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Willa, Ornella,  Maman;   souvenirs d'enfance, peurs, accidents, regrets, tristesse.

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D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu dans un cocon. Mon père m'empêchait de sortir de la maison et les réseaux sociaux m'étaient interdits. Je prenais des cours particuliers, je n'allais donc pas à l'école. Le fait que je n'ai pu sortir de chez moi ne facilitait pas la rencontre d'amis et, si je ne me trompe pas, je n'en ai eu qu'une que je puisse voir et, accessoirement, supporter. Je ne pouvais pas le blâmer, depuis la mort de ma mère, il ne vit que pour son travail et moi. Il ne veut donc perdre ni l'un, ni l'autre. La seule amie que j'avais s'appelait Ornella. En plus de la concidérer comme ma meilleure amie, elle était pour moi une soeur et une confidente. Je ne pense pas qu'il y ait eu quelque tension entre nous. En réalité je crois qu'on se protégeait l'une l'autre. Le fait que l'on s'entende venait sûrement du fait que nous avions toujours été ensemble depuis le berceau. Il y a aussi le fait que nous soyons totalement différentes. Elle aimait l'aventure tandis que je n'étais pas rassurée dans mon propre jardin. Elle était assez pauvre, ce que j'admirais, et, moi, je vivais dans une grande villa. Bref, nous étions en tout point différentes. Elle, qui allait alors à l'école publique revenait souvent chez moi, en larmes, me parler de ses mauvaises notes ou de ses peines de coeur. A chaque fois, je faisait de mon mieu pour la consoler mais c'était difficile de ma mettre à la place d'une personne qui vit des choses que je ne vis pas. Je me rappelle que, quand nous étions petites, on s'amusait à construire des cabanes dans le jardin, à lancer des objets sur les passants, à jouer à cache cache en ne restant que dans une seule pièce, à regarder des dessins animés bébêtes tout en jouant avec des poupées trop maquillées et en s'empiffrant de bonbons sur le tapis douillet du salon.

J'ai toujours eu peur de tout. L'orage me terrifie, tout comme les insectes et les écureuils. Je n'aime pas les adultes, ils m'inspirent la crainte. Je n'ai jamais apprécié le ragard des autres et le fait de me retrouver au milieu d'inconnus m'angoisse, bien que la probabilité que ça m'arrive soit faible. Je déteste les tragets en voiture, ils me font réellement peur. Cette peur est survenue quand j'avais deux ans. Ce jour là, ma mère m'avait emmenée à son travail. Elle m'avait expliqué son métier et, même si je ne l'écoutait pas, j'entend encore sa voix pleine de fièrté en me montrant les locaux de son immeuble et en me présentant à ses collègues. Alors que la journée se terminait, nous rentrions dans la voiture. Maman m'attacha dans mon siège-auto à l'arrière et elle, elle se mit derrière le volant. Nous approchions des fêtes de noël. Je regardais pas la fenêtre les facades décorées, parfois trop, de mille et une couleurs, les sapins pleins de guirlandes, les pères noëls qui agitaient une cloche devant le visage des passants. Tout ces gens étaient heureux. C'est alors que, à un carrefour maman s'arrêta car le feu était rouge. Une fois qu'il passa au vert, maman avança prudemment mais un chauffeur ivre qui arrivait à grande vitesse nous percuta. Des passants ont alerté la police et des ambulances sont arrivées également. Ce jours là, il y eu deux morts et un survivant. Cette histoire, je ne m'en souviens pas, c'est mon majordome qui me l'a racontée. Depuis, je me suis rappelée le visage du chauffeur qui nous a percuté et le silence angoissant qu'il y eut après la collision. En réalité, même si je vivais dans un endroit de rêve et que ma vie faisait des jaloux, je n'étais pas heureuse, il me manquait quelqu'un.


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New-york;    départ, au revoirs, tristesse, avion.

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Ce matin, mon père m'a annoncé que je devais partir pour New-York dans deux semaines. Sur le moment, j'ai cru que c'était une blague alors, j'ai esquissé un sourire timide pour lui faire plaisir. Mais son visage était celui de quelqu'un de sérieux et, quand je me suis tournée vers mon majordome, il m'a fait comprendre que c'était la vérité. Après un petit rire nerveux de ma part mon père poursuivit en précisant que je vivrais chez ma tante, la soeur jumelle de ma mère. Il ajouta que, chaque semaines, il m'enverra mon argent de poche par courrier. Ensuite, il m'a expliqué que je devais y rester jusqu'à ce qu'il revienne de l'étranger pour son voyage d'affaires. J'étais loin d'être emballée, bien que la perspective de voir une personne qui ressemblerait traits pour traits à ma mère  si elle était encore envie me remplit de curiosité. Toute l'après midi, je me suis posée des questions sur mon séjour là-bas. Est-ce que je vais m'y plaire? Combien de temps ça va durer? Est-ce qu'elle va être gentille? A quoi ressemble sa maison? Est ce que mes professeurs particuliers me suivront? Est-ce qu'elle est jolie? Est-ce qu'elle se souvient de moi? Finallement, au souper, mon père s'est apperçut que je n'étais pas enchantée à l'idée de partir pour les Etats-Unis toute seule et à mon avis c'est sont cas également. Il me proposa d'inviter Ornella à dormir à la maison pour me remonter le moral. Je n'ai pas mis longtemps avant d'accepter dans un élan de joie et, environ trois quarts d'heure plus tard, elle sonna à la porte. Comme je guettais son arrivée avec impatience, ce fut moi qui lui ai ouvert. Nous sommes rapidement montées l'installer et, une fois prêtes à aller dormir, nous nous sommes couchées. Alors, dans la pénombre de ma chambre, je me suis mise à lui raconter ma journée. Elle non plus n'y à pas tout de suite cru mais quand je lui ai expliqué que c'était le vérité, elle fut moins enthousiaste. Sans la voir, je devinais qu'elle était déçue et je partageais sa déception. Le reste de la nuit fut plus calme malgré le fait que je ne pus m'endormir que très tard. Les jours suivants furent moins mouvementés. Ornella est venue m'aider à faire mes valises et mon père était plus présent que jamais.

 

 

Aujourd'hui, c'est le grand jourd, mes valises sont bouclées et m'attendent dans le hall. Mon père n'arrête pas de me stresser en me demandant si je n'ai pas oublié tel ou tel objet ou vêtement. Ornella est justa à côté de moi et elle m'aide pour les derniers préparatifs mais je vois qu'elle le fait à contrecoeur. J'ai appris que mes professeurs particuliers ne me suivraient pas là-bas et que j'airai dans une école publique. Cette idée m'angoisse d'autant plus donc j'essaie d'éviter de trop y penser. Mon majordome sillonne la maison à la recherche des clés de la voiture qu'il a perdu dans l'empressement et à ce que j'ai compris, c'est lui qui nous emmènera à l'aéroport. Papa est finallement prêt et il a retrouvé les clés. Nous allons partir. Je repasse dans chaque pièces de ma maison et leur dit au revoir mentalement et, après avoir fermé la porte de ma chambre, je me dirige vers l'entrée. Ornella est juste derrière moi. Elle marche lentement et la tête basse, elle semble perdue dans ses pensées. Elle donne l'impression d'aller à un enterrement. Mon père lui à proposé de nous accompagner jusqu'à l'aéroport et elle a évidemment accepté. Nous passons la porte d'entrée et descend les quelques marches qui mènent au sentier de pièrre qui conduit au garage. Je fais expres de marcher lentement dans le but de perdre du temps et de, peut-être, rater l'avion. Je le fais même si je sais que ça ne sert à rien. Papa a prévu que je tenterais de prendre du retard et nous à fait partir au moins une demi heure à l'avance. Nous arrivons à la voiture. Papa s'installe à l'avant, Ornella et moi, à l'arrière. Nous ne tardons pas à passer la barrière, frontière de la propriété et nous roulons dans les rues du village. Ornella semble vouloir engager la conversation mais je n'ai pas le coeur à parler. J'appuie mon épaule contre la portière et je regarde par la fenêtre. C'est étrange, j'ai l'impression d'avoir des milliers de souvenirs ici alors que je ne peu sortir de chez moi que très rarement. Nous arrivons à l'aéroport peu de temps après. Pendant que mon père se charge d'enregistrer les bagages, Ornella et moi, nous regardons les autres destinations. A ce moment, je ne sais pourquoi, elle se met à imaginer que je monte dans le mauvais avion, que je me retrouve au milieu de nulle part et que ne ne peut même pas les prévenir car il n'y a pas de réseau. Une fois qu'elle a terminé de m'angoisser, je lui jette un regard noir tout en retenant un sourire. Ils m'accompagnèrent un moment à travers l'aéroport puis me dirent au revoir. Je marchais alors toute seule, j'avais les larmes au yeux et je devais sûrement avoir le visage crispé. J'arrive à un tournant. Avant de continuer je me retourne vers mon père et Ornella, ils me regardent en souriant et en agitant la main. Je fais de même puis j'empreinte le couloir et  j'arrive dans une grande salle où se suivent plusieur portes. Je recherche celle qui porte le même numéro que mon billet et, après avoir donné celui-ci au contrôleur, je suit le dernier couloir, celui qui me mènera à l'avion.


 

 Je prend place dans mon siège après avoir mis mon bagage à main à la place indiquée. J'ai la chance qu'il soit placé juste à côté de la fenêtre. Je regarde une dernière fois à travers le hublot puis, je m'adosse au siège le coeur lourd. Une vielle dame vient s'asseoir à côté de moi, elle est acompagnée, d'après ce que j'ai cru comprendre, de son beau fils. Elle a une odeur de moisi. Alors, qu'elle semble vouloir engager la conversation, une hôtesse apparaît dans l'allée et, nous explique les consignes de précaution. Elle évoque, ensuite, l'utilisation du téléphone portable, précisant son interdiction pendant le décollage et l'aterrissage. Cette annonce me rappelle que le mien est dans ma poche et je décide, donc, de le couper au cas où je reçoive un message. Je le sort donc difficilement de mon pantalon et, avant de l'éteindre, lit mon dernier message. La vielle dame semble intéressée par celui-ci car je la sent s'appuyer de plus en plus contre moi, comme si elle voulait le lire. J'incline, donc, mon gsm dans la direction opposée et elle se remet correctemement. Pour passer le temps, je sors un bouquin de la poche devant moi et parcours les pages rapidement. Pendant ce temps, ma voisine se remet à me coller. Elle se met à me parler d'un air nostalgique de son passé. Un fois le magazine terminé, je le range à sa place initiale tandis que le vielle dame continue de me parler. Jusqu'ici, je répondais par de courtes phrases, censé arrêter la conversation mais là, j'en ai marre. Je me dis que je vais devoir la supporter tout le trajet. Alors, je ne sais pourquoi, je pousse un long soupir en me calant contre la paroi. Par ce geste, j'espère lui faire comprendre que je ne l'écoute pas ou qu'elle doit arrêter de parler. Mais elle n'en fait rien et, après un court silence,  se remet à parler. Je lance alors un regard désespéré à son beau fils qui réussi à la faire taire. Finallement, je sors mon gsm de ma poche et j'y branche mes écouteurs.


 

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Willa,  tante Clara;  rencontre, skate, glaces, bonheur.

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A la sortie de l'aéroport, je m'attendais à tomber sur une dame haustère et autoritaire. D'ailleurs, cela ne m'a pas facilité la tâche quand j'ai du rechercher ma tante. En réalité, c'est elle qui m'a trouvée. Selon elle, je ressmble beaucoup à ma mère et, par conséquent, à elle. Cela ne m'ennuie pas du tout, elle est plutôt jolie. Elle a de longs cheveux blonds et des petits yeux bleus. Elle est plutôt mince et parle avec un accent assez amusant. Bref, quand nous nous sommes rencontrées, elle m'a prise dans ses bras et je crois qu'elle m'a soulevée parce qu'elle m'a dit, après, que j'étais loin d'être lourde. Elle s'est tout de suite mise à parler. Elle m'a dit que j'allais me plaire et, étrangement, j'en étais sûre également. Quand nous sommes sorties de l'aéroport, elle m'a fait entrer dans une petite voiture rose. Elle était plutôt confortable et étonnement spacieuse. Je pris place à l'avant tandis qu'elle raneais mes valises dans le coffre. Pendant qu'elle conduisait, elle m'a demandé d'appeler mon père pour le rassurer. Je l'ai donc fait mais j'ai du abréger la conversation car nous sommes rapidement arrivées chez ma tante. Il faisait nuit et j'étais plutôt fatiquée, je n'ai pas trop fait attention à l'aspect de la maison et elle m'a directement accompagnée jusqu'à ma chambre. Environ une demi heure plus tard, j'étais au lit, prête à dormir. Le lendemain matin, ce sont les rayons du soleil qui 'mont réveillés, ils donnent directement dans ma chambre et, plus précisément, sur mes paupières. Je suis descendue en pyjama et, après avoir ouvert quelques porte au hasard, je suis tombée sur la cuisine. J'y ai trouvé ma tante assise sur une chaise devant une petite table en bois. Elle était en train de boire son café tout en lisant son journal. Dès que je suis entrée dans la pièce, elle m'a saluée joyeusement et j'ai fait de même. Elle m'a tendu un croissant et un bol de lait. Pendant que j'ingurgitait le tout elle m'expliqua que, la matinée nous irions faire des couses au centre commercial, que, ensuite, nous irions manger un sandwich et que l'après midi elle m'amènerait à la piste de skate. Ce point n'attira pas beaucoup mon attention sur le moment. Quand j'eu fini de déjeuner, elle m'envoya dans ma chambre m'habiller. Ce fut à ce moment que je me suis attardée sur des détails. Le cadre photo rempli de photos d'enfance de ma mère et ma tante, un poster d'un groupe dépassé et une lampe avec un abat-jour avec un motif léopard. Sinon, les murs étaient gris et blancs et le sol était en bois. Ce qui expliquait que je n'avais pas froid au pied malgré le fait qu'ils étaient nus. Je finis par m'habiller d'un t-shir avec un drapeau américain dessus et d'un short plutôt court. Je n'eus pas de mal à retrouver ma brosse à cheveux parmis mes valises et je les ai rapidement attachés sur le cotés avec un élastique. Par contre, je ne retrouvais pas ma trousse à maquillage. Je me suis donc mise à vider une à une mes valises, en vain. Alors, quand je suis descendue, ma tante m'a gentillement prêté le sien et, peu de temps après, nous sommes parties. 


Le centre commercial était énorme, il y avait énormément de boutiques et d'étages. Plusieures fonteines trônaient à chaque étages et il ya avait plusieurs cabines photo. Ma tante fit toute sorte d'achats; de la nourriture, des vêtements, du shampoing, des piles,... Ensuite, elle me proposa de m'acheter des nouveaux produits de maquillage. On entra dans une dizaine de magasin différents pour trouver le produit qui me conviendra le mieux. Quand on sortit de cet immense endroit, on passa déposer nos achats dans la voiture et,ensuite, on entra dans un café où on commanda des sandwichs. Il ny eut pas un moment où nous avons arrêté de parler, nous étions de vraies piplettes. avant de partir, elle me rappela qu'on irait faire du skate. Je fit une grimace et elle comprit tout de suite mon problème: je ne savais pas en faire. Elle prit un petit temps de réflexion et puis elle me dit simplement qu'elle m'apprendra. Nous sommes finalement rentrées dans la voiture, après qu'elle ait réglé la note et nous avons roulé environ vingt minutes. Je n'ai jamais aimé les trajets en voiture et ce n'était pas prêt de s'arranger. Quand nous sommes arrivées, j'avais mal au coeur et il m'a fallut un moment avant d'aller mieux. Malheureusement ma tante ne s'était pas découragée et, dès que j'en fut capable, me tendit une planche. Elle monta sur la sienne et avança me dit de faire comme elle. Elle poussa sur le sol derrière elle et se mit à avancer. Alors que je m'appêtais à faire de même, je sentis la planche avancer sous mes pieds sans que mon corps ne bouge avec. J'ai fini assise sur les fesse sur le sol. Le reste de la "leçon" fut moins catastrophique, je réussisait à avancer de quelques mètres avant de sauter de la planche par réf*** alors qu'elle avançait encore. Il devait être quatre heures quand ma tante m'annonça iro***ment que j'étais un cas désespéré et que nous allions quitter l'endroit. Je ne fus pas triste de rendre ma planche. Plus tard, avant de rentrer une nouvlle fois dans la voiture, je m'apperçus que j'avais été plutôt épargnée. J'avais certe mal aux fesses mais je n'avais aucune marque qur le reste du corps à part, peut-être, l'empreinte du sol sur mes mollets. Mais elle disparaitrait bientôt. Quand nous sommes arrivées à la maison, le marchand de glace ambulant passait. Ma tante me demanda de courrir dans sa direction pour l'arrêter. Ce que je fis avec entrain. Elle me rejoignis tout de suite après avoir fermé la voiture. J'ai commandé une glace à la vanille et elle à la fraise. Et nous sommes allées les manger au parc en face de chez elle. Quand des enfants passaient devant nous, ils nous regardaient avec envie. Il y en a même un qui a tendu la main vers ma glace et, au moment où il allait l'atteindre, fut rappelé par ses parents. Ma tante et moi avons poussé un "ouf" de soulagement. J'eût fini un peu avant elle et je me dirigeais vers les installations pour les petits. Je commençait à faire des figures sur l'échelle suspendue sans, pour autant, me mettre trop la tête en bas étant donné que je venais de manger. Quand ma tante eut fini, elle est venue me chercher et, sur le court tajet du retour, elle me félicita pour mes acrobaties. Je lui axpliquais que j'avais longtemps pris des cours de gymnastique, à Londres.

 

 

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  Aislee-Rose

 

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Ca y est, il est temps; il faut préparer l'arrivée du bébé Les couches, les biberons, les livres interactifs, les crèmes, les grenouillères, les peluches, les tétines... Rien ne sera laissé au hasard pour l'arrivée de la petite qui aura pour prénom d'Aislee-Rose, Aislee est le prénom choisit par les parents et Rose était le prénom de son arrière grand mère. Eh oui, ce sera bien une fille, la dernière échographie à révèlé avec certitude le se.xe de l'enfant. L'arrivée du bébé est prévu aux alentours de la noël, il sera les plus beau cadeau que ses parents receverons. Bientôt, ils devront se réveiller une dizaine de fois au moins pendant la nuit pour satisafaire les caprices Aislee-Rose qui a décidé de ne pas dormir. Ce seront bientôt les journés empreintes de la mauvaise odeur provenant des couches sales du futur nouveau né, les pleures inutiles, les caprices incencés. C'est presque fini, le temps où les parents d'Aislee-Rose pouvaient faire des nuits complètes et reposantes, celui où ils pouvaient passer toute une soirée chez leurs amis sans se soucier de ce que fait leur fille. Larrivée du bébé est tout simplement un élément significatif qui change radicalement la vie des parents.

BY A-R

 

                                              


              SOON, A NEW BORN         


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Il était une fois, un bai.ser, une rencontre délicate entre deux lèvres destinées à se toucher. Ce bai.ser en entainera un autre puis encore un... Grâce à celui-ci, deux personnes auront des rapports. Le matin d'après les rapports commencera un décompte, celui qui durera neuf mois. Une vingtaine de jours se seront écoulés, au terme de ceux-ci, un minuscule embryon se sera  fo.rmé. Un petit boût de vie si fragile que sa vie ne tiendra qu'à un cordon, un seul fil. Deux mois se sont écoulés depuis les rapports et l'absence de ses règles inquiéterait la future maman. C'est alors qu'elle se rendra dans une pharmacie, décidée à viréfier si elle n'était pas enceinte. Sans grande surprise le test de grossesse sera positif mais deux mois se seront écoulés, il sera donc trop tard pour faire marche arrière. Le troisième mois sera marqué par une première échographie qui révèlera avec certitude qu'elle est enceinte. L'echographe aura beau regarder, il sera impossible pour lui de déterminer avec certitude le se.xe de l'embryon, il poura, en revanche, estimer la date de l'accouchement de la future maman. Les mois suvants, elle sera dévastée par des nausées, des douleurs atroces, des envies encontrôlables. Deux autres échographie permetteront, le sixième et le huitième, de vérifier l'état du bébé mais il n'y aura toujours aucun moyent de déterminer si ce sera une fille ou un garçcon.

Ici Only [Kiss-blg-x]. Le dernier QSJ est les mien, je l'ai créé et j'ai demandé à Aislee-Rose de le mettre avec l'image que j'ai choisie sur ce compte. J'ai choisi cette image parce qu'elle me fait craquer, je sais qu'elle n'a aucun rapport avec le texte.


                                              

 

 

First Christmas inNew-York.

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C'est emmitouflée dans un épais manteau blanc matelassé rappelant la neige cristalline se dressant fièrement au somment des montagnes, que Bethany embarqua dans l'avion en partence pour New-york. Elle regarda une dernière fois la piste à travers le hublot puis s'adossa au siège, le coeur lourd. Une hôtesse apparut dans l'allée, sans attendre, Bethany fixa son attention dessus pour l'écouter. Après de longues consignes de précautions, la dame au sourire béat évoqua l'utilisation du téléphone portable, précisant son interdiction totale durant le vol. Dans un long soupir, Bethany se pencha pour attraper son gsm, soigneusement rangé dans son bagage à main. Elle le déverouilla et, avant de l'éteindre, lu son tout dernier message avant deux heures; "Merci, chérie d'avoir accepté de t'occuper de ta grand mère tant qu'elle a sa jambe dans le plâtre. Gros bisoux. Maman". Bethany retint avec difficultés ses larmes, regrettant de ne pas pouvoir rester avec le reste de sa famille au Canada. A sa grande surprise, elle était seule dans sa rangée de siège, heureuse de ne pas hériter d'un voisin bavard, elle ferma les yeux.


< style="padding: 0px; margin: 0px; outline: none;" src="http://data.whicdn.com/images/45019551/citylightswinter_large.jpg" alt="Citylightswinter_large" />


Dans un bruit aigu tel celui d'un réveil, la lumière signifiant que l'hotesse allait prendre la parole s'alluma. La dame annonça que l'avion était bien arrivé à destination ainsi que la température au sol à New-york; 2°. Bethany étira ses bras tout en baillant puis enfila ses gants ainsi que son bonnet, lequel était rouge et surmonté d'un pompon en laine. Elle descendit les marches et s'avança prudemment sur la piste d'atterissage verglacée. Elle récupéra ses bagages, passa devant les contrôleurs puis sortit de l'imposant aéroport. Bethany poussa un autre soupir, faisant sortir un nuage de buée. Elle leva les yeux et découvrit un somptueux décor pourvut de centaines de lumières de toutes les couleurs ainsi qu'un immense sapin décoré pour les fêtes. Devant elle, stationnait un taxi jaune, elle plissa les yeux et découvrit sa grand mère à l'intérieur. Bethany ne put retenir un sourire, elle se fit aider par le chauffeur pour chercher ses bagages puis tous partirent pour Brooklyn. 


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Le taxi se stoppa devant une batisse décorée de seulement quelques guirlandes et d'autant d'objets lumineux stationnant un peu partout sur la pelouse. Posant en première son talon sur les pavés, elle sentit la brise glaciale de l'hiver à New-York. Après avoir repris ses affaires, elle tendit son bras libre à sa grand mère et toutes deux s'avancèrent à pas hésitant vers la batisse. Elle entra dans le batiment après que sa grand mère ait introduit son code d'accès de l'immauble à appartements et s'est ensemble qu'elles franchirent le seuil de l'appartment trois pièces situé au rez de chaussée. Bien que la nuit se faisait pressante et que le sommeil gagnait peu à peu les deux êtres, Bethany prit le temps de ranger avec soin les quelques affaires contenus dans sa valise. Elle retourna au salon, attirée par un bruit sourd quasi constant, et découvrit sa grand mère, étendue de tout son long sur le canapé, dormant d'un sommeil profond. Sans attendre, Bethany éteignit toutes les lumières et suivit l***mple de son ascendante.

 


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Elle s'est réveillée allongée sur le dos, un rideau de cheveux devant les yeux. Bethany sentait l'odeur nauséabonde du parfum de grand mère imprégnée au tissus viellot de son oreiller au toucher rugeux. Incommodée, elle se mit sur son dos, observant attentivement les taches plus foncées au plafond. Elle repensa quelques instants au reste de sa famille, s'amusant sur les pistes de ski pendant qu'elle, elle devait faire grand-mère sitter, comme elle s'obstinait à le répèter dans sa tête. Dans une profonde inspiration, elle se leva énergiquement de son lit. Bethany prit la direction de la porte en chêne à la poignée glacée et se retrouva bientôt dans le salon. A la vue du sapin, elle ne put s'empêcher d'ouvrir sa bouche ainsi que ses yeux. Son regard se posa sur sa grand mère qu'elle peinait à imaginer descendre le sapin seule du grenier. Elle défendit sa grand mère de prendre tant de risques inconsidérés, surtout quand on ne peut se déplacer qu'avec une paire de béquilles. Sans prendre le temps de déjeuner, Bethany termina de décorer l'arbre de Noël. C'est seulement après avoir posé l'étoile au somment su sapin qu'elle se rendit dans la cuisine et se fit à manger. Elle passa sa matinée, allongée dans le canapé en coin, songeant à aller vivre dans un des appartements voisins pour avoir un minimum d'intimité. Ce n'est qu'au soir que Bethany se décida à en parler à sa grand mère, d'abord peu enthousiaste, elle ne pu qu'accepter après la promesse de sa petite fille de passer une fois par jour.

NOCOPY.

[New-York; 1000$]

 

                                              

 

 

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Une peau blanche tel un flocon contrastant avec des cheveux intensément brun, des lèvres rosées quelques fois couvertes par un gloss transparent leur donnant un effet brillant, un visage d'une finesse et d'une douceur apparente et un cops tellement mince. Ce corps qui demande un entretient régulier, une alimentation surveillée et équilibrée, quelques fois infecte. Dans un mirroir, pourtant, elle à l'impression de ressembler à un monstre, une chose immonde et affreuse ne méritant pas l'attention quiconque. Cette horreur n'était visible que par elle, elle qui ne se suffit jamais, elle qui ne se trouvera jamais assez bien pour personne. Les autres, ceux qui se retourne avec une expression indéfinissable sur le visage alors qu'elle ne fait que marcher dans la rue, au milieu d'un simple boulevard où la brume ne faisait que de se lever. Ces gens là, ils ne voient que furtivement la jeune fille qui parrait avoir un vingtaine d'anné aux yeux bleux soulignés par une fine couche de maquillage, à la voix calme, au ventre plat, aux cheveux dont les pointes boucles, une personne posée et attentive qui s'habille généralement bien. Cette jeune fille, bien que loin de se désintéresser de son physique, se soucie également de son esprit. Elle ne tiens pas à devenir une personne superficielle qui ne s'intéresse qu'à son bien être; ça ne la ressmble pas. Quand elle réfléchit le soir, assise sur les coussins aux teintes fleurtant autour du violet, adossée à son mur tout en regardant au loin, la ville éclairée de mille lumières, elle ne songe qu'à ses défaux: naïve, réservée, timide, capricieuse, avare, quelques fois accariatre, égocentrique, sensible et jaouse. Ces défaux, elle ne les in*** pas mais certains ne font leur apparition que rarement et habituellement quand elle est seule chez elle, dans la minuscule maison  à côté de celle de de ses parents, beaucoup plus grande. Au fond d'elle même, elle savait qu'elle ne voyait que le mauvais côté de son être mais elle n'y pouvait rien. Ses rares amis lui trouvaient plusieurs qualités comme fidèle, patiente, gentille, intelligente, jolie, un.ique, joviale, obstinée, sportive, amusante. Bref, "ELLE", elle tout le monde l'appelle "Jess".

 

                                              

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