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A

Décharge corporelle

sevreuse, sauteuse, soutien moral 

"l'as de trèfle qui pique ton coeur, Caro."

 

 

L'échec de la réussite, la rechute sociale, la fin du nouveau monde, l'échec, la rechute, la fin. J'y replongerais. Les griffes de l'Enfer me torturent, les nuits me crient de continuer, mon Âme me supplie d'arrêter. Je m'abandonne encore, je vagabonde. Je me sers de ma vue, je cherche un sortie, mais je ne vois que mon esprit. Rien de tout ça n'est réel, ce n'est que spirituel, en perpétuelle quête de compréhension. La famine sur la peau, c'est la défaite. J'ai laissé mon honneur sur le ring. E HAM NOI. Je crois, que je n'entends plus la réalité. Je n'entends plus rien. Je suis sourd et muet, et je me tue à la recherche d'un si grand plaisir. J'en meurs, mutilation cérébrale. J'ai le cerveau qui me démange, et je voudrais m'anésthésier la douleur du coeur. Me boucher les veines et les artères. Je m'abandonne encore. Je ne suis plus du même monde, je suis mort.


 

 

Ange noir, embrasse-moi et emporte-moi de tes sombres ailes démoniaques, fait-moi pleurer le charbon sur ces natures. Je voulais partager ce sentiment, et tu m'as remballer si gentiment. J'en pleure lentement, et je me demande pourquoi maintenant j'ai mal. J'ai si mal, j'ignorais qu'une telle douleur pouvait exister. Avant toi, j'errais sur Terre, à la recherche d'un apaisement. Avant, nous étions insensible. Puis, tu as connu le bonheur, la douleur. Ce n'est pas un luxe que je me permets d'avoir, et pourtant, maintenant, c'est fini. C'est fini et j'ai mal. J'ai mal, mais qu'importe. Les sentiments ont refait surface, et je meurs à nouveau. Rupture amicale. C'est toujours la plus douloureuse, car elle m'empoisonne. Je ne le supporte plus, et tu ne le supportais pas. Les fardaux sont les plus insupportables tant qu'on les aime, adorables. Sur mes joues coulent des larmes de grande douleur. Je me morfonds dans mon cauchemard, je me noie, dans une marre de larme et de sang. 

 

 

 

On se serait sh.o.oté à la vitamine C, si ça avait été interdit.


Mais l'bon temps pouvait pas durer. Alysson avait dû hurler toute la journée. Mais j'avais pas vraiment percuté. Elle aurait hurlé depuis une semaine, ça aurait été pareil. Ca faisait des jours et des jours que j'avais entendu personne. Pourtant, y en avait bien un qui avait dû parler pendant tout ce temps. C'était obligé.

 

Il pouvait pas être plus loin de la vérité. En réalité, ça irait plus du tout. Tout irait très mal, au contraire, très mal. J'veux dire... tout irait encore plus mal.

 

J'aurais voulu trouver quelque chose à dire. Quelque chose de réconfortant. Quelque chose d'humain.

 

Tu parles qu'elle en avait besoin. Ca, je pouvais le comprendre, pour évacuer la douleur.

 

J'étais là, entouré de ma famille et de mes soi-disant potes, et je m'étais jamais senti aussi seul.

 

C'est facile d'être philosophe quand t'as pas l'sang qui pourrit. 

 

Bees

 

 

 

 

Ton Âme part s'empart du ciel, et tu pourris, au fond de ce trou. Bon voyage.

Flore, la fleur de mon désespoire.


 

https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/c1/f5/95/c1f595fa4af823a341e75737a1a23870.jpg

 

Arantzazu Martinez, La muerte del amor

 

 

Je marchais dans la rue, sur le trottoire. Les pierres étaient drôlement belles, mais si sales, que je ne les reconnaissais à peine. elles étaients grises claires, presque blanches. Puis, j'ai tourné la tête, et le bâtiment s'est écroulé, les vielles pierres s'entrechoquaient puis s'écrasaient sur le sol. Les lourds murs applatissaient les voitures garées autours. Je n'étais pas si loin, juste à coté, on aurait pu voir ce que je voyais dans le reflet de mes yeux. Les vitraux éclataient et ne représentaient plus qu'un art abstrait, mais coloré. La construction en cuivre se trouvait cabossée et émettait d'horribles sons déformés dans les rues alentours. Le mobilier d'intérieur se voyait lui aussi détruit par les colonnes et le toit qui s'écroulait en fonction de l'anéhantissement des fondations. Enfin, je suis revenu à la réalité, et je me suis dis que c'était une jolie église romane.

 


J'étais allongé là, dans cette baignoire. je m'éforçais à rester de coté, pour ne pas m'étouffer. j'avais beau résister, mon Âme s'était égarée, et n'était pas prête de revenir. J'essayais de survivre, je me sens monstreusement puissant. Je réaliserais plus tard que ma veine, et mon bras ton entier, me fesait terriblement souffrir. Soulagé, appaisé, réconforté, les yeux vagabonds, l'esprit ailleurs, mon corps mort, immobilisé, souffrance du plaisir, soulagment, profond soulagement, triste bonheur égoïste, appelant l'Ange noir, traitre, terribles spasmes, épilepsie, mon coeur bat comme une batterie. Il va exploser. Très profond soulagement, j'ai enfin retrouvé la quiétude.

 


 

nous allons tous crever. ça me rend heureux de savoir, que vous aussi allez mourir, piégez entre la nuit et les cauchemars .

Wahou,  j'ai peur, ne me laissez pas tout seul dans le noir. 

 

 

It'll kill me, but I love it.

Maintenant, il y a quelqu'un entre les secrets qu'on a passé sous silence, et notre sommeil

 

 

Le temps immobile

 

 

Honey

 

 

Je ne pratique pas la Santeria,

 quoi dans ma tête ?!

qui a mélangé mes médicaments ..?

je peux aller avec le flow

 

 

 


9

Noëllie

 

"Cette fois, c'est le moment d'ouvrir une deuxième paranthèse et de décrire les sentiments de personnages.

Arthur regarde sans arrêt ses pieds, mais il pense à la bouche d'Odile, à ses baïsers romantiques. 

Odile se demande si les deux garçons remarquaient ses deux seins qui remuent à chaque pas sous son chandail. 

Franz pense à tout et à rien. Il ne sait pas si c'est le monde qui est en train de devenir rêve, ou le rêve monde"

Bande à part

A

Décharge corporelle

sevreuse, sauveuse, soutien moral 

 

Je marchais dans la rue, sur le trottoire. Les pierres étaient drôlement belles, mais si sales, que je ne les reconnaissais à peine. elles étaients grises claires, presque blanches. Puis, j'ai tourné la tête, et le bâtiment s'est écroulé, les vielles pierres s'entrechoquaient puis s'écrasaient sur le sol. Les lourds murs applatissaient les voitures garées autours. Je n'étais pas si loin, juste à coté, on aurait pu voir ce que je voyais dans le reflet de mes yeux. Les vitraux éclataient et ne représentaient plus qu'un art abstrait, mais coloré. La construction en cuivre se trouvait cabossée et émettait d'horribles sons déformés dans les rues alentours. Le mobilier d'intérieur se voyait lui aussi détruit par les colonnes et le toit qui s'écroulait en fonction de l'anéhantissement des fondations. Enfin, je suis revenu à la réalité, et je me suis dis que c'était une jolie église romane.


 

 

Ange noir, embrasse-moi et emporte-moi de tes sombres ailes démoniaques, fait-moi pleurer le charbon sur ces natures. Je voulais partager ce sentiment, et tu m'as remballer si gentiment. J'en pleure lentement, et je me demande pourquoi maintenant j'ai mal. J'ai si mal, j'ignorais qu'une telle douleur pouvait exister. Avant toi, j'errais sur Terre, à la recherche d'un apaisement. Avant, nous étions insensible. Puis, tu as connu le bonheur, la douleur. Ce n'est pas un luxe que je me permets d'avoir, et pourtant, maintenant, c'est fini. C'est fini et j'ai mal. J'ai mal, mais qu'importe. Les sentiments ont refait surface, et je meurs à nouveau. Rupture amicale. C'est toujours la plus douloureuse, car elle m'empoisonne. Je ne le supporte plus, et tu ne le supportais pas. Les fardaux sont les plus insupportables tant qu'on les aime, adorables. Sur mes joues coulent des larmes de grande douleur. Je me morfonds dans mon cauchemard, je me noie, dans une marre de larme et de sang. 

 

 

https://img15.hostingpics.net/pics/718916IMG058.jpg

 

L'échec de la réussite, la rechute sociale, la fin du nouveau monde, l'échec, la rechute, la fin. J'y replongerais. Les griffes de l'Enfer me torturent, les nuits me crient de continuer, mon Âme me supplie d'arrêter. Je m'abandonne encore, je vagabonde. Je me sers de ma vue, je cherche un sortie, mais je ne vois que mon esprit. Rien de tout ça n'est réel, ce n'est que spirituel, en perpétuelle quête de compréhension. La famine sur la peau, c'est la défaite. J'ai laissé mon honneur sur le ring. E HAM NOI. Je crois, que je n'entends plus la réalité. Je n'entends plus rien. Je suis sourd et muet, et je me tue à la recherche d'un si grand plaisir. J'en meurs, mutilation cérébrale. J'ai le cerveau qui me démange, et je voudrais m'anésthésier la douleur du coeur. Me boucher les veines et les artères. Je m'abandonne encore. Je ne suis plus du même monde, je suis mort.

 

Bees

 

https://img15.hostingpics.net/pics/684847IMG059.jpg

 

 

Ton Âme part s'empart du ciel, et tu pourris, au fond de ce trou. Bon voyage.

Flore, la fleur de mon désespoire.


 

https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/c1/f5/95/c1f595fa4af823a341e75737a1a23870.jpg

 

Arantzazu Martinez, La muerte del amor

 

 

J'étais allongé là, dans cette baignoire. je m'éforçais à rester de coté, pour ne pas m'étouffer. j'avais beau résister, mon Âme s'était égarée, et n'était pas prête de revenir. J'essayais de survivre, je me sens monstreusement puissant. Je réaliserais plus tard que ma veine, et mon bras ton entier, me fesait terriblement souffrir. Soulagé, appaisé, réconforté, les yeux vagabonds, l'esprit ailleurs, mon corps mort, immobilisé, souffrance du plaisir, soulagment, profond soulagement, triste bonheur égoïste, appelant l'Ange noir, traitre, terribles spasmes, épilepsie, mon coeur bat comme une batterie. Il va exploser. Très profond soulagement, j'ai enfin retrouvé la quiétude.

 

 

 

Le temps immobile

 

 

Je m'étais retrouvé. je suis reparti, tu m'as trouvé quand je me suis abandonné. je ne sais toujours pas pourquoi tu m'as accompagné, nous nous sommes laissé; toi, première lettre de l'alphabet. Alpha, alpha beta, tu es bête, moi aussi, petit, très petit, tout petit...

 

 

 

 

Quel temps j'ai mis... quel temps nous mettons, à comprendre, à accepter. Nous nous cachons de tout, de toi, petite première lettre de l'alphabet. enfin, moi, je me cache de toi, je me cachais. Et au final, prendre la vérité, comme elle vient, nous rend pire. Nous nous cachons toujours plus, plus souvent, plus longtemps, pour toute notre misérable vie, on se cache, pour prendre les choses au loin, les voir partir, mais ce ne sont pas les choses qui partent. J'ai choisi de ne pas choisir la vie, j'ai choisi autre chose, j'ai choisi mieux. Et même pendant la mort, tu m'as donné la vie, petite créature des bois, affamée de sang, de faiblesse, de désespoir.

 

 

Honey

 

 

Je ne pratique pas la Santeria,

 quoi dans ma tête ?!

qui a mélangé mes médicaments ..?

je peux aller avec le flow.

 

 

A quand ? Ce soir, demain, maintenant, plus tard. Un jour, mais tôt, vite. Je suis un punk, avec un cerveau, pas un grunge de maintenant, le grunge est mort, je suis mort, mon Âme est morte, elle a trop subit. Je subis, je subis la vie, je subis tout. J'ai une bouteille en verre, avec de la cire de bougie. Verte, blanche, rose. Et ça sent bon, ça sent toi, quand tu pleures. Ca sent moi, dans mes sombres heures, quand il est tard, tétard. Achevez-moi, j'en ai les larmes aux yeux, tellement je suis faussement heureux. Comment faire quand rien n'arrange l'état présent ? J'ai envie d'attendre, d'attendre l'Ange noir. 

 

 

 

Ca ressemble étrangement à du Norah Jones.

 

 

 

C'est toujours le soir, que ça arrive, que ça revient. Qu'est-ce que c'était agréable. Ne vois-tu donc pas, ces larmes coulantes sur moi ? Ne remarquerais-tu pas la tristesse sur mon visage, la peine dans mon coeur, la solitude dans mon Âme ? Mais je me sens si bien que j'en ai des spasmes cardiaques, j'ai le coeur qui palpite, j'ai l'Âme en bauxite, les larmes anthracites.

 

 

 

Si vous aviez vu ses yeux. Ses yeux d'un bleu si vert qu'ils ne s'abaissaient pas à si peu. Dans ses yeux s'y trouvait un ouragan, dont le ciel gris oppressait le sol et affaissait les arbres. Cet ouragan de chaleur, cette fièvre contagieuse qui embrase encore mon Âme. Si vous aviez vu ses yeux... Ses yeux qui fixent au loin, qui s'ennuient et qui se perdent. Quand je regardais ses yeux, je ressentais sa colère pour les substances leibniziennes. J'y voyais un ouragan terrible de rage et d'amour... Si vous aviez vu ses yeux... j'aurais cru mourir quand ils se posaient sur moi. J'aurais voulu mourir aussi, un instant. Je défis l'ange, sans arrêt, pour retrouver ce regard. Si seulement vous aviez vu ses yeux... Et ses larmes, si vous aviez vu ses larmes. Je pensais à du crystal, on aurait dit des perles de pluie, ses larmes. Si vous aviez vu ses yeux, ils traduisaient la fatigue du combat. Si vous aviez vu ses yeux, si vous aviez vu ses yeux passionnés. Si vous aviez vu ses yeux. Ils ne se trahissaient plus, ils finissaient par avoir la même expression. Ses yeux ne révélaient aucun secret, et grâce à eux, je me sentais flotter et disparaître. Ils m'avaient offert le voyage onirique dont j'avais toujours rêvé. Si seulement vous aviez vu ses yeux attendrissants, amoureux.


 

Ce matin, je me suis réveillé sur un matelas, dans un endroit que je ne connais pas, ma ceinture autour du bras, une seringue à coté de moi, des spasmes dans le pied droit. A droite l'odeur de Clémence, à gauche, celle de Clara, et au milieu, rien de plus qu'un remugle de pourriture. Alors si je ne t'aime pas, c'est au moins que tu me plaîs énormément, car quand tu me dis que tu m'aimes, je sens mon sang s'agiter plus vite que le train. Les faibles d'esprits me dégoutent.

 

 

JIHANE. Sèche tes larmes !

NAWAL. C'est toi qui pleures ! 

JIHANE. Ce n'est pas moi qui pleure, c'es toute ta vie qui coule ! Tu reviens de loins, Nawal, tu reviens avec ton ventre souillé, et tu te tiens droite devant moi, pour me dire, là, avec ton corps d'enfant : j'aime et j'ai mon amour entier dans mon ventre. Tu reviens de la forêt et tu dis que c'est moi qui pleure. Crois-moi, Nawal, cet enfant n'existe pas. Tu vas l'oublier.

NAWAL. On n'oublie pas son ventre !

JIHANE. On oublie. 

 

 

J

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