"Je vis avec un psychopathe. Ouais, un psychopathe. Le type ne sait pas dire pardon quand il bouscule quelqu'un, m'a déjà pété un bras et n'a tout simplement aucune conscience. Ouais, exactement. Un taré, j'vous dis.

 ...Mais ce taré là il a toujours été là pour moi. Même après m'avoir démonté le bras, si si. Il a réussis à me supporter et dieu sait à quel point c'est dur. Il me supporte ET je le supporte. D'ailleurs je me demande comment on a fait pour pas encore s'entretuer. Même si on a déjà essayé, quelques fois.

Y'a des moments où je regarde autour de moi, et moi qui d'habitude suis entouré de tous mes potes, là, je vois plus personne. Y'a des moments où je suis seul et c'est toujours dans ces moments qu'il apparait, qu'il est là pour moi, pour m'aider, m'empêcher de faire des co.n.neries.

Même si au début c'était pas sérieux et j'm'en foutais un peu, maintenant je crois que je peux vraiment le dire:

J'l'aime, mon psychopathe de Léo."

"Et pour rien au monde je ne te laisserai tomber."

 [RP Léo ~ Nathaniel ]

Bon, ça fait combien de temps déjà? 2 ans, au moins! Bref, ça fait des plombes qu'ils se tapent sur la tronche, s'entretuent, pleurent, crient, mais se font aussi pleiiins des bisouuuus <3 Des plombeq que je Rp avec la meilleure Rpgiste d'OMD! (SISI TU L'ES!) T'es genre...Comment dire...En fait t'es mon cloooone. Ah ouaiiis, ça doit être ça. *Regard suspicieux.* Non mais parce que pour être aussi tarée que moi, y'a un truc louche!T'es la meilleure! T'AIME FORT <3.

[RPG Nathaniel-Léo ~] <3.

« Mon Léo. Comment te dire ça sans que ce soit trop niais ? J’pense que c’est pas possible, en fait.

Tu sais, depuis notre rencontre, j’arrête pas de penser à toi, à nous. Ouais, même quand on ne faisait que s’engueuler et que tu m’avais pété un bras. A ce moment je n’aurais jamais imaginé une seule seconde où on en arriverait, en fait. Puis y’a eu tout ça…Mes problèmes au niveau du travail, le décès de mon père, bref, j’étais totalement perdu. J’avais plus aucuns repères. Je ne savais pas quoi faire et toi, malgré les immenses tensions entre nous, t’as voulu m’aider. Je m’étais dit...Chouette, j’ai trouvé un idiot pour se plier à mes caprices. Un bel idiot, en plus. J’avais envie de m’amuser un peu, fin bon, j’suis un gamin en même temps, c’est normal. Mais ce soir, celui dont je me souviendrais toute ma vie, c’est ce soir où tu étais allé près de ce lac et que j’étais venu m’incruster. On avait nagé et malgré mes tentatives d’approches, tu ne te laissais jamais faire. Puis j’ai réussis, je t’ai embrassé. Et c’est à ce moment où nos lèvres se sont enfin réellement touchées que j’ai senti mon cœur s’emballer, c’était presque comme une évidence. J’étais tombé amoureux de toi, Léo. Malgré moi, et j’aurais presque dit malheureusement, j’étais tombé amoureux de toi. C’était pas simple, parce que j’essayais de me voiler la face et de me mentir à moi-même. J’voulais pas être amoureux. C’était hors de question. J’aimais pas et je n’aime toujours pas m’attacher aux gens. J’ai besoin d’eux, après. J’ai besoin de toi. Je ne supporte pas te savoir loin de moi, ne pas savoir te parler ou te prendre dans mes bras. C’est pire qu’une drogue, j’en ai besoin chaque jour, à chaque instant. Mais c’était trop, trop à me cacher. Donc je te l’ai dit. J’pense que je regretterais jamais de te l’avoir avoué, ni de t’avoir embrassé.

Tu te souviens de ce jour ? Celui où j’ai fait la pire erreur de ma vie. J’ai invité mon ex, j’ai bu. Et j’ai couché avec. On s’est disputé, je t’ai mentis, et comme pour te provoquer, totalement hors de moi, j’te l’ai dit. Quand t’es parti, t’imagines même pas ce que j’ai pu ressentir. Un mélange de colère, aussi bien contre toi que contre moi, et de tristesse, de solitude. Je me sentais réellement seul, totalement abandonné, mal. J’avais l’impression d’avoir fait un pas dans le vide à ce moment. Oh, crois moi, ça, j’y ai pensé. Fumeur habituel, j’étais tellement déprimé que tout ce que je trouvais à faire, c’était boire, me droguer. J’ai pensé plus d’une fois à tout laisser derrière moi, me jeter du 3^ème étage et qu’on en parle plus. J’étais persuadé que tu ne reviendrais pas. Mais j’avais toujours ce petit espoir au fond de moi qu’un jour je te verrais passer le seuil de la porte pour venir m’embrasser et me prendre dans tes bras. Et ce jour est finalement arrivé. Bon, à moitié. Disons que passer la porte, tu l’as fait. M’embrasser, c’est autre chose. Mais t’es venu près de moi. J’imagine pas à quoi je devais ressembler…Je devais être…Horrible à voir. Maigre et pâle, totalement déprimé et noyé dans ma solitude. Voilà pourquoi je ne veux pas m’attacher. Tu vois ce que ça me fait, quand t’es loin de moi ? Et malgré tout, tu m’as pardonné. A ta place je ne l’aurais pas fait. Est-ce que ça veut dire que tu tiens ne serait-ce qu’un peu à moi ?

Mine de rien, chaque jour j’y repense. Et si t’étais pas revenu ? Chaque fois que je te vois sortir je prie pour que tu reviennes vite. Je déteste être loin de toi, c’est trop dur à supporter. Je t’aime trop, vraiment trop trop trop. Chaque jour ce que j’ai fait me ronge. Je n’aime pas que t’en parles parce que ça me rappelle que tu es parti et que tu peux recommencer n’importe quand. Et si un jour tu ne revenais pas ? Crois moi que si ce jour arrivait, j’me pendrais direct.

T’es celui qui me complète, me supporte, m’aime et me hais en même temps, me blesse et me protège, me fait pleurer et rire. T’es parfait, parfait pour moi. Pour rien au monde je ne te laisserais tomber. Je sais que j’suis pas vraiment facile à vivre, c’est vrai. Pas du tout, même. Mais je suis prêt à faire n’importe quoi si ça peut me permettre de rester avec toi toute ma vie. Et si j’ai si peur de ton métier, c’est surtout parce que j’ai peur pour toi. J’veux pas que tu aies des ennuis et qu’il t’arrive quelque chose. T’es fort mais t’es faible en même temps. J’suis là aussi pour t’aider à te relever, donc j’espère y arriver. Et peu importe ce qui se passera, je serais toujours là pour toi. Je t’aime tellement. Je t’en supplie, une dernière chose. Aimes moi. »

-Nathaniel/Adulte-

-A vous de choisir quelle facette de lui vous désirez voir..-
Le gamin rarement mature, ou l'adulte conscient de ce qui l'entoure?