DOLL RPG 

Quelques règles pour commencer les enfants :

- Parfois on a l'inspi', parfois non, c'est pourquoi je n'ai pas un "nombre de lignes" à respecter.

- J'accepte tous les types de rp', et je vous accepte quel que soit votre niveau aussi. Par là j'entends que j'accepte toutes les personnes qui font des efforts pour l'écriture et avancer le rp'.

- Il y a une chose où j'aurai beaucoup plus de réticence à accepter un rp', ce sont les présentations courtes de vos personnages. J'ai l'impression que c'est un CE1 qui s'essaie au rpg ... Je trouve ça pitoyable les "Jean-Bernard, strip-teaseur, joue au PMU, 17 ans, célib'." C'est profond comme présentation dis-donc.

- Lisez mes textes avant de proposer un rp'. S'ils sont trop long pour vous, allez avec les "Jean-Bernard et cie" cités ci-dessus.

- Plus le rp' m'intéresse, plus vite je répond. C'est aussi simple que cela.

- Ca ne me dérange pas de tuer mon perso'... Je le ferai sûrement, quand le rp' aura atteint la fin. J'aime beaucoup les Bad end en vérité.

Tout ça pour vous dire que je ne suis pas très difficile à satisfaire, mais intransigeante envers ceux qui torturent la langue française. Alors on fait des efforts au niveau des fautes (j'en fais moi aussi comme tout le monde) Et puis surtout sur la concordance des temps, j'y tiens. N'ayez pas peur de venir. Je suis une débutante comme beaucoup, je suis franchement pas exceptionnelle en écriture, mais je pense que j'ai un assez bon niveau, du moins assez pour oser dire que je fais du rp'.

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S p é c i a l   K i n g ' s   G a m e

 ''   R e a d y   f o r   t h e   S u r v i v a l   G a m e   ?    ''

Bon, comme y'en a plusieurs qui ne lisent pas les présentations, (déjà, je vous déteste !) Résumé ici (mais amoureux de la lecture et des longues présentations, s'il vous plaît, allez plus bas) --> [Teru est une fille qui se travestit. Pour l'instant, personne ne connait son véritable se.xe ... Plus court que ça, tu peux pas.]

Personnage seulement dispo' pour King's Game, pour l'instant.

T H E M E

//J'utiliserai comme vous le masculin tant que sa véritable identité n'a pas été découverte //

Teru est la cadette d'une famille constituée de 6 sœurs, un enfer pour ses parents qui ont toujours souhaité un homme dans la maison. Les parents étant très superstitieux, ont décidé que leur septième enfant leur porterait chance et serait un garçon. Avant même que l'enfant puisse voir la lumière du jour, ils lui ont donné le nom de Teru, un prénom masculin au japon. Malheureusement, le nouveau-né était bel et bien un fille. Teru était leur dernier espoir, et cet espoir se transfo.rma en un rêve inaccompli.

Au fil du temps, Teru compris à quel point le monde pouvait être injuste : moqueries, insultes, violences. Elle se demanda qui était-elle vraiment. En fin de compte, ce n'était qu'un enfant indésiré, une erreur. Elle prit sa décision, si elle n'était pas née comme elle aurait dû l'être, elle le deviendrai. C'est donc lorsqu'elle est rentrée au collège qu'elle à commencé à se travestir, à devenir celui qui était tant attendu par ses parents.

De nombreux conflits éclatèrent dans la famille. Ses parents n'étaient manifestement pas préparés à ce genre "déguisement". Mais, Teru se sentait ... étrangement bien. Elle ne s'était jamais vue comme étant une femme, son se.xe avait toujours posé un grand doute dans son esprit. Teru commença à fuir sa famille, qui avait perdu "leur petite fille" à tout jamais. Sa chambre était son repaire, ses jeux-vidéos sa vie. C'était le seul endroit où elle pouvait être "lui-même".

Sa deuxième maison, c'était son lycée. La famille avait déménagé depuis peu, et aucun de ces camardes de lycée n'était au courant que Teru était une jeune fille. Elle y était très appréciée. Un peu farouche, mais attachante, toujours là pour ses amis. Beaucoup de ces camarades féminines étaient tombées sous son charme, mais Teru les trouvait simplement répugnantes. On pouvait dire, qu'elle avait la phobie des femmes. Malgré quelques exceptions. Teru était fine, sa musculature discrète, sa poitrine inexistante. Sa petite stature lui donnait des surnoms qu'elle n'appréciait pas vraiment. Ses cheveux cachait son large front, et quelques mèches rebelles tombaient sur ses yeux dorés. Elle aimait cette vie. Elle souhaitait tellement que cette vie de lycéen dure éternellement.

- KING'S GAME TERMINE -

Suite : Teru a survécu, échangeant la vie de cinq élèves contre la sienne. Elle s'est liée d'amitié avec des personnes merveilleuses, qui l'ont aidée à survivre avec la mort. Elle est tombée amoureuse aussi, et a survécu aux côtés de celui qu'elle aime. Le jeux est terminé, laissant des séquelles irréparables aux participants. Mais, sans le K.G., elle n'aurait jamais créé de tels liens. Elle a gardé contact avec Shionn et Kazuto et vit dans les bras de Shiro, marquée à jamais par les péchés qu'elle a commis pour sa propre survie.

[ OMGFUYFQSFSHQ Tellement de classitude QwQ ]

KING'S GAME II

奇跡森

Kiseki  MORI

Kiseki est une jeune fille plutôt mignonne au premier regard, fragile, petite, discrète, et ses cheveux aux reflets légèrement teintés de violets peuvent en intriguer plus d'un.

Mais mentalement parlant, elle n'a rien d'une jeune fille normale, elle est atteinte de troubles obsessionnels, autrement appelés "Toc", qui pourrissent son quotidien. N'ayant connue que la solitude à cause de cette "maladie", elle est toujours à l'écart de tous, recluse sur elle-même afin de se faire la plus discrète possible. Elle semble perpétuellement anxieuse et apeurée.

Son enfance fut à la fois  étrange et compliquée. Kiseki n'a pas de véritables parents : elle est la fille d'un couple de lesbiennes qui étaient folles l'une de l'autre, et qui souhaitaient plus que tout fonder une famille "normale". Elles eurent donc recourt à l'adoption. La petite âgée de quelques années fut leur miracle de la vie, l'enfant tant désiré, et fut nommée Kiseki, tout simplement "miracle" au pays du soleil levant.

L'homose.xualité est TRES mal vu au Japon, la famille "normale" n'exista donc jamais. Kiseki fut victime de moqueries incessantes et se renferma peu à peu dans une profonde solitude. Le petit ange devint un démon, sa souffrance se traduisait par de nombreuses crises incontrôlables pour ses parents.

 A son entrée au collège, Kiseki développa ses premiers tocs, des rituels de répétition. Cela n'arrangea en rien son existence déjà difficile. A force de répéter plusieurs fois le même mot, le même geste, elle se fit rapidement remarquée. Maltraitée par les gosses du quartier, elle commença rapidement à devenir violente ou agressive dès qu'on s'en approchait. Les parents furent lassés par les plaintes des victimes blessées et mordues par Kiseki. Le quotidien de la famille fut un véritable enfer, qui regrettèrent amèrement leur adoption, et causa leur séparation. Kiseki était devenue une enfant à problème, incontrôlable, seule et non désirée. Les deux femmes partirent chacune de leur côté et la jeune fille fut placée dans un hôpital.

Aujourd'hui, "Kiseki a fait de nets progrès, et est capable de recommencer une vie parfaitement normale" selon son médecin.

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Koyuki X Zyra X Megumi

Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. Je regrette tout ce qui s'est fait, je pleure tous ceux qui ont vécu ; je voudrais arrêter le temps, arrêter l'heure. Mais elle va, elle va, elle passe, elle me prend de seconde en seconde un peu de moi pour le néant de demain. Et je ne revivrai jamais.

T H E M E

"Sais-tu ce que devient la neige lorsqu'elle fond ?

Le printemps.

  Et demain, c'est le printemps,

mais je ne le verrai pas..."

Cette jeune fille est la fragilité incarnée, elle est comparable à la neige.
Elle possède un visage d'une grande pâleur surligné par des sourcils noirs bercé par de longs cheveux blancs. Un physique plutôt attirant elle possède malheureusement un grand handicap, ses yeux se sont noyés dans l'éclat de la neige. Ils ne reflètent déjà plus l'éclat de la vie, Koyuki est aveugle, depuis toujours.

La fillette ne sais plus d'où elle vient, ni de qui. Elle est orpheline de naissance et a tout fait pour que son passé soit oublié. Sa jeunesse n'était que torture. Sans maison ni famille, elle devait vagabonder dans les villages avoisinants. Quelle honte lorsque l'on est dépendante des inconnus, lorsque notre vie appartient à la bonté de coeur des passants, qui ont pitié de vous. Depuis qu'elle est sortie de ce cauchemar qui a duré plus de 12 ans, elle a supprimé tous ses souvenirs pour ne plus survivre, mais simplement vivre.

Aujourd'hui, Koyuki s'est totalement intégrée à la société : banale, discrète, oubliée. La fillette gagne sa vie en jouant au piano dans un petit bar au coin d'une rue plutôt animée. Elle y est très appréciée, elle est dotée d'une grande tendresse et d'une joie de vivre malgré les difficultés que lui engendre son handicap. Elle est tout de même assez timide et réservée aux inconnus. Pendant son temps libre, elle préfère rester chez elle à l'abri du danger quotidien et des virus. Oui, Koyuki tombe très facilement malade, même si elle a affronté l'hiver pendant toute son enfance. Elle n'a qu'un seul véritable ami, son chien Hachi, en qui elle voue une confiance absolue.

" Il y a fort longtemps, dragons et humains vivaient en harmonie. Ces créatures étaient les seigneurs des trois règnes. Terre, Mer et Ciel leur appartenaient, et nul ne pouvait s'opposer à eux. Ils régissaient sur le monde et étaient les maîtres de leur règne respectif. Les humains étaient leurs dévoués serviteurs, leur prodiguant les soins nécessaires, flatteries et présents.

Mais les temps ont changé, les contes aussi. Les chevaliers tuent les dragons, représentés comme des démons au service du malin. Le peuple se soulèvent contre ses rois et ses reines. Et c'est ainsi que commença l'extermination des maîtres du monde. Chassés, exterminés, brûlés, dépecés, les dragons finissent comme du vulgaire gibier. Ces Seigneurs autrefois respectés, admirés, contemplés, vénérés, devaient désormais survivre par leurs propres et seuls moyens.

XXIème siècle. Les dragons sont aujourd'hui considérés comme étant des créatures "mythologiques". Ces souverains n'appartiennent plus qu'à l'imaginaire. Pourquoi ? Les dragons ont complètement disparus de la surface de la Terre. Complètement ? Non, pas tous. Des dragons survivent encore, nourrissant quelques légendes touristiques. Zyra est l'une de ces survivants. "

// PERSO EN COURS //

Née d'un amour interdit entre une humaine et un dragon, aujourd'hui disparus, Zyra est une hybride. D'apparence humaine, elle présente quelques plaques réparties sur son corps, mais est dépourvue d'ailes. Des écailles descendent le long de ses bras créant au bout de ses doigts des griffes, indispensables à la chasse. Car oui, Zyra est uni'quement carnivore. Ses yeux rouges sang, ses pupilles dessinées sous la f'orme de fente, des crocs acérés, une musculature puissante, Des oreilles fines et allongées dirigées vers l'arrière de sa tête, accompagnées par deux larges cornes ; sans sa stature humaine, elle correspond tout à fait à ses ancêtres, il en va de même pour ses compétences, silencieuse et indépendante, elle tue de sang-froid, sans aucun remord. Sa différence ne lui permet pas de vivre au sein de la société humaine, et elle n'en aurait de toutes manières aucune envie. Elle méprise les humains, les hait, mais en est terrifiée. Comment de si faibles créatures peuvent-elles anéantir la puissance de leur monde ? Pourtant, elles l'ont fait, réduisant Zyra à une profonde solitude, une prudence continuelle, et à une fuite éternelle.

La dragonne vit dans une forêt bordant un grand lac. C'est un dragon aquatique, Seigneur des mers et océans, divinité des pêcheurs, créateur de raz-de-marée et autres catstrophes naturelles... Non, elle n'est rien de tout ça. C'est une créature pitoyable qui patauge dans une flaque d'eau. Elle se déteste, se trouve lamentable, et n'inspire que la pitié en ne contrôlant aucun de ses pouvoirs : au contact de son élément, elle se métamorphose en une de ces créatures devenues légendaires. Elle n'a encore trouvé aucun moyen de contrôler cette transf'ormation. Le danger est grand, un dragon aquatique ne peut avoir la peau sèche trop longtemps. Quelques rumeurs ont déjà circulées dans le village voisin, un monstre aurait été aperçu. Sa vie est en danger, elle le sait. Cela fait plus d'une centaine d'année qu'elle se cache de tout, cela fait plus d'une centaine d'année qu'elle a perdu goût à la "vie". Mais elle tue, elle se bat et survie, son instinct est plus fort que tout. Malgré son corps pitoyable, elle représente ses ancêtres. Quiconque croise son regard, meurt. Elle les traque, met fin à leur piteuse vie, et les dévore. Ainsi chassent les carnivores.

Zyra n'est pas amicale, autant le dire clairement. Son coeur est glacé, et son toucher l'est tout autant. Zyra a vécu toute sa vie avec pour seule amie son ombre. Mais elle le vit bien, enfin elle arrive à se persuader que c'est le cas. Comme tous les dragons, elle est extrêmement gourmande de flatteries et de belles paroles, mais surtout d'or. En présence d'un humain, elle se fait passer pour une de leurs semblables, tout en cachant ses stigmates et écailles, parfois elle le tue, parfois elle n'en fait rien, tout dépend de son humeur. Ce n'est ni une monture, ni un animal de compagnie, ni un jouet. C'est une créature indomptable et envoutante, et elle ne laissera personne lui montrer le contraire.

[ Megumi est à la base créée pour l'univers de Hunter X Hunter, mais malheureusement très peu de gens connaissent ce manga incroyable, du coup, je peux l'adapter de façon à ce qu'elle colle à votre style de Rp. ]

" Les hunters sont reconnus pour appartenir à l'élite de l'humanité pour avoir réussi à passer le dangereux examen hunter, ils possèdent tous des licences hunter, qui est représentée sous forme d'une carte. Cette licence leurs permet d'avoir plus de droits qu'un simple citoyen ; comme le libre permis de tuer, la possibilité de voyager sur toute la planète jusqu'aux endroits les plus interdits, ... "

" Megumi, tel est mon nom,

mais si tu souhaites me rencontrer, il te faudra mourir"

T H E M E

Cet être vêtue de noir, au regard froid et à la chevelure verte inspire la méfiance, la peur et le dégoût, elle sent la mort. Elle est comparée au serpent, son animal totem. Elle possède sur la totalité de ses bras des tatouages à l'effigie de celui-ci. Son corps est fin et souple, et sa musculature faiblement dessinée. D'une stature assez petite, elle intimide de ses yeux perçants les petits, comme les plus grands. Elle est suivi de Hatchi, un Garland qui est considéré comme un animal divin dans son petit village reculé, il est en quelque sorte son compagnon d'arme, son seul ami, mais surtout la seule personne qui soit encore en vie à ses côtés.

Son actuel désire est d'obtenir la licence de Hunter, le libre pouvoir de tuer l'intéresse. Pour quelle raison ? Tout simplement parce qu'elle a décidé de vivre tant que justice n'était pas faite. Sa survie n'est qu'une vengeance. Elle a oublié ses désirs et ses sentiments pour accomplir cette mission. Pourtant, Megumi ne se qualifie pas pour autant comme étant une Justicière, c'est une criminelle guidée par les traumatismes de son enfance.

Elle ne fait généralement pas confiance aux inconnus et se méfie de tout. Toujours en perpétuelle tension, elle surveille ses arrières. Ce monstre possède déjà l'expérience du combat et manipule le Nen de l'Emission. Ayant de grosses lacunes en défense et en endurance, elle mise tout sur l'agilité, l'esquive, la rapidité, la surprise, et allie la ruse à la prudence. Elle ne prends pas de gros risques, elle est d'un naturel malchanceux. Peu de gens connaissent son nom, et son passé est quasi inconnu.

Ceux qui croisent son chemin se disent maudits, condamnés, à tord. Megumi, malgré ses airs de criminelle sans scrupule, sait faire la différence entre bien et mal. Il lui faudra faire des sacrifices pour arriver à atteindre son but, mais n'agira pas sans y  avoir préalablement réfléchi. Elle semble terrorisée par le feu et par les hommes, mais ne laissera jamais transparaitre ses peurs.