Supertramp,

let's play music !

Et dire que quand je t'ai posé la question, tu m'as répondu:

"Eh bien, d'abord simplement pour moi-même, puis pour les autres, et pour l'argent ensuite..."

"On ne se rappelle pas très bien de comment tout cela à commencer, mais on se souvient très bien de comment tout cela à fini..."

Mon nom à moi c'est Benny B., Oui tu l'as deviné :
Comme toi je veux la justice, j'essaye de défendre mes droits;
Partout où tu vois la foule, c'est qu'on parle de moi !
Je descends des quartiers soit disant mal fréquentés
Où la P.J y passe les trois-quarts de la journée.
Mais j'en ai marre de tout ça
Jen ai marre de cette vie là
Et pour sortir de cette impasse, je ferais nimporte quoi !

(MAIS VOUS ÊTES FOUS ? OH OUI !)

Merde, quand je vois dans la rue tous ces jeunes qui errent
Qui restent là à ne rien ***, moi je crie colère
Car tous ces farceurs ne savent pas quil reste encore une chance
Ils n'en n'ont rien à cirer, pour eux ça na pas d'importance
Mais je ne suis pas comme eux, je veux me défoncer
Je ferai tout ce que je peux pour que ça puisse marcher
Montrer à tous ces bailleurs que le monde est beau
Quune fois que c'est parti, tu te sens le plus fort !

(MAIS VOUS ÊTES FOUS ? OH OUI)

(...)

Mon nom à moi, c'est Benny B. Le b.boy le plus tendre,
Je chante ma chanson à qui veut bien l'entendre
Je trouve de nouveaux beats, de nouveaux tubes étonnants
Et crois-moi bien, d'ici peu, je serai le plus grand
Car je ne suis pas comme eux, je veux me défoncer
Je ferai tout cque je peux pour que ça puisse marcher
Montrer à tous ces bailleurs que le monde est beau
Quune fois que cest parti, tu te sens le plus fort !
Oui à tous ces bailleurs que le monde est beau
Quune fois que cest parti, tu te sens le plus fort !

YO...!

~Sache-le, toi qui liras ceci, que la plus belle des princesses, c'est toi !~

Si seulement je m'appelais Myriam.

J'aurais des yeux noirs et profonds, grands, étranges, et cernés.

Des longs cheveux noirs raides et fins, en masse considérable.

Je m'in***rais la vie d'un double en garçon. Et chaque semaine j'en changerais de prénom.

Je serais grande, pas spécialement svelte, plutôt bien prise et bien en chair.

Une taille légèrement cambrée, une démarche élégante.

Je porterais des vêtements cintrés, des vestes, des tenues retenues...

Des bijoux partout.

Je lirais des poèmes et je boirais souvent du thé à la menthe, plutôt sucré d'abord, peut-être plus amer ensuite.

Je dirais peu de choses, je passerais mon temps à réfléchir, à me poser des questions, mais surtout à y répondre.

Je ne serais pas forcément forte en cours. Je fumerais peut-être un peu d'opium, toute seule. Je trainerais dans les couloirs du lycée avec une cigarette électron.ique à la main, bien que je sois fo.rmellement contre le principe.

J'étudierais les Volcaloids. J'analyserais Baudelaire.

Puis Nikita s'occuperait de faire la fête pour moi.

Le soir je me traverstirais. C'est alors Nikita que je deviendrais.

Mon teint changerait, à la lumière des réverbères pâles. Peut-être deviendrais-je blond.

Je danserais toute seule.

Je ferais des erreurs. Sans aucun doute.

Je plaisanterais souvent, mais sans trop d'idiotie.

En fait, s'appeler Myriam, ce serait tout un rêve.

J'oserais parler à des gens que je ne connais pas. Peut-être...

Mais Myriam n'est pas moi. Je ne suis pas elle. ça ne sert à rien de se calquer sur ça.

La fantasme. La fantômatique. L'enfant...

Tout ça pour être aimer...

XXX

Mon grand père veut que je l'aide à mettre son dentier ? Il m'embête, je le remballe et m'enfuis.

Vous me faîtes tous chi.er. Avec vous, je m'ennuie.

Allez, hop, les cours sont finis de toutes façons, et puisque mes parents sont morts, je n'ai plus personne à qui obéir !

Et toi, Joachim, mon frère, tu te crois plus fort, plus sage que moi parce que t'es plus grand ? Depuis tout le temps que je te vois faire tes co.nneries en douce !

(inspiré par Died O")

J'ai besoin de sommeil... Il paraît qu'il faut se battre le plus possible dans ses moments là...

Rêve de la réalité, ça te fera un peu pl

Un drogué peut promettre d'arrêter, "sincérement", mais ne peux pas arrêter vraiment.

Tu ne peux pas avoir la tour Eiffel et tous les champs Elysées, hein.

T'AS BIEN RAISON. VIS TA VIE, CASSE-TOI, ET OUBLIE-MOI LOIN. LES VIRUS N'ONT JAMAIS SERVIS QU'A CONTAMINER LA SOCIETE, CE SONT DES VERMINES DE MALHEUR QUI N'ONT PAS DE RAISON D'EXISTER.

Vermine. Voilà comme je me qualifierais au premier abord.

Après tout, je suis bien inutile. Et je n'apporte généralement que très peu de bonnes choses aux gens proches de moi, loins de moi, et à moi-même. Mais comme je persiste à croire qu'il y a pire, alors le mieux serait de m'éliminer :) (Alan)

Zoé, qu'est-ce que t'es ? Pour qui tu me prends ? Je ne comprends pas.

Des paroles. Des paroles, des paroles. Et c'est tout...

Ca parait simple dit comme ça. C'est simple. La solution, par contre, je la vois pas. JE NE LA VOIS PAS, MXRDE.

Je croyais ne pas être qu'une option. Mais puis de toutes façons, je suis ton essentiel, n'est-ce pas ? SPIRITUEL comme tu dis.

SPIRITUEL...

TOUT EST SPIRITUEL.

SPIRITUEL. SPIRITUEL.

Moi je veux juste quelqu'un auprès de qui rester, ne rien faire, regarder, puis parler aussi, en y pensant. C'est tout.

J'en ai marre. Je me confonds.... Il ne faut pas... que je craque ^^' 

Adieux principes, adieux valeurs, adieux souvenirs, adieux tous. Nous nous reverrons là-bas, à Dieu.

En général, les gens s'écrasent ou finissent par rentrer dans le système, les autres s'appellent soit des imbéciles heureux, soit des malheureux c.ns :D

Marre de ce sourire à deux balles, si tu continues, je prend la première pour te la tirer sur ce stupide esquissement des lèvres, et comme ça ne suffira pas, je prendrais la deuxième pour enfin faire sourire le mien.

Quand on a répété à un enfant pendant toute son enfance que lorsqu'il était embêté, la meilleure solution était l'ignorance, comment voulez-vous qu'il se défende par la suite ?

Dans le royaume de Quïnn, les toiles d'araignées tombent du ciel comme des milliers de petits flocons de neige tissés :

s'il n'est pas traumatisé, il est idiot et stupide !

"Ils lui ont dit que tous les gens auxquels il faisait confiance n'en valaient pas la peine. Il perdit toute confiance envers les autres, et puisque sa personnalité n'était que le reflet de l'influence de ses amis, il perdit aussi toute confiance en lui.

-C.nnard, c'est pas l'heure de ta thérapie !"

J'aimerais tellement en revenir à ma première fois. Tout recommencer, avoir tout oublier. Avoir de nouveau cette envie soudaine, cette passion folle, de découvrir des choses belles, d'écouter les mises en gardes, et de me préparer à ce doux moment.

J'aimerais tellement en revenir à avant. On se sent toujours mieux quand on est inconscient. Le réveil fait trop mal. Je me suis fait trop mal. Et j'ai fait exprès. Pourquoi ?

Aucune idée. Tout ce que je me dis, c'est que je voulais. Je voulais voir, savoir, connaître, apprendre, tout de suite, là, vite, les réponses, les questions, les doutes... Il y en a eut d'autant plus lorsque j'avais satisfait ma frustration.

Est-ce que tout le monde était comme ça ? Est-ce que le monde est aussi mo.che que ça ?

Comme je regrette, vraiment, cette première fois. Je l'ai gâché, y a plus de cartouche à écouler, maintenant.

Et plus rien ne pourra combler de vide cette immense décharge. Ce serait comme posséder une gomme magique pour pouvoir tout effacer, impossible et trop niais.

J'ai souvent méditer ma vengeance, mais finalement, ça ne sert à rien de faire subir aux autres ce qu'on a soi-même subi. C'est drôle et jouissif au début, à la fin ça devient très ennuyant.

On m'avait bien dit, pourtant, de ne jamais me tirer une balle dans la tête. Que ça me porterait malheur et que je n'allais pas aimer ça. C'est vrai. J'ai vraiment détesté savoir que quoique je fasse, je serais condamné à rester sur Terre.

Il parait que Docteur Myriam exécutait ses patients.

without you, Y'akoto

Ca n'a rien à voir : c'est de l'art  ! :D

Il y a deux sortes de gens ch.iants:

les épuisants, et les épuisés.

Un nuage noir flottait au-dessus de sa tête, de gribouilli d'encre noire des brouillons qu'il avait essayé d'écrire. C'était un carnage com me dans son esprit, qui à partir du papier, s'était matérialiser pour venir l'embêter toujours au-dessus de lui. Laissant son visage plongé dans une éternelle ténébreuse ombre. Et de ce nuage de malheurs indissociable du misérable, des toiles d'araignée, semblable à des jets de dentelle blanche, lui couvrait la tête. Faisant de lui un fantôme pâle et sombre à la fois. Une sorte de chimère de la Dame Blanche, en Cavalier Mat.

De part et d'autres tombaient des plumes noires.

Des sortes de poussières à l'odeur de cramé. Un peu comme des cendres.

Et sous sa frange pareillement noire, peut-être un peu poivre et sel aussi, il distinguait à peine les ombres de ses propres cheveux.

Les filets tissés tout autour de son visage, blanchâtre et soyeux, d'un long tissu au méticuleux ouvrage, était un piège, une cage d'osier qui enfermait sa tête et tout son esprit.

Un trait blanc, comme une tâche soudaine, rapide, comme un trait tiré dans le noir, vint me tirer de ma rêverie.

Il avait déjà disparu, aussi vite qu'il était apparu, englobé par les voûtes grises du ciel.