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Kath, celui qui fait de la grooooosse lè.che aux patrons :')

Kathrin ? hem... Qu'est-ce que je pourrais vous dire de gentil  sur lui ? Rien, je crois ! Ce type est un désagréable faux-jeton !

Le petit Val/Quentin ? 

Découvrez avec lui la douceur d'une caresse, le bien-être de la gentillesse.

"C'que vous êtes beau." Geisha.

Reçoit ses rendez-vous au sanctuaire.

Mokou est une princesse dont on paye le privilège de la compagnie

Divertir le quotidien d'un dieu est une affaire bien difficile.

C'est pourquoi, après avoir créer le monde, les Hommes, les jours, l'ennui,

le dieu créateur créa les diables. Les diables sont les bouffons du dieu. Puissent-ils accabler les Hommes autant qu'il est nécessaire pour le satisfaire.

Les anges sont des erreurs.

Les Hommes sont des erreurs.

Le temps aussi.

Seul Mokou n'en est pas.

Idées pour commencer un rpg : faire les boutiques à la recherche d'un vêtement pas mo.che. Inviter à boire un thé. Demander à manger. Musée. Musique. Arts. Foule. Dans une file d'attente chez le médecin ?

Perso en cours of course !

Skell.

Beauté luxe viscéral colère

La dignité c’est de ne jamais la perdre.

«  Dis Nietei/Nytë/Nyetë/. Vas-y. Dis-le. J'attends...

-Dignité ?

-Exactement. »

« Ce qui distingue les Hommes des bêtes,

est exactement ce qui distingue les divinités des Hommes :

la Beauté. »

« Comment font les autres gens pour être heureux ?

Il y a trois conditions pour ne pas agacer Garance :

Ne pas poser de question

Ne pas trembler

Et obéir.

Mokou est une personne de nature très douce et très calme. Sa démarche est lente et ses paroles sont posées. Sa coiffure travaillé et ses vêtements propres et repassés suffisent à illustrer la personne soignée qu’il est.

Il agit avec douceur et calme, sauf lorsqu’il est en colère. Mais vous ne mettriez pas Mokou en colère. Vous n'êtes pas de ce genre. Vous tenez à votre beau visage, n’est-ce pas ? 

Sensible et fragile comme peut l’être sa peau

Mokou ne sort donc jamais du sanctuaire si ce n’est accompagné d’une ombrelle.

Bercé par les psaumes flatteurs, les encens aux fumées envoûtantes et les offrandes sublimes, Mokou a très peu l’habitude de la pauvreté et il a un besoin du luxe et du confort viscéral.

Comment t'expliquer comment m'est venu la spiritualité ?

Il y a quelques années, j'ai vu une étoile filante dans le ciel et j'ai fait un voeu. L'étoile filante a filé, et dès qu'elle disparut du ciel, il y eut un grand tremblement de Terre. Une météorite ? Sûrement ! La fumée que rapportait le vent à chacun de ses souffles brûlants me fit bien vite comprendre que la chute de l'objet en feu avait incendier la forêt et je m'y rendis très vite pour vérifier si mon voie avait march-... Enfin... hm, parce qu'une curiosité soudaine m'y poussait. Et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant une förme lumineuse sortir d'entre les débris calcinés de pierre. Un homme ! Oui, il y avait dans c'te caillou volant un homme qui avait éclos comme d'un oeuf en atterissant ! Magique, hein ?

J'ai cherché à l'approcher, mais peureuse comme elle était, la pauvre petite créature s'est enfuie dans les bois. Et elle était toute nue ! Je l'aurais bien suivie, ma foi, mais le feu qui se propageait autour de moi sur tout le flanc de la colline rameuta des hommes, d'autres hommes, et ils firent bien de me tirer des flammes, car j'en serais rester consummé sinon.

Quelques jours plus tard cependant, on revint tous en exploration. Le matériau qui avait été rejeté par le ciel était fichtrement solide et les gars du coin qui avait aussi vu l'étoile filante prétendire qu'il s'agissait d'un signe divin, ou je-ne-sais-quoi.

Ils prétendirent que c'était sûrement un ange qui s'était écrasé là, et qu'il nous avait laissé la pierre en guise de message. Il fallait construire un lieu saint. C'est alors qu'on bâtit le sanctuaire.

Je revenais souvent à cet endroit, plus que les autres, qui étaient très souvent affaiblis par l'oppression de l'altitude, ou découragés par la fatigue de la montée.

Mais moi, j'avais vu la lumière, et je voulais la revoir. La retrouver.

C'est à cette période que je fis le plus de randonnées forestières de ma vie.

Mais cela ne dura pas. Alors qu'un jour j'accompagnais un jeune spirituel aux hauts sommets de ces collines -je le supposais venu de loin, de part le teint basané de sa peau, et je pus constater en discutant avec lui qu'en effet, on avait entendu l'histoire de notre temple aux briques célestes jusqu'au delà des mers du Sud !- je voulus prétexter une excuse quelconque pour pouvoir m'absenter -et me ballader de nouveau dans cette forêt- durant ses prières. Cependant, le jeune insista pour que je l'accompagne et me proposa de visiter le dédale de statue qui se situait au fond du temps. Je me précipitais dans le long couloir qu'il m'indiquait, afin d'y passer le moins de temps possible et afin de m'occuper d'autres activités ensuite, mais une forte odeur d'encens m'interpela soudain. Je trébûchais sur un bâton lisse, bossue et clair qui roula jusque dans la pénombre. Je me relevais en m'aidant des murs que je sentis souillé de liquide brûlants et humide... Du sang ? Cela ressemblait plutôt à du mucus mais je n'eus pas plus le temps d'y réfléchir que je la vis. Là, face à moi...

La créature vivait dans le sanctuaire, des offrandes des prêtres et des pèlerins !

«  On se demande bien pourquoi les Hommes, au cours des différentes étapes de leur évolution, ont gardé voire même affiné leurs sentiments. Quel défaut... »