T'es inhumaine de faire du mal aux gens comme ça ! Sans compter les trois filles qui m'attandaient au bout de la rue pour me tabasser !

Ensuite, suivit un gros "OOOOOH" par le "public". Puis, les trois filles qui m'ont tabasser sont venu me voir, se sont mise devant moi et ont dit:

Sarah: Bianca ! Tu te sens bien ? Johanna ne nous la pas demander, mais en tant que meilleure amie on s'aide. Vous étiez en froid non ? Tu as eut ce que tu méritais. Johanna est intelligente et elle te fera souffrir encore longtemps.

Inès: Johanna, tu vas bien ? Nous serons toujours là pour toi tu le sais.

 

J'ai cru rêver, c'était quoi ce manège ? Non mais sérieusement ? Elles essayaient de me faire porter le chapeau ? De dire des choses qu'ELLES m'ont fait ? J'ai poussé Inès et j'ai crier:

- Mais comment vous pouvez dire des choses pareilles !? Quand allez vous arrêtez ? Quand ? Que ce soit Inès, Sarah Bianca ou autre con-nasse de votre groupe ! STOP ! STOP STOP! S'il vous plaît arrêtez je n'en peux plus... Je ne vous ai rien demander. Retourner ensemble, votre manège ne marche pas avec moi.

Inès: Johanna, tu es sérieuse ? Après tout ce qu'on t'a fait tu fais comme si de rien était ? Tu me déçois.

 

Je me suis ensuite demander si elles n'étaient pas de bonnes comédienne ? Personne ne m'a cru. Personne. Inès s'est faite pleurer (quel talent!) et est partie en courant, comme si je l'avais blessée. C'est complétement fou tout ça. La journée fut lourde, les gens me regardaient méchamment comme si j'étais la fille la plus cruelle qu'il puisse exister. J'étais mal mais bon de toute manière, dans ce Lycée on ne peut compter que sur soit même. Les gens sont si naïf, ça fait peur.

 


 

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 (Pour les débiles qui n'ont pas compris: ce Copyright c'est moi qui l'ai ajouter pour pas qu'on vole mon livre.) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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