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sofian34
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lisser pas les histoir si vs aite sensible!!!!

ptit histoir(fausse)

 Tu veux te suicider ? Imagine ça. Tu rentres des cours un soir, après une horrible journée, encore. Tu es prête à tout abandonner cette fois. Tu vas dans ta chambre, tu fermes la porte, tu reprends ce morceau de papier, cette lettre de suicide, que tu as écrit maintes et maintes fois, encore et encore. Tu prends cette lame de rasoir, et t'ouvres les veines pour la dernière fois. Tu prends cette boite de pilules, et les avales toutes. Tu t'allonges patiemment, tenant cette lettre sur ta poitrine, tu fermes les yeux pour la dernière fois. Une heure plus tard, ton petit frère toque à ta porte pour te dire que le diner est prêt. Tu ne réponds pas alors il entre, il voit seulement que tu es allongée sur ton lit, alors il pense que tu dois dormir. Il redescend et dit ça à ta mère. Elle monte dans ta chambre pour te réveiller, mais remarque que quelque chose ne va pas. Elle prend la feuille que tu as dans les mains, et la lis. Sanglotant, elle te secoue, crie ton nom, mais tu ne bouges pas. Ton frère, désorienté, cours dire à ton père que ta mère n'arrive pas à te réveiller. Ton père monte les escaliers affolé, voit ta mère en train de pleurer, tenant fermement cette lettre contre sa poitrine, près de ton corps sans vie. Il comprend rapidement, et se met à crier, jetant un objet à travers la pièce. Puis, il tombe à genoux, et se met à pleurer. Ta mère s'approche difficilement de lui, ils se prennent dans les bras, et pleurent. Le lendemain à ton lycée, la principal annonce ton suicide à la classe. Cela prend quelque seconde avant que chacun se rendent compte, puis, tout le monde devient silencieux. Ils se blâment tous eux-même. Tes professeurs pensent qu'ils ont été trop durs avec toi. Ces filles populaires repensent à tout ce qu'elles t'ont dit de méchant, bêtement. Ce garçon qui avait l'habitude de t'ennuyer et de t'insulter, ne peux pas s'empêcher de se haïr pour n'avoir jamais osé te dire à quel point il te trouvait belle en vérité. Ton ex petit copain, celui à qui tu disais tout, celui qui t'a largué, pourtant il ne peut pas supporter d'entendre cette nouvelle, il s'effondre, se met à pleurer puis quitte la classe. Tes amis? Ils sanglotent aussi, se demandent comment ils ont fait pour ne pas se rendre compte que quelque chose n'allait pas, ils auraient aimé pouvoir t'aider avant qu'ils ne soit trop tard. Et ta meilleure amie? Elle est en état de choque, elle ne peut pas y croire. Elle savait ce que tu traversais, mais elle ne pensait pas que ça pouvait aller si mal... au point d'en finir. Elle ne peut pas pleurer, elle ne rien ressentir. Elle se lève, et sort de la classe. Dans le couloir, elle s'effondre par terre, tremblante, se met à crier, mais aucune larme ne sort. Quelques jours plus tard, à ton enterrement. Il y a foule, beaucoup te connaissaient, et appréciaient cette fille pétillante. Celle qui était toujours là pour les autres, l'épaule sur laquelle on pouvait pleurer. Ils parlent tous des bons souvenirs qu'ils ont eu avec toi. A tous, on peut voir des larmes couler de leurs yeux. Ton petit frère ne sait toujours pas que tu t'es suicidé, il est trop jeune. Tes parents lui ont seulement dit que tu étais décédée. Ça le blesse, énormément. Tu étais sa grande sœur, tu étais supposée être toujours là pour lui. Ta meilleur amie, elle essaye de rester forte durant toute la cérémonie, mais au moment où ton cercueil est mis en terre, elle perd tout moyen, et se met à pleurer comme elle n'a jamais pleurer. Et elle continuera, pendant des jours, et des jours. Deux ans plus tard. Tes amis, pour la plupart tombés dans la dépression, parlent toujours à un conseiller/thérapeute une fois par semaine. Certains de tes professeurs ont tout simplement quittés leur job. Ces filles populaires ont maintenant des troubles alimentaires. Ce garçon qui t'insultait, s'ouvre les veines. Ton ex petit ami ne sait plus comment aimer et n'a jamais pu avoir une relation stable à nouveau. Ta meilleure amie? Elle a essayé de se suicider, elle n'a pas réussi comme toi, mais elle a essayé, plusieurs fois. Ton frère? Il a finalement découvert la vérité sur ta mort. Il se coupent, s'ouvre les veines, pleure le soir. Il fait tout ce que tu as fait pendant des années, et qui t'a conduit au suicide. Tes parents? Leur mariage est tombé à l'eau. Ton père est devenu alcoolique, pour le distraire du mal que lui a causé ton décès. Ta mère est tombée dans une profonde dépression qui la tue à petit feu et reste clouée au lit toute la journée. Les gens ne s'en fichent pas. Tu ne le remarque peut-être pas, mais ils ne s'en fichent pas. Tes choix ne t'affectent pas seulement toi, ils affectent tout le monde autour de toi. Ne mets pas fin à tes jours, il te reste tellement à vivre. Les choses ne peuvent pas s'améliorer si tu abandonnes. La vie est faite pour qu'on ce batte, y'a toujours pire que nous ailleurs. Si ça ne va pas, défoulez vous, hurler, parlez.. Mais ne baissez jamais les bras.

 







autre histoir:

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
Mais Floppy n'arrivait pas.
Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ? 

- Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi ! 

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.



Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.



La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu... n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de pa*** : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.



Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.



Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !



Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion u*** pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.



Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.



Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...

       JE SUIS DERRIERE TOI!!!

 

 

 

autre histoire:

 







C'est l'histoire de deux jumelles de 4 ans et demi, leurs parents étaient parti en soirée et elles avaient reçu l'ordre de se coucher à 21h...

21h passé les filles désobéissent et jouent aux cartes.
22h, les filles regardent la télévision dans leur chambre. Soudain, elles entendent un bruit : "Tchik Tchik Boum! Tchik Tchik Boum!"

La première fillette rassure sa soeur en disant que ce n'est que la machine à laver, elles continuent donc de regarder la télé... Mais le bruit persiste et devient de plus en plus intense : "Tchik Tchik BOUM ! Tchik Tchik BOUM !"

Le bruit s'arrêta, et les fillettes commencèrent à pa***... Elles se prennent dans leur bras, pleurant d'horreur... Elles entendirent un nouveau bruit : "Tchiiiiing!" et un bruit continu s'approche de leur chambre : "Rolrolrolrolrolrol" ....

Les parents rentrent chez eux, lorsqu'ils entendent la télé, les Parents se précipitent vers la chambre des filles pour les engueuler. Il était minuit passé...

Lorsque les parents entrent dans la pièce, Les murs étaient tapis de sang. Une mare de sang recouvrait le sol de la chambre... Les parents levèrent les yeux et, horreur : La tête des deux fillettes étaient suspendus par les cheveux au plafond. Les parents poussèrent un cri horrible et le père se précipite vers le salon pour appeler la police tandis que la mère était en pleurs, mais quand il allait sortir de la chambre, il remarqua avec horreur que le corps des petites filles, transpercées de toutes parts, étaient clouées a la porte... Le père, de plus en plus affolé, Court dans le salon et compose le numéro d'urgence... Mais la ligne a été coupée... Il va donc apprendre la nouvelle à sa femme... Arrivé à ses côtés, le couple entend le même bruit " Tching ! Rolrolrolrolrol... " Le couple, pris de déséspoir se prirent eux aussi dans les bras, et subirent le même sort...

Un jour, la grand mère des fillettes vient rendre visite à leur petite fille préférée, elle sonna une fois, deux fois, trois fois, personne répondit... Elle fit donc le tour de la maison et remarqua qu'il y avait du rouge sur la fenêtre de la chambre des filles. Elle se précipita donc vers la porte de derrière qui était ouverte et monta les escaliers... par la porte entrouverte, elle put remarquer les têtes des filles pâle comme la mort, presque en décomposition, du sang séché qui tapit toute la pièce, les parents coupés en morceaux et disposés un peu partout dans la pièce, la grand mère entre dans la pièce, son portable à la main et glisse sur un foie... La Grand mère n'avait même pas la force d'appeler la police, elle lâche même son portable. Elle réalise qu'elle a perdu tout ce qu'elle avait de plus cher au monde... Elle a accumulé tellement de peine qu'elle eut une crise cardiaque et tomba des escaliers... La Grand mère est morte, elle aussi.

Sur la télévision des enfants, on peut entendre au JT :

[i]Le Psychopate qui s'ést échappé de l'asile psychatrique est toujours en liberté. S'il vous plait, restez vigilants et verouillez vos portes. Ne laissez surtout pas vos enfants sans surveillance. Une equipe de police se lance à sa recherche.[i]

La police n'a retrouvé la pauvre famille que deux mois après le meurtre, et le Psychopathe en question est toujours en liberté.

En vérité, le Psychopathe est en fauteuil roulant. Il est entré par la porte de derrière, et comme il pouvait pas monter les escaliers en fauteil roulant, il est monté avec l'appareil avec ses coudes. Il a roulé jusqu'au débarras, où il s'est saisi d'une scie, d'un tournevis, d'un martau, de clous et de sécateurs.

Et c'est ainsi qu'il a tué la famille qui n'avait pourtant rien demandé.
C'est sûrement la lumière venant de la chambre des enfants qui l'a attiré. Si elles avaient obéi et se seraient couchés à 21h comme leurs parents lui avait dit, tout le monde serait vivant.

 

derniere histoire:

Mon nom est Chris,
J'ai trois ans,Mes yeux sont gonflés.Je ne peux pas voir. Je dois être stupide,Je dois être mauvais,Quoi d'autre aurait pu mettreMon papa très en colère ? J'aurais aimé être mieux,J'aurais aimé ne pas être vilain,Après, peut-être que ma mère,Aurait toujours voulu me faire un câlin. Je ne peux pas faire un tort,Je ne peux pas parler du tout,Ou encore, je me suis enfermé,Toute la journée. Lorsque je suis éveillé,Je suis tout seul,La maison est sombre,Les gens ne sont pas à la maison. Lorsque ma mère arrive à la maison,J'essaie d'être gentil,Comme ça, peut-être que j'aurai juste,Un seul coup de fouet ce soir. Je viens d'entendre une voiture,Mon papa est de retour,Du bar de Charlie Je l'entends dire des gros mots,Il appelle mon nom,J'appuie mon Corps,Contre le mur. J'essaie de me cacher,De ses yeux Diaboliques,J'ai très peur maintenant,Je commence à pleurer. Il me trouve en train de pleurer,M'appelle par des vilains mots,Il dit que c'est de ma faute,S'il souffre au travail. Il me gifle et me frappe,Et il hurle encore plus,Je peux enfin me libérer,Et je cours vers la porte. Il l'a déjà verrouillée,Et je commence à crier très fort,Il me prend et me jette,Contre le mur. Je tombe au sol,Avec mes os presque cassés,Et mon papa continue,Avec plus de mauvais mots prononcés. «Je suis désolé!», j'ai crié,Mais il est maintenant bien trop tard,Son visage était tordu,Dans une inimaginable e. Le mal et la douleur,Encore et encore,Oh ! s'il vous plait Dieu, ayez pitié!Oh ! s'il vous plait faites arrêter tout ça ! Et il s'arrête enfin,Et pars vers la porte,Tandis que je suis allongé immobile,Affalé sur le sol. Mon nom est Chris,J'ai trois ans,Ce soir mon papa,M'a assassiné. Et vous pouvez m'aider,Si vous lisez ceci,Et vous ne le transmettez pas,Je prie pour votre pardon. Vous devez être Une personne impitoyable,Pour ne pas être touchée,Par cette poésie. Et si vous êtes touché,Faites quelque chose !Donc, tout ce que je vous demande de faire,Est de faire passer ce poème ! Dans un premier temps, j'ai pensé que c'était simplement une chaîneEt je n'allais pas l'envoyer aussi,Mais maintenant, je me rends compte qu'il s'agit d'une situation importante.Au moins 5 enfants, chaque jour, dans le monde meurent de la violence envers les enfants.

 





 fini les histoires mais si vs men redemander jen remetrai! 

 

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