Parce qu'être con c'est à la mode voyez vous..

J'aimerais deja te dire je t'aime sans consonne ni voyelle, (comme si) les choses se faisaient d'elle même.

J'ai peur. J'ai peur de toi. Enfin de moi sans toi. Parce que dans le futur tu n'es plus là. Je cesse d'y penser, et songe au moment présent.

 C'est facile de penser je t'aime de le dire par le regard de le faire comprendre par ses gestes, mais le dire à voix haute devant la bonne personne c'est une toute autre histoire.

Every thing happen for a reason..

J'ai parfois tellement honte, que je devrais songé à me réincarner en huitre.

L'amitié, ça se demande pas. C'est quelque chose qui se construit sur le temps et la confiance.

Il y a des gens qui devraient penser a Manger leur maquillage comme sa ils seront peut etre beaux a l'interieur..

    C'est tellement dûr de se dire que tout est finit.. Qu'il n'y aura plus rien. Que tous nos souvenirs tu vas les oublier comme moi tu es en train de m'oublier. Que de mes chagrins, tu vas en faire des éclats de rire avec elle ou une autre. T'es partis, pour longtemps, ou pour toujours.

Y'en a qui disent que tu reviendras, d'autres préfèrent dire que tu resteras loin de moi. C'est fou d'avoir été si naïve, aussi folle de t'avoir fais confiance, et d'avoir cru quelques secondes que tu tenais à moi. Quand on y réfléchis, on se dit que la vie est une belle ***, qu'elle nous arrache tout, sans rancune. On a le droit à notre part de bonheur, quelques temps, et d'un coup tout disparaît. C'est frustrant et dégueulasse, et pourtant on peut rien y faire. Mais je me dis que tout ça c'est de ta faute, et que je serais pas là devant mon putain d'ordi en train de t'écrire ce texte si t'avais pas tout gâché. Je pourrais compter sur les doigts d'une main tous nos moments et nos fous rires si j'avais des milliers de doigts. Mais t'as fuis, et je respecte ton choix. Enfin non. Parce que tu me laisses comme ça, sans même me dire au revoir, après m'avoir tout balancé en pleine gueule. J'espère qu'un jour tu vas vraiment comprendre, combien c'était difficile, que tu vas souffrir comme moi j'ai souffert, juste pour ton joli minois. Alors ouais je t'aimais, ouais je t'ai suivis, les yeux fermés même, mais au final regarde, c'est toi qu'a perdu à trop vouloir jouer. Tu t'es tellement foutu de moi, mais maintenant c'est finis, je veux plus te voir. Tu vis de la merde, reste dans ta bulle, reste enfermé avec les mêmes personnes, me parle plus si ça te chantes, oublie moi même, j'en ai limite plus rien à ***. Vis ta vie, et moi la mienne, mais on verra bien qui va réussir la sienne. Tu veux pas entendre que c'est toi qu'a tout foutu en l'air, pourtant c'est la vérité. C'était tellement différent avec toi, tu me comprennnai

s rien qu'en me regardant, ou me souriant. Bah ouais, mais non. Apparemment ça t'allais pas.Je m'affiche pour toi là, j'écris encore une fois, je pleure une dernière fois, mais ça te suffis pas.Je peux pas expliquer ce que j'aurais été capable de faire pour toi, même moi je connaissais plus mes limites. T'étais une obsession, je dormais plus par ta faute, des fois pour des bonnes raisons, mais c'était rare. Le matin je me levais en pensant en toi, en me disant que j'avais trouvé la raison pour laquelle je sortais de mon lit à 6 : 19 précisement. J'avais trouvé, enfin je croyais. On nous dit qu'on est jeunes, qu'on a le temps, mais c'est faux. Petit à petit, on se voit avancer pour certains et reculer pour d'autres. On a juste le temps de se croiser et de s'oublier. Je passe mes journées à penser, à réfléchir. A me dire que " nous " c'était bien beau, bien grand, et bien parfait. Mais y' a un moment, où y'aura même plus de " nous ", tu vas oublier, mais pas moi. Tu m'as tellement jugé, sans vouloir même me comprendre, et croyant bien me connaître. Tu m'as dis dénombrables fois les mêmes choses, parce que tu savais que ça me plaisais de les entendre. Parce que j'étais amoureuse et que t'en a profité. Y'avais que toi et moi qui pouvions comprendre, tout ça. Les gens nous prennaient pour des fous, parce que y' a des choses que la vie n'explique pas, comme notre complicité. J'y croyais .. Comme j'ai cru en toi. Que des mensonges et encore des mensonges, du gachis total. T'as tout pourris, toi et ton ego. Mais sache que ce ne sont pas tes messages ou bien tes appels qui vont faire que je vais te pardonner,

pas cette fois-ci. Parce que je veux pas que tu reviennes, j'aurais simplement voulu que tu restes.

Leana

M e r d e d e b o u s e d e c h i a s s e d e c r o t i n d c h e v a l