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nanalol2 a 11 points de bonté.

nanalol2
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Bienvenu chez chron.ique-x (sans le ".")! Je m'appelle Audray. Je voulais vous dire que nanalol2 a acceptez de me prettez son qui suis je pour ma chron.ique en attendant que je puisse écrire sur mon qsj et validé mon compte. Mais bien sur, tout commentaire et mp's s'addresse à la dollz chron.ique-x. Je serais ravie de savoir vos avis, vos conseils ou/et vos idées pour ma chron.ique! Je n'aurai pas le temps de prévenir qui que se soit du nouveau chapitre arrivant, donc pas de bannières ! Mais bien sur, si vous voulez me faire de la pub, vous pouvez marquez en gras, en italique et en gros "fan de l'histoire de chron.ique-x [mais pour voir sa chron.ique, il faut allez voir nanalol2]" dans votre qui suis je (merci de ne pas marquez "abonné" mais plutot "fan"). Je vous remercie d'avance !!! Bonne lecture a toutes !!!

Avertissement : toutes ressamblances proches avec ma chron.ique seraient peut-etre possible mais cette histoire est TOTALEMENT inventée. Ce n'est ni mon histoire, ni l'histoire de quelqu'un d'autre. Merci.

personnages :

Swan (héroine) : Elle est plutot le type de fille turbulante, solitaire, iro*** ... mais a final, un grand coeur cacher .

Lucas :Garçon plutot sympathique, pas du tout modeste, attachant, s'assume.

Valérie : Valérie, une mère stérile adoptive hyper sympa, adolescente attardé, chic au niveau vestimentaire.

Chapitre 1 : Le départ.




Mes parents sont morts. Tous les deux. Ma mère c'est à mon accouchement, mon père c'est récemment dans un accident de voiture. J'ai beaucoup pleurer. Pendant un an, une année entière, j'ai dû faire face à certaines épreuves comme les doigts qui me désignes, les regards moqueurs et les vielles dames qui chuchotent dans mon dos « As-tu vu ? C'est la jeune fille qui n'a plus de parents à 15 ans ! Pauvre petite... ». De la pitié et des moqueries, c'est tous ce que j'obtenais. Et en plus, j'étais dans un foyer. Pire que pourrit, avec une coloc' très étrange qui faisais un genre de magie. Bref, moi j'attendais dans mon coin de la chambre que des parents veuillent bien vouloir d'une petite adolescente qui est au premiers abords, n'est pas très abordable justement. Et je pouvais dire que personne n'a demandé à me voir. Tout simplement parce que la plus part des gens voulaient une adolescente avec qui ils ne risquaient pas d'affronter une crise d'adolescence et de payer des frais de psychologie pour des troubles du comportements, et physiquement, il l'a voulais jolie, la plus part blonde, ou d'un brun très clair avec des jolies yeux qui pétillent. C'était pas du tout mon cas. Une fille pleurnicharde, froide, une peau en mode : acnés, des yeux marrons, des cheveux tout lisse au lieu de cheveux avec des boucles anglaises, c'est pas le genre d'enfant que veulent les personnes.

Un soir de pluie, je m'apprêtais à dormir quand on m' avais appelé. Pour une fois, j'avais pas du tout fais de bêtise. La responsable du foyer me dis avec un jolie sourire « C'est pour toi. Tu as de la visite ». J'ai cru que c'était une blague, quand je vis une femme plutôt bien faite pour son âge. Elle étais dans la tranche d'âge de la quarantaine. Cheveux mi-court marron mais décoloré au niveau de la racine et légèrement bouclé, une bouche très fine mais rosé, des yeux verts. Elle étais plutôt grande et porté ce jour là un grand manteau noir avec une robe beige pastelle et des escarpins noirs.

-Bonjour. Vous faites partit de ma famille, c'est pour ça que vous voulez vous chargez de moi ? Demandai-je même si je savais que cette situation étais peu probable.

-Bonjour Swan. Non désolé, mais je suis là pour te rencontrer. Je me nomme Virginie.

-Je ne suis pas un cadeau, vous aurez du mal à me gérer...

La responsable à intervenue notre discution.

-J'allais vous en parler Mme.Blayn. Vous savez la situation de Swan n'est ce pas ? Vous savez qu'à cet âge avec ce qui lui arrive, elle peut avoir plusieurs options sur sa réaction intérieur : elle peut devenir ingérable, ou se refermer sur elle même et ne plus parler ou pire. Ou sinon elle peut se faire à sa nouvelle vie et tout ira bien. Mais c'est peu probable.

Je leva les yeux aux ciels, on dirais une folle, je l'ai toujours détesté. ?

-C'est comme tous les adolescents, elle sera juste plus mature. C'est exactement ce que je veux. Je suis stérile et je veux une enfant qui pourrais réagir comme tous les autres.

-C'est bien ce que vous voulez ? C'est un choix compliqué. Je compatis tout à fais avec vous deux et du fait que...

-Je vous demande pardon ? Vous avez prononcer le mot « compatir » ? Vous ne pouvez pas compatir. Vous n'êtes pas stérile et vous n'avez pas perdu vos parents à son âge. En aucun cas vous ne pouvez partager notre sentiments et oui, je sais ce que je veux. C'est ça ce que je veux.

-Très bien. Nous allons faire un essaie. Repassez demain Mme.Blayn et vous passerez le week-end toutes les deux pour voir comment cela se passe. Tu peux partir te coucher Swan.

-J'suis obligé de me coucher avec la sorcière qui se trouve dans ma chambre ?

-Si tu veux parler de ta colocataire, la réponse est oui. Tu sais très bien que nous n'avons pas beaucoup de chambres et encore moins en bon état alors je te demande de faire un effort. Puis ce n'est pas une bonne façon de ce conduire en vers tes camarades, ils traversent une dure épreuve eux aussi.

 

-Mais...

 

-SWAN !!! cria-t-elle énervée de se débattre à cette heure-ci puis elle repris plus doucement. Swan, ma petite...je t'ai dit que tu n'étais une priorité sur personne. Personne est prioritaire ici. Non, c'est non. Me suis-je bien fais comprendre ? Va-te-COUCHER !

 

Voilà comment tout à commencé. On est devenu très proche Virginie et moi et je la considère comme la mère que je n'ai jamais eu. Il y a eu des coups de gueule comme vous avec vos parents mais rien de grave.

Maintenant je m'apprête à faire mon entrée dans une nouvelle école. Un nouveau collège. Je sent que ça ne vas pas être de tout repos !

Je me rendais au collège à pied. Quand je suis arrivé dans l'enceinte du bâtiment, la directrice m'attendais. Ah non ! Elle ne souriais pas, mais alors pas du tout. Elle étais plutôt moyenne de taille et ne laisser paraître aucune faille. Je m'approcha d'elle et lui adressa la parole :

-Bonjour je suis Swan Blayn. La nouvelle élève.

-Bonjour Mlle Swan, je vous donne votre emploie du temps. Pendant votre premier cours de la journée, vous aurez à faire au premier professeur de votre année scolaire ici qui seras votre professeur principal. Il vous donnera la reste de la paperasse à remplir.

-Bien...

Quand se fût le début des cours, j'allais m'assoir à n'importe quel place quand j'entends le professeur me dire de la suivre jusqu'à devant le tableau.

-Bonjour à toute la 3emeF. Je voulais vous présentez la nouvelle de votre classe. Elle se nomme S... en fait elle va se présenter seule. Leur dit-elle avec un grand sourire que je en partageais aucunement.

J'ai penser très fort dans ma tête que c'était une grosse enfoirée de m'obliger à parler devant toute une foule, j'ai toujours détesté les gens avec leurs sourires niés, leurs petits « comment ça va ? » pour faire semblant qu'il s’intéresse à toi.. Elle devais sûrement être au courant de ce qui m'est arrivé alors pourquoi n'est elle pas prise en pitié pour une fois que je le veux bien, pour qu'elle fasse tout à ma place ?

-Ouais...dis-je doucement puis je commençais à me présenter. Bon bah salut à tous. J'me nomme Swan et mon nom est Blayn. J'ai 15 ans et je vous demande de pas me faire de bizutage, de n'y me prendre en pitié et de faire comme si j'étais ici depuis la 6eme. C'est tous ce que j'ai à dire.

-Heu...merci. Tiens, prend donc place à côté de la fenêtre. Tu n'as personne à côté de toi. En passant, je te donne ton nouveau carnet, et les papiers que tu dois remplir. C'est pour l'infirmerie, la cantine...enfin bref tu vois les papiers habituels ? C'est exactement pareil.

C'était une place bien au fond. J'avais pris le temps d'admirer la salle. Il y avais un plafond très haut, un carrelage rouge, de très grande baies vitrées et des murs rouges et blancs avec des exposés et des posters de documentation soutenus par des punaises. Ensuite je regardais la tête des gens auxquels j'aurais à faire. Il y en a que quelque uns que j'avais remarqué. Un mec un petit rebelle, un autre normal qui n' arrêtais pas de me fixais, une fille rousse avec un chignon floue et des lunettes rondes (je suppose que ça doit être une intellote) et une autre fille très à la mode. Ce sont les seuls que j'ai réellement remarqué.

J'ai tourné la tête pour faire le regard qui tue (=regard fixant une personne sans cligner des yeux et qui deviens déstabilisant pour la personne visée) au mec qui n'arrêtais pas de se retourner vers moi. Mais ça ne l'avais pas déstabilisé, au contraire ça l'avais fais sourire. J'aurais voulu signé sur son visage « p'tit con ». Puis il m'avais adressé la parole en chuchotant après 5 minutes de coups d’œil.

-T'es rigolote toi. Dit-il avec un air amusé.

-Ah ouais ? Bah ça m'étonnerai. Mais t'es pas censé travailler toi ?

-Et toi ? Tu n'es pas censé travailler ? Répondit-il avec toujours cet air amusé.

- Si tu arrêtais de m'observer, ça irai mieux pour nous deux.

-C'est toi qui m'admire.

-Je n'admire pas les idiots.

-Tu ne me connais même pas.

-Ta tête en dis déjà assez long.

-Ok vas-y comment je m'appelle ?

-Tu t'appelles « bonjour je suis un p'tit c.on ».

-Je me nomme Lucas.

-Ouais bah je m'en fiche. Pour moi tu t'appelleras soit petit c.on soit Jean-Bertrand. Jamais Lucas.

-Tu as peur d'admettre que tu a un problème au niveau mémoire.

-Non, c'est juste que comme je ne t'admire pas, je n'ai aucune raison de me rappeller de ton nom.

Il sourie et se retourne enfin ! ENFIN ! En fait...c'était plutôt amusant de se parler comme ça. Mais franchement, côté modestie, c'est le big boss.

 

 

 

 

 

Chapitre 2 : Le petit monde...

 

 

Bref, après ça, c'était la récréation. J'avais sortie mon téléphone pour tchatcher avec une amie d'enfance qui m'avais soutenue jusqu'au foyer. On s'était promis de rester en contact pendant les récréations et de se consacrer à notre travail après l'école pour que l'on puisse se retrouver avec pleins de pognons dans les poches parce qu'on aura bien bosser et de s'offrir deux semaines de vacances au Maroc rien que toutes les deux. Donc c'était la petite parenthèse. J'ai commencé à sortir mon téléphone et à écrire un sms :

« Moi (sms) : Hey ! Slt Nina. C Swan. Tu vas bien ? »

Mais avant que je puisse l'envoyer, une personne me pris par le bras et m’emmena derrière un arbre. La personne me lacha mon bras et se retourna. Je vis la petite intellote de ma classe.

-Swan !

-Quoi ? On se connais ?

-Je me fiche que l'on fasse connaissance toutes les deux. Je suis la délégué de notre classe et l'on m'a chargée de te faire respecter le règlement ce qui a le don de me saouler. Première leçon : le portable est interdit ! Me dit-elle et elle me pris mon objet des mains. Je le rapporterai aux objets trouvés.

-Ouais mais non là. Là c'est toi qui risque d'être punis d'agir sans prévenir en plus on va croire que c'est ton portable. Tu me le rend maintenant et mêle toi de ce qui te regarde.

-Mais ça me regarde (me rend mon portable) ! Ecoute, c'est bien parce que je veux que notre classe est une bonne réputation mais la prochaine fois tu es prévenue. Je ne veux pas te surprendre entrain d'écrire des textos ou je préviens la directrice !

 

-O...ouais.

Je me retourne quand je vois le mec de tout à l'heure.

-C'est quoi ton problème ? Tu me suis maintenant ?

J'allais tracé ma route quand il me fis une proposition plutôt intéressante.

-Ce n'es pas que je te suis mais ça m'a intrigué cette mini dis*** avec la déléguée. Je vais te montrer un endroit ou tu pourras utilisé ton téléphone. Ne t'inquiète pas, personne ne connais cet endroit à part moi et bientôt toi.

Je le suivis sans un mot. Puis dans un coin de la récréation, on pouvais voir en apercevant le grillage très longtemps qu'un chien étais passé en dessous et l'avais dé é.

-Je ne suis pas une sourie pour passer là dedans, puis les autres vont nous voir.

-Non, on nous remarque jamais, il y a un buisson qui est assez épais derrière nous, puis il suffit d'appuyer un peu sur le grillage et tu peux passer en dessous.

Avant de me jeter à l'eau, je le regarda et lui posa la question fatale :

-Pourquoi tu fais tous ça ?

-Passe en dessous et je t'expliquerai.

-Non. Je veux savoir maintenant.

-Je suis nouveau depuis hier et je n'ai pas vraiment d'amis... tu peux passé en dessous maintenant ?

-Une dernière question...

-On a pas le temps ! Tu veux envoyé ton texto oui ou non !

Je suis passée en dessous du grillage puis il s’essaya sur un rocher dans un coin où l'on pouvais pas nous apercevoir.

-Assied-toi sur moi.

-Non, je suis bien debout.

-Arrête de faire la timide et viens t'assoir. On va te voir, tu es juste en face du grillage.

Je me suis pas assise sur ce pervers, j'ai glissé mes pieds sur le rocher de façon à tenir dessus sans toucher un poil ce mec que je ne connaissais pas. J'ai pu envoyer mon sms tranquillement quand il me fit :

-Swan Hugues. C'est ça ?

Comment savait-il mon nom de famille d'origine ? Celui que mon père portais. Comment est-ce-possible ? Je ravalais mes larmes au plus profond de moi puis lui répondit.

-...Non moi c'est Swan Blayn. Tu dois te tromper.

-Non... Tu es Swan Hugues, j'en suis sûr. Le nom Blayn est sûrement le nom de la personne qui a dû t'adopter.

-Arrête, je t'ai dit que ce n'étais pas ça...

-Toi arrête. Arrête de le nier. Je t'ai reconnu tu sais. Tu es Swan Hugues, fille de Maria et Louis qui avaient vécus un amour triste.

-Qui es tu ? …

-On te surnommé au camp de vacance, Swan la folle, et un certain Lucas te surnommé Swan Ayten parce que ce Lucas s'appelle Lucas Ayten.

-Oui mais ça date...

-Je suis Lucas. Je suis ce Lucas. Lucas Ayten.

-Je ne t'embrasserai pas. On étais petit. On avais onze ans. Onze ans ! Et ça fais quatre ans.

-Je ne t'ai rien demandé encore, si tu m'aurai embrassé, je t'aurai surement rejetais. Car on a tous les deux changé et on étais des enfants. En tous cas, ça m'a fais drôle de te voir. C'est pour ça que je te fixais en classe, parce que tu avais changé mais en même temps tu n'avais pas changé. Physiquement juste un peu, et mentalement tu étais devenu plus mature.

-Ouais enfin, mature... c'est pas trop ça. Mais toi aussi t'as changé, avant t'avais des cheveux plus longs, t'étais plus petit, moins matcho … là t'a les cheveux courts, t'as les yeux plus beaux qu'avant et tu es beaucoup plus grand. Bon, je crois que ça va sonner, on ferai mieux de repasser de l'autre côté, ça serais bête de se faire réprimendé pour si peu.

 

Il me fit un hochement de tête puis on passa de l'autre côté.

 

 

 

Chapitre 3 : Galère...

Finalement ce début de journée était moins pénible que ce que je pensais. Lucas va me détestait dans l'avenir par contre, j'en suis pratiquement sûr et certaine. Quand j'étais petite, c'est vrai que le manque de ne pas avoir de maman se ressentais assez fréquemment mais j'étais une fille avec la joie de vivre, je jouais tout le temps, j'étais pas du tout casse-pied, j'avais pas du tout se côté rebelle, je faisais souvent mes devoirs, beaucoup de bêtises. Enfin bref, un peu comme les petites filles innocentes. Là, je suis tout le contraire. Lucas si je m'en rappelle bien m'aimais parce que justement je souriais quoi qu'il arrive, j'aimais tout, il savait ce que j'endurais et il aimais cette façon de ne pas me peindre sans arrêt, d'en tirer profit au bout du compte. Mais je ne suis plus cette fille là. Elle est morte avec mon père. Heureusement que Valérie est là. Enfin bref, là je me dirige vers le cours d' EPS et il faut que bien sûr que je me change dans les vestiaires. Je déteste ça, je suis confronté aux regards des autres filles aux critiques et aux chuchotements. Je met mon short gris chiné et mon débardeur noir avec ma veste de sport qui était à sortit avec mon short. Je sort de ma poche un élastique et je commence à rassembler mes cheveux pour faire une queue de cheval rapide, pour vu que je sorte d'ici rapidement. J' ai voulu appuyer sur la poignée pour m'en allez quand une fille m'interpelle :

-Hey...Swan, c'est ça ?

-Qu'est ce que tu veux ?

-C'était pour te signaler que t'avais un trou au cul.

-J'en ai rien a faire, je crois que toi aussi tu as un trou au cul.

-Je parlais de celui qui avais dans ton short. Remarque celui qui a dans ta bouche dois être énorme pour toute la merde que tu t'uses à dire.

Des ricanements commence à raisonnais dans la salle, ceux des bécasses. Je trace ma route et ouvre enfin cette connasse de porte. Je marchais sans regardais devant moi lorsque je m'aperçois que j'ai failli me retrouver nez à nez avec le prof' de sport. Il me dit :

-Tiens Rebecca.

-Non moi c'est Swan...

-Oh, désolé... bon, aujourd'hui on fais athlétisme :saut en hauteur. Va falloir que tu te donnes à fond, comme tu arrives un peu tard dans l'année et que tu as raté quelques séances, autant avoir de bonnes notes pour ta moyenne trimestrielle.

-Mmmh...

J'avais jamais fais du saut en hauteur, sauter au dessus d'un élastique, c'est pas une idée qui m'est venue à l'esprit étant gamine. Arrivé devant le tapis, le professeur nous fais faire un échauffement puis avant de séparer filles et garçons, il nous met tous ensemble pour avoir un aperçu des choses. Tout le monde saute, il y en a qui reussissent et d'autres ratent mais ils tentent tous leurs chances. Arrivé au tour de la petite peste de tout à l'heure, elle cria sur le professeur : « je vous ai déjà dit que je n'y arrive pas monsieur ! C'est bon, j'en ai mart, je sais que je vais tombé dessus, autant que je saute pas »... Le professeur la regarda sans insister un peu plus et le va les yeux aux ciel. Je pense qu'il dois en avoir l'habitude. Il fit un cercle avec son stylo, je crois que c'est un zéro. C'était mon tour, je sauta à 1m35. Lucas se dirigea vers moi :

-Pour une fille, tu as du ressort sous tes pieds.

-T'es pas un peu ***iste par hasard ?

-Non, c'est pas ça, mais comparé aux autres filles de la classe, franchement tu fais pas le poids !

-Ah... ok, c'est une bonne nouvelle je suppose. Et comment s'appelle celle qui n'a pas voulu sauter ?

-T'as des vues sur elle ou quoi ?

-Très marrant bon répond s'teuplait.

-Ok mais moi aussi j'ai une question en contre partie aussi. Bon, elle s'appelle Noémie Dilight . Elle traine toujours avec ses deux autres copines et un groupe de garçons. Faut pas trop y faire attention parce que si tu cherches les embrouilles, c'est rapidement toute l'école qui se retourne contre toi à ce qui paraît. Et j'en ai eu un aperçu pour Tony.

-Tony ?

-Heu... ah oui, c'est vrai que tu ne le connais pas, oui Tony Slawly. Il est pas dans cette classe mais il est tout de meme sympa. Rayban sur le nez, casquette à la swagg, et toute l'accoutrement mais niveau mental, c'est un vrai « lucas ».

-AHAH. Superd le collège si tout le monde est comme toi.

-J'tai fais un compliment tout à l'heure, t'es pas contente ? Bon ma question c'est comment va ton père.

Mon visage s’assombrit, et j'ai pris le temps de respirer avant de répondre « Ah oui, oui il va bien, même très bien. Là je suis dans une famille d' accueille parce qu'il est partit vivre à Londres tu sais. Son rêve c'ét...c'était de partir à Londres. On m'a confier à quelqu'un pendant deux longues années au minimum ».

-Ok, dure dure alors. Bon j'y vais, je vais du coté des garçons, tu pourras m'admirer du haut de mes 1m54 !

Je ne lui ai pas répondu dans tout les cas et encore moins regarder sauter. Je me fis toute petite jusqu'à la fin de la journée. Je sort du collège à 16h40 et marche lentement en direction de mon « nouveau chez moi ». Je trouvais Lucas sympa au début, mais ses questions me gavent, alors il est plus que pesant en fin de compte. D'ailleurs, je crois bien que c'est lui qui court après moi.

-Hey... ! Attends ! Swan ! Huuh...huuuh, Swannn ! Ralentit, je suis essouflé.

-Quoi ! Quoi encore ?!

-Je voulais faire la route avec toi, j'habite par là moi aussi.

-Il y a pas un autre chemin pour allez chez toi par hasard ?

-Pourquoi ? Tu m'évites ?

-Non, je ne crois pas, j'essaye juste de connaître la ville.

-Et bien oui, il y a un raccourci risqué. Par là-bas, à coté de cette maison. Tu le vois ?

-Cool, c'est pas trop loin. Tu te sens pas d'y aller ? Je crois qu'en fin de compte : oui je t'évites.

-Je peux savoir pourquoi ?

-Non tu ne peux pas.

-Je sais très bien que ton père ne va pas bien, me dit-il en posant sa foutu main sur mon épaule comme s'il compatissais, il ne vas pas bien qu'est ce qui se passe ?

J'ai pris son poignée et le serras d'une main de fer et lui cria à la figure :

-Tu me laches, c'est compris ? C'est MON père. Savoir comment il va ne te concerne pas. Lucas, on n'est pas amis, c'est compris ? Je suis ne suis plus Swann Hugues, on ne se connais plus car j'ai changé. On est pas amis. ALORS FAIS PAS COMME SI ON L' ETAIT ! Tu vois cette main qui a eu le malheur d'effleuré mon épaule, et ben je ne veux plus que tu la poses quelque part sur mon corps, ni mes cheveux ou ni nul part. Je ne veux plus de ton aide pour les sms, je ne veux plus de tes compliments et à l'avenir, je veux me débrouillais seule, je ne veux pas de ton aide quelque soit les circonstances, je veux que tu me laisses SEULE ! Et pour info : mon père est mort. Et il est pas là juste pour deux longues années, mais plutôt pour toute ma vie ! On est pas amis toi et moi.

-Je-je ne savais pas...

-Si tu t'occupais de ton c.ul !

Et sur ces mots, je lâcha son poignée et essuya une larme d'un revers d'une main et courra en tenant mon sac pendant longtemps. Jusqu'à que je n'ai plus de souffle pour respirer. Je regarde derrière moi, plus de Lucas. Tant mieux. Je m’assois sur le rebord du rond point qui était à deux pas de chez moi, puis respire doucement. Je crois que j'ai fais ma dose de sport pour aujourd'hui.

 

 

 

Chapitre 4 : réconciliation ?..

Je vis Virginie qui m'attendais assise à table. Elle tenais entre ses doigts une tasse de thé en porcelaine qui contenais du thé à la menthe. Elle regardais un match de catch qui s’annonçait rude. Le premier catcheur pris ne fourchette qu'il enfonça précipitamment dans la jambe de l'autre. Bref, rien que du cinéma. Je posa mon sac au pied du porte-manteau et me servis dans le placard quelques macarons.

-Pourquoi tu regardes ces débilités ? Tu sais bien que c'est n'importe quoi...

-Bonjour Swan.

-...

-Je regarde ça parce que ça m'évite de me défouler sur mon coussin comme une idiote.

-C'est une façon de voir les choses...

-Comment c'est passé ta journée ?

-Bin... J'ai fais la rencontre d'un de mes amis d'enfance, devrais-je dire petit ami, j'ai fais la rencontre d'une peste, j'ai fais la rencontre d'une intellote « made in règlement du college » et j'ai vu que j'étais forte en saut en hauteur.

-Des retrouvailles ?! Tu sais quoi : ça m'interresse. Dis moi tout.

-Tu dis ça en tant que mère ou en tant que « amie ».

-En ce moment, je ne suis plus ta mère.

-Et bien ça c'est vraiment bien passé au début, puis il a voulu savoir comment va mon père, j'ai perdu le contrôle comme le bateau dans titanic, et bien sur ça a couler.

-Ah d'accord... maintenant je suis ta mère. Raconte moi tout.

-Maman, ça c'est très bien passé. On est des meilleurs amis maintenant.

-Heu... nan là t'es scencé tout me dire parce que je suis ta mère.

-Non, je suis scencé rien te dire parce que justement tu es ma mère.

-Ah bon...

-Oui. C'est comme ça.

-Ah bah cool le role de mère.

-Tu peux le dire !

Bref, je suis allée me coucher parce que vraiment, j'avais juste envie que toute ma vie sois un reve, je n'avais pas faim.

Le lendemain, je me suis mise une chemise rouge à carreaux avec en dessous un débardeur noir. J'ai laissé la chemise ouverte de sorte que l'on puisse apercevoir mon débardeur. Ensuite, j'ai mis un short avec un leggins noir en dessous puis comme chaussures, des converses noires.

Je me suis dirigé vers mon collège à pieds. J'attendais que le portail de celui-ci s'ouvre lorsque que je croisa le regard de Lucas que je m’empressai de détourné. J'avais pas vraiment envie de lui parlé. Le portail s'ouvre enfin et je me retrouvai enfin de compte seul face à tout ses regards d'ignorants dans la cours de récré. C'est dingue tout de meme, je ne pensais pas qu'etre seule un jour serais un handicap.

A suivre...

 

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