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RPG

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Ami du jour bonjour, ami du soir bonsoir

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1_ Il n'y a pas de limite de rpg sur mes personnages, je ne les bloquerai jamais sous prétexte que j'en joue un plus qu'un autre. Je les inve.nte, les façonne et les propose, c'est bien pour les jouer plusieurs fois. Le rpg n'est pas une industrie de personnages à usage uniq.ue.

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2_ Que ce soit avec un de mes personnages masculins ou féminins ne vous attendez pas à avoir une histoire d'amour avec lui. De plus, j'ai horreur des rpg gnian gnian monotones où rien ne se passe à part des bisous et des câlins. (Sauf si le rpg est bien écrit et qu'il remplit certains critères du romantisme.).

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3_ N'hésitez pas à consacrer un message entier pour la de ion, j'adore ça. Aussi, j'aimerai un langage correct, pas digne de la dictée de Mérimée mais juste le minimum syndical. (Il m'arrive aussi de faire des fautes, c'est humain.).

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4_ Pour finir, le jeu est un passe-temps et non une contrainte. Ne m'envoyez pas des messages de demande de réponse car j'aime prendre mon temps... Plus vous me pressez et plus je prendrai du temps soyez-en sûrs.

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LES PERSONNAGES

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HANALEI, la muette assourdissante

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EN COURS

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ALENA, l'assurée peu sûre d'elle.

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Ses cheveux blonds étaient relevés dans une queue de cheval, elle n'avait pas eu l'ambition de faire de sa coiffure quelque chose de magistral ce jour-là. Et puis, Alena était une fille simple et n'aimait pas les choses extravagantes. Sa queue de cheval avait un côté pratique qu'elle privilégiait. Ses écouteurs étaient enfoncés dans ses oreilles, le volume était au maximum. La blonde avait négligé ces publicités de prévention sur la surdité et préférait écouter de la musique à en devenir sourde. Ses converses étaient bien nouées, son sac en bandoulière était bien ajusté, un sourire était fixé sur ses lèvres et rien ni personne ne pouvait l'effacer. On avait l'impression que rien ne pouvait l'atteindre tant sa démarche rejetait de l'assurance, alors qu'au fond, Alena n'avait rien d'une fille sûre d'elle. Elle savait simplement se promener dans les rues d'Amsterdam dans toute sa splendeur.

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Alena est ce genre de fille qui préfère les salons de thé à seize heures aux bars discothèque à minuit, les vieux bouquins qui sentent la poussière aux articles people qu'on trouve dans les magazines aguicheurs, les gros pulls tricotés aux robes de soirées, les converses aux talons, le jus d'orange à n'importe quelle boisson alcoolisée et les scéances de cinéma aux rencards jugés sans lendemain.

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Un beau mystère.

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NARESSA, la sociable associable.

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La sonnerie venait de retentir et Naressa se freyait un chemin à travers la foule d'élèves sans difficulté. La brune avait son sourire habtituel collé aux lèvres. Elle ne l'adressait à personne en particulier mais tous se battaient pour faire entendre raison à un autre. "Elle m'a sourit." entendait-elle de part et d'autre du couloir principal de son lycée. Elle faisait cet effet-là aux gens, tous avaient l'impression qu'elle était précieuse et que recevoir un simple sourire de sa part était comme une bénédiction. Personne n'osait l'embêter ni même lui adresser la parole de peur de ne pas être à sa hauteur. Cette fois fut la derrière car on ne revit plus Naressa dans les couloirs étroits du lycée.

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Tout le monde appréciait Naressa car Naressa avait tout pour elle. Un sourire d'enfer, une silhouette de mannequin, une gentillesse à tout rompre. Elle tenait une disctuion avec n'importe qui, toujours le sourire aux lèvres. Cependant, elle mangeait seule, n'arrivait et ne partait jamais du lycée accompagnée, n'avait pas de petit-ami et ne trainait avec personne en particulier. Les fois où elle sortait étaient très rares, comme si elle ne voulait s'attacher à personne. Pourtant, elle pouvait avoir n'importe quel garçon, n'importe quelle copine. Si seulement elle le voulait.

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Un délice éphémère.

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SOREN, la voix de la raison.

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Ses yeux brillaient dans la lueur du jour finissant, quelques flocons de neige s'écrasaint dans ses cheveux ébènes, ses mains étaient enfoncées dans les poches de son long manteau noir et ses pas frappaient frénétiquement le bitume. Les filles se retournaient dans la rue, les garçons l'observaient de haut en bas avec une once de jalousie, les personnes plus âgées observaient sa prestance car Dieu, les passants et lui-même savaient que Soren avait de l'allure. Il poursuivit sa route. Depuis qu'il est venu au monde, tout ceci était devenu une habitude.

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Soren est introverti, il garde tout pour lui, ses pensées, ses mots, ses sentiments, on oublie vite le son de sa voix et de son rire. Malgré cela, on peut tout lui demander, il est du genre à se donner à deux cents pour cent pour n'importe qui. Il aime rendre service quand il le peut. Soren est innaccessible, jusqu'à présent, aucune fille n'a réussit à l'approcher. Aucune fille ne l'intéresse tout simplement. Il est partout. En soirée, on peut être sûr qu'il sera quelque part par là, à annalyser les choses et à y penser, en silence.

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Une voix lancinante.

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ALEK, le meurtrier meurtri.

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Ce jour-là, une goûte salée avait perlé sur sa joue gonflée. Le blond regarda son géniteur avec toute la haine qu’il avait pu garder en lui depuis des années et vint écraser son poing contre le visage de son père en se déchaînant jusqu’à qu’il ne puisse plus le reconnaître. Ce jour-là fut le dernière fois qu’Alek versait une larme mais pas la dernière fois qu’il se battait.

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Alek est réservé, il n'est pas acceuillant aux premiers abords, il fait même peur mais c'est quelqu'un de très intelligent et il faut le connaître pour comprendres son comportement. Il a un passé difficile, qui justifie tous ses actes de violences. Plus jeune, ses bleus ne venaient pas de bagarres ordinaires, Alek est ce qu'on appelle un enfant battut. Il sombre peu à peu dans des histoires étranges avec des gars pas très fréquentables et beaucoup de personnes le craignent.

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Bleu comme un Schtroumpf.

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ERIN, l'innaccessible libertine.

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Elle venait de passer sa journée à la bibliothèque pour étudier l'astronomie et l'univers observable afin de monter une hypothèse sur le composition de la matière baryoni.que. A peine rentrée chez elle, la blonde revêtit son masque de tous les possibles, celui qui la rendait bête mais irrésistible. Ce masque qui empêchait à quiconque de la connaître sous son vrai jour. La jeune femme avait paint ses lèvres d'un rouge sang et avait tracé un magnifique trait d'eye-liner sur ses yeux clairs. Sa robe épousait toutes les belles courbes de son corps qu'elle s'efforçait de cacher dans ses pull tricotés la journée. La porte du bar s'ouvrit sur la femme fatale qu'elle était, l'appel d'air fit voler ses cheveux qu'elle avait préalablement bouclés. Erin n'était plus.

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Erin était la plus sage au lycée, un comportement irréprochable, des notes excellentes pour rentrer dans le moule déjà façonné par sa mère avocate de renommée. Et puis un homme, un premier amour, une rupture à l'effet d'une bombe et le burn out. Depuis, la Erin mignonne, innocente et intelligente est cachée sous un kilo de maquillage, d'habits de marques, de bijoux onéreux et d'arrongance. Elle pourrait encore changer et être elle-même, si seulement elle le voulait. Toujours à vouloir se prouver des choses futiles.

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Une obscure clarté.

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