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04/04/2021 à 23:37:59

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petite-humaine a 0 points de bonté.

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« Parfois je me fais l’impression d’être deux personnes. Une plus vieille, plus sage, qui regarde sa progéniture de même pas 19 ans, insouciante et idiote. Et j’ai envie d’accélérer le processus et d'être adulte pour de bon. »

 

 

      

 

 

Surnommée Zibby ou Lizzy depuis sa tendre enfance, elle est de ces filles «étrange», «peu fréquentable», «dans son monde». Elle est étudiante en littérature anglaise, en lettres classiques. Elle aura bientôt 19 sachant qu'elle est née au coeur de l’hivers. Elle a une famille plutôt singulière aux yeux de la société mais ça ne l’a jamais dérangé. Ils vivaient tous à la campagne avant qu’elle ne soit forcé de s’installer en ville pour ses études. Elle paie le loyer de son petit chez-elle avec ses photographies et ses quelques petits boulots.

 

Elle est dôtée d’une mémoire incroyable qui lui permet d’amasser beaucoup de connaissance en peu de temps. C’est grâce à cela qu’elle peut dévorer quantité de livres et réussir, alors qu’elle ne fait que parler et rêvasser quand on l’enferme dans une salle de classe. C’est aussi grâce à elle que Lisebeth en connait autant sur les créatures surnaturelles. Elle les étudie avec une passion et une fascination sans borne. Elle se lance même sur leur traces en dépit des risques. De toute façon, elle n’est pas du genre très consciente du danger. Elle est même plutôt naïve et innocente en fait, ce qui lui portera préjudice un jour pour sûr.

 

Lizzy, en simple humaine bornée qu'elle pense être , refuse de laisser sa «race» l’handicaper. Elle tente de maîtriser toute fôrme de magie à sa portée. Elle maîtrise l’art des plantes - qu’elles soient médicinales ou divinatoires -, la science des parfums - elle connaît ceux qui charment, qui tuent, ceux qui endorment - et même la musique.

 

 

 

 

 

Zibby est le genre de fille qui est à la fois douce et épicée. Elle est toujours un peu dans la lune, entourée de son aura de fragilité. Elle est très enfantine, souriante en toute occasion. Elle aime être la source de joie, comme un petit soleil à elle toute seule. En cela, elle est très secrète et renfermée. Elle ne laisse aucun soucis, grave ou non, entacher son humeur. Elle accumule. On dit que cette façon d’encaisser reflète une certaine force morale. Et puis à côté de ça, elle n’est pas du tout du genre à se laisser faire. Sans être vîolente, ni méchante, ni pour la vengeance, elle ne se taiera pas si quelque chose lui déplaît. Elle ne se tait déjà pas quand c’est l’inverse, alors. Son manque de maturié peut être son plus grand défaut. Elle prend tout à la légère. Elle est un peu trop tête brûlée pour sa propre santé aussi, et ne pense pas assez aux conséquences. Elle a un certain chic pour se fourrer dans des situations pas possibles et est d’une maladresse sans nom, ce qui complète le tout.

 

Question physique, Lisebeth se sent chanceuse. Il comprend des yeux mordorés, des boucles brunes, un peau pâle, des tâches de rousseur, une petite taille, et des fôrmes presque inexistantes. Et ça lui va. Elle a aussi un passé qui fait qu'une large cicatrice trône sur sa poitrine, chose discracieuse à laquelle elle évite de penser. Ceci dit, elle n'a pas pour habitude de s'en servir, de ce petit corps. Elle n'a jamais été très intéressé des histoires d'amour en général. Elle n'en a eu que de petites histoires d'ados, avec garçons et filles. Ses amis lui suffisent amplement. Elle a tout l'amour qui lui faut et n'est pas spécialement pressée de trouver quelqu'un. En tout cas c'est ce qu'elle dit.

 




 

« Quand un homme abandonne la nature, son coeur devient dur. Vent, eau, terre, feu... Suis-la, elle est ton coeur.»

 

 

Sooleawa est une indienne d’Amérique, la chanteuse de pluie de l’une des premières tribus découvertes par les colons. Ceux-ci, à bord de leurs navires immenses, accostèrent sur leur petite île, pas tout à fait détachée du continent, et implantèrent milles étranges choses. Ils battirent murailles et maisons, se retranchèrent derrière les troncs gigantesques de leurs murs et réduisirent les entrevus avec les indigènes. Les natifs n’étaient pas tant accueillants qu’ils l’eurent crus. La jeune femme, elle, fut tantôt de ceux qui s’approchaient, curieux, et tantôt armée de son arc aux côtés de ses frères pour faire pleuvoir sur eux toutes les flèches de leur conception. 

 

En effet, Sooleawa est une chasseuse. En dépit de sa qualité d’intermédiaire entre la nature et ses semblables, statu ô combien précieux et respecté, elle se permet de nombreuses excursions à la rencontre de ces individus venus de loin. Elle les observe, leur peau pâle, leurs armes, leur langue. Elle est d’une intelligence peu commune et telle une enfant, calque chaque geste, l’associe aux mots, chaque expression et apprend pas à pas. Ainsi, elle communïque avec eux. Les secrets de son peuple, en revanche, sont mieux gardés. Bien qu’elle soit plutôt amicale, elle devient redoutable sitôt qu’elle sent son peuple menacé.

 

Telle une bête sauvage, elle se tapit dans les hautes herbes, bondit et disparaît. La nature qui l’entoure n’a aucune secret, elle sent les odeurs inconnues aussi sûrement que le meilleur molosse, suit une piste grâce aux traces de la terre. Elle sait entendre les bruits de la nature, les branchages, les animaux alarmés, elle prévoit la tempête et le beau temps. Sa communion avec Mère Nature semble illimitée. 

 

    

Sooleawa fait montre d’un caractère tout à fait typique des indiens de sa tribu : ils ne connaissent ni le mensonge, ni la duplicité. Ils vivent en harmonie parfaite, chacun ayant sa place et personne n’en désirant une autre. La jalousie ne s’insuffle pas dans les coeurs qui se contentent de peu. Ils se complètent, s’équilibrent. Elle-même est toutefois jugée des moins commodes. Autant se bât-elle pour que la paix soit maintenue entre les différentes tribus de la forêt, autant la paix avec les Hommes Pâles lui semble peu probable. Elle ne les apprécie pas beaucoup. Ils piétinent sa précieuse nature, détruisent sa bien-aimée forêt. Ils n’ont de respect pour aucun être et ne semblent croire en rien. Ils sont mauvais, elle le sent. Ils n’apprennent rien et veulent les instruire, ils ne connaissent de la vie que la brutalité et les traitent comme des enfants. Sa patience est très limitée lorsqu’il s’agit d’interagir avec eux, quel qu’ils soient, elle pourtant si joyeuse, rêveuse, douce. Cependant, le meurtre n’est pas dans ses moeurs et elle s’y refusera toujours. Elle blessera, fera reculer mais, à moins qu’ils soient menacés, elle et sa tribu, elle n’autorisera pas le moindre assassina. 

 

Sa peau est aussi brune que l’on peut s’y attendre, ses cheveux longs jusqu’aux reins et bruns comme la terre. Son visage a la mâchoire forte, les lèvres pleines, le nez à la base large et aux narines aplaties, les yeux en amandes et sombres, tachetés d’or. Une beauté très sauvage, une amazone. Les artifices n’ont aucune place sur ses traits empreints d’une sérénité et d’une connaissance apparentes. En revanche, elle se plaît à parer ses mèches raides de quelques plumes claires, de perles d’os et de bois, ou encore de cuir. Ils n’ont ni or, ni argent et ne les convoitent pas : ce sont de bien inutiles choses, quand bien même sont-elles jolies. Son corps est long et élancé, elle est grande pour une femme de la tribu, tout en muscles fins. Elle aime sentir l’herbe sous ses pieds nus et le vent sur sa peau, aussi ne porte-t-elle qu’une robe sommaire en peau, d’une couleur presque identique à sa peau, et apprécie de tracer des arabesques de cendres ou d’ocre sur ses cuisses dénudées, ou encore sur ses bras.

 

 

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Lisebeth est inspirée de plusieurs choses : une partie de Vampires Diaries (pour son passé) par exëmple, son effigie est Kristin Kreuk.

Sooleawa est inspirée du film "The New Yorld", évidemment, de Pocahontas de Disney et d'un livre intitulé "Isaura", ainsi que d'Avatar de James Cameron ; son effigie est Q'Orianka Kilcher. 

Je ne cherche pas spécialement de romance et mes personnages, vous le constaterez si vous me donnez une chance, savent très bien se contenter d'une amitié. Malgré leur caractère doux, je n'ai aucune crainte à les confronter à la douleur, aux épreuves et aux dangers. Sooleawa est par ëxemple victime de la cruauté des colons, votre personnage n'est pas forcé d'être gentil. Je n'attends pas de vous que vous soyez John Smith, à moins que ce soit ce dont vous avez envie vous

Méga important : Sooleawa est forcément jouée en Amérique du temps des colons OU de notre temps mais dans l'une des tribus restantes, jamais vous ne la rencontrerez pour la première fois en ville.

 

 

 


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