» Je vois son absence à chaque endroit où je pose mon regard..

Il est treize heures cinquante et une à l’heure où j’écris. Je pense à toi. Je ne devrais pas je sais mais.. c’est plus fort que moi, il faut que je pense à toi. Sinon quoi ? Je ne sais pas… Je n’ai jamais essayé de ne plus penser à toi. Enfin si, quelques fois, mais je n’ai jamais réussie. Cette nuit j’ai rêvé de toi. Et la nuit dernière aussi. Oh et puis, celle d’avant aussi. Et puis, pour dire la vérité, toutes les nuits je rêve de toi. Tu sais, des fois je me demande pourquoi. Oui, pourquoi est-ce que je t’aime ? Mais, malheureusement cette question n’a pas de réponse. Je t’aime c’est tout. Je ne sais pas pourquoi mais peu importe… Il est quatorze heures vingt-quatre et je pense encore à toi. Non, tu ne rêves pas, je pense tout le temps à toi. Et quand je te vois, y a mon cœur qui se met à battre aussi vite que roule une voiture de ule un. J’aimerais tellement que le tient fasse ma même chose lorsque tu me vois. J’aimerais tellement ça. Que tu m’aimes, autant que moi je t’aime. Si seulement c’était possible… Je ne demande pas la lune pourtant, je demande juste d’être aimer en retour. Je pensais pas que c’était aussi dur…

» Il me manque tellement que j’ai l’impression de crever tant ça fait mal.

Il est quinze heures vingt-deux. Tu me manques. Tu sais pourquoi je n’aime pas les week-ends ou les vacances ? C’est parce que pendant cette période, je ne te vois pas. Et plus les jours passent, plus c’est dur d’être sans toi. Je sais que c’est idiot car après tout, toi tu ne penses même pas à moi, mais qu’est-ce que tu veux, ce n’est pas de ma faute. Il est quinze heures vingt-six et tu me manques encore. Encore plus. Tu me manques tellement que ça devient insupportable. Je t’assure, c’est atroce. Et c’est autant plus atroce du fait que moi je ne te manque pas. Tu sais, je pourrais tout donner pour toi, tout donner pour te revoir. Je marcherais pendant des heures, je serais prête à faire huit cent cinquante-quatre kilomètres, qu’il pleuve, qu’il ***, qu’il neige, qu’il fasse une chaleur étouffante… Je serais prête à tout pour te voir. Ne serais-ce qu’une minute. Une minute seuls. Et tu sais ce que je ferais, si j’avais parcouru huit cent cinquante-quatre kilomètres sous la pluie, et que je me retrouvais face à toi ? Je plongerais mon regard au plus profond du tient pour essayer de savoir ce que tu penses de moi. Oui, je serais prête à faire ça juste pour savoir ce que tu pense de moi. Juste pour te voir, et enlever ce sentiment de manque qui s’est installé dans mon cœur. Tu penses peut-être que je suis folle, et bien oui, mais u***ment de toi.

~ Les textes sont de moi. Merci de pas copiter. :)