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meylouskadu80
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29/08/2015 à 18:12:00

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sorciere-hanter
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    je m'apelle jade . 

tenue en construction!!!

connaissait vous la legende 

du chattau de  ?? 

 

 

en Ecosse se trouve un chattau hanter apeller le chattau d'

Edimbourg elle est considerer l'un des endroit les plus hanter au

monde. Selon certains sources les visiteurs du châtau y aurait vu des

fantômes, dont un joueur de cornemuse, un joueur de tambour et des

prisonniers francais de la guerre de sept ans. Rép.u.t.er pour avoir

fait couler beaucoup de sang, le château éxerce même son influence

sur certains de ses visiteurs, qui disent avoir était toucher ou tirée  par une main invisible, s’être crus observés, avoir vu du brouillard et des lueurs v___________________________________________________________

J'adore raconter des histoires  x) mes histoires ... je ne dis pas quel sont vrai ... mais ... je ne dis pas quels sont fausses *rire diabolique* 

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La fille portée disparue.

Conseil:quand vous allez raconter cette histoire, chuchotez et à la fin ( le oui ) dites le fort.

Il était une fois une petite fille qui se promenait dans le bois. Tard le soir, elle vit une maison. Il faisait froid et elle était fatiguée alors elle alla frapper à la porte.
Tout de suite, une vieille grand-mère lui répondit. Quand cette dernière regarda la petite, elle se dit: « Mon dieu qu’elle est pâle et ses yeux ont un reflet rouge, c’est effrayant ». La grand-mère demanda à la fillette si elle avait faim ou soif. La petite fille ne répondit pas et alla s’asseoir dans la maison au bord de la table. La vieille comprit que la réponse était oui, alors elle lui donna un verre de lait et quelques petits biscuits. Ensuite la grand-mère lui demanda si elle voulait bien dormir dans la chambre à l’étage, la petite monta se coucher sans lui répondre encore.
Le lendemain, la vaisselle était faite et le lit aussi. La fille n’était plus là. La dame était quelque peu triste et déçue. La soirée venue, la petite fille revint et fit la même chose que le premier soir:mangea, bu et alla dormir. Le lendemain matin la vaisselle est lavée, et le lit de la chambre à l’étage est fait. La grand-mère est douteuse. Le soir, elle mangea, bu son joli verre de lait et alla dormir. La vieille barra la porte de la chambre où dormait la fillette et elle était sûre de son plan car il n’y avait pas de fenêtre dans cette chambre et la petite ne pourrait pas sortir. Le matin vint et la fille n’était plus là. La dame commençait à avoir peur. Le soir, même chose que les soirs précédents.
La vieille dame barra la porte de nouveau mais elle la surveillait. Encore un matin sans trace de cette fillette. La grand-mère alla prendre un verre de lait et des biscuits mais il n’y en avait plus alors elle alla au magasin pour en acheter d’autres. En prenant la boîte de lait il y était inscrit: « Voici la photo de la fillette portée disparue et morte depuis 300 ans ». La dame se dit que la photo ressemblait beaucoup à la petite fille qui venait toutes les nuits chez elle. En rentrant, la vieille grand-mère demanda à la fille : « P’tite fille, es-tu morte? »

________________________________________________________________   Marie Blanche.

Lorsque j’étais toute petite, notre école se trouvait à côté d’un cimetière étant donné que cet établissement avait déjà servi de couvent pour les bonnes soeurs et à l’approche de la fête d’Halloween, les enfants ne cessaient de se raconter des histoires effrayantes à propos de ce cimetière pour se divertir un peu tant cette soirée qui approchait à grands pas les excitait. Quelques jours avant cette fête, les plus âgés de l’école commencèrent à parler d’une légende qui était étrangère à toutes celles que l’on avait pu entendre. Intriguées, moi et quelques-unes de mes amies nous décidâmes d’aller interroger celle qui pouvaient nous éclairer sur ce sujet. Durant une de nos récréations, nous allâmes demander à ma soeur aînée de nous parler de cette légende que seuls les plus vieux connaissaient. À ma demande, un frisson lui parcoura le dos et, d’un air grave, elle me répondit:
« Tu veux VRAIMENT connaître la légende de Marie-Blanche? Très bien, je vais te la raconter, mais si je fais cela, c’est pour te mettre en garde. Voilà: À l’époque où notre école n’était qu’un couvent, une jeune femme nommé Marie prononça ses voeux de chasteté à contrecœur car elle espérait, en devenant soeur, échapper aux souffrances que pouvait lui infliger l’amour. Elle avait si peur de tomber en amour et d’être déçue tant elle avait vu de femmes aux cœurs brisés qu’elle offrit son existence à Dieu.
Mais Marie était une très belle femme et un an après avoir prononcer ses voeux, ce qui devait arriver arriva. Elle tomba amoureuse du jeune homme qui s’occupait d’allumer les cierges et de nettoyer ceux-ci à l’aide d’un petit couteau pour récupérer la cire. Leur amour, bien que secret, fut vrai et jamais Marie ne fut déçue. Mais en agissant ainsi, Marie avait désobéi à son devoir de chasteté et lorsqu’elle mourut, elle fut condamnée à hanter les lieux où elle avait vécu et à pleurer son malheur. Depuis ce temps, on dit que, le jour d’anniversaire de sa mort, soit un 27 Octobre, si on se trouve dans une pièce non éclairée et qu’on tient un couteau dans une main et une chandelle allumée dans l’autre devant un miroir et qu’on prononce cent fois le nom « Marie-Blanche », Marie apparaîtra dans le miroir, portant une robe blanche, remplie de tristesse et de douleur. Mais si je te dis tout cela, c’est parce que moi et quelques copines nous avons tenté cette expérience devant le miroir du vestiaire des filles et crois-moi, jamais nous n’avons crié aussi fort en même temps lorsque Marie est apparue dans cette glace. Alors, je te conseille de ne pas en faire autant si tu ne veux pas te trouver en face du vrai visage du désespoir. ».
Sur ce, moi et mes amies, nous décidâmes de faire cette expérience pour en avoir le coeur net. C’est ainsi que nous nous retrouvâmes, le jour du 27 Octobre, dans le vestiaire des filles, moi devant le miroir avec la chandelle et le couteau en mains et mes amies autour de la pièce. Le mot « Marie-Blanche » écrasa le silence cent fois et lorsque que j’eus fini de le prononcer, la plus triste et la plus fantomatique des femmes apparut dans le miroir. Ma peur était si forte que la chandelle et le couteau échappèrent à ma prise et la pièce devint aussi sombre que l’intérieur d’un four. Je n’entendais plus que les cris de mes amies et mon coeur qui battait la chamade. Heureusement, à travers notre frayeur, l’une d’entre nous eut le bon sens d’allumer les lumières et lorsque tout fut clair la pa*** cessa et nous sortîmes le plus vite possible de la pièce.

Aujourd’hui, je suis à l’Université et je sais que chaque année, un peu avant la fête d’Halloween, pendant que les plus petits se racontent des histoires effrayantes, quelques personnes se rassemblent dans le vestiaire et appellent une jeune femme qui n’aura sans doute jamais le repos éternel. Mais qui sait, peut-être qu’un jour une personne aura le courage qu’il faut pour garder une chandelle allumée pour que Marie-Blanche voie le chemin qui la mènera vers l’éternité à travers la noirceur de son désespoir…                     

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Les meilleures histoires d'horreur à raconter!
Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
Mais Floppy n'arrivait pas.
Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
« Allo ?

- ...
- Allo ? C'est qui ?
- Ca va Aurélie ?
- Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?
- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »
- Quoi !
- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.
- Vous avez fait du mal à Floppy ?
- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»
Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.

Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !
« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.
Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.
« Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.
- ...
- Tu sais où je suis ?
- Heu... n... heu... n... non.
- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !
- Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !
- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !
- ...
- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !
- Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.
La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?
- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !
- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de pa*** : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.
Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.
Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.
Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant
tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...
Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil,
la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.
- ...
- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.
« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »
La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage !
Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion u*** pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.

Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son :
C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.
Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte,
Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.
« Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »
Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...

JE SUIS DERRIERE TOI !
 
 
De MimehUne vieille dame vivant seule dans une grande maison attend son garçon qui doit arriver et qui n'est toujours pas là. Elle est assise dans son rockincher où elle lit un livre toute en caressant son
chien. Après quelques minutes, elle entend un bruit venant de la cuisine: c'est le robinet de la cuisine qui coule goutte par goutte. 
Elle se lève, puis va le fermer,revient s'installer,reprend son livre, et recommence a caresser son chien. 
Soudain, le bruit recommence, mais cette fois si il ne vient pas de la cuisine mais de la chambre de bain du premier étage. Elle se relève,se rend jusqu'à la salle de bain, puis ferme le robinet 
qui coulait à un rythme plus rapide que la première fois. 
Encore une fois elle retourne s'asseoir puis continue a lire son livre toute en caressant son chien mais quelques instants plus tard, elle entend ce bruit: l'eau qui coule goutte par goutte 
a un rythme endiablé. Elle passe donc devant la cuisine: le robinet ne coule pas,les toilettes du premier étage: toujours rien, elle monte donc au second étage, puis se rend à la seconde salle de
bain, le robinet coule, elle le ferme donc, mais constate que le bruit persiste et il qu'il est tout proche. Elle remarque que le rideau de douche est tiré. Elle s'approche, et tire d'un coup 
sec le rideau. A sa grande surprise, elle aperçois son chien égorgé qui saigne goutte par goutte dans le bain ! 
La question qui reste toujours: Qu'est-ce qu'elle pouvait bien caresser ?

 
De Star-Girls-Teens: Sophie vient d'emménager avec ses parents dans une maison sur la colline.
Son père avait un rendez-vous d'affaire et sa femme devait aller avec lui. Ils ont décider de la laissée seule pour la soirée.
Elle restait devant la télé, jusqu'a ce qu'il n'y ai plus de courant. Elle alla dans la cuisine chercher des bougies et appeller ses parents pour savoir ce qu'elle devait faire.
Son père décrocha son portable et lui demanda de rallumer le disjoncteur qui était à la cave. Et elle avait toujours eu très peur de descendre à la cave. Son père restait au téléphone pour qu'elle ne soit pas effrayer.
- Commence par ouvrir la porte doucement.
- D'accord
Ele ouvrit la vieille porte qui grinçait.
-Ensuite commence à descendre les marches, il y en a que 10
- D'accord. 1,2,3
-C'est bien ma chérie continue
- 4,5,6,7
-Tu y es presque
-8,9,10
- C'est bon, maintenant le disjoncteur est juste à coter de toi
- 11, 12, 13, 14...
-Sophie? Sophie?! Mais qu'est-ce que tu fais?!
- 15,16,17...

 
De Marinatch: Ca se passe dans une petite maison dans la campagne, ou une famille vit, les parents et leurs deux petites filles. Mais ils sont très pauvres donc ils n'ont que très rarement l'éléctricité. Dans leurs "salon-cuisine-salle-à-manger", ils ont une télévision et une radio mais elles ne leurs servent à rien sans éléctricité. Un jour, pourtant, la télé s'allume d'un coup et une voix dit :
"Attention ! Le Chik-Chouk-Boum est de retour. Si vous etes en bas, fermez bien toutes vos fenetres et vos portes mais si vous etes à l'étage, vous ne craignez rien ! Mais...". Et la télévision coupe. Camille, la plus grande et Lucile, sa petite soeur étaient dans le salon en train de faire leurs devoirs. Lucile commence à avoir peur mais Camille la rassure. Plus tard, dans l'après-midi, la radio s'allume et on entend la meme chose :
"Attention ! Le Chik-Chouk-Boum est de retour. Si vous etes en bas, fermez bien toutes vos fenetres et vos portes mais si vous etes à l'étage, vous ne craignez rien ! Mais...". Et encore une fois, la radio coupe. Lucile a de plus en plus peur mais Camille la rassure. Le soir, Lucile va voir Camille et la suplie de dormir avec elle car Camille dort à l'étage et Lucile dort en-bas. Camille refuse et lui dit qu'elle n'a rien a craindre et puis, elle monte se coucher. Lucile va dans sa chambre et se couche. Elle n'est pas rassurée du tout. Et d'un coup, elle entend :
"Chik-Chouk-Boum ! Chik-Chouk-Boum ! Chik-Chouk-Boum !". Et ça se rapproche, ça se rapproche.... Et ça s'éloigne. Lucile est en sueur mais elle finit quand meme par s'endormir. Le landemain matin, Lucile se réveille et appelle sa soeur. Rien. Elle crait d'abbord le Chik-Chouk-Boum mais elle se rappelle qu'il ne peut pas monter les escaliers. Elle se dit qu'elle doit ete partie a l'école et elle monte prendre sa douche. Elle tire le rideau de douche puis elle voit sa soeur découpée en rondelle. Elle hurle puis elle voit marqué sur le miroir avec le sang de sa soeur :
"Qui a dit que le Chik-Chouk-Boum ne savait pas monter les escaliers ?".
"Chick-Chouk-Boum, Chik-Chouk-Boum, Chik-Chouk-BOUM !"

 
De LoveEdwardCullen14: Julie,qui faitun peu de Baby Sitting est ce soir chez des parents qui vont au cinéma. 
Julie garde leur bébé,elle le met dans son berceau,dans sa chambre puis va regarder la télé.
Il est 20h00et le bébé pleure.Julie va dans la chambre du bébé et la fenêtre est ouverte.
Julie referme la fenêtre puis va se rasseoir davant la télé.Il est 21h00.Le bébé pleure.
Julie va dans la chambre du bébé.La fenêtre est ouverte et dehors il y a un monsieur qui 
fait "coucou" de la main et qui sourit méchamment...
Julie ferme la fenêtre et va regarder la télé.Il est 00h00.Le bébé pleure encore !
Julie va dans la chambre du bébé.La fenêtre est ouverte, le monsieur fait "coucou" de la
main avec un couteau dans la main. Julie ferme la fenêtre et appelle les parents.
-Allo ? dit la maman
-Madame,dans la chambre du bébé la fenêtre est ouverte et il y a un monsieur qui fait 
coucou avec une couteau dans la main...
La maman dit:
-Mais dans la chambre du bébé il n'y a pas de fenêtre,mais un miroir à volets...!

 

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