Je m'appelle Laure, j'ai 14 ans. Je suis passionné par le chant, la musique surtout le rock. Je joue plusieurs instruments guitare sèche et électrique, du piano et de la baterie.

Je dessine beaucoup de mangas et j'écris des petites nouvelles aussi.

Mes regles

Pas de demande de code

Pas d'insulte si quelque chose ne te plait pas dis le gentiment

Pas de demande d'argent

Pas de demande de Cadeaux

Pas de demande d'echange....

Pas de +1 sauf pour égaliser les votes

Tout les +2 sont rendu si demandé

Plus les jours passent, et plus celle que j'étais avant disparait. Je veux dire, je ne la dissimule pas, je n'essaie pas de l'effacer. Elle s'en va d'elle-même, et elle ne laisse plus place qu'à une ébauche. C'est doucement que je me construis. Je fais attention où je vais, je réfléchis. Je me sens plus équilibrée, maintenant. Je ne suis plus prisonnière de mes sentiments. Je sais ce dont j'ai envie, et je sais ce que je dois faire pour l'atteindre. Personne ne peut m'empêcher de réaliser mes rêves, personne n'a le droit de se mettre en travers de mon chemin.

"Parce que je ne suis ni noire, ni lesbienne, ni handicapée, et que je voulais savoir ce que ça faisait d'être considéré comme anormale."

Pouvoir faire sortir ma rage
Te hurler dessus sans être sage,
Te quitter sans me retourner
Te laisser sans être peinée,
Ce n'est pas pour maintenant
Autant prendre son temps, pour l'instant.
Mais si ça arrivait,
Si jamais tu me trompais,
Sans aucune pitié,
Je te tuerais
Par quelque moyen qui soit,
Harcèlement mental ou physique, n'importe quoi.
Tu perdras connaissance
J'appellerai pas l'ambulance
Et si ça arrivait
S'il te plaît,
Ne te retourne pas.
Ce serait trop dur pour moi.
Ne m'écoute pas
Je pleurerais sans toi
Mes appels aux secours
Mes appels nuit et jour
Ne te retourne pas.

Petite, tout allais si bien,
Mais aujourd'hui, tout va si mal.
Pourquoi tant de douleurs, de haines?
Pourquoi vous en prenez vous à moi si souvent?
Qu'ai-je fais pour recevoir tant de haine?
J'essaie d'être la sœur idéale, la fille parfaite,
Mais malgré mes efforts, rien ne change.
Toujours quelque chose à me rapprocher!
Toi ma sœur qui me traite comme une minable,
Toi mon frère, qui peine à me parler,
Toi mon père, qui a toujours un reproche à me faire.
Et toi ma mère, moi qui est toujours était la,
Prend la moindre occasion pour me rabaisser.
Mais pourquoi faites-vous ça?
Aujourd'hui, une envie me vient,
Celle de vous laissez la vie tranquille,
Et ainsi me permettre de partir.
Partir pour une vie meilleure,
Ou un monde meilleur

Dream...

Tu me regardais droit dans les yeux,
Comme deux enfants, on y croyait...
Tu me tenais la main, au coin du feu.
Tu sais, je ne pensais pas que ça marcherait...
En quelques jours, tu m'as comblé,
D'amour
Avec toi tout était paisible...
Tu sais, je n'aurais jamais cru ça possible...
Aujourd'hui j'y pense encore...
Peut-être ai-je mérité mon sort.
Mais je t'attendrais, tu verras...
Tu sais, j'étais si bien dans tes bras...

Je suis sûrement dans le faux, mais peut-être que non. Je dois jouer sur deux tableaux, et l'accepter. Je sais ce que je veux être. Je refuse d'entendre la vérité d'un monde que je ne comprends pas. Je veux pourtant tout savoir. Tout ce que je suis n'est qu'un désordre, fait de sentiments jetés au hasard. Je ne peux pas envisager le futur. Je ne sais plus faire confiance. J'oublie très vite. Mais je suis remplie de souvenirs et de regrets. Je suis hautaine, arrogante, et particulièrement détestable. C'est du moins ce qu`on dit de moi. Mais, où est se cache le mensonge dans tout ça ? Je hais les gens, mais la solitude m'effraye. Je ne suis qu'un immense paradoxe à moi-même.

Est-ce seulement moi qui ai l'impression que tout perd son sens ? Je ne trouve pas ma place. Je ne sais pas de quoi mon futur sera fait. Les choses seront-elles encore plus difficiles ? Je me sens perdue, désorientée. Je n'ai pas envie de grandir. Je ne m'y retrouve pas, je ne sais pas ce que je fais ici. Et j'ai cette étrange sensation que ma tête va exploser. Taisez-vous. Mais taisez-vous tous ! Laissez-moi tranquille. Je n'en peux plus. Je voudrais devenir sourde, aveugle. Pour ne plus me sentir envahir par ces sentiments frustrants. Cette envie de frapper sur tout ce qui bouge. Et je suis là, la tête entre les mains, à hurler que je ne peux plus, que j'avance pas. Je recule, je recommence. Je n'ai aucune détermination, je ne suis personne. Je n'en peux plus. La douleur semble parfois si forte. Je sens que je vais craquer, je vais tout plaquer. Je veux m'en aller. Je veux un silence parfait, je veux un univers idéal. Je ne veux plus de ça. LAISSEZ-MOI PARTIR ! Je n'en peux plus...

J'aime pas les gens, j'suis arrogante, invivable et égoïste. Mais j'm'en balance. J'suis pas comme vous, j'me permets pas des remarques comme vous pouvez en faire. J'y peux rien moi si vous manquez d'humanité. Je suis l'asociale mais j'suis aussi celle qui réagit le plus humainement possible. Cherchez la logique dans tout ça. Vous m'voyez comme une chieuse, ok, mais les problèmes ne viennent pas de moi. J'me laisserais jamais faire. J'serais jamais à vos pieds et j'tomberais pas aussi bas. Vous pouvez parler, dire tout ce qui vous traverse l'esprit, ça changera pas celle que je suis, au fond. Mais, moi aussi j'prends mon pied quand j'vous écrase. Sauf que mes victoires ont au moins le mérite d'être justes. Les vôtres se basent sur la méchanceté gratuite. J'suis pas comme ça, moi. J'descendrais jamais quelqu'un consciemment, pour le plaisir. J'supporte pas ça. Et j'vous emmerde, mon dieu, j'vous emmerde profondément. Ouais, ça vous fait bien chier que j'sois pas comme vous, et que d'autres non plus. Mais moi, ça m'tue de voir des gens comme vous tous les jours. Vous vous foutez de qui ? Pourtant j'dois vous reconnaître une chose : vous êtes plus facilement acceptés. J'sais pas pourquoi, j'ai jamais compris comment, mais ça marche. Pourtant, j'ferais jamais la ***e pour être appréciée et pour monter. J'serais moi-même, et si ça ne convient pas, j'aurai toujours des gens sur qui compter, et, sur ce point, nous sommes différents. Parce que finalement, à la fin, ceux qui seront seuls, ça ne sera pas nous.