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Je me prénomme Estelle. Prénom courant ou pas ; on s'en fiche. Je suis née au Mexique... Aucune origine, juste un voyage de mes parents, ahah. J'ai 17 ans, depuis le 1er juillet. J'ai un caractère particulier, soit tu l'adores, soit tu le hais : je suis pessimiste, soulante sur les bords, jalouse, possessive, timide, illogique, stupide, et encore jalouse. J'ai un grand frère et une grande sœur, qui sont sûrement à l'origine de mes défauts... Surtout mon frère. A part ça, j'aime bien dessiner, même si je ne suis pas douée. Ça me permet de penser à autre chose, de me concentrer. Je hais tout ce qui est One Direction ou Justin Bieber : ils ne font pas de la musique, ils font du bruit. Idem pour les "swagg", c'est juste une bande d'attardés qui ne savent pas la signification de ce mot, sinon, vive le mariage pour tous. Je trouve que PSY a fait preuve de génie en créant le buzz du Gangnam Style, même si ce n'était pas forcément l'effet désiré. Bref. Je peux détester une personne sans même la connaître, juste en observant son comportement. (je suis devin) Petite, on me désignait comme étant mature, voire très mature. Je suis toujours restée avec des plus grand que moi, étant donné que j'ai "sauté une classe". A part ça, je suis amoureuse et très heureuse depuis quelques mois maintenant ; je n'en ai parlé jusque là, et vous n'en saurez pas plus. (Avez-vous remarqué que je passe du coq à l'âne ?) Quand je n'aime pas une personne, mon avis ne change pas, même s'il paraît le contraire. En revanche, quand j'apprécie une personne, cela peut changer. J'obtiens toujours ce que je veux, d'une manière ou d'une autre, que ce soit au bout d'un mois ou dans l'instant qui suit. Je suis déterminée. Je suis assez patiente, mais il ne faut pas non plus compter là-dessus. Je n'ai pas d'idole, ni de "truc préféré". J'aime beaucoup de choses, en matière de nourriture, et je ne supporte pas les pleurnicheuses qui disent "Je ne mangerai jamais de cheval de ma vie, ouais ouais ouais."... Tu leur dis que c'est du bœuf, elles diront que c'est super bon ; bref, ça craint l'paté. J'aime pas quand les gens veulent avoir le dernier mot alors qu'ils ne le méritent pas. J'aime pas ceux qui se la pètent alors qu'ils n'ont rien pour. J'aime pas ceux qui cherchent des défauts aux gens là où eux-même ils en ont. J'aime pas être prise pour une idiote ; je le remarque vite, et on l'paye cher : tout bénef pour moi, en fait. J'aime pas ceux qui disent avoir trouvé l'âme-sœur alors qu'il ne connaisse cette personne que depuis deux minutes. J'aime pas les gens qui se croient drôles juste parce que des cons rient de leurs pseudo-blagues. J'aime pas ceux qui se victimisent quand ils se rendent compte qu'ils sont dans la merde. J'aime pas celles qui se croient tout permit sous prétexte qu'elles sortent des phrases "swagg". J'aime pas ceux qui se croient au dessus des autres, alors qu'ils sont totalement dépourvus d'intelligence. J'aime pas ceux qui comprennent pas les blagues subtiles ; ce sont des incultes, et ils sont ennuyeux. J'aime pas quand on m contredit alors que j'ai raison ; de plus, si c'est pour dire d'énormes bêtises. J'aime pas quand mes amis proches apprécient des gens que je n'aime pas : je me demande toujours comment des gens géniaux peuvent apprécier des personnes pathétiques. J'aime pas quand on me reproche quelque chose de totalement faux. J'aime pas le chantage, mais j'aime bien en faire. J'aime pas ceux qui se cherchent des excuses complètement insensées et qu'ils en sont conscients : c'est carrément du foutage de gueule. J'aime bien remettre à leur place ceux qui ne se sentent plus, c'est tellement drôle de les voir s'énerver en une poignée de secondes. Malgré mon âge j'aime regarder les Simpson ; il y a beaucoup de références à des faits réels et les vannes sont subtiles (les petits esprits ne peuvent pas comprendre ceci, évidemment). Je n'aime pas les Anges de la téléréalité, l'île des vérités ni Hollywood girls, mais je regarde Secret Story, les ch’tis et les marseillais. J'aime pas ceux qui disent "I'm a unicorn" ou autres, je trouve ça complètement gnian-gnian, et je déteste tout ce qui est gnian-gnian ; c'est stupide. J'aime pas les lèche-bottes, je doute toujours de leur vrai but. Je ne m'aime pas non plus.
Flora... Commençons avec ces trois mots : exceptionnelle, merveilleuse et fantastique. Oui, c'est en partie ce que je pense de toi, même si j'en pense beaucoup plus. En fait, ces trois mots sont employés en tant qu'euphémismes. Pourquoi ? Parce que tu es plus qu'exceptionnelle, plus que merveilleuse, et plus que fantastique. Tu es toujours là, toujours à l'écoute, dans les bons moments comme les moins bons. Tu sais me faire rire dans n'importe quelle situation, avec n'importe quoi. Je peux tout te dire, tout te confier : tu es digne de confiance, et ça, c'est rare de nos jours. Je n'aime pas beaucoup de choses, pas beaucoup de gens, mais tu fais partie de ces rares personnes qui font de ma vie un petit paradis. Notre rencontre n'est partie de rien, rien qu'un simple mot ; salut. A partir de là, on s'est énoncé notre prénom, notre âge, et deux ou trois petites choses supplémentaires, rien de bien précis. Il faut avouer que nous n'étions pas très proches, dire le contraire serait mentir. Juste un petit "Salut, ça va ?" par jour et c'était fini. Puis, je sais pas vraiment le pourquoi du comment mais, ça a changé d'un coup. On était un peu plus proches, je commençais à rigoler devant mon ordinateur et ma famille me prenait pour une schizophrène (c'est toujours le cas). Puis, ça s'est emplifié, petit à petit, jour après jour, conn.exion après conn.exion, salut après salut. En fait, je me souviens que l'on s'es grandement rapprochées il y a environ un an. J'avoue que j'attendais ça depuis longtemps, parce que, mine de rien, j'observais ta doll tous les jours, à chaque fois j'allais voir s'il y avait ne serait-ce qu'une toute petite modification dans ton qui suis-je (alors que j'étais totalement inconnue à tes yeux), mais cela m'était égal. (Aurais-je un avenir de détective privée ? Nous verrons ça dans quelques années...) Bref. On parlait donc de tout et de rien, ça ne se limitait plus à de vulgaires salutations de politesse. On se confiait nos problèmes, on rigolait, on avait des conversations bizarres aussi... vive la nourriture calorique ! Tout et rien, comme dit précédemment. Vint ensuite une période périlleuse. Une période que j'ai détesté. C'était parti de rien, et j'en ai fait tout une histoire. Sans vouloir me donner d'excuses, j'ai été encouragée dans ma jalousie par, disons, une certaine personne. Tu te rappelleras de qui il s'agit, je pense. Revint donc la phase primaire : celle où je scrutais ta page. Je me faisais plus de mal que de bien, puisque le fait de ne plus voir mon nom nul part me déprimait. Pire ; j'en voyais d'autres ! Je partais dans des films où j'assomais chacune de ces personnes avec un pistolet à eau : une arme redoutable. Heureusement que j'ai mis ma fiéreté de côté et que je me suis enfin décidée à m'excuser après deux longues semaines... J'avais néanmoins peur que rien ne soit plus comme avant, mais je me trompais. C'était en fait carrément mieux qu'avant ! A ma grande surprise, cette querelle nous avait encore plus rapprochées, et, c'était génial. Prospérité, bonne humeur et rires revenaient donc. Jusqu'à la deuxième mauvaisse passe. A un moment bien précis. Inutile de parler de cet "évènement", je ne veux rien citer de celui-ci, juste mon ressenti. J'avais l'impression d'avoir été un mouchoir, une chose usagée avant de retrouver la nouveauté. Encore une fois, je suppose qu'il n'en était rien. La jalousie l'emporte toujours là où il ne faut pas. Tout s'est encore arrangé, de justesse cette fois. Je me sentais quand même un peu de côté, mais bon, au moins le conflit n'était plus d'actualité. Du moins, pas avec toi ! Les rires étaient toujours au rendez-vous, et tout recommençait, comme avant, encore et encore. Mais plus le temps passait, plus je me sentais mal, parce que je pensais ne plus trop compter à tes yeux. Impressions ou triste réalité ? Quoi qu'il en soit, je pensais être prise dans un cercle vicieux. Trop de choses se passaient, autant sur ce jeu que dans ma vie, pour finalement prendre la décision de couper les ponts avec tout le monde. Tu n'étais pas d'accord avec ce choix, et tu l'as fait comprendre. Tu as tant bien que mal essayé de me faire changé d'avis, mais rien n'y faisait ; je restais sur ma décision. Cette fois-ci, c'est toi qui est revenue vers moi après deux semaines. C'est aussi cette fois-là que tu m'as convaincu de rester, pour toi, et les autres. Beaucoup de gens rêveraient de t'avoir rien que pour eux, et c'est égoïstement que je partage cet avis. A mes yeux, tu es et tu resteras, malgré tout, ma meilleure amie. ♡
Age | Genre | Ville | Pays |
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100 ans | Femme | 💀 | France |
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Couleur préférée | Le job de mes rêves | Emission préférée | Loisir préféré |
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