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Mes photos et gif
Pwetty little baby

૮₍ ˶•⤙•˶ ₎ა
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now we’re so young
but we’re probably gonna die
and its so fun
we’re so good at selling lies
we look so good
and we never even try
get your money from a trust fund
do it all the time
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Ruvyn est une petite peste, arrogant et impulsif, persuadé d’être le centre du monde, comme si sa simple existence était dotée d’une prestance digne d’un grand héritier. Il se donne des airs de prince intouchable, convaincu que chaque regard devrait naturellement se poser sur lui, alors qu’en réalité il n’est qu’un thériantrope ordinaire qui passe le plus clair de son temps sur TikTok et Instagram. Il y poste quotidiennement, incapable de résister à l’appel des vues et des likes dont il est devenu tristement dépendant, mesurant sa valeur personnelle au rythme des notifications. De par sa race de Yorkie, il inonde ses comptes de photos de lui sous sa forme canine, donnant l’illusion attendrissante d’un compagnon fidèle, alors que c’est toujours lui-même qu’il expose, sa propre bonne bouille soigneusement mise en scène. Derrière cette façade vaniteuse et bruyante se cache pourtant une réalité bien plus sombre : en dépression depuis son enfance, Ruvyn a appris très tôt à dissimuler son épuisement derrière des sourires forcés et des attitudes provocantes, avançant coûte que coûte, porté par l’espoir discret et presque naïf qu’un jour, peut-être, le poids constant qui écrase sa poitrine finirait par s’alléger.
Ainsi, derrière l’illusion d’une existence presque banale, se tapit une histoire dérangeante. Arraché à sa vie dès son plus jeune âge, il vit depuis sous l’emprise de son ravisseur. Cette attention particulière qu’on lui porte, prétendument liée à sa thériantropie, n’est qu’un prétexte à une captivité déguisée. Livré régulièrement aux établissements médicaux, il y subit une succession de tests intrusifs, menés non pour le soigner, mais pour disséquer, comprendre et exploiter ce qu’il est devenu.

“Peu à peu, ces séjours répétés ont façonné son rapport au monde. Les couloirs aseptisés, l’odeur persistante des désinfectants et les regards trop curieux des médecins lui sont devenus familiers, presque rassurants. Pourtant, derrière les sourires feints et les paroles prétendument bienveillantes, il percevait une crainte mal dissimulée, mêlée d’une fascination froide. On ne le voyait pas comme un enfant, ni même comme un être humain à part entière, mais comme un sujet d’étude, une anomalie vivante à disséquer par le savoir.
Son kidnappeur, quant à lui, entretenait une ambiguïté troublante. Tantôt protecteur, presque attentionné, tantôt distant et calculateur, il justifiait ses actes par un discours qu’il répétait inlassablement : c’est pour ton bien. Ainsi, l’enfant grandissait dans une cage invisible, persuadé que cette vie était la seule possible. La thériantropie, qu’il n’avait jamais choisie, devenait à la fois sa malédiction et la raison pour laquelle on le gardait en vie, enfermé dans un équilibre précaire entre protection et captivité. “
| Age | Genre | Ville | Pays |
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| 100 ans | Homme | Autre | |
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