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31.03.2020 Je suis arrière grand-mère depuis 0h05 d'un petit Liam.
Coucou mes amies
Je vais de + en + mal et c'est pourquoi je ne suis plus très présente. Je vous embrasse très fort. Votre amie !
Je vais essayer de revenir de temps en temps ...
Je vous remercie toutes pour votre fidélité et votre attention à mon égard et pour certaines leurs gentils cadeaux.
Je vous fais 1000 gros bisous d'amitié !
MES PATHOLOGIES
Klebsiella + Pseudona (2 maladies nosocomiales) suite à mes 2 comas
BPCO - OAP - Asthme - Emphysème
Purpura
Tremblements continuels style Parkinson
Toux importante
Tatycardie - Arythmie
Purpura
Diabète avec pieds difformes et insensibles + ulcères
Hypertension
Cancer en 1994 (hystérectomie totale) ayant entrainé plusieurs troubles dont une ostéroporose si importante que je peux me casser quelque chose sans tomber
Coxa Valga bilatérale - Arthrose - Vertèbres tassées et soudées (1 cassée)- Becs de perroquet, Ne tiens plus du tout debout. Depuis plusieurs années chutes fréquentes (côtes cassées à gauche)
Dépression
Yeux estropiés, ne vois plus de l'oeil gauche et très mal du droit
Constipation (fécalomes) / Diarrhées - Insuffisance urinaire - Incontinences
Insomnies - Fatigue - Tension musculaire permanente
Hépatite B mais ça va...
L'amitié et le don se partagent mais ne se négocient pas...
Qui suis-je ?
Je m'appelle Patricia, je suis née le 22 juillet 1949 et donc je ne sais pas si j'ai l'âge pour jouer ici...
Mais tant pis, j'y suis j'y reste car après tout la mode et la déco ne sont pas réservées aux jeunes que je sache, ni la drague d'ailleurs...
Et comme ma fille est partie depuis longtemps avec son chéri je ne peux plus jouer à la poupée, alors... lol
En plus comme je suis handicapée avec de gros problèmes de santé ça me passe un peu le temps et me change les idées.
J'ai eu 4 enfants, hélas j'en ai perdu 2, c'est indéfinissable la souffrance vécue et c'est incurable...
David 23.08.1974 - 10.03.1975
LE ROI DAVID
Hier encore, il m’a dit Maman en souriant,
Sa toute petite main était posée sur ma joue.
Je lui ai dit tout mon amour en chantant,
Un instant magique qui n’était qu’à nous.
Je l’ai retrouvé ce matin dans son lit,
Mon tout petit, si fragile petit bébé.
Et pourtant il est parti mon tout petit,
Pourquoi ? Mais qu’avait-il donc fait ?
Je suis là, seule, ne sachant que faire,
J’essaie, je souffle pour lui donner de l’air.
Je réalise dans un cri qu’il y a son frère,
Mais lui encore si petit, que peut-il faire ?
Alors je cours, j'hurle, telle une bête prise au piège,
Je cours encore, c’est sûr, il doit y avoir une issue ?
Je me liquéfie, je tombe, les jambes en neige,
Plus rien vraiment ne me porte, mais je continue.
Je sais, je sens, au fond de moi que c’est fini,
Mais pour lui, pour moi, pour la vie, j’espère.
Pourquoi me reprendre cet être tant chéri,
Si ce n’est pour que j’ai mal et désespère ?
Je me sens démembrée, le cœur broyé et l’âme arrachée,
Comment faire désormais pour vivre sans toi, sans tout ça ?
Comment continuer à marcher, à respirer, à espérer ?
Je t’en supplie mon petit Roi, emmènes moi avec toi !
Stéphane 16.12.1971 - 11.05.1996
Mais il m'a laissé 2 superbes jumelles, Déborah et Séphora (09.01.1990)
Il y a 20 ans à cette heure ci (8h50) il venait de mourir après presque 1 heure d'agonie terrible. Je ne m'en suis toujours pas remise car c'est lui qui en quelque sorte m'a fait naître en me faisant réaliser pourquoi j'existais et en m'offrant le plus grand bonheur du monde, celui d'être maman. Il a donné un but à ma vie et tout l'amour que l'on peut espérer... Par 2 fois il m'avait sauvée de la mort et pourtant c'est son manque qui me fait mourir à petit feu. Le 11 mai 1996 je suis un peu morte avec lui. J'espère qu'où il soit il est heureux et dans la plénitude. Je ne t'oublierai jamais mon doux ange, mon rayon de soleil merveilleux. Je t'aime à jamais !
MON MIRACLE
Le miracle s'était produit
Mon ventre s'arrondissait.
Je voguais en paradis
Tellement je t'avais espéré.
Tu fus ma plus terrible douleur
Mon adorable petit moineau.
Tu étais pour moi le bonheur
Et mon plus précieux fardeau.
Tu as levé comme le bon grain
Et ne m'as causé aucun pleur.
Tu me faisais de gros câlins
Et remplissais tout mon cœur.
A chaque fois que le malheur m'a frappé
Heureusement que je t'ai eu mon bébé.
Tu me donnais la force de tout surmonter
En me donnant de gros et doux ***s.
Les années ont passé rapidement
Mais rien n'a pu rompre ce lien.
Qu'a une mère avec son enfant
Quelque part nous ne faisons qu'un.
On se comprend à demi-mot
Parfois un seul regard suffit.
Même si tu ne dis pas tes maux
Au fond de moi j’ai mal aussi.
Aujourd’hui tu as 15 ans
Et très bientôt tu t'envoleras.
Tu n'es encore qu'un enfant
Mais tu regardes l'horizon déjà.
Toi, le plus beau des hommes de cette terre
Aux cheveux si blonds, aux yeux si clairs.
Toi qui es si fort, qui es si grand
Pense toujours un peu à moi ta Maman.
POURQUOI ?
Indécise, je ne sais quels mots choisir pour vous en parler, vous donner une image fidèle de lui, sans penser qu’il y a invention de ma part, affabulation.
Alors je vais simplement essayer de vous le décrire, de vous dire comment il était, ce qu’il était et ce qu’il représentait pour moi.
Il était grand, jeune et beau.
Ses cheveux d’un blond si pâle lorsqu’il était enfant avaient doucement pris au fil du temps la teinte dorée des joncs, un blond plus chaud mais qui s’illuminait de fils d’or aux premiers rayons du soleil.
Ses sourcils et ses cils si noirs soulignaient joliment ses yeux qui suivant le temps, sa for.me ou son humeur passaient du bleu pâle, presque aussi transparent que l’opale, au turquoise, couleur des lagons des îles lointaines ou au bleu plus intense des iris au printemps.
Il était naturel et simple mais avec un charme fou.
Une aura et une présence hors du commun.
Toujours le sourire aux lèvres, plein de joie et pétri de tendresse.
Il savait raconter les histoires drôles et avait certains dons d’imitateur.
Beaucoup d’humour où perçait parfois une pointe d’ironie mais avec délicatesse.
Il aimait rire, chanter et danser.
La boxe, l’équitation, le tir à l’arc et la plongée.
Le bon vin, la bonne chair et les jolies femmes mais n’abusait de rien.
Il aimait par-dessus tout, ses filles, sa famille et son chien.
Il était courageux, consciencieux, sérieux, sincère et généreux.
Il avait le sens de l’honneur et de la parole donnée
Il savait écouter, comprendre, détendre et aider.
Tous ceux qui l’ont approché se sont attachés et ne l’ont pas oublié.
Car il savait ce que voulaient dire les mots amour et amitié.
Sans être un macho bien que parfois il en fit un jeu, il savait être un vrai homme.
Moi je dirais plutôt que c’était un homme vrai. Un chevalier en somme.
Il ne m’avait jamais lâché la main depuis le jour où je la lui avais prise.
Nous avons partagé tant de choses ensemble, lui et moi.
Joies et peines, rires et larmes, jours de fête ou de disette, santé et maladie, bonheurs et douleurs, naissances et décès. Toute une vie d’amour.
Mais désormais il n’est plus ici. Il a rejoint son frère qu’il n’avait pu oublier.
J’espère qu’il l’a accueilli et veille sur lui ainsi que sa mémé.
Comment vais-je faire pour continuer à vivre sans lui ?
Sans cet être de lumière à mes côtés ?
Tant que je vivrais, je ne pourrais l’oublier.
Je l’ai tant attendu, tant désiré et aimé !
Ce fut une grande histoire d’amour sans qu’il soit, mon mari ou mon amant.
Mais peut-être est-ce encore plus, car lui est irremplaçable, c’était mon enfant.
Mon fils, mon bébé, mon doudou, mon trésor, mon doux ange, mon existence, mon miracle.
Oui, car ma vie n’a vraiment commencé que le jour où il est né.
Parce-que ce jour là j’ai su pourquoi et pour qui je vivais.
IL est parti seul, en à peine une heure. Beaucoup trop long dans la douleur !
Sans une personne aimée à ses côtés pour pouvoir le sauver, l’aider, l’accompagner.
Ses grands yeux bleus tournés vers des regards étrangers.
Il n’avait rien fait de mal pour mériter ça et je ne sais toujours pas pourquoi ?
Il s’appelait Stéphane, n’avait que 24 ans et avait encore tant de choses à accomplir et découvrir et tant de personnes à rendre heureuses.
Ma vie s’est arrêtée ce jour-là. Il n’y a plus qu’un grand vide en moi.
Il a emporté mon cœur et mon âme avec lui.
Ce n’est plus qu’une survie. Surtout pour mes deux autres petits.
Plus rien ne sera comme avant, il me manque tant à moi, sa maman!
J’espère qu’il y a un au-delà et que je retrouverai enfin mes enfants et ma maman !
Franck 18.08.1976
Qui m’a fait mamie d'un merveilleux petit bonhomme, Evan (11.11.2003) et d'un magnifique petit Marvin (11.12.2011)
MON ARCHANGE
Tu étais là dans ma tête
Présent dans mon corps
Qui étais-tu petit être ?
Qui effaçait la mort
Déjà dans mon cœur
Pas encore dans ma vie
Tu as redonné le bonheur
A mon cœur à jamais meurtri
Tu ne le sais pas encore
Mais tu m’as redonné l’envie
Tu es venu comme un trésor
Dans mon corps et mon âme sans vie
Tu fus mon messager d’amour
La flamme éternelle de la vie
Tu le resteras pour toujours
Comme la relève d’un défi
Tu es mon doux archange
Après la mort venait la vie
Pourvu que plus rien ne change
Pour me faire croire encore à l’infini !
Aurore 30.03.1978 mariée avec l'adorable Yannick
Hélas ma fille ne peut pas avoir d'enfant suite à une maladie génétique orpheline rare (syndrome de Turner)
L'AURORE
Tu es arrivée de très bonne heure,
Auréolée de mille rayons d’or…
Après cette longue nuit de douleur,
Tu m’es apparue comme un trésor.
Tu étais là petit rayon de soleil,
Dès le lever de ce beau jour.
Tu étais une vraie merveille,
J’avais le cœur rempli d’amour.
Les deux gouttes de rosée bleue,
Posés sur cette belle fleur,
Aujourd’hui j’en fais l’aveu,
Me comblèrent de bonheur.
Tu fus mon plus beau matin de printemps,
Mon plus tendre, mon plus joli cadeau.
Je me sentais comme une enfant,
Devant le plus beau des joyaux.
Rien ne me semblait plus beau,
Rien ne me paraissait plus doux,
Que ce fragile petit oiseau,
Avec son souffle dans mon cou.
Depuis ce temps tu illumines ma vie,
Chaque jour davantage je t’adore.
Je sais désormais ce qu’est le paradis,Puisque tu es dans ma vie « Aurore ».
C’est l’histoire d’une enfant
Née un beau matin de printemps
Aux premières lueurs du jour
Comme un cadeau d'amour
Quand doucement nous éveillent
Les doux rayons blancs du soleil
Chassant le noir de la nuit
Son désespoir et son ennui
C’est pourquoi sa mère
Envers cet amour offert
Fut pleine de tendresse
Et eut un élan d’allégresse
Pour cette douce fleur
Pour lui porter bonheur
Par amour pour ce trésor
L’a prénomma Aurore
L’aube n’est-elle pas une ouverture ?
Sur le jour, la vie, le futur ?
Mais avait-elle raison ?
N’était-ce pas une illusion ?
N’était-ce pas trop espéré ?
Serait-elle vraiment protégée ?
De toutes les violences de la vie ?
Des bleus à l’âme et de l’ennui ?
De la douleur, du chagrin, de la peur ?
De la maladie et des uppercuts au cœur ?
Sa Maman avec patience
Dès sa plus tendre enfance
Avait essayé de l’éduquer
De développer ses qualités
Et toutes celles requises
Pour en faire une femme exquise
Face à ce difficile pari
Avait-elle vraiment réussi ?
Elle le saurait dans l’avenir
Mais ce qu’elle pouvait dire
C’est qu’au jour de ses dix-huit ans
Elle est très fière de son enfant
Elle est belle, douce et tendre
Sait écouter et entendre
Regarder et comprendre
Donner sans reprendre
Elle aime le ciel bleu et la danse
Presque tous les jeux et la France
Les bons repas comme un gourmet
Et encore par-dessus tout, les bébés
Elle aime ses frères, ses copains
Les peluches, la mer et son chien
Les chevaux, les champs de blé
Les arts martiaux et la sincérité
La douceur et la gentillesse
Et les gens âgés pour leur sagesse
Elle aime la vie tout simplement
Et c'est ce qui l’unit à moi sa Maman
P.S. Elle a largement passée ses 18 ans mais n'a rien perdu de sa fraîcheur d'enfant et de tout ce qui l'a rend attachante et nous nous aimons toujours autant. Dieu merci ! Et que Dieu me garde cette enfant !
Et ce n'est pas tout hélas, ceci n'est qu'une partie du mauvais film de ma vie...
Poème à ma mère
NOEL NOIR
Ce matin je me suis levée beaucoup plus tôt.
Déjà, mon petit gazouille dans son berceau,
Il faut le rassasier, le baigner, le faire beau.
Et puis emballer les derniers petits cadeaux.
Je ne sais vraiment pas par où commencer.
C’est son premier vrai Noël et je suis tout excitée.
Tous ces beaux jouets va t'il vraiment les apprécier ?
Ce n’est encore qu’un bébé, tout juste un an passé !
Et puis, je croise ses yeux qui m’implorent, qui m’appellent.
Oh ! Mon Dieu, c’est vrai, je dois d’abord m’occuper d’elle.
Fi! De moi et de l’habit, des cadeaux et du repas de Noël.
A la hâte je nourris mon petit et puis cours vers elle.
Les heures ont beaucoup trop vite passées,
La toilette, le repas, la table et le marché.
Je suis sûre que jamais je n’y arriverais !
Et puis très bientôt la famille, les invités !
Mais pourquoi ne s’est-elle pas encore réveillée ?
Quelqu’un est venu cet après-midi pour la soulager.
Et malgré tout dans son sommeil elle continue de râler.
Sale mal qui la ronge, pour ce jour laisse-la en paix.
Mon Dieu ! Elle est partie, mais personne n’est arrivé.
Je sais qu’elle voulait partir comme toujours elle était.
Je serre très fort les dents, mais vais-je pouvoir assumer ?
Car je suis là, seule, à pouvoir l’habiller, la maquiller !
Bien sûr, il y a mon cher et tendre qui est là pour m’épauler,
Pour m’aider à la transporter dans la chambre à coucher.
Mais en aucun cas il ne doit la nettoyer, voir son corps décharné.
Je sais Maman que ça t’aurait embarrassée, gênée, humiliée.
Je ne sais et ne vois plus ce que je fais et je manque d’air.
Je viens de perdre un des êtres qui m’étaient le plus cher.
Je la supplie, l’implore, pourquoi me laisses-tu ma mère ?
J’ai encore tant besoin de toi, moi qui n’ais déjà pas de père.
Tu m’as dis un jour « Maintenant tu n’as plus besoin de moi ? »
C’est faux, reste là, comment faire sans fondation et sans toit ?
En ce jour qui n’aurait du être que liesse, rires, bonheur et joie,
Pourquoi m’avoir infligé une telle douleur, un tel désarroi ?
Je t’aime MAMAN !
Caractère
Serviable, généreuse, solitaire, réservée, sensible, perfectionniste, franche, stressée, humour et autodérision.
Si vous passez par là...
Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas que l'on te fasse...
« L'essentiel n'est pas de vivre, c'est d'avoir une raison de vivre. » Jean Giono
6 milliard de personnes sur terre, 6 milliards d'âmes, et parfois on aurait besoin que d'une seule...
Un ami n'est pas la personne qui t'aide à sécher tes larmes mais celui qui ne t'en fait pas couler...
Il vaut mieux se taire et passer pour un imbécile que de l'ouvrir et d'en donner la certitude... lol
La vie est une tartine de m...e et on en mange un bout tous les jours... Pfff...
Aucune demande de quelle que genre que ce soit ne sera prise en compte alors ne vous fatiguez pas...
Inscrite depuis le 1er jour (22.07.2007) !!!
Poème à David > à lire chez PatShanz
Poème à Franck > à lire chez Jollyday
Poème à Aurore > à lire chez Jollyday
Poèmes divers > à lire chez Jokynet
Textes divers > à lire chez Lamerevieille
Pourquoi Jokerwinlo ? Parce que mes premiers pas sur les jeux du net furent sur des jeux gratuits de grattage, dés, cartes, jackpots, etc... Et comme un "joker" est toujours intéressant dans un jeu (comme dans la vie) mais que l'on peux être winner (gagnant) comme loser (perdant) et comme je ne suis pas une rêveuse je savais que tout était possible et j'ai donc contracté "win" de winner et "lo" de loser... Voilà ! Et vous quelle est l'origine de votre pseudo ?
Mes petites abeilles travailleuses qui m’aident à rendre les votes :
Mamynet-Jollyday-Jokynet-PatShanz-Lameremorte-Battlingjoe-Lamerevieille-Gingerajok-Jokady-Jokharry et Fandemadline28.
Age | Genre | Ville | Pays |
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75 ans | Femme | La Défense-Paris | France |
Célébrité préférée | Musique préférée | Film préféré | Plat préféré |
Plusieurs mais J.H. et A.Delon | Wouah ! Trop... Mais Jojo en 1 bien sûr et M.P. ! | Il y en a tant que j'aime... | Tout, si c'est bien préparé ! |
Couleur préférée | Le job de mes rêves | Emission préférée | Loisir préféré |
Rouge-blanc + les pastels | Maman... | Variétés-Jeux-Films-TV réalité | Net-TV-Sudoku... |