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Doll de Dark-Boy-like-you


 

Juste pour le plaisir d'écrire.




 

Chapitre 1 : La disparition.

 



 

 

" Où es-tu ? Grand-frère… "

Cette même phrase qui résonnait comme un écho dans mon esprit. Cette même phrase que je répétais sans cesse en espérant entendre une réponse, une seule… la sienne. Où était-il ? Que faisait-il ? Je n’en n’avais pas la moindre idée. La seule chose que je savais, c’est qu’il s’appelait Zack. Mon grand-frère, lorsqu’il fût porter disparu depuis mes cinq années de naissance. Ce lieu qui me parut familier. Tout près d’une rivière, un château, un chemin, un arbre. Un arbre dont seuls les sorciers et sorcières ont maintenant. Les moldus – aussi misérables peuvent-ils être - n’en possède pas car la magie ne les atteignent pas. Cet arbre où les feuilles se teintées d’un rose pastel lorsque venait la saison de Mai. Et cette tenue… une petite robe blanche, à manche bouffantes. De la dentelle par-ci, par-là, avec un nœud assez gros à la taille, qui était caché dans le dos par mes longs et ondulés cheveux noirs comme l’obscurité de mon cœur. Mes yeux sont comme ceux d’une poupée comme dit Papa, ils sont différents. Ils ne se ressemblent pas. L’un est bleu, l’autre d’un gris clair, presque blanc. Ma peau est aussi blanche que la neige, et j’ai dans la main, cette poupée. Une poupée de chiffon, comme dit Maman, qui me ressemble beaucoup. Maman dit que je suis bizarre. Et il n’y a que grand-frère qui me traite comme la petite sœur que je suis. Avec lui je rigole beaucoup. Je sourie. Je suis heureuse.

            Un soir de Décembre, j’étais dans la forêt avec lui. Ce même endroit, près de la rivière. Mais la rivière était bizarre aujourd’hui. Comme si elle n’était pas joyeuse. Comme si elle avait peur. Elle tremblée comme une enfant. Ce jour-là, je n’avais pas très bien compris pourquoi Papa et Maman étaient sortis de la maison en courant et en criant « Fuyez ! ». Ils attendaient près de la rivière qui elle, tomba malade. Elle qui était habituellement d’un bleu magnifique, devint d’un noir sombre et terrifiant. Maman criait sur Zack pour lui dire de s’en aller avec moi… « Fuyez ! Il vous laissera ! » Grand-frère m’avait pris dans ses bras, et m’avait porté pour courir tout au fond de la forêt. Mais je ne comprenais pas. Je le regardais courir. S’essouffler sous mes yeux. Il me tenait fermement contre lui pour m’éviter de glisser. Lorsqu’il s’arrêta, il me dévisagea comme s’il pensait : " Comment vais-je lui expliquer ce qui se passe… " Il s’assit, à bout de souffle, et me tira vers lui. Je regardais en direction du chemin qu’on venait de parcourir. On était loin de Papa et Maman. Zack me prit doucement par les épaules pour me faire le regarder dans les yeux.

" Tu veux bien rester là ? Sage, comme une poupée. Sage, comme la petite sœur que tu es. (Tout en prenant sa baguette de magie, il fît apparaître un joli papillon. Tout coloré, avec des couleurs pastel.) Regarde ce papillon. Il est beau n’est-ce pas ? "

Emerveiller par ce papillon, je le fixais se posait sur mon nez, ce qui me fît loucher. Zack rigola d’un son triste. Il n’était pas comme d’habitude. Ce n’était pas celui que je connaissais. Celui qui riait, qui plaisantait et qui me défendait. Non. Aujourd’hui il semblait sombre, triste, et dépourvu d’amour… il fît avancé le papillon à l’aide de sa baguette vers la rivière secondaire – celle qui détournait la maison. Le papillon s’éloigna, et lorsque je me retournais pour voir grand-frère, celui-ci avait disparu… Je me retrouvais seule. Seule dans une forêt sombre et humide, dépourvu de soleil, dépourvu d’âmes vivantes… Le papillon quant à lui, volé sur place, en me regardant. Ses couleurs ce changèrent, il passa du pastel à l’obscurité, et il s’écroula au sol. Prise de surprise et de peur, je me précipitai vers lui, et le pris doucement dans mes mains. Il ne bougeait plus. Comme s’il était figé… et du sang apparu. Ce sang recouvra mes mains, et le papillon s’évapora en cendre grise…

J’essayais tant bien que mal de me souvenir du chemin qu’avait parcouru Zack avec moi dans ses bras. Je courais tellement vite, et tellement au-dessus de mes forces que je m’écroulai plusieurs fois en chemins. Mes genoux en sang. Mes mains brûlantes. Mon cœur battant à vive allure. Et ma pan.ique qui s’agrandissait au fur et à mesure que je me rapprochai d’eux.

Un immense cri me fît sursauter, et m’arrêtais d’un coup. Un cri qui définissait la peur. La terreur. La tristesse. La haine. Et le sang. " Le papillon de grand-frère… " J’accouru vers les cris qui ne cessaient de s’intensifier.  Je continuais toujours de courir. Encore et encore. La forêt me paraissait plus grande que d’habitude, elle me semblait sans fin. Lorsque j’étais arrivée… c’était un cauchemar que j’avais sous les yeux. Un homme, vêtit de noir de la tête au pied tenait un couteau dans les mains. Couteau noyer dans le sang… mes parents à terre… poignardés dans le cœur. Qui se vidaient de leur sang. Mes yeux qui s’écarquillèrent sous le choc, et des larmes inondèrent mes joues. Je ne les contrôlais plus… elles coulaient toutes seules. " Papa… Maman… ". Zack pleurait lui aussi…. Mais dans son cœur. Aucunes larmes ne coulaient et je le regardais, inconsciente encore. Du sang sur ses joues. Ses vêtements. Ses jambes qui le tenait difficilement debout à cause de la douleur qu’il a subit. Pareil sur l’homme tout de noir… sauf que lui, le sang, il était sur ses mains, et près de son sourire qui me dévisageait sans un mot.

" Vas t’en ! " cria Zack. Son cri me sortit de mes pensées… je vis l’homme sombre s’avancer vers moi. Il tendit sa main comme pour me tuer, mais Zack se jeta sur moi pour me pousser dans la rivière. J’émis un petit cri de surprise. Sous le choc, je le regardai, et l’homme pris Zack avec un sortilège de souffrance. Un sortilège interdit. Il criait. De peur. De souffrance, sous mes yeux. Et je ne pouvais rien faire. L’homme le mis sur son épaule une fois qu’il était affaiblit. Il emmena Zack avec lui. D’un coup, je me levai vers Zack, tendais ma main vers lui. Mes yeux se remplièrent de larmes, mon cœur se serra comme si on m’étouffer. Comme si on m’étranger. Et mon cri résonna.

" Zaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaack !! "

Je me révaillai en sursaut de mon lit. Trempée de sueur. Coeur battant. Main poignante. Je me recroquevillai dans mon lit, mis ma tête entre mes bras, et chuchota.

" Encore je rêve de mon passé... pu.tin... Zack..."

Et mes larmes coulèrent..




 

 

Chapitre 2 : Toby et la Dame Méchante.





 

                C'était une nuit comme les autres. Un rêve comme toutes les autres nuits où je m'endormais.. Ce même rêve qui finit en cauchemar au fur et à mesure que l'histoire ce termine.. cette fin je l'ai vu je ne sais combien de fois tellement elle m'est familière.. Je l'ai vu lorsque j'avais cinq ans.. maintenant que j'y pense ça remonte à 11 ans..

                Comme tous les matins je me révaillai en retard. Mais très franchement je pense que ma professeur principale doit en avoir l'habitude puisque nous sommes en milieu d'année. Je pris ma douche dans un silence qui me plaisait bien. Ce silence où je suis dans un autre monde pour moi. Ce silence qui me laisse la liberté de penser, la liberté de réfléchir. Fermant les yeux une dernière fois sous la douche avant d'y aller, je réfléchissait à ma journée.. Qu'est ce qui allait m'attendre aujourd'hui encore ? Insultes de la part de Millie ? Coup de pied au ventre de la part de Fanie ? Ou encore m.oquerie de la part de tous ? Bref, de toute façon j'y suis habituée. Depuis que Zack n'est plus là, je me laisse faire. L'envie de me battre est partie avec lui. L'espoir de le revoir est toujours présente au plus profond de moi.. mais combien de temps est ce que je vais devoir attendre encore ?.. Depuis sa disparition plus rien ne me fais sourire. Plus rien ni personne..

                On m'as retrouvé cinq jours après le drame.. cinq jours où j'essayais en vain de faire revivre mes parents.. les sors et les livres ne marchaient pas. Le sang ne voulait pas s'arrêter de couler.. et tous les jours je priais à ce qu'ils se réveillent, mais rien n'y faisait. Ils restaient là, endormient avec le sang qui continuer de couler, encore et toujours.. ma robe qui était blanche, s'était teinté de leur sang. Durant tout ce temps, j'étais rester là, allongé à leur côté, les tenant mains dans les mains.. Je dormais à la belle étoile, en pleurant dans un silence sans fin..

                Lorsqu'on m'as retrouvé, plusieurs personnes venaient vers moi en courant, je savais qu'ils allaient m'arrancher de mes parents, mais je ne bougeais pas. Je restais là à les regarder courir vers moi. La pan.i.que et l'inquiétude se lisait sur leurs visages. "Depuis combien de temps est-elle là ?". "Quand et comment est ce arriver ?". Je n'avais pas envie de leur parler, je ne les connaissais pas. Alors que j'ignorais leurs questions, un homme me prit dans ses bras, et me souleva pour me porter. Je me débattais. Je pleurais. Je leur disais de me laisser tranquille. Je criais Papa et Maman, mais rien ne le faisait changer d'expression. Il continuait de me tenir contre lui, et moi, en pleure, regardant mes parents, je criais.

                Je sortie de la douche et allais m'habiller. Du gris. Du noir. Toujours du gris, et toujours du noir.. Ce vêtements me font passer pour une "clocharde" comme dirai Millie, mais ça m'est égal - ils sont confortables. Je sorti en me tournant vers le salon et en disant "A ce soir Papa et Maman", et parti sur le chemin.

                Personne ne se trouve à la maison en faite.. l'année dernière j'ai demander à habiter toute seule. Beaucoup d'accidents ce sont produits à l'orphelina lorsqu'on m'y a amener et laisser. Certains disaient que j'étais envoyé par le Démon, et que c'était moi qui avait tué mes parents.. d'autres disaient que j'étais un esprit, emprisonner dans un corps de petite fille pour paraître plus "innoncente".. quand à trois ou quatre, pour eux, j'étais une petite fille normale qui avait eu un traumatisme et qui ne parlait à personne à cause de la peur. Je n'ai pas parler pendant les cinq premières années où j'étais là-bas. Je ne m'y sentais pas à ma place. Je voulais rentrer à la maison, mais une dame qui était méchante me disait tout le temps "Non." Elle avait des cheveux noir, tenu avec un élastique pour f.ormer une q.ueue de cheval. Elle avait des faux ongles mais faisait semblant que c'était des vrais. Une blouse blanche la recouvrait mais elle était grande. Elle lui tombait au dessous des genoux. Elle adorait Toby. Et elle me détestait.

                Toby était un petit enfant, qui, comme moi, avait vécu la mort de ses parents sous ses yeux d'un homme habillé de noir.. Âgé de sept ans, Toby était différent comme moi. Un jour on a voulu jouer à un jeu. Ce jeu on adorait l'appeler "Magie magie magie" Pourquoi ? Parce que lorsqu'on disait Magie trois fois de suite, un papillon pastel apparaissait. Tous les jours on aller jouait dans le parc de l'orphelina. Mais un jour, la méchante dame nous sépara parce que le papillon était apparu devant elle. Elle me détestait. Je le savais. De la magie noire comme elle disait. Ce jour là, elle nous sépara pour de bon. Toby pour être mis en sécurité, avait était déplacer à l'autre bout de l'orphelina.. La dame nous avait forcer à nous dire adieu, et m'avait amener dans une chambre blanche.. comme une chambre d'hôpital. Elle n'était pas du tout comme les autres. Le rose, le bleu, le jaune, hantée les autres chambres. Mais celle ci restait blanche, glaciale.. je la détestait. J'avais des barreaux aux fenêtres, ils étaient épais, j'arrivais à peine à passer l'avant bras. Les oiseaux ne chantaient plus de ce côté.. C'était silencieux.

                Toby me cherchait. Une nuit je l'avais entendu courir dans le long couloir. Il s'était arrêter à ma porte, mais avait était arrêter par la dame. "Toby, qu'est ce que tu fais là ?!" Sa voix était glaciale, voir inquiète. Je n'entendais pas ce que disais Toby depuis la fenêtre, alors je me rapprochais et entendis juste la fin de sa phrase :

                - "... où est elle ? Où est Yume ?"

                - "Yume est morte." dit-elle froidement.

 Mes yeux s'écarquillèrent à cette phrase, je pâlie à vu d'oeil. "Non... non.. j.. je ne suis pas.. morte.." Mes mains tremblèrent, je n'arrivais pas à me calmer. J'avais la haine, cette dame je la détestais définitivement. J'entendais Toby fondre en larmes. J'avais comme un poignard au coeur, mais c'était plus fort que moi, il fallait que je lui fasse comprendre que j'étais vivante. Sans réfléchir, je tapais la porte de toute mes forces en criant "Elle ment ! Elle ment ! Je suis là Toby !" Je l'entendis s'arrêtait de pleurer. Je souriais Il ne pleurait plus. Il m'avait entendu.

                La dame s'était éloignée. Je ne savais pas pourquoi.. Toby lui avait voler la clé avant qu'elle ne parte et m'avait ouvert la porte. Il était en larme et me pris dans ses bras. Jamais je ne l'avais vu comme ça depuis qu'on se connaissait. Je le serrai contre moi d'instinct.  Je dis "Magie magie magie" et le petit papillon qu'on adorait tant apparu devant nos yeux. On le regardait avec admiration, et bien que c'était le papillon de Zack, je sourie au souvenir de son visage heureux datant.. Mais mon sourire s'effaça bien vite de mon visage lorsque la méchante dame revenu vers nous avec des hommes vêtu de noir. J'écarquillais de nouveau les yeux, et la peur me pris soudain. Toby me regardait, et tourna les yeux dans la même direction que moi. Lui aussi écarquilla ses yeux.. Je pense qu'il voyait en cet homme, celui que nous avons déjà vu aussi. Parmi eux, un homme ressemblait à celui qui avait tué mes parents. J'avais peur, je ne savais pas si c'était lui ou pas. Et puis, sans réfléchir aux conséquences, je levai ma main droite vers lui, et lui jeta un sors de douleur. Je le regardais souffrir, comme il l'avait fait avec mon frère sous mes yeux. D'un coup je fût stoper net  par l'autre homme en noir, et il me tenit fort contre lui. J'étouffais. Je criais, mais il ne me lâchait pas.

                 - "Lâchez moi ! Lâchez moi il a tué ma famille ! Il a enlever mon frère !"

Et d'un coup, la nuit m'absorba et je m'évanouis dans les bras de l'homme avant d'entendre Toby criait mon nom en pleure..

                Arrivée devant le lycée, j'entendit la sonnerie retentir. Elle me tira de mes mauvais jours passés.. J'entrai, et commençai à aller dans la salle de cours. Comme tous les jours, Mille et Fanie me regardais entrée d'un air que je qualifierai de peste. Cet air où elles se croivent au dessus de n'importe qui, bref. Ne nous attardons pas sur elles, elles n'en valent guère la peine. Le cours passait assez lentement, je ne suivais pas le cours d'art. Je savais dessiner, et très franchement ça me suffisait. Je dessinais un papillon, en regardant par la fenêtre. Le ciel était d'un bleu magnifique. Clair comme l'obscurité, voilà comment je le voie. En regardant dehors j'apercevais une femme, vêtue d'une longue robe rouge sang, qui lui cachait légèrement ses bottes noires. Une sorte de cape noir qui lui recouvrait les épaules. Elle leva son visage vers moi, et me sourie. Par réfle.xe je haussai les sourcils, en me demandant dans ma tête "Pourquoi elle me sourit ?". Le directeur du lycée leva la tête vers moi également, et montra à la Dame les escaliers. On l'entendait parler avec le directeur, mais de quoi ? Bonne question. Elle toqua à la porte de notre classe. On se leva tous par respect comme nous avait expliquer les professeurs à la rentrée. Elle regarda notre professeur d'art et dit d'une voix.. bizarre ?

                 - "Ne vous dérangez pas pour moi, je tiens juste à parler en privé à Yume MOON." dit elle en se tournant vers moi. Cette femme je ne la connaissait pas, mais elle me donnait un temps sois peu la chair de poule. Je me leva et la suivit dans les couloirs, regardant par terre. Elle s'arrêta dans un couloir désert, et se retourna vers moi. Toute souriante, et toute charmante elle me dit :

                - "Si je suis venue te chercher, c'est que nous n'arrivions pas à te joindre. Tu ne répond à aucune de nos lettres, nous en sommes donc venu au face à face en espérant avoir enfin une réponse de toi."

Je pense qu'elle vit sur mon visage que c'était le trou noir complet. Elle réfléchit deux minutes et reprit :

                - "Yume, je ne vais pas passer par quatre chemins. Veux tu, ou non, venir à l'école de sorcelerie Poudlard ?"

Hein ? Une école de sorcelerie ? Poudlard ?

 



 

Chapitre 3 : Poudlard. Un nouveau monde.

 



 

"Pourldard est une école de sorcelerie."

J'étais perdue. Une école de sorcelerie ? Ca me paraissait incensé. Irréel. Dans mon esprit ça n'était qu'un rêve. Pour moi elle me mentait ou trouver une excuse pour m'amener avec elle.. quelque chose à s'y méprendre à ça. Je détestais cette idée, je lui lançai un regard noir et par précaution je reculai d'elle.

                - "Tu ne dois sans doute pas y croire, ou pour toi ce que je te dis n'est que mensonge. Un rêve irréalisable ou totalement fou. Mais crois moi, la sorcelerie ou si tu préfère appeler cela magie, existe. Nous avons essayé, les aures professeurs et moi même de t'envoyer des lettres d'administration, mais rien n'a marché. Nous ne te retrouvions pas lorsque tu as quitté l'orphelina."

Je restais ébahie. Ai je rêver ? Elle s'est vraiment où je me trouvais lorsque j'étais petite ? Est ce une preuve de cette fameuse.. "magie", "sorcelerie" ? Pour moi non. Il me fallait plus de preuves pour oser la croire. De toute façon, qui la croirait ?

                - "Je ne vous crois pas. Je ne sais pas qui vous êtes, encore moins d'où vous venez, mais la magie n'existe p..." je n'arrivais plus à finir ma phrase. J'ai été couper par quelque chose. Par quelqu'un. Pas moi.. par mon âme intérieur, qui repasse au ralenti la partie de ma vie que j'ai mise à l'oublie. Cette partie où Toby avait connu la magie avec moi. Cette partie où mes parents été mort à cause de cette dite "magie".. Cette sal.operie de magie qui a f.outu ma vie en l'air. Cette magie qui m'as fait perdre ceux que j'aimais. Papa. Maman. Zack..

                Elle me regardait. Je sentais son regard posé sur moi, mais je ne bougeait pas. Je restais là, sur place. Je ne regardais que le sol, en sentant mes larmes montaient à ses douloureux souvenirs.. Elle me tira de mes pensées.

                - "Aurais tu par le passé vécu quelque chose qui t'aurai fais renier ou détester la magie ?.." Elle me regarda dans les yeux tout en posant sa question délicate. Sa voix était douce, avec une pointe.. d'inquiètude ? Vu sa voix, je pensais qu'elle attendait une réponse qui soit aussi grave que l'air avec lequel je la dévisageais. J'avais pâlie sans m'en rendre compte de moi-même. Je serrai les poings. Je ne l'aimais pas. Elle ne m'inspirais pas confiance.

                - "Vous saviez où je me trouvais lorsque j'étais petite. Vous devriez de vous même répondre à cette question. Vous me cherchiez. Surprise, me voilà devant vous en ce moment. Alors j'imagine que le fait que vous sachiez où je me trouvais ; l'orphelina je précise, vous donnera un aperçu de ce qui s'est passé dans ma vie jusqu'ici. Sur ce, vous et votre dite magie je n'y crois pas. c'est à cause d'elle que j'en suis ici. C'est à cause d'elle que j'ai perdu des peronnes chers qui ne reviendront probablement jamais dans ma vie, et qui ne seront jamais remplacer !" Sur ces paroles je fondis en larmes, la sonnerie retentit, signe que les cours étaient finit pour moi. D'un revers de la main j'essuyais rageusement mes larmes et lui tournai les talons.

                - "Le passé peut encore changer."

Je m'arrêta net sur place suite à ses paroles. Je la fusillai sur place. Elle me regarda, toujours avec son air passible.

                - "Comment pouvez vous savoir ? Qui vous dis qu'il peut encore changer ?

                - "L'instint." Me répondit-elle calmement.

Je la regardais. L'envie de la gifler me vient tout à coup en tête. Changer le passé ? N'importe quoi.

                - "Mon passé est tel qu'il est fait. C'est lui qui m'a rendu ainsi. Froide. Sans coeur. Et tout ce qui va avec. Je sais que mon futur ressemblera à mon passé. Et rien, je dis bien rien ne le changera." Je commençai à m'éloigner d'elle.

                - "Il suffit d'avoir confiance en toi.." murmura-t-elle. Sans prendre la peine de lui répondre je l'ignora. De peur qu'elle me suive pour encore me parler de sa st.upide magie, et pour aussi, changer mes idées et calmer mes nerfs je me promenai dans la forêt. Je me retrouvai près d'un petit lac où des canards passaient. Ils étaient mignons. Les petits ressemblaient à la mère et le père les protégeraientpendant la baignade. Je me rapprochai lentement, histoire de ne pas les faire fuir non plus. J'enlevai mes chaussures et mon collant pour me baigner les pieds. En sentant l'eau monter doucement sur mes jambes, je fermai les yeux.

                Ce coin restait silencieux. A chaque fois que je venais, je m'y perdais. J'étais dans un autre monde. Il me ressemblait, était différent et rejeté. Comme moi, il était toujours seul. Les gens qui passaient ne le voyait pas. Comme invisible. Et j'étais la seule qui y soit aller depuis que j'ai trouvé cet endroit. Je commençai à chanter dans cette forêt. Ca faisais comme éc***et je m'y sentais comme chez moi. Elle était comme moi. Vide et silencieuse.

                - "Tiens, tiens, tiens. Mais qui voilà. Hé les filles ! Miss bizarre de l'année et là !"

Je ne pris même pas la peine de me retourner, je savais qui c'était. Millie, Fanie, et la bande.

                - "Alors tu ne prend même pas la peine de te retourner pour admirer celle qui sont populaire. C'est vrai que face à la poussière que t'es dans ce lycée nous t'éblouissons trop." Et toutes en coeur, elles ricanèrent. Mes nerfs recommencèrent à monter. Je me levai sans même leur apporter satisfaction, mais c'étais plus fort que moi, il fallait que je me défoule un peu de la colère que j'avais. Je ne tournai que la tête vers leur direction, et avec un sourire en coin, je leur répondis queque chose que moi même je ne m'en sentais pas capable.

                - "Vous vous dites populaires en attendant vous ne valaient pas la peine d'être regardé, encore moins critiquer. Et puis très franchement la l.aideur vous envahit assez, alors autant éviter de vous rabaissez. Je ne suis peut être pas la plus belle, mais tant que je ne fais pas partie du gang des p.utes tout me conviendra. Alors regardez vous avant d'ouvrir vos g.ueule. Vous ne valait pas mieux l'une et l'autre. Vous n'êtes qu'une bande d'incapable impossible de vous attaquez ou même de vous m.oquez d'une personne toute seule. Vous n'êtes que lèche c.ul entre vous. Sur ces bonnes paroles, j'me c.asse."

                Je n'en revenait pas. J'avais vraiment dis ça ? J'avais enfin sorti tout ce que je pensais d'elle en face et pas dans ma tête ? Sans que j'eu le temps de réagir, l'une des filles me donna un violent coup de pied dans le milieu du dos ce qui me propulsa par terre. Je me fracassa le nez sur le sol - par chance, l'herbe atténua légèrement ma chute. Je me pris plusieurs coups. Elles frappaient vraiment comme des filles, mais ça suffisait à faire mal. Je me recroquevillai pour éviter le plus de coups possible. Ma respiration disparaissait face aux coups qui se faisaient plus violents. Et d'un coup, alors que je n'y pensais même pas, la phrase qu'elle m'a dite me revint d'un coup.

                On peut encore changer le passé. Et ça suffit à me donner assez de force pour crier à l'aide. Mais l'air devint bizarre. Le ciel devint d'un bleu galaxie alors qu'il était d'un bleu magnifiquement clair. Les nuages se mirent à tourner doucement et les filles arrêtèrent leurs coups pour regarder le ciel. La pan.ique se lisait sur leurs visages, et la joie sur le mien lorsque je vis apparaître la "femme bizarre". Elle fît un mouvement aussi bizarre qu'elle et les filles s'évanouirent en même temps.

                - "Pourquoi m'as tu appelé à l'aide ?" Elle me regardait avec son air pensive, mêlé à de la conclusion. Je la regardais aussi pensive qu'elle. J'étais étalée par terre avec juste les avant-bras pour me soulever légèrement. Mes bleus, griffures et autres blessures que m'avait infligé les filles lui attira l'attention.

                - "Je ne m'attendais pas à ce que vous veniez à mon aide, mais je suis certainement plus heureuse de vous voir ici à m'avoir aider, que d'être ruer de coups. (Je la fixais, et d'un air déterminer, j'ajoutai :) Je reviens sur mes paroles, nous ne pouvons pas changer le passé. Du moins pas dans ce monde. Mais ce que j'espère, c'est changer mon présent. Alors oui, je veux venir avec vous à cette école de sorcelerie !"

                Suite à mes paroles, un sourire naissa sur ses fines lèvres aussi pulpeuses soitent-elles grâce au gloss. Elle me tenda la main, que je pris joyeusement. Et d'un coup, nous nous retrouvions dans le ciel. Si haut, si haut dans le ciel que j'en touchais presque les nuages. Ma main effleura doucement l'un d'entre eux et c'était agréable au toucher. Elle ne me tenait que d'une main et j'arrivais à voler près d'elle. Mais si elle me lâche est ce que j'allais tomber ? Je ne posais pas tellement de question, j'admirais la vue. La merveilleuse vue qui s'offrait à moi et qui ne se fait pas tous les jours. Je voyais la ville. Mon ancienne ville qui semblait si petite d'où nous nous trouvions. Elle était magnifique, mais le soleil qui commençait à se coucher la plongea dans l'obscurité la plus totale pour laisser place à des lumières qui s'allumait petit à petit et illuminé de nouveau cette ville. Elle était sous les feux des projecteurs, sous les lumières de tous les immeubles et ça la rendait radieuse.

                                         Pendant le chemin que nous prenions, c'est à dire, à travers les nuages. Elle m'expliqua le fonctionnement de cette fameuse école du nom de Poudlard. C'est une école qui est invisible aux moldu - personne ne détenant pas de pouvoirs magiques, grâce à divers sortilèges. Pourdlard possède sept étages, tous plus grands les uns que les autres, plusieurs autres tours, ainsi qu'un grand parc et une serre de botan.ique. Outre ses nombreuses salles de cours, dans lesquelles des cours de sortilèges, de potions, d'hitsoire de la magie y sont enseignés par divers professeurs qui seront là pour plusieurs années à nous enseigner toutes leurs connaissances sur le sujets. Tout en continuant de l'écouter, je pense à la fameuse bibliothèque dont j'ai demander plus de renseignements et, qui plus est, pourrait être un endroit tranquille où je pourrais me sentir à l'aise.

                Elle continue de me dire les différentes maisons qui y existent là bas et qui me paraît assez bizarres. Mais elle me raconte l'histoire plus en détail et je commence à mieux comprendre, j'espère ne pas être chez les Serpentards - ils n'ont pas l'air sympas vu leur passé.. mais ce n'est pas à moi de décider mais au Choixpeau magique. Elle me retrace alors le passé douloureux de cette école et l'ancien "démon de l'histoire" un dénommer Voldemort. Elle me dit qu'un enfant à survécu à lui lorsqu'il était un bébé, un certain Harry Potter, qui a beaucoup impression le précédents professeurs. Cet homme semble être un héros, et je suis là, à sourire en l'écoutant. Poudlard a un passé. Une histoire. Qui se reflète être assez sombre.

                Lorsque nous commençons à arriver, elle me montre de sa main libre un pont avec des rails. Elle me dit alors que c'est par là que le train passe pour amener les élèves jusqu'au château. Elle remontant mon regard je m'aperçois de la splendeur devant moi. Ce château est imense ! Pire que ce que je croyais. Pire que ce que j'imaginais. Les tours sont bien plus haute que m'avait laisser rêver mon esprit. Cet endroit est magique ! Oui. Magique.

 



 

Prochainement.

Chapitre 4 : La maison. Choix déterminatoire.

 




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