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poeme04 a 3 points de bonté.

poeme04
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Vétérinaire
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Bonjour,

Je voudrais d'abord remercier tout ceux qui prennent le temps de commenter mes textes, ça me touche vraiment.

Je prends pas mal de temps à créer mes oeuvres, cela fait maitenant 4 ans que j'ai commencé. Petit à petit mes textes on évolué, ils sont maitenant plus morbide, plus "trash" et aussi plus expressif. Tous ceux présent ici sont de moi alors je vous pries de bien vouloir respecter les droits de l'auteur. Merci et Bonne lecture.

[Pour toutes questions ou autres je suis joignable par MP ou à l'adresse suivante: yumi-no-yume@hotmail.fr]

 

Welcome.

 

 

Deux Secoondes: Déchéance Mortelle.

Telle une sentence,
Ils prononcèrent ma déchéance.
J'avais, parait-il, perdu mon sens,
Je réduisais la cadence,
Au fur et à mesure que les jours passait,
Je voyais,
Ma raison s'envoler,
Moi qui avais tant rêvé de cette ascension,
Ils me condamnèrent à l'unisson,
Je fus nommé Coupable,
Coupable de l'impardonnable,
De ce que j'avais fièrement prénommé,
"Le plus bel acte de ma vie",
Ma haine était si bien nourrie,
Que je me devais de l'immaculé,
De ton sang si pur,
Je m'étais si bien vengé qu'ils furent,
Pris de peur,
En découvrant ton cadavre sanglant,
Saisit au cœur,
Tremblant,
Il avait choisi, on ne sait comment,
D'éradiquer le mal par le mal,
D'une façon brutale,
Ils me désignèrent innocemment,
Sans savoir vraiment,
Je fus damné,
Pour l'éternité.
  
 
 
 
 
 

 

 

Je suis une droguée,
Je l'admet,
Mais la plus belle drogue à mes yeux,
C'est ta voix.
Peut importe ce que tu crois,
En ce bas monde je n'avais besoin que de toi,
Même si je t'ai trompé,
J'aimais je ne t'ai oublié,
Tu as toujours été dans mon coeur,
Tu as été le seul capable de faire mon bonheur,
Tu ne m'auras sans doute jamais pardonné,
Je suis une droguée je l'admet,
J'ai détruis notre amour,
Juste pour,
Quelques cigarettes,
Mais, on s'était tellement pris la tête,
Tout ça était pour moi bien peu suffisant,
Et puis, tout à foutu le camp,
Un changement de méthode s'imposait,
Je n'ai vu que dalle,
J'ai même pas vu que tu allais mal,
Pendant que je cherchais les seringues,
Toi tu as pris le flingue.
Ce fut une mort sans souffrance,
Je pense,
Tu t'es laissé emporter,
Ce fut une belle fin pour un ange.
Je suis une droguée.
Mais, ta mort n'y aura rien fait,
Jamais je ne changerais.
Je vivrais comme je le veux.
Seulement, je me suis coupé les cheveux,
J'ai jetté ce foutu flingue,
Brulée mes seringues,
J'ai guéris mes mutilations,
De toutes mes cigarettes, j'ai fait don,
Je me suis bien habillé,
Un peu maquillé,
J'ai fermé la porte à clé,
Et je suis partie me confesser.
Lors de ce matin blanc,
Sur le toit d'un batiment,
J'ai regardé le ciel et j'ai confié,
Mes nombreux pêchés,
M'as-tu vu d'où tu es ?
Sous tes yeux j'ai fait,
Un bel acte de courage,
J'ai enfin touné la page.
Sans que tu ne me pousses,
J'ai gouté à une mort douce.

 

 

 

 

 

 

 

1. Crier jusqu'aux larmes. Quelqu'un dans ce monde souffre du même mal que moi.

Là, tu sais, j'ai envie de me coucher et de m'effondrer en sanglots. Mais tu me connais assez pour savoir que sa n'arrivera pas. Pourquoi personne ne comprends ? Je ne suis pas cette fille qui sourit tout le temps.

Les souvenirs défilent dans ma tête. Du début à la fin. Alors je vais écrire.
C'était il n'y a pas si longtemps, mais déjà bientot un an. Une rencontre hasardeuse, mais surement inévitable. Un jour de pluie, il fesait froid. Je ne me souviens plus exactement de l'endroit, ni de la date. Mais je garde en mémoire ce jour comme l'un des plus précieux. Pas de bonjour, juste un aurevoir. Et pourtant on allait se revoir, s'était sur. Certain même. A l'heure d'aujourd'hui je me demande si te rencontrer étais si vital que ça, si ma vie aurai été différente sans toi. Et si j'étais différente, es-ce que tout serai comme ça aujourd'hui ? Je ne sais que dire de plus, car entre le début et la fin le temps a floué les moments de notre histoire. Au fil des mois, nous avons appris à nous connaitre, comme toute personne normalement constitué. Malgré notre différence d'une année, c'était flagrant comme nous étions fait pour nous entendre. Tu étais froid, distant et sur de toi. Discret, aimable. Mais aussi insuportable, de part ta voix qu'on entendait jamais et de part cet air sur ton visage, qui donnais l'impression que tu te foutais de tout. Je me souviens n'avoir jamais vu une seule note d'affection de toi à mon égare, jamais vu un geste d'attention. Et puis, l'amour naît n'importe où, n'importe quand. Surtout quand on s'y attend le moins. C'était réciproque, mais je me passerai des détails sur notre relation amoureuse pour le moins désastreuse. Mon coeur n'est pas près à s'en souvenir, ma tête non plus. Mais malgré tout, tu as su m'accorder une deuxième chance, tu as su me pardonner. L'amour se trans e rarement en amitié, mais je ne voulais pas me l'avouer. Pourtant je l'ai bien vu. Malgré nos nombreux centre d'intérets communs, nous étions très différents. Nous n'étions pas du même monde, et tu me suportais de moins en moins. Je le voyais dans tes yeux. Nos n'avions pas la même visions des choses, pas la même façon de penser. C'est toujours pareil aujourd'hui. Pourtant il parait que se sont les différences qui rapproches les gens, mais c'était loin d'être vrai pour toi et moi. Et puis, tout a fini sur une dis*** stupide. Tu ne voulais pas avouer tes tords, et moi les miens. Le fossé qui avait commencé a se creusé entre nous était devenu une énorme brèche. Incomblable. Alors maintenant, aujourd'hui, que sommes nous devenus ? Je fais sans moi, je fais sans toi. Après tout, je n'étais peut-être destinée qu'a n'être que de passage dans ta vie ? Ce qui est sur malgré tout, c'est que tu m'as ouvert les yeux sur de nombreuses choses, et de notre rencontre à notre dis*** je n'oublis rien, encore aujourd'hui.
Déjà deux mois qu'on s'ignore, qu'on ne se connait plus. Et seul mon regard parfois si vide témoigne de ton existence. Mais il me reste une chose à t'avouer; Je suis désolée. J'espère un jour trouver le courage de te dire combien ton absence est insuportable, et combien je suis désolé d'avoir été comme ça avec toi, et d'ailleurs; combien je suis désolé de me comporter encore ainsi. Me pardoneras-tu, un jour ?
Me donneras-tu cette chance, cette troisième chance, de tout recommencer ? Moi j'ai encore besoin de toi, tu comprends, j'ai encore besoin de ta présence à mes cotés, de ta voix pour me rappeler qu'il y a toujours pire que chaque situation qu'on a vécu, à deux, et chacun de notre coté.
Et, pour finir, aurais-je le courage de t'avouer ce qui me serre le coeur, aurais-je le courage de laisser ma fierté de coté pour t'avouer le manque que tu causes en moi ?
Pardonne-moi, mais il est trop tard pour que j'oublie. Mon corps, ma tête et mon coeur le savent; Tu m'es essentiel.

 

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