PINKLADY14

->J'aime rire

-> La colère n'apparait pas sur mon visage, seul le sourire d'une amie me remonte le moral

Pourtant je vous parle de moi mais pas de mes amies qui sont inscrites ici. Pour moi, les amis sont comme des étoiles, nous ne pouvons pas toujours les voir. Mais nous savons pourtant qu'ils sont là.

bebelilibebe            titeleadu14             <3

généreurse: --------- [85%]

gourmande: ---------- [95%]

attentionnée: ------- [70%]

timide: ---- [40%]

heureuse: ---------- [100%]

peureuse: ------ [60%]

bavarde: ------- [75%]

égoïste: -- [15%]

mamaladroite: --- [30%]

négative: -- [14%]

sociable: --------- [90%]

J'aime:

- Le Nutella

- Mon Lapin

- Mon Chat

- L'ordinateur

- Mes copines

- L'équitation

- Re-Mes Copines

- Faire Les Magasins

- Faire Des Photos

- Mon Portable

Si vous votez pour moi pourriez vous laisser un petit commentaire pour que je vous rende le coup svp?? (enfin c'est pour vous)

Je ne repond pas aux dollz qui me disent qu'elle m'adore pour que je leur mette un +2 ou qui me disent qu'elle ont voté pour moi alors que ce n'est pas vrai

    Attention "rire" est une arme, on peut mourir de rire.

Cela ne sert à rien de vous stresser

respirez, souriez

laissez vous aller.

Tout est art

VdM que j'aime:

*Aujourd'hui, je suis professeur dans un lycée et les élèves se moquent souvent de ma petite taille. Ce matin, l'un d'eux a inscrit tout en haut du tableau : "Efface-moi si tu peux." VDM

 *Aujourd'hui, mon chat est mort écrasé. Il s'appelait Compote. VDM

*Aujourd'hui, je suis en pleurs dans le bus suite à un chagrin d'amour. Un petit garçon n'ayant pas plus de six ans me regarde et me balance avec toute la compassion du monde : "Tu pleures parce que tu es *** ?" VDM

*Aujourd'hui, à mon mariage, au moment fatidique de la question "Voulez-vous prendre pour épouse mademoiselle X ici présente ?", j'ai pris 10 secondes à répondre parce que je pensais à : "Non, mais je prendrais bien un Kiri." Ma nouvelle femme n'arrête pas de me demander pourquoi je rigolais. VDM

BlAgUe:

 Lisez ce qui suit très attentivement à haute voix :

- Ceci est ceci chat. 
- Ceci est est chat. 
- Ceci est une chat. 
- Ceci est manière chat. 
- Ceci est de chat. 
- Ceci est tenir chat. 
- Ceci est un chat. 
- Ceci est con chat. 
- Ceci est occupé chat. 
- Ceci est pendant chat. 
- Ceci est au chat.
- Ceci est moins chat. 
- Ceci est 20 chat. 
- Ceci est secondes chat.

Maintenant, vous vous demandez quelle est cette stupidité, hein ? Et bien revenez en arrière et lisez le troisième mot de chaque ligne à partir du début... Sans rancune...

EnIgME:

Si vous touvez la réponse, écrivez la moi en commentaire et je vous rajoute un +2!!

Un père et sa fille ont un accident de voiture, le père est tué sur le coup, et la fille est enmenée à l'hopital, le chirurgien arrive et dit: Je ne peut l'opérer car il s'agit de ma fille... 

<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3

LOVE FOR YOU

I HOPE THAT

THIS MESSAGE

WILL GIVE YOU

HAPPINESS

Give me a smile!

/)   /)

(=' . '=)

 (")____(")

J'aime

 Une histoire, inspirée d'un fait réel

          Une trop longue amitié

  Je m'appelle Laura et je vais vous raconter mon histoire. L'histoire d'un instant de ma vie qui m'a particulièrement marquée et c'est pour cela que j'ai besoin de vous le raconter, à vous qui lisez ce texte et qui pouvez comprendre ce que je ressens. J'ai besoin de vider mon esprit, mon coeur et de livrer se souvenir.

  Depuis toute petite, je connais une fille qui s'appelle Alice. C'est ma meilleure amie. Elle est la personne qui compte le plus pour moi, après ma famille. Elle est grande, blonde, timide, comprhéensive et c'est surtout celle à qui on peut tout dire quand on a un chagrin, celle qui vous écoutera et celle qui vous donnera les meilleurs conseils. Au début, quand j'était en maternelle, je connaissait une autre fille que je considérait comme ma meilleure amie, elle s'appelait Inès. Mais un jour, elle à déménagé et depuis je n'ai plus eût de nouvelles après plusieurs tentatives. Alors depuis cet évènement, je suis réstée avec Alice que je connaissait déjà. Et depuis nous sommes inséparables...

  Nous avons donc grandi ensemble, pour les meilleurs instants et pour les pires. Bizarrement, nous sommes toujours réstées dans la même classe. Une ou deux filles sont venues dans notre duo et nous pensions qu'elles étaient gentilles, qu'elle ne nous feraient aucun mal et nous provoqueraient acunes dis***s, or on se trompait aucunes de ces filles qui voulaient rester avec nous pour devenir à leur tour une de nos meilleure amie, étaient néfastes à notre relation. Mais tout cela s'est passé à l'école primaire. Bien sûr, nous avions beaucoup d'autres amies mais pour moi, il n'y avait que Alice.

  Le temps passait normalement et il y eût un temps ou nous avions acquis l'âge de la "pré-adolescence" et il fallut rentrer au collège... L'idée ne me séparer d'Alice me faisaient pleurer mais heureusement nos parents firent en sorte que nous soyons dans le même collège. Et lors de l'entretien avec la directeur de mon futur collège, celui-ci nous a demandé si je voulais être dans une classe avec une personne particulière qui entrait dans le collège. Je fus soulagée en recevant le courrier où était marqué la classe "6ème Violette" en sachant qu'Alice avait sauté sur le téléphone pour m'appeler après avoir reçu cette lettre qui disait qu'elle aussi serait également en 6ème Violette.

  Le jour de la rentrée approchait et j'était toute excitée de retrouver Alice après ces deux mois de grandes vacances d'été mais en même temps, j'était térrorisée en pensant que j'allait rentrer au collège. Je ne pouvais rester dans mon ancienne école, celle-ci s'arrêtait au cm2 et reprenait au lycée. Cela m'arrachait le coeur de ne pas revenir dans ma chère et tendre école primaire où était resté tous mes souvenirs d'enfance, de la petite section jusqu'au cm2. Je terminais mon cartable Chipie, celui qui me restait du primaire. On m'avait acheté un tout nouveau sac à dos pour ressembler à une collégienne, mais moi je préférais garder mon cartable. Je mettais ma trousse et je rangeait dans mon trieur, chose que je ne connaissait pas avant, mes copies simples, blanches, jaunes, rose, bleues et vertes, mes copies doubles en pensant que tout cela était trop compliqué. C'était plus simple au primaire, j'avais des cahiers pour toutes mes leçons! Je préférais rester en cm2, refaire mon année, remonter le temps. Mais non, il fallait comme même affronter le futur, demain c'est la rentrée des classes, au collège...

  Je m'endormis facilement ce soir là, contrairement aux autres soirs où je mettais une éternité à fermer les yeux pour de bon. Le lendemain matin, réveil à 6h45, c'était trop tôt pour moi, j'avais du mal à me lever un quart d'heure plus tôt que d'habitude. Mais l'envie de retrouver Alice était plus forte que mon sommeil, alors, décidée, je me leva.

  Il était temps de partir, c'était mon père qui m'accompagnait. Je lui disait sans cesse "Tu reste bien avec moi jusqu'a ce que je monte en classe, hein?!" ou "Tu ne t'en va pas hein papa?!" et il continuait de conduire en répondant tranquillement "Mais bien sûr!". Après s'être garés, nous arrivâmes devant la grande porte du collège. Et on voyait un imense bâtiment, grand en largeur et en hauteur. Je voyais tous les élèves qui rentraient joyeusement en retrouvant leurs amis. Je tenait mon père par la main et nous entrâmes dans le collège.

  Au début je voyais tout le monde heureux mais moi je ne l'était pas. J'avais peur. Je serrais la main de mon père et je voulais fermer les yeux. Mais après, quand j'ai commencé à voir la case où les 6ème Violette devaient se ranger et quand j'ai vu tous mes nouveaux camarades de classe, j'ai commencé à me soulager en pensant que cela ressemblait à une rentrée ordinaire. Et là je vis Alice qui vint à ma rencontre:

"- Alice! Tu m'as trop manquée!! lui lancais-je.

 - C'était super long les vacances! T'as reçu ma toute dernière carte postale de Marseille? me répondit-elle.

- Oui oui t'inquiète. T'as réussi à faire ton sac? Moi j'ai eu trop de mal...

- Bof, je savais pas trop quoi mettre, y a pleins de trucs..."

Et la cloche tout en haut du bâtiment retentit. A ce moment-là, j'ai ressenti une grosse boule au ventre, j'était stéssée. Je ne voulais plus quitter mon père qui lui discutait en rigolant avec la mère d'Alice. Il tourna la tête, alerté par la sonnerie. Il me dit: " Allez, vas-y ma puce, je viendrais te rechercher ce soir. Et t'inquiète pas, ça va bien se passer, moi à ton âge, j'ai vécu la même chose et tu vois, je suis toujours pas mort! " Je lui fit un bisou et suivit le rang de ma classe qui partait déjà, accompagnée d'Alice.

  Suite prochainement...

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