23/09/12. 20h02. Je sors de mon silence, la route hors de l'enfer fut longue. J'ai eut un accident de voiture très grave il y a quelques mois, et j'ai dû vivre en otarcie loin de vous et du monde, enfermée dans un coma qui dura près d'une semaine, et dans des mois d'amnésie paranoïaque. J'ai retrouver l'usage de mes mains comme un miracles, aussi je vous écrit. Que la paix et l'amour vous soutienne dans les épreuves comme pour moi. Envoyez moi des mps si vous voulez en savoir plus. J'embrasse particulièrement Vitriol, Key-Neko, Agatounours et quelques autres.

La joueuse

"Celui qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égard ni patience."

Prénom: Sarah.

Occupation: Philosophe.

Groupe: Marilyn Manson.

Musique: Rock.

Peintre: Delacroix.

Auteur: Lewis Carrol.

Philosophe: Kierkegaard.

Les personnages et le concept en cours de créations se réfère et s'inspire librement de l'oeuvre de Marilyn Manson.

The Evidence.

"I want you're pain,

To taste why your ashamed,

And I know you're not just what you said to me,

And I'm not the only moment you're made of..."

La faille. Je la cache sous les sourires mielleux et déserts de mon visage, sous la peau tendre de mes joues rosées rongées par la peur et le sang acide de mes mensonges, dans mes veines qui brûlent doucement, se consument, me consument. La faille, la faille, trouver la faille, non ! Cacher la faille sous la folie douce, personne ne m’approche, non, ne m’approche pas si tu tiens à tes bras, car je te les mangerais, avec mes dents te déchirerait les muscles pour qu’il n’en reste rien, pour que tu ne puisse plus creuser dans la terre morte de ma vie, mon passé, mon esprit te sont interdits, parle, parle-moi du soleil que mes yeux occulte et cache, parle-moi de la pluie qui fait crépiter les arbres, mais ne me parle pas de moi, sinon gare à toi. Gare à toi…

The heart-shapped glasses.

"She said kiss me and it'll heal

But it won't forget.

Don't break my heart, and I won't break your heart shaped glasses..."

La vie est une ***tte en for’me de cœur, à la fraise, à la framboise, rouge sang, rouge amour comme l’amour que je porte à la vie, vif et tendre, brûlant, passionné, et je danse, je danse dans les bars et dans les champs et les brins de paille se perdront dans mes cheveux blonds, et mon rimmel coulera le long de ses hanches alors que je te couvrirais de bai’sers pervertis mon amour, mais, oh, ne me touche pas, ne me salit pas, je suis une sainte et mon hymen se refo’rme, intact et parfait dans les affres de tes labyrinthes de cœur et de corps, et je jouis de te voir ainsi à mes genoux, mais oh, oh, ne me touche pas, tu pourrais me casser, je suis une poupée, une poupée de cire noire et rouge et blanche et je fond à la lumière ardente de ta passion, oh, oh, recule donc, inconscient… Mais viens plus près encore… »

The Antichrist Superstar.

"Repent, that's what I'm talking about,

I shed the skin to feed the fake,

Repent, that's what I'm talking about,

Whose mistake Am I anyway ?"

Détruits-moi. Détruits-moi, mon sang, mon corps, mange-moi, bois-moi, Seigneurs que je les hais, tous avec leurs regards pleins d’une peur dégoulinante, et l’iris pâle et terne de leurs yeux coulera comme autant de larmes morbides sur leurs joues. Ils me voient et ils fuient tous, tous au loin, mais c’est très bien comme ça, ils fuient devant moi et les rumeurs atroces qui me déchirent les oreilles, et je mangerais leur cerveau pour qu’ils ne pensent plus, et je nettoierai leurs plaies à l’alcool à brûler, et je me délecterai de leurs cris de souffrance, et j’élèverai leurs enfants dans des cryptes vers la fin du monde pour qu’ils viennent comme une armée de mort les dépecer un par un… Qu’ils le croient, qu’ils le croient, et qu’ils me fou’tent la paix. Qu’ils le croient. C’est très bien comme, ça.

The Coma White.

"There's something cold and blank,

Behind her smile,

She's standing on an overpass,

In her miracle mile..."

La mort rode, elle est là, tout près, tout près de toi, tu la sens venir, s’écharper dans tes bras, autour de tes chairs son étreinte tendre se referme, serres de velours d’un aigle vengeur, ce n’est que la vie qui paye son dû, viens, viens douce mort, et prends moi, prends moi comme une vielle amie ou comme un amant vigoureux, entre en moi, fait moi l’amour sauvagement, et *** mon dernier souffle avec le délice de tes lèvres décharnées, viens, non, ne pars pas, viens, reste là, avec moi, va-t’en ange immortel, va-t’en loin de moi, va-t’en je t’hurle mais tu ne m’écoute pas et m’arrache à ses bras, alors que je voulais entrer en elle pour l’éternité, mais tu me sauves encore et encore du froid dans désiré pour me jeter à corps perdu dans la vie brûlante et pleine de dégout…

He doesn't like the drugs, but the drugs like him.

"Raised to be stupid, taugh to be nothing at all,

We're taugh to be nothing at all !

I don't like the drugs but the drugs like me..."

Elle m’échappe, elle me brûle les doigts et alors je la sens qui s’envole loin de moi, telle un grand oiseau effrayant qui me recouvre de son ombre gigantesque et attirante, me recouvre, me plonge dans le noir, le noir totale de mon existence déchirée et rachitique, je ne suis rien par rapport à elle, elle est là, en moi, au-dessus de moi et je ne peux l’éviter, alors je ferme les yeux pour ne pas souffrir, souffrir sa chaleur, sa présence sur les rivages brûlant de ma conscience, et alors je fais tomber la neige, je la sent refroidir mon corps nu et dépecé à vif, ma chair sans peau qui s’embrase et irradie dans mon être, et je la sens, délicate, couler dans mes veines, telle le poisons accueillit avec ardeur et plaisir, je lui demande, je la demande pour échapper à la réalité. A la vérité, cette oiseau noir et immense qui fond sur moi mais alors, je m’évapore, loin de tout, et ma raison se confond avec les rêves, et la vérité disparait alors, dans les affres délicieux de mes tourbillons intérieurs, dans mon corps inerte, et je l’oubli. Et elle disparait. Pour un temps. Pour un temps avant que la neige ne fonde sous les rayons destructeurs du soleil…