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yuki-storie
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Ecumeuse des mers
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Làààààà !

Oh oh les filles et peut être les garçons :D Des Questions sur moi ou sur la fiction?

Askez moi ^0^ ~> ask.fm/AngelineWorld

J'ai enfin récupérer le mot de passe de ma doll princiaple :D 

~> Sois-toi

 

 

Yuki Story

http://sketchtoy.com/39464710

Coucou !

J'ai commencé, il n'y a pas longtemps, à écrire une fiction. J'aimerai bien que vous me dites ce que vous en pensez :)

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Retrouvez la reproduction des différentes tenues de Yuki à travers les chapitres dans mon loft !

Chapitre 3-2 

Tenue Bonus plage -réalisée-

Chapitre 6 

Tenue unifxrme scolaire chapitre 6 -Réalisée-

x no picture x

Tenue Maillot de Bain scolaire chapitre 8 -réalisée-


yuki7 

Tenue de tous le jour -Réalisée-

Tenue de bal - Réalisée

 

Personnages

Prologue

Premier personnage principal

Yuki Toyama

Yuki à 17 ans, elle est curieuse, joyeuse, directe, un peu garçon manqué, gentille mais très compétitive. Elle est plus grande que toutes les filles de sa classe et même du lycée. En plus d'être immense, elle possède de longs cheveux rouges, ce qui lui vaut d'être souvent taquiner. Son nom est le même que le nouvel élève transféré il y a peu. ELle fait partie du club de natation du lycée depuis sa 1ère année et a toujours nagée. Elle rêve de pouvoir entrer à l'université sportive pour continuer de nager. Elle ne possède aucun rival pour le moment, pas même chez les garçons. Elle vit seule dans un petit appartement non loin du lycée.

Elle n'a pas d'amies, traînant sur le toit, seule ou avec les garçon de son club. Mais elle s'en fiche. Elle veut juste pouvoir nager et rester loin de toutes les railleries sur sa différence.

Chapitre 1

Second personnage principal

Hakiro Toyama anciennement "Le nouveau"

Toyama-San est un garçon de 17 ans. Il se prénomme Hakiro et il a été transféré il y a peu  dans le lycée de Yuki, et s'est immédiatement interressé à elle. Il porte le même nom de famille qu'elle. Il aime les choses qui sortent de l'ordinaire, a une voix grave mais pas trop, est grand et brun. Il s'est inscrit dès son premier jour au club de natation car il en faisait dans son ancien lycée, depuis le collège. Il est amis avec Taki depuis sa naissance, et tous les deux ont rencontré Yin et Héros en maternelle.  Hakiro est venu à Tokio pour étudier dans son nouveau lycée. Il laisse derrière lui sa soeur, Suzu, et ses parents. Il possède une cousine nommée Haruna, qui  le suit partout où il va. Elle est arrivé récement au lycée et à cause d'elle, Yuki se trompe sur le compte d'Hakiro.

Pika Pika -真珠の涙- | via Tumblr

Haruna


C'est la cousine d'Hakiro. Elle suis celui-ci partout où il va. Elle est petite, toujours bien coiffée, bien maquillée, bien manucurée. Elle n'aime pas le sport, et ses résultats scolaires ne sont pas fameux. Elle est manipulatrice, et n'hésite pas à  faire du mal aux gens. Elle rêve de devenir la femme de quelqu'un de célèbre, ou de devenir actrice.


Personnages des Chapitres Bonus:

Chapitre 3-2

Yin et Héros

Yin a les cheveux légèrement plus longs que ceux d'Héros. Il a les yeux verts, et n'aime pas s'habiller comme son frère, sauf quand ils vont  à la plage. Il aime sortir, et les études ne sont pas trop son fort. Le seul sport qu'il aime pratiqué est la musique. Héros est  beaucoup plus sérieux que son frère. Il porte une grande importance à ses études, et veut reprendre l'entreprise familiale quand il sera grand. Il aime tous les genres de sport, et ne sort la nuit que quand son frère l'y oblige. Ils ont rencontré pour la première fois Taki et Hakiro à la maternelle, et son ami d'enfance depuis ce temps.

Chapitre 3-2

Taki

Taki est blond. C'est sa couleur de cheveux d'origine. Il est né de parents étrangers venu d'Amérique. Il parle donc l'anglais couramment. Il aime les bonbons, sortir avec ses amis en ville et faire la fête tout les soirs. En primaire de lycée, il est tombé amoureux d'une fille qu'il n'a jamais revu. Hakiro et lui se connaissent depuis qu'ils sont nés, leurs parents étant amis depuis de longues années. Ils ont rencontré Yin et Héros à la maternelle, et depuis ce temps, ils sont tous les quatre inséparables.

News Chapitre 9:Taki a retrouver la fille dont il était tombé amoureux en primaire. Elle s'appelle Tishia, et elle st dans la même classe que lui. Il ne l'avait jamais vu avant l'événement que vous pouvez découvrir au Chapitre 9 ^^

smile when you can.

Tishia

Tishia est l'inconnue de primaire dont Taki est tombé amoureux. Apparue au cours au Chapitre 9, elle fait tombé le coeur de Taki pour elle. Elle paraît timide, de part ses lunette, mais a en faite un sacré tempérament. Elle n'aime pas les impolitesses, et s'énere quand on l'embete. Depuis qu'elle est toute petite, tous ses professeurs de piano lui ont répeter qu'elle avait un talent grandiose et qu'il fallait qu'elle le conserve. Donc, au lycée, elle c'est inscrite pour des cours de piano. Mais son tuteur considère qu'elle n'a pas besoin d'heure de cours en plus. A vrai dire, il préfère rentrer plus tôt chez lui que s'occuper d'une prodige ~

 

Chapitre 1

Encore ! Ce satané réveil a encore sonné trop tard !

Je pris vite mon uni e dans mon placard, me brossai les dents et les cheveux. Je mangeai mon petit déjeuner en coup de vent, attrapai mon sac sur la commode, sortis par la porte en la faisant claquer et dévalai les marches de l'immeuble. Courant comme une folle pour ne pas arriver en retard au lycée, j'en oubliai mon nœud accroché à la hâte qui était en train de se décrocher. Enfin devant le portail encore ouvert, je me précipitai juste avant que le gardien ne le ferme. Le prof allait entrer dans la salle, quand je pris mon élan et sautai par dessus ses épaules. Toute la classe me regarda avec étonnement , puis après un moment, tout le monde éclata de rire. Je me fit quand même disputé par le professeur pour avoir perdu mon nœud, mais en m'asseyant sur ma chaise au fond de la classe, j'avais déjà oublié. Je regardai par la fenêtre pendant que le cours continuait, comme d'habitude, car on pouvait voir le club de piscine de ma place. Sans y avoir prêté attention, quelque chose dehors capta mon regard. Un garçon, debout devant l'eau, baissant la tête. Il ne faisait pas parti du club, je le savais puisque j'y allais tous les jours.Je ne l'avais même jamais vu au lycée. Il resta debout, immobile et  regarda l'eau fixement un long moment. Quand la deuxième heure commença, je tournai la tête un instant pour sortir mes cahiers pour le prochain cours, mais lorsque mon regarde se redirigea vers la fenêtre et plus particulièrement sur la piscine, le garçon avait disparu...
Troublée par cette soudaine disparition, je me retournai vers le tableau pour suivre un peu le cours de M. Shiru . Les maths était l'une des matières où j'étais la plus faible, alors il fallait que je me concentre un peu plus sur les équations que sur les oiseaux qui chantonnent dehors. La sonnerie retentit une nouvelle fois, je pris mes affaires et montai sur le toit pour manger mon déjeuner au calme. J'aimais entendre les oiseaux voler, les bruits de course dans les escaliers, sentir le vent dans mes cheveux. Chaque fois, mon regard se perdait à contempler le ciel, si bleu ces jours ci. Mais quelque chose, ou plutôt quelqu'un, vint me déranger dans mon moment de repos. Un professeur, disputant des élèves qui traînaient dans les couloirs alors que la première heure de l'après-midi venait tout juste de sonner. J'essayais de trouver un échappatoire. La première idée qui me traversa fut de monter sur le petit toit qui recouvrait l'escalier. 
"Trop voyante" pensais-je. Avec ma grande taille et ces cheveux rouges, j'aurai du mal à m'y cacher. Les pas dans l'escaliers devenaient plus insistants. Il fallait vite que je trouve une solution, et une seule se fraya un chemin jusque mon cerveau.
Sauter.
Je pris mon élan, m'appuyai sur la barrière, forçai sur mes bras, et je me hissai avec souplesse par dessus le grillage. Je me rattrapai ensuite au balcon de mon niveau, restai un instant suspendu dans le vide et, une dernière fois encore, tirai mon corps jusqu'à ce que mes pieds touchent à nouveau le sol. Je me dépêchais d'aller dans ma salle, priant pour que personne ne m'ai vu.
- Pendant ce  temps - 
"... et là vous avez les salles des clubs, ici la piscine que vous avez vu tout à l'heure et enfin ...."
Ce type parlait trop. Depuis que j'était arrivé ici, il n'avait cessé de m'expliquer tout les recoins de chaque endroit. Je lui faisais quelques gestes de la tête, pour qu'il ne se *** pas. Je n'avais pas envie de donner une mauvaise impression de moi à mon professeur principal, dès mon arrivée dans ce lycée. Ici, les gens avaient l'air joyeux, tout le temps en train de rire, de crier ou de courir partout. Moi je débarquais,  comme un envahisseur étranger proie à de nouvelles conquêtes. Un moment où les explications de M. Yamato devenaient trop longues, je regardais le ciel à travers la fenêtre. Mon regard se porta sur de longs cheveux rouges, flottant par dessus le toit du bâtiment principal que m'avait présenté mon guide plus tôt. La sonnerie venait pourtant de retentir, mais ces cheveux ne bougeaient pas d'un poil. Quand soudain, je vit deux bras longs et fins saisirent la rambarde qui tenait le grillage, le corps auquel appartenaient ces bras prendre son élan, comme pour passer par-dessus. A ma grande surprise, cette personne le fit. J'eu peur pour elle, quelques secondes, pour la première fois de ma vie. Quand je la vit s'agripper avec force sur le deuxième balcon, mon cœur arrêta sa chute. Mes yeux ne voyaient plus qu'un silhouette fine et de longs cheveux rouges emmêlés par la brise, comme si plus rien autour n'existaient. La personne resta un instant à pendre au balcon, avant de se hisser avec force jusqu'à ce que ses pieds aient retrouver le sol chaud du béton. Je voulais voir son visage. Je savais dès à présent qu'il s'agissait d'une fille par ses longs cheveux et sa jupe, mais je voulais garder une image de cette insouciante. Elle allait se retourner, quand une main se posa sur mon épaule et me sortit de ma rêverie. J'entendis M. Yamato m'appeler, et marmonner quelque chose du genre: "Encore elle".
La visite touchait à sa fin, et il était temps pour moi de me préparer  pour le lendemain. En m'inclinant, je dit au revoir à M. Yamato, qui me répondit avec un sourire : "A demain, Hakiro"
~ A suivre ~

Comme mon Qui-suis-je commençais à être très long, je vous laisse le premier chapitre pour vous donner un aperçu de ma fiction. Retrouvez tous mes chapitres jusqu'au 14ème sur mon blog ~> yukistorie.skyrock.com
 Et ici les chapitres à partir de 15 :)

Chapitre 15 - 10 ans plus tard

 

 

Septembre. L'automne arrive déjà à grands pas. Sur le chemin vers le travail, je passe par le parc. Les arbres se dénudent, le vent se fait frais et souffle dans les tas de feuilles se teintées de pourpre, d'orangé et de doré. Les pavés en pierre du square rendent l'endroit encore plus authentique. J'aimerais pouvoir me promener avec quelqu'un en fin de journée, ce serait si romantique ♥.

 

Vous vous demandez surement ce que je suis devenue, ce qu'Hakiro est devenu et tous les autres non? Et bien nous sommes tous toujours en contact... ou presque tous...

J'ai finalement réussi à entrer dans l'université sportive que je souhaitais intégrer et j'ai fait quelques championnats inter scolaires. Puis je me suis dirigée vers une toute autre carrière; j'ai découvert, pendant les vacances d'été dernière, le travail d'un photographe et me suis prise de passion  pour ses clichés. Ils représentaient si bien l'univers qui l'entourait, donnant pratiquement une dimension paradisiaque à tout ces paysages. J'ai donc changé d'université en milieu de seconde année, pour aller au Etats-Unis, où j'ai obtenu ma licence et décroché un job. Je suis donc une jeune adulte bien intégrée dans sa vie, puisque j'ai été engagée dans un célèbre magazine américain pour les couvertures. 

Quant à Haruna et Héros, je sais qu'ils se sont mariés l'an dernier, donnant une magnifique cérémonie, avec Taki et Tishia de passage pendant leur tournée de musique classique autour du monde.

Elisabeth a abandonné Yin pour un autre, se qui l'a complètement détruit. En pleine dépression, il c'est passionné pour le dessin, et est aujourd'hui en train de produire un film d'animation japonais et il est parti vivre en France. C'est là qu'il a rencontré Lisa, avec qui il vit un parfait bonheur, puisqu'ils ont emménagés il y a quelques mois ensemble. Mes amis on donc tous réussi leur vit et son heureux. 

Mais bien sur, j'ai gardé le plus triste pour la fin:

A la fin du lycée, Hakiro est entré dans la même université sportive que moi. Nous nous aimions toujours autant, mais en fin de première année, un drame se produisit.

 

Alors que nous rentrions le soir, comme à notre habitude, un grand homme en costume noir se tenait devant la porte d'Hakiro. Ce dernier paraissait le connaître, car il l'entraîna à sa suite alors qu'il rentrait chez lui et me conseilla de rentrer chez moi.

 

Le week-end passa, sans aucune nouvelle. Je m'inquiétai beaucoup à son sujet, si bien que je passais un nombre incalculable de fois devant la fenêtre de chez lui pour tenter de l'apercevoir. Sans succès. C'est le Lundi que je vis le mot sur la porte de son appartement qui disait: " A louer". Affolée, je courus chez le concierge dpour signalé le problème, que ce ne pouvait être qu'une erreur ! 

Malheureusement, il me certifia qu'Hakiro était parti, sans rien dire. A l'exception d'une lettre laissée à mon attention. Je rentrais vite chez moi, je jetais sur mon lit et arrachais l'enveloppe pour lire son mot.

 

"Ma chère Yuki,

 

Avant tout, je veux te dire que je t'aime de tout mon cœur. A l'heure qu'il est, je dois déjà être loin d'ici et tu ne vas certainement pas comprendre ce qu'il se passe et c'est pour cette raison que je t'écris.J'aurai aimé tout de dire de vive voix, mais ce n'est ai pas possible. L'homme de vendredi était envoyé par mon oncle. Je ne te l'ai jamais dit, mais mes parents font toujours des voyages et ne sont jamais à la maison. Alors jusqu'à mes 17 ans, c'est mon oncle qui c'est occupé de moi. Et aujourd'hui, il veut que je prenne sa suite. Tu ne dois pas comprendre pourquoi tout doit arriver maintenant, ni mes raisons à respecter les volontés de mon oncle, mais je ne peux pas lui désobéir. Alors Yuki, s'il te plaît, ne pleure pas pour moi et vis ta vie comme si je n'avais jamais été là. Je pars pour l'Europe , le cœur lourd de regrets.

 

Celui qui pensera toujours à toi et t'aimeras pour le reste de sa vie,

Hakiro"

 

 

 

En lisant ses derniers mots, mon corps tout entier fut secouer par des convulsions et je ne put retenir tout mes tremblements et mes larmes. Je ne le reverrai plus jamais et je devais vivre avec sa mémoire pour le reste de ma vie.

 

Et c'est comme ça que je vis aujourd'hui. Il reste un bon souvenir de mon adolescence, un amour bref. Quelques fois, je repense à tous nos moments et me sens triste, mais il faut que j'aille de l'avant. Je n'ai eu aucune relation depuis ce jour là et je ne pense pas en avoir une de plus.

Je suis enfin arrivée au studio photo. Je sors mon appareils, dispose le matériel et accueille les mannequins.

J'étais plongée dans mes pensées lorsqu'une grande mains aux rides apparentes se posa sur mon épaule.

 

"Hi Yuki !, tonne M.Spirezo gaiement.

- Hi ! Alors quel est le thème du jour, monsieur le rédacteur en chef, souriais-je.

- Alors aujourd'hui nous présentons un tout nouveau couturier au travers de ces robes que tu vois là-bas. Je veux que mes petits anges ressemblent à des déesses grecques! dit-il avec son accent italien. Tu vois ce que je veux dire, ma petit Yuki? 

- Bien sur, répondis-je, ayant tout à fait en tête la futur couverture.

- Perfetto ! dit-il joyeusement. Aller mes papillons, en place ! "

 

Je leurs expliquèrent comment il fallait qu'elles se placent tandis qu'on m’amenait les robes, et la scène se monta petit à petit. Une fois les différentes vues accordées et prises, je montrais les photos à M.Spirezo, qui en fut enchanté

"Magnifique, comme d'habitude, me dit-il."

Je lui rendis son compliment d'un signe de tête, me dirigeant vers la machine à café pour prendre ma pause. Tandis que je marchais à travers les couloirs avec mon café à la main, un homme plus grand que moi d'au moins deux têtes se dressa sur mon passage et je ne pus éviter la collision. Mon verre se rattrapa sur sa veste de costard noire et le café s'écoula partout sur sa chemise d'un blanc immaculé. Je lui donnai des excuses confuses sans osé lever les yeux. Puis je vu ses mains tremblées, comme s'il était énervé, et, remarquant que le café commençait à traverser le tissus et le brûler, je me précipitai sur une serviette et de l'eau froide pour l'essuyer tout en m'excusant davantage. Alors que j'allais reprendre mon chemin, il m'attrapa le poignet avec vigueur et joignit ses doigts aux miens, les glissant parfaitement dans la paume de ma main.

"Yuki?"

 

A ses mots, ma tête tourna et je m'évanouie 

 

~A suivre !!~

 

Chapitre 16 

 


 

Je me réveillais sur le canapé rouge du studio. Au dessus de moi,j'entre apercevais quatre visages indistincts. Celui de M.Spirezo, de ses deux assistantes et ... je ne me souvenais plus de ce nom. Tout était brouillé dans mon esprit, depuis qu'il avait prononcé mon nom. Je...c'était comme si quelque chose en moi m'empêchait de me rappeler de qui pouvait bien être cet homme qui se tenait devant moi, avec un air si inquiet.  J'essayai de  me  relever, et il me tendit une main. Mais au lieu de la saisir, je sentis une pulsion dans mon bras qui me força à l'éviter. Il parut surpris et vexé et se détourna vers la porte pour sortir.

" Hey ! Vous pourriez rester non? A cause de vous, on a manqué toute une heure de s***ing ! s'écria M.Spirezo, visiblement très énervé.

Il se retourna nonchalamment 

- Hum.... et bien j'en suis désolé, mais... vous voyez, ces mannequins m'appartiennent et.... je ne pense aps que c'est à vous de vous inquiétez pour ça. Ne pensez-vous pas? dit-il, arrogant. 

M.Spirezo eu un mouvement de recule, et avant qu'il ne lui saute dessus, je le retint par la manche.

" Ne vous inquiétez pas M.Spirezo. Je vais faire sorte de rattraper cette heure, souriais-je lacement.

- C'est à toi de ne pas t'inquiéter. Tu viens de nous faire un malaise, ma petite  chérie, alors ménages toi. et appelles moi Lucas, dit-il avec un clin d’œil.

Bon! Mes petits papillons roses! Il est temps de se remettre au travail, aller!"

 

Tout le monde se releva, en direction du parc où se déroulait précédemment la séance photo. On réussit à rattraper le temps perdu, je rangeais tout mon matériel et pris le chemin du retour. 

Alors que j'étais en train de marcher sur les allées pavé du parc, une affiche agrafée sur un arbre attira mon attention. Il était écrit : " 31 octobre, super fête d'Halloween au lac!  Venez nombreux et costumes obligatoires!"

Elle me fit sourire, et je me dit que se serai bien de m'y rendre. Jusqu'à ce que l'homme de tout à l'heure se retrouva juste derrière moi, une main sur ma hanche.

"Intéressant, murmura-t-il.

- Ah oui? demandai-je en me retournant.

-Oui! Et je pense bien m'y rendre. Et toi? Tu as toujours aimé ce genre de fête non?

- Quoi?! Comment pouvez-vous?...."

 

Il ne me laissa pas le temps de terminer. Il resserra ces bras autour de ma taille, et il colla ses lèvres aux miennes. Involontairement,  je répondis à son *** et il réveilla au fond de moi  un vieux souvenir. Moi, plus jeune, dans la même situation mais au Japon, devant mon ancien appartement. Un sentiment émergea  au fond de ma mémoire et une larme coula le long de ma joue, alors que mes yeux étaient plantés dans les siens. Je le repoussais vivement, prise d'un violent coup au cœur. Je pris mon sac à terre et m'enfuit en courant. 

 

 

Je n'irais définitivement pas à cette soirée.

 

 

 

 

 

 

 

 

~ L'homme ~

 

Tout à coups, tout me parut très clair. Elle... elle m'avait oublié. Tout ce temps où j'ai pensé à elle, tout ce temps que j'ai passé dans les rues de New York, vagabondant comme un esprit à travers les ruelles, tout ce temps avait été futile. Elle ne ce souvenait pas de moi. J'avais envie de pleurer. Je me sentais fatigué de tout ça, je n'avais plus la force de lui courir après. Désormais, je lutterais contre ce que je ressens pour elle, tout ces sentiments que je n'ai j'ai tenté d'ignorer pendant 15 ans et je la ferais m'aimer de nouveau, comme le premier jour de notre première rencontre. J'appelais une voiture pour rentrer chez moi, tandis que je laissais filer l'amour de ma vie. Alors que je la regardais me fuir, ses cheveux rouges flamboyants flottant sur ses épaules, Mon cœur se resserra, et j'étouffai. Je tombai à genoux, la mains sur le visage, comme pour essayer de me voiler la ace sur tout ce qu'il se passerait, mais je ne pu contenir la larme qui s'échappa et roula sur ma joue, jusqu'à ce qu'elle soit précédées par des dizaines d'autres.  

 

 

Je venais de perdre une seconde fois celle que j'aimais le plus en ce monde.

 

Chapitre 17

 

 

Mon dieu ! 

Je n'avais pas dormi de la nuit. Ma soirée c'était résumé à revoir en boucle les épisode de la nouvelle saison de Pretty Little Liars, essayent de me souvenir qui pouvait bien être l'homme qui m'avait... embrassé hier. Je voulais me souvenir mais... c'est comme si quelque chose ... une barrière, c'était créée au fil des ans, un mur qui m'empêchait de ressentir les choses qui se passent autour de moi... les émotions. 

J'avais dû finir par m'endormir entre deux épisodes, car je ne comprenais plus ce qu'il était en train de se passer entre les deux personnages qui se tiraillaient entre l'amour et la haine. J'allais me doucher, m'habiller et déjeuner pour enfin partir pour le boulot. Passant par le parc, comme d'habitude, me rendant au studio. Mon petit "train-train" familiale était bien ficelé. Mais cette fois-ci, je revis l'affiche et je repensai à ce qu'il était arrivé juste à cet endroit là. Je détournai les yeux , continuai à marcher, de plus en plus vite, comme si le vent qui frappait mon visage pouvait chasser toutes ces pensées. Je m'étais mise à courir, ce qui me fit arriver plus tôt que prévu au travail. Je m'installais donc à mon ordinateur, sur la table de la salle de pause. Je vaquais à mes occupations, je regardais les photos prises hier et avant hier et avant avant hier, classais tout mes fichiers et je me pris à penser que tout serait sûrement plus simple si mon esprit ressemblais au disque dur de mon PC. Tandis que je terminais deux ou trois trucs sur mon ordinateur, la porte s'ouvrit et l'une des assistantes de M. Spirezo entra, m'adressant un grand sourire et se dirigea vers la machine à café. Avec un élan de bonne humeur, j'essayais de lancer la conversation.

" Salut Ann !

- Bonjour! me répondit-elle gaiement.

- Comme allez vous? Prête pour suivre un peu partout M. Spirezo aujourd'hui? dis-je sur le ton de l'ironie.

- Ça va merci ! Et oui, ria-t-elle.

Mes petits papillons, mes petits papillons !" imitèrent-on en cœur.

Nous rîmes et c'est ce moment que choisi M. Spirezo pour débouler dans la pièce.

" Mesdemoiselles ! dit-il avec son charmant accent italien. Trêve de plaisanteries ! Sinon vous risquez de passer de mes jolis petits papillons à mes vilaines petites araignées toutes velues !" dit-il à l foi sérieusement et à la fois sur le ton de la rigolade.

 

Nous nous rendîmes sur les lieux du s*** d'aujourd'hui, une magnifique maison abandonnée, en l'honneur de la prochaine soirée organisée au bord du lac pour Halloween. Les mannequins étaient toutes sanguinolentes, affreuses et monstrueuses. Parfait pour le travail d'aujourd'hui. Je me surpris à en sourire, tandis que je réglais l'appareil pour la luminosité si faible de la maison.

Il faisait très noir à l'intérieur, et la maison semblait être sur le point de s'effondrer. Après quelques photos laborieuses, M. Spirezo s'impatienta très vite, et nous donna à tous une pause d'une bonne demi heure. Tout le monde c'était alors attroupé autour des mannequins, les félicitant sur leur tenue ou sur leur maquillage, toutes très soigneusement protégées par l'homme au costume noir d'hier. Agacée, je me détournai d'eux et montai à l'étage pour pouvoir être seule.

 

" Je ne comprends pas pourquoi, à chaque fois que je le vois et surtout en compagnie, je me sens si énervée et... agacée. Arff ! J'y pense trop ! Si tout ça pouvait sortir de ma tête ! Partons plutôt  à la découverte de cette curieuse maison.

Je me relevais de la malle sur laquelle je m'était assise, secouais la poussière accrochée à mon pantalons et gravissais une à une les marches vers le deuxième  étage. 

Il y avait des toiles d'araignées dans tous les coins et les recoins des poutre, des lampadaires et la poussière s'accumulait sous les meubles et les livres. A chacun de mes pas, les planches grinçaient  et risquaient de se briser. De plus en plus intriguée par cette baraque, mais aussi effrayé à chaque claquement de porte, chaque bruit de fenêtre, je continuais d'avancer à travers les couloirs sordides et sombres. Soudaine, un grand fracas provint de la pièce à côté de moi. Je sursautais, mon cœur fit un bond dans ma poitrine que j'en cru mourir. La porte s'ouvrit toute seule, certainement poussée par un courant d'air, sur un homme couvert de noir. Du moins je supposais qu'il s’agissait d'un homme. Il portait un sweat à capuche noir, celle-ci rabattu sur sa tête. Il était accroupi à côté de l'étagère qui venait probablement de tombée. J'avais très peur, mais la bravoure qui sommeillait au fond de mon être se réveilla et je pris mon courage à deux mais et sautais sur l'inconnu.

" Qu’est-ce-que vous faites ici !? criai-je

- Mais... rien... mais... lâchez moi !! s’époumona l'étranger.

- Mais oui bien sur et vous pensez que je vais vous croire, alors que vous vous promenez seul avec une capuche noir pour faire tomber les étagères?! continuai-je

- Mais non !!" hurla-t-il.

Et à cet instant, il rabaissa sa capuche d'un geste pour me permettre de découvrir son visage. Je tombais à genoux parterre, bouche bée.

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