Pseudo

Mot de passe

Ton pseudo :Ton email :
Ton mot de passe :Ton année de naissance :







Note Doll
Note Loft
A vie
Cette semaine
517
517
0
0

Aucun commentaire

Lire tous les com'z

aya-sama a 6 points de bonté.

aya-sama
Niveau
15
Miss DollzLand
Flash

Dream AvatarMESSAGES D'ACCUEIL

 

 Hello

Je ne laisse pas forcément de commentaires lorsque je vote pour vous ^^

Mes pièces sont a moitié rangé parfois c'est normal ^^ Pour l'instant u***ment ma salle de bain (salon violet), mon garage(loft lolita), ma plage, ma chambre(loft petite fille) et ma chambre #3(cabaret) sont terminés ^^

1ère dans le top du déflié Halloween le 26 octobre merci pour vos votes ^^

33ème au défilé Halloween, merci ^^

Je suis une scientificofolledingue premium et je créer mais inventions dans la crypte de collynne.... Kusukusukusu, faible mortel accepterez-vous de nous servir de cobayes ?

Joyeux noyel !!!!!!!



Dream Avatar (<<--C'est moi! C'est moi! Ch'est Collynne qui l'a faieuh!)Bien le bonjour honnête personne passant par là ! Bon, je suppose que si tu es là c'est que tu souhaites me connaître, non? Et bien comme la très gentille personne que je suis, je vais exaucer ton souhait! Voilà donc ma carte d'identité! 

C'est moi!

Bon à présent tu dois te demander ce que j'aime, n'est ce pas? Mais si! Ne le nie pas c'est tout à fais normal je suis très intéressante... //PAF//.

 Bien donc j'aime d'abord tout ce qui conserne l'Art! 

A savoir, que je suis une pas si grande que ça  musicienne!

Je joue du Piano et de l'Alto, je chante dans un choeur et j'écoute énormement de musique. 

 Bon vous l'avez donc compris (où peut-être pas éè) la musique occupe une grande place dans ma vie.

Mais la musique n'est pas le seul art que j'affectionne!  J'aime beaucoup (voir énormément) le dessin aussi où croquis plûtôt.

Si vous êtes sage, je vous mettrai peut-être un de mes éventuels croquis! (Notez le taux d'incertitude dans cette simple phrase!)

Bon finalement je suis sympas (ou pas tout dépend de votre résistance occulaire)et je vous met deux dessins qui datent mais c'est les seuls que j'ai trouvé, ayant oublié ma pochette chez ma soeur... No comments....Je vous mettrai les plus récents lorsque j'aurais récupéré ma pochette!

Dessin 1

Dessin 2

Bien passons maintenant à l'art suivant que je pratique et aime particulièrement: L'écriture!

J'écris beaucoup, notamment un roman que j'ai commencé il y à un semestre un peu près et qui compte à présent une centaine de page.

Je ne vous mettrai pas d'écris car je sais très bien que ça n'intèresse personne et que de tout façon, je suppose que personne n'est entrain de lire ces lignes... Mais bref! Continuons!

 

Bon... et bien encore une fois j'ai craquée! éè (à croire que je n'ai aucune volonté..^^) Donc voilà une petite rédaction, à laquelle j'ai eu l'honorable note *paf* de 20 (il faut dire que mon prof de français était assez cool..) Bref voilà la bête:



Flavy Standford. Une bien gentille fille, assez banale en somme. Une aristocrate anglaise assez discrète qui se fondait facilement dans la masse, ni trop riche ni trop pauvre. Certes, Flavy aurait été, disait-on, durant son enfance, possédée par on ne sait quel démon et aurait vu des choses ou entendu des choses. Mais ce n’était que de vieilles rumeurs qui animaient un peu la vie ennuyeuse et monotone des aristocrates. « Flavy !!!Où es-tu encore passée espèce d’empotée !! Tu dois partir dans une heure si tu veux être à l’heure chez ton oncle ! » La mère de Flavy Standford, Madame Emilya Standford, était une dame au tempérament impulsif, elle était impatiente, bourrue, sévère et dure. Mais malgré tous ses défauts, Flavy Standford adorait sa mère. « Oui mère, je suis là, j’arrive ! Les domestiques emmènent mes derniers bagages. » Mme Standford poussa sans ménagement sa fille dans la calèche et lui colla un gros bisou sur le front. Flavy l’embrassa à son tour et s’en alla pour le château de son oncle. Durant le voyage, la jeune fille pensa à la demeure de son oncle. A quoi pouvait bien ressembler le château de ce personnage si mystérieux ? Flavy avait déjà vu son oncle une ou deux fois au cours de sa courte vingtaine d’années de vie, mais il s’était toujours déplacé. Aussi était-elle un peu effrayée à l’idée de passer la semaine dans une demeure qu’elle ne connaissait pas chez une personne qu’elle ne connaissait pas mieux. Après de longues heures de route, les chevaux s’arrêtèrent enfin devant une immense bâtisse. Le château de son oncle était gigantesque, il se trouvait au sommet d’une grande colline à l’écart du village le plus proche. Il était en pierres grises et possédait de minuscules fenêtres qui ne dévoilaient rien de l’intérieur. Il y avait des douves et un pont levis. Il faisait penser au vieux château qui servait à la guerre autrefois. Il émanait de cet endroit une aura sombre et… diabolique. Flavy ne se serait pas étonnée si elle avait vu des corbeaux voler au dessus de cet endroit. Intimidée, elle s’avança pour aller tirer sur l’immense cloche près du pont levis. Un gigantesque gong retentit dans toute la colline déclenchant même le vol de plusieurs oiseaux qui dormaient là, paisiblement. Le pont s’abaissa, la grille se souleva et une minuscule porte apparut et s’entrouvrit. Un homme grand à la barbe taillée en pointe et au visage sévère s’avança. Mr Aaron Standford, l’oncle de Flavy. « Eh bien, entre, ne reste pas là dehors, tu me fais perdre mon temps ! » Sa voix était dure et rocailleuse, elle intimait respect et obéissance, aussi Flavy se dépêcha de rentrer à l’intérieur. Il faisait très sombre et la pièce n’était éclairée que par un petit lustre recouvert de toiles d’araignée. Le mobilier était sommaire et tourné autour des tons rouges et marron. Aaron s’assit prés d’une grande cheminée en pierre et invita Flavy à faire de même. « Bien, il y a quelques heures, on vient de me prévenir par télégramme qu’une grande réunion a lieu à trois jours d’ici. J’y suis convié. Je n’ai malheureusement pas eu le temps de prévenir ma sœur que, de ce fait, tu ne pouvais pas venir. Alors, tu devras t’occuper de la maison pendant mon absence. Tu n’as pas trop le choix mais je suppose que tu es d’accord ? » Flavy frissonna à l’idée de rester seule dans cet immense château pendant une semaine mais acquiesça cependant. « - Bien, je vais te donner quelques directives. Voici un plan du château. Aaron sortit un parchemin usé et jauni par le temps. Tu devras chaque matin aller dans les écuries et nourrir mes chevaux. C’est la seule chose que je te demande, le reste du temps tu fais ce que tu veux. C’est compris ? - Oui monsieur, y aura-t-il des domestiques qui s’occuperont du ménage ? - Des domestiques ? Du ménage ? Dans mon château ? tu veux rire petite sotte ! Tu seras entièrement seule, alors ne songe même pas à faire porter le chapeau d’une de tes bêtise à quelqu’un d’autre! Bien, je dois y aller, ma calèche est déjà prête. Au revoir jeune fille. Passe une bonne semaine. » Cher journal je viens d’arriver chez mon oncle et voilà qu’il s’en va déjà…Ce serait mentir que de dire que je ne suis pas effrayée à l’idée de rester seule ici… Mon petit journal…Et si mes antécédents schizophré***s refaisaient surface ? Flavy décida de prendre le vieux plan et de se mettre en quête de sa chambre. Elle ne tarda pas à la trouver : c’était une petite pièce au bout d’un grand couloir. Il y avait un grand lit à baldaquin de deux places, une petite table de chevet, une commode et un petit bureau. Flavy chercha une façon de s’éclairer et trouva une petite bougie. Ses bagages étaient sur son lit. Elle n’avait pas vu les domestiques passer. « Ils sont bien discrets » se dit-elle. Elle commença à déballer ses affaires. Elle plia ses robes et les rangea soigneusement dans sa commode. Elle installa un petit miroir sur sa table de chevet et entreprit de coiffer ses cheveux. Le silence régnait.On n’entendait que le bruit lointain des cheveaux dans les écuries. Flavy posa son peigne et descendit à la cuisine. Elle mit du thé à chauffer et voulut sortir prendre l’air. Elle alla dans le hall d’entré et tira sur la poignée mais celle-çi refusait de s’ouvrir. Son oncle l’avait enfermée dans ce manoir pour la semaine. Flavy qui était de nature inquiète commença à avoir les mains moites. Elle prit le plan et chercha une autre sortie. Mais malheureusement, il n’y avait que les fenêtres à plusieurs mètres de hauteur. Soudain la bouilloire se mit à siffler, Flavy sursauta et alla l’éteindre mais elle n’avait plus envie de thé. Elle s’assit sur un fauteuil qui craqua sous son poids et s’endormit. Elle se réveilla en sursaut et en nage environ une heure plus tard. La nuit commencée déjà à tomber. Flavy alluma toutes les bougies de la pièce et fut un peu rassurée par la lumière chaleureuse des flammes. Elle prit une couverture et s’installa prés de la cheminée. Cher journal, le manoir de mon oncle est vraiment inquiétant. Mon petit journal, je te jure que j’ai ressentie un souffle quand je dormais. Je te le jure mon cher journal. Tu n’imagines pas à quel point je suis terrifiée. Mais j’imagine que c’est mon imagination qui me joue encore des tours…Je crois que je vais retourner dans ma chambre à présent…Je m’y sentirai mieux et puis de toute façon je n’ai pas faim. Flavy posa sa couverture sur les rebords de son fauteuil et se dirigea vers le sombre couloir qui menait à sa chambre. Le plancher craqua sous ses pieds et à chaque craquement Flavy frissonnait. Une fois arrivée à sa chambre, elle s’écroula sur son lit et s’endormit d’un sommeil sans rêves. Les rayons du soleil percèrent à travers les sombres rideaux de la chambre de Flavy Standford. Celle-ci se réveilla lentement et prit un petit instant pour se remémorer où elle était. Elle se leva doucement de son lit et glissa ses pieds dans ses chaussons. Elle retraversa le couloir qui lui parut moins sinistre de jour. Elle entra dans la cuisine et ramassa la couverture laissait là la veille. Elle se mit à chauffer du chocolat et sortit des toasts et du bacon. Elle se fit des œufs brouillés qui finirent carbonisés car Flavy Standford était une aristocrate qui ne faisait jamais la cuisine. Elle mangea ses toasts et son bacon lorsqu’un petit détail vint la tourmenter. N’avait-elle pas laissé sa couverture sur son fauteuil la veille avant d’aller se coucher ? Flavy frissonna et se dit qu’elle ne devait pas être bien réveillée et qu’elle avait dù croire qu’elle l’avait mise sur le fauteuil. Une fois son petit déjeuner fini, elle descendit dans les écuries pour nourrir les chevaux comme le lui avait demandé son oncle. Elle découvrit avec surprise qu’il n’y avait en fait qu’un seul cheval. Flavy aimait beaucoup les animaux, aussi s’approcha-t-elle pour lui caresser le museau mais le cheval grogna et s’enfuit au fond de son box en la fixant de ses yeux persants. Son regard était étrange, il y avait une lueur rouge dans ses yeux. Flavy frissonna pour la énième fois et s’écarta pour aller chercher sa nourriture. Il y avait une pancarte au dessus d’un pot avec écrit « nourriture pour Entei » Entei… ça devait être le cheval. Flavy plongea sa main dans le pot et attrapa des boules noires enrubannées de fils. Elle en prit une poignée et la jeta au cheval. Puis elle remonta en hâte, impatiente de s’éloigner de cet étrange animal. Elle ne s’avait pas quoi faire et commença donc à faire un peu de ménage dans l’immense demeure. Elle commença par astiquer le salon, tapoter les coussins, épousseter les tapis…Et sans qu’elle ne s’en rende compte la matinée était passée. Elle retourna dans la cuisine et tenta de cuisiner du poulet. Elle le grilla un peu mais il était mangeable. Flavy s’ennuyait, elle ne voulait plus faire de ménage, elle ne pouvait pas sortir et le cheval n’était pas approchable. Elle décida de profiter du jour pour faire un tour dans la maison. Elle retourna dans le hall d’entrée et emprunta le grand escalier. A chaque pas, la jeune fille avait l’impression que la marche allait craquait. Elle arriva enfin au bout de son périple et se retrouva nez à nez avec un grand couloir garni d’une centaine de portes. De quoi s’occuper pendant une après midi entière. Elle ouvrit la première porte et découvrit une pièce inhabitée et sombre. Elle ouvrit la seconde porte et vù le même spectacle que pour la première. Elle ouvrit toutes les portes du couloir mais elles menaient toutes sur des pièces identiques, dépourvu de meuble et de lumière à part quelques fenêtres dans quelques unes. Flavy arriva à la dernière porte tout au bout du couloir, elle l’ouvrit et entra dans la chambre de son oncle, identique à la sienne. Il y avait juste une pile de papiers sur le bureau.La jeune fille ne se souvenait pas que son oncle lui ait interdit de regarder ; elle prit donc une feuille. Elle la tourna et retourna dans tous les sens mais la feuille était vierge. Aucune des feuilles n’étaient marquées d’ailleurs. Flavy s’étonna un peu puis se dit que ça devait être sa réserve et qu’il avait pris les feuilles pour sa réunion. Cher journal, après avoir reposé les feuilles vierges de mon oncle, je m’assois un instant sur la chaise et je m’assoupis quelques minutes. Lorsque je suis réveillée en sursaut par un grand craquement qui provient du bout du couloir. Je me lève immédiatement et court vers la porte de la chambre mais celle-ci ce referme sur moi dans un grand bruit. Croyant à un courant d’air, j’essaie de l’ouvrir. Impossible. J’entends un bruit de pas qui se rapproche… … puis plus rien. Je me relève péniblement en m’accrochant à la poignée et j’entends un petit frappement très faible. Je colle mon oreille à la porte et le frappement d’intensifie. Quelqu’un frappe à la porte. Je recule vers le lit. La poignée s’abaisse lentement et la porte s’ouvre en grinçant. Flavy laissa échapper un petit cri et s’approcha lentement de la porte. Elle l’ouvrit en grand regarda de tous les côtés. Rien. Elle souffla de soulagement et s’enfuit en courant de ce couloir sinistre se promettant de ne plus y remettre les pieds. Elle s’assit dans un fauteuil prés de la cheminée et réussit à se convaincre que c’était le vent. Juste le vent. La nuit commençait à tomber. Et Flavy alluma les bougies en tremblant. Elle alla à la cuisine, se prépara des pâtes, les mangea sans en sentir vraiment le goùt et alla se coucher tout de suite après. Le lendemain, Flavy se réveilla tard dans la matinée. Elle avait réussi à se convaincre complètement que c’était le vent qui avait produit les événements de la veille et relégua l’incident dans un coin de sa mémoire. Elle alla à la cuisine et prit directement son repas. Elle descendit ensuite vers les écuries et jeta les boules noires à l’étrange cheval. Elle l’observa un instant et crut voir un rictus se er sur ses babines. Elle secoua la tête, savant qu’elle était schizophrène et se persuada que çe n’était pas vrai. Flavy Standford avait l’habitude de voir parfois ce genre de choses et elle avait appris à faire avec. Ça n’arrivait que rarement et elle ne s’en préoccupait plus. Flavy s’étendit sur le canapé du salon. Trois jours passèrent et aucun n’événement inquiétant ne ressurgit. Flavy s’ennuyait profondément mais n’avait plus peur. Elle s’était promis qu’une fois rentrée chez elle, plus jamais elle n’aurait de contact avec son oncle, qu’elle tenait responsable de ce qu’il lui était arrivé. Elle se réveilla ce jour là vers 10 heures comme presque tous les matins et se leva. Elle fit un pas et s’écroula aussitôt. La jeune fille ressentit une douleur aiguë dans la jambe gauche. Elle releva un pan de sa robe et vit une espèce de griffure qui lui lacerait la peau presque jusqu'à l’os. Elle la regarda avec effroi, se demanda comment elle avait pu se griffer comme ça dans la nuit. Elle se dirigea tant bien que mal vers la salle de bain pour désinfecter. Cher journal, ma jambe me fait horriblement mal, la griffure est monstrueuse, elle part du creux de mon genou et descend le long de mon mollet jusqu’à ma cheville. Le sommeil donne vraiment une force incroyable… Une fois ma jambe désinfectée, je me dirige vers le salon pour manger mon petit déjeuner et je découvre avec stupeur qu’il est déjà là et fumant. Je m’approche lentement essayant par tous les moyens de me rappeler à quels moments je l’avais préparé. Mais je n’en ai aucun souvenir. Je m’assois sur une chaise et entame mon bacon lorsqu’il m’échappe des mains. Je le reprends l’apporte à ma bouche et il m’échappe à nouveau. Je me sais maladroite mais pas à ce point ! Avec rage je l’approche rapidement de ma bouche et croque dedans hargneusement et il s’éloigne de moi d’un coup. Oui, journal il s’éloigne. Mon bacon. était. en train. de voler au-dessus de ma tête. Je crie et tombe de ma chaise. Il retombe d’un coup prés du four. Je m’approche lentement et la porte du four s’ouvre et cogne le carrelage. Je sursaute et vais avec empressement la refermer mais rien à faire plus je la referme plus elle se rouvre. Je pleure de désespoir et vais me tapir dans un coin de la cuisine en regardant cette porte et cette tranche de bacon qui me nargue. Soudain la porte du placard s’ouvre avec fracas et les assiettes s’envolent et tournoient au dessus de ma tête pour venir s’écraser à mes pieds, sans me toucher. Je regarde la grand horloge et je vois avec stupeur les aiguilles tourner très rapidement pour s’arrêter sur minuit pile. Un gigantesque gong retentit douze fois avant de s’arrêter. Je jette un œil dehors la nuit est tombée. Je crie et m’enfuis dans ma chambre en hurlant de douleur à chaque pas. Mais le couloir semble interminable. Plus j’avance plus la porte recule. Après il me semble des heures, j’arrive enfin à attraper la poignée mais la porte se referme avec fracas juste devant moi. Je m’acharne sur la poignée mais elle reste impassiblement fermée. Je crie en sanglotant et m’éloigne d’elle le plus possible. Je retourne dans le salon. Et les meubles semblent s’agiter autour de moi. Je cours encore et encore pour me retrouver dans le hall d’entrée. Tout tourne autour de moi. Le sol. Le plafond. Tout. Je ferme les yeux un instant et je me retrouve face au couloir sombre, en haut des ecsaliers. Il n’y a plus aucun bruit. Je n’ai aucune idée de la façon dont je me suis retrouvée ici. Je me retourne pour redescendre, mais il n’y a plus rien. A la place de l’escaliers , il y a le couloir. Interminable. Et ses milliers de portes. J’ouvre la première porte espérant trouver un peu de réconfort dans ses pièces vides mais le spectacle que je découvre m’horrifie. Dans la pièce, au sol, est tracé un dessin étrange et des fauteuils l’entourait. Je referme la porte rapidement. Je pleure,pleure, ne sachant que faire. Mais la porte se rouvre en grinçant et je me retrouve à nouveau devant cette sinistre scène. Un brouillard grisâtre commençe à se er dans la pièce. Il grossit à vu d’oeil. Je ferma la porte avec fracas en m’y éloignant le plus possible. Je coure, coure,coure dans cet interminable couloir. Les portes s’ouvre, les unes après les autres, libérant tour à tour leur étrange brouillard. Des ricanements retentit un peu partout. Je sais à présent que tous ses faits ne sont pas juste dù à ma maladie. Le manoir, le manoir tout entier rit de moi. Je tente désespérement de m’échaper mais toujours,toujours, ce couloir, cet interminable couloir. Lorsque l’oncle de Flavy Standford rentra. Il se dirigea immédiatement voir son beau cheval. Il le caressa longuement et remonta chercher sa nièce. Il fouilla le château dans les moindres recoins mais il n’y avait plus aucune trace de Flavy. C’était comme si elle n’avait jamais existée. Il se demanda si elle n’était pas déjà repartie et decida donc de descendre de la colline pour chercher un téléphone. « - Allo ? Pourrais-je parler à Mme Emilya Standford ? Je suis son frère. - Allo, Aaron ? - Oui ma chère sœur, comment-vas tu ? - Très bien, très bien et toi ? - Je me porte comme un charme. Cela faisait longtemps que je n’avais plus eu de nouvelles de toi. Pourquoi m’appelles-tu ? - Je voudrais te parler de ta fille Flavy. Est-elle chez toi ? - Ma fille ? Quel fille ? Tu sais bien que je n’ai jamais eu de fille voyons ! FIN  © Texte écrit par Iwana, toute reproduction entière où partielle est proscrite 

 

Je félicite celui qui aura eu le courage de tout lire ^^ xD

Si vous n'avez pas résussi a lire, vous pouvez vous rendre sur ma fee. 

 

Sinon, j'aime énormément la mode aussi! Mais pas les petites modes d'ados style: "Regardez mon super nouveau jean!" Non, la mode la vraie. Celle qui contient des stylistes incoyables réalisant des tenues tout aussi incroyables ! Je couds un peu aussi à mes heures perdues... 

Robe Dior

Sinon, toujours dans la mode j'adore les chaussures... Je dois avoir une vingtaine de Richelieu (vraies ou fausses comprises) et une cinquantaines d'autre chaussures... j'adore vraiment ça!

Allez courage on à bientôt finis pour les choses artistiques que j'aime ! (J'aime aussi les chapeaux et est une collection infernale mais je vous éparpargne le texte, les images et tout le tralala!)

Et le dernier "Art" que j'aime et pratique est le "Nail Art" C'est vraiment un truc que j'adore!

Je suis en ce moment entrain d'apprendre le Water Marble mais c'est vraiment dur et je peux dire que je galère!

Passons maintenant au sport! A savoir que je pratique deux sport (j'en affectionne beaucoup plus que ça mais malheureusement, je n'ai le temps d'en pratiquer que deux.)

La gymnastique

Je pratique depuis 5 ans presque 6, et plus qu'un sport c'est vraiment une passion!

L'escrime

Depuis 3 ans que j'en fais, je ne me suis jamais lassée c'est vraiment un sport que j'affectionne!

Bon, j'aime évidement un tas d'autre choses sur lesquelles je prendrai beaucoup de plaisir à discuter avec vous (comme les maths par exxemple(mais pourquoie ce mot est interdit...?), mais les fans sont tellement rares de nos jours! Ou bien le graphiseme!  (J'aime le graphisme! ^^), mais ce seras par MP! Je vous ai parlé des choses que j'aimais mais pas des choses que je n'aimais pas. Je vous rassure la liste n'est pas longue, je ne m'étendrais donc pas sur le sujet.. Je n'aime pas LA PISTACHE !!!!

Bon je n'aime pas faire ça et de tout de façon personne ne les lis et ne les respecte mais voilà mes règles!

 J'accepte les +1 parce que je considère que si vous m'en mettez un c'est que vous n'aimez que mon loft ou que ma doll et je ne vois pas où est le mal à ça!

Bien! Je vais à présent vous faire partager mes liens!

Tout d'abord, des supers forums :

GraphEnergy: Un forum de graphisme, photo, écriture et dessin! 

 

Spirit of Photography: Un super forum de graphisme et photo (V2de PA)


Graphitaha; Un super forum de graphisme

Papotages-powaa

Papotages-powaa: Un super forum de..papotages! (Non, c'est vrai?! sans blaque..éè  //PAF// )

Et maintenant attention attention, de supers dollz-assoc' (bah oui on es quand même sur Ohmydollz! ) :

Catwalk-showa

Je n'y est pas encore participer, j'ai juste voté mais le principe est super! O_o

Freevoting

Une association vraiment très généreuse qui aident de façon bénévole les dollz à avoir plus de votes... Si ça c'est pas de la générosité, qu'est ce que c'est ??!!

Pour ceux qui souaitent un petit relooking, je vous invite à passer sur mon atelier ici ^^!

Suite à venir: QSJ EN CONSTRUCTION


© Ce QSJ a été entièrement réalisé par Iwana toute reproduction entière ou partielle est proscrite!

Age Genre Ville Pays
27 ans Femme France
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
A part moi?... non désolé je vois vraiment pas! K-Pop( KiSeop la piel que habitos Nutella, sushi, sashimis!
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
Violet ! Artiste! quel domaine ? je ne sais pas encore! ou bien dans la mode ! Corneil et bernie *PAF* faire chier mon monde!


© FEERIK GAMES 2015 - Nous contacter - CGU - Charte des forums - Mentions légales - Mon compte - Règles - Comment jouer - 05/11/2024 13:12:40