Tous les +2 sont rendu sur demande :) Alors n'hésite pas !
..............................................................................................................................................................................................................
Holà !
Et bienvenus Aventuriers et Aventurières ! Je m'appelle Anis et je suis une humaine (même si parfois j'ai des doutes...). J'ai énormément de passions dans la vie et mes doigts n'ont pas assez d'endurance et de volonté pour toutes vous les décrire (désolée). En tout cas il y en a une qui pourrait peut-être vous intéresser: (roulement de tambours) L'écriture ! J'ai d'ailleurs commencé plusieurs récits (on va essayer d'oublier que j'en ai finit aucun...) et je me suis dit: tient mais pourquoi ne pas les mettre sur un blog ? Ce que j'ai fait. Mais étant très trèèèèès doué avec l'in atique je ne sais pas si ne serait-ce une personne l'ai vue. Et hop nouvelle idée: Ohmydollz j'y suis depuis plus de 5 ans alors il était temps ! Je lis régulièrement des fictions en tous genre sur Ohmydollz et je pense que c'est un bon moyen de se faire connaître et d'échanger sur les mêmes passions.
Si vous avez le courage de lire mon histoire et pour les plus audacieux ce petit préface déjà merci ! mais surtout si vous pouviez me laisser des commentaire sur ce qui vous a plus, ce qui vous a déranger etc. ce serait l'idéal et même si vous n'avez rien à dire dite juste j'ai lut ! Si vous voulez être au courent quand il y a un nouvel arriver de chapitre dite le moi en commentaire et je vous ajouterez à mes amies. Bref j'arrête de blablater et place à la lecture !
Ps: Je m'excuse pour les nombreuse fautes que vos yeux vons devoire endurer et si un/une de vous ce sens me corriger allez y !
............................................................................................................................
Alësya
Chapitre 1: Les six sens. (musique d'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=Md_tYP1yiIQ)
Ma première sensation fut les goutelette d'un liquide qui me tombère dessu, elles était tiède et leur taille s'accentuer de seconde en seconde. La seconde fut le bruit, assourdissant au départ puis s'aténuant peu à peu. Il y avait toute sortes de son plus ou moin étrange, des petit cris aigus ponctuer cette mélodie, ensuite il y avait se rythme continuel qui semblait se répeter à l'infinit et sans doute le plus impressionant de tous, un grand bruit de déchirement qui résonait pendant quelques seconde dans mes oreilles à chaque fois qu'il se produisait, il semblait venir d'au dessu de moi. Puis un à un tous mes membres furent envahit d'une douleur intenable. Chaque milimètre de mon corp me brulait, me piquait et je n'avait qu'une envie que cela s'arrette. Et tout aussi brusquement que cela fut apparut ça disparu. Et toute mes cellules se détendire jusqu'a ne plus rien ressentire, j'avait l'impression de flotter dans les air. Ensuite mes sensation revinre et je sentit en dessou de moi une chose moelleuse -j'apprit plus tard que cela s'appelait de la mousse-. J'ouvrit mes paupiere et ma vision fut d'abord totalement flou, plus le temps passait et plus elle s'éclaircissait. J'arrivait maintenant à distinguer le lieu dans lesquel je me trouvait. Tout était vert, et le liquide qui me tombait dessu était transparent. Voilà les premières chose que j'ai vu. Je tournat ensuite la tête et découvrit le reste du panoramique: le sol était principalement couvert de terre d'un brun plutôt terne mais des lianne, de la mousse et des feuilles géante le parsemait élégament. Entre le ciel et le sol l'espace était remplit de tronc d'arbre recouvert par de la mousse dans diférentes teinte de vert. Je me leva et découvrit en face de moi un animal. Est-ce que je lui ressamble ? Ce fut ma première pensser. Je bessa la tête en direction de mon corp pour examiner nos ressamblance. J'était blanche, très blanche. Mon corp n'avait pas encore de poils et j'avait l'ai plus grande que l'être en face de moi. Il était plutôt petit et recroqueviller, sa peau était presque entierement recouverte de poils noirs. Quand je m'apercut de cette diférence une chose des plus étranges se produisit, mon corp se couvra de poils. Ils n'était pas noir mais blanc avec des reflets argentés. J'était sans vraiment le savoir ou du moins sans le comprendre en train de me transphormer en Chimpanzé. Je regarda à nouveau ma nouvelle rencontre. Il avait de grand yeux noir et il aborait une expression dénuer de sentiment. Il porta une chose jaune tirant sur l'orange à sa bouche. Il croqua dedant et au même moment totalement étoner je poussa un cris aigus. Térifier il s'enfuit parmit les feuillages dense. Ce sons provenait-il de moi ? Il m'intriguer fortement, et je décida de reproduire ces gestes. Je rammassa le miel -qu'il avit laisser tomber quand il avait pris la fuite- et en mangea une grosse boucher. Le gout explosa dans ma bouche, il était très fruiter mais surtout extremement sucrée, tellement que je dus recracher ce que je n'avait pas déjà avaler -c'est à dire pas grand chose-. Le sucre me brula la langue encore un moment puis laissa place à une sensation totalement diférente, la douceur, ma salive ravivait le passage quelques instant aupparavent du liquide et s'était bigrement agréable. Je rammassa ma bouillit recracher et l'approcha de mon nez et prit une grande boufé de cette odeur délicieuse. Une lumière furtive sépara en deux le ciel gris perle. Elle éclaira pendant un instants tout dans les moindre détail puis l'ombre revint. L'éclaire fut accompagner d'un bruit encore plus assourdissant que les précédent. Bien plus fasciné qu'éffreyer je partit explorer le reste des nombreux mystère de la fôret tropicale.
.............................................................................................................................................
Chapitre deux: L'homme brun. (musique d'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=J7n5-ceMp-A)
Le chant des oiseau m'éveillaire. Ma peau était encore tremper par l'orage de la veille et le vent me fit frissoner. La vie ici était étrange, le bruit ne s'arrettait jamais mais changer deux fois dans la journée. Quand il faisait noir et que mes yeux ne voyait plus et quand la lumière revenait. C'était un rythme régulier qui avait l'air de se répéter tout le temps. J'apprit a compter le temps grâce à ses moment d'ombre et de lumière. Cela faisait exactement douze ombres que j'était ici. Et c'était la première fois que mon corp me lacher... J'étais en train de marcher et j'avais male partout dans mon corp, puis d'un coup mes jambes ne répondirent plus et je tomba sur le sol. Ma vue se brouilla et mes paupière se fermère doucement, je n'arrivais plus à réfléchire ni à pensser. J'avait dormit pour la première fois. Je me sentais bien et en pleine e. J'avais suivi les mêmes êtres que ma première rencontre pendant ses trois ombres. J'avais pu observer que quand l'ombre venait ils grimpaient dans des arbres et ne faisaient plus rien j'usqua que le jour se lève. Je les avais suivit et observer toutes les journées. J'avait découvert de nouveaux endroit comme un lieu magnifique ou le liquide transparent de la dernière fois était en bien plus grande quantiter. Il tombait non pas du ciel mais d'un endroit un peu plus élever que les autres. Le bruit était encore plus fort là bas mais il était relaxant. Je n'avait encore jamais tenter l'experience de plonger mon corp dedans, c'est ce que je comptait faire aujourd'huit. Je me rappela mentalement mon trajet et partit. Il était très dure d'avencer dans la jingle, mes pieds se prenaient régulièrement dans des liannes et je glissais souvent sur la mousse qui recouvrait les racines des arbres. Quand cela se produisait le sol se raprochait à une vitesse fracassante et ensuite un choc se produisait. Une douleur envahissait les partit de mon corps en contacte avec la terre et il est arriver plusieurs fois qu'un liquide rouge transperce ma peau et vienne perler à la surface de celle-çi. Quand cela se produisait j'avençais ma bouche et lécher le liquide. J'avais vu un chimpanzer le faire. Les blessure disparaisser en général plus vite. Je me prenait aussi régulièrement des feuilles dans la figure de façon plus ou moins violante et aussi plus ou moins ridicule. J'écarta une feuille autant large que mon corp et re-découvrit le paysage spéctaculaire. La verture était encore plus présente ici, envahissant tout l'éspace hormit là ou le liquide transparent coulait. En bas de la cascade se trouvait un nuage de perle d'eau blanc nacrée. Des oiseaux de toutes les couleurs était disposer ici et là. Je m'approcha du bassin d'eau et y plongea une main, le liquide était doux et il enveloper ma main avec déliquatesse. L'eau était agréablement rafraichissante. Je me jeta donc à l'eau avec un plaisir non dissimuler. Mes pieds toucher à peine les roches glissantes et petit à petit je m'aventura là ou je n'avait plus vraiment pied. Soudain un grand bruit fracassa l'air et la pluie tomba aussitôt drue. La cascade enfla et tripla de volume, l'eau fut agiter et des vague vinre attraper puis rejter mon corps. Me faisant ainsi boire de l'eau et m'étoufer peu à peu. J'était attirer par le fond et avant que ma tête fut complétement enfuit sous l'eau je cria de toute mes forces. Mes cheveux flotter au dessu de moi ant une alvéole argenter et petit à petit l'air quitta entierement mes poumon et ma vue se troubla.Mon cerveau cessa de fonctionner et la vie m'abandonna lachement.
Mes poumon me déchirère la cage toracique, et je me rendit compt que l'air revenait peu à peu en moi. J'us un haut le coeur et me redressa pour cracher l'eau qui était entrer là ou elle n'aurait pas du. L'orage était finit.
-Ah enfin c'est pas trop tôt, t'en a mit du temps !
Je tournat ma tête -qui me faisait très mal- pour voir d'ou était venu ce son, ma vue était encore trouble mais j'apercut une tache beige très proche de moi. Ma vue s'améliora et je distingua enfin les traits de cette créature. Je n'avait jamais rien vu de semblable. C'était apparement un être de *** masculin. Il avait la peau légérement doré, la machoire carré, un nez long fin et droit et des sourcils froncer. Il avait une barbe assez courte et une moustache. Ses cheveux brun volletaient au grés du vent autour de lui et son visage était tailladé de nombreuses cicatrices.
-tu vas bien ?
J'écarquilla les yeux, il venait de reproduire ce son !
Ces sourciles se froncaires encore plus, et ses yeux brun se plissaire tentant de distinguer quelque chose que je ne comprit pas. Au coin de sa bouche un liquide rouge perlait. Mon réflexe fut d'aprocher ma bouche de la cienne. Il eut l'air surprit mais ce laissa faire. Avant même que mes lèvres ne frolle les ciennes d'autre créature de la même espèces surgire en poussant diférent cris. Surprise je recula brusquement ma tête. Au même moment l'homme brun se mit entre moi et les nouveaux arrivant cachant ainsi mon corps. Je remarqua que c'était tous des homme et qu'ils portaient tous une étrange chose sur eux. J'apprit plus tard que cela s'appelait des vêtements. Ils auraient intimider n'importe quel perssonne sensé. Leurs visage était défiqurer par les combats, leurs yeux était injecter de sang et leurs dents -enfin celles qui en resté- était jaunes parsemer de taches noirs et marrons. Des rires tonitruant s'élevaire du groupe. Mais dès qu'ils croisères le regard de l'homme brun, ils céssaires aussitôts.
-Toi déshabille toi. lança t'il calmemant au plus jeune.
Celuit-çi s'éxecuta aussitôt sans un mot.
-Donne.
Le jeune avença et lui donna ses oripeaux -un pentalon marron troué à de nombreux endroits et déchirer sauvagement en dessou du genou avec une chemise blanche qui était tellement couverte de saleter-.
-Tournez vous. Et si un seul ose jeter un coup d'oeil... dit-il toujours aussi calmement mais en tapotant son révolvaire cette fois çi. Ils s'éxecutaire tous avec plus ou moins d'entousiasme. Puis l'homme brun se tourna vers moi et me tendit les affaires. Je les prit. Apparament il attendait quelque chose. Voyant que je ne comprenait pas il rigola et prit la chemise, il me l'enfonça brutalement sur la tête. Il voulait donc que je les mettes comme les autres. Pendant que j'enfiler le bas un malheureux eu l'audace de lancer un furtif coup d'oeil. Un coup de feu partit tout aussi brievement en plein dans la jambe de l'homme. L'homme brun éclata d'un rire tonitruant. L'autre encaissa la douleurs en serrant les dents. Une fois que j'eu finit il re-parla dans son language et dit au autres des choses que je ne comprit pas. Puis tous enssembles ils repartire me laissant seul derrière eux. Après quelques instant j'entendit un juron et quelques rires. L'homme brun revint vers moi et d'une main me souleva et me mit sur son dos. Cette fois çi nous repartîmes tous enssembles.
............................................................................................................................
Chapitre trois : Le calme avant la tempêtte. (musique d'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=LmtqLUgo6Bk)
On marcha longtemps, tellement que l'ombre revint. Les hommes était très bruyant encore plus que l'orage. Ils m'amenèrent dans un endroit que je n'avait auparavent jamais explorer, la plage. Les feuillages densse firent place à une large bande de sable d'un blanc crystalin, le reste de l'espace était occuper par la mer argenté. Une magnifique boule de feu illuminer le paysage colorant les nuages en orange et le ciel en or. Des mouettes s'élever dans l'air tiède de l'orore. Un imensse bateau était amarer à la plage. L'homme brun me posa a terre. Les millier de grains de sables humide me chatouillaire les orteilles. Les homme commensaire a grimper a une corde qui relier l'eau au bateau. L'homme brun vit que j'était très réticente a retourner aussi rapidement dans l'eau, il me prit par la taille et murmura quelque chose dans sa langue. Bien que je ne comprit pas je me sentit rassurer en sa présence, ce qui en y réfléchissant est bien idiot car je vient de voir qu'il n'a aucune pitier. Tout les autres homme avait depuis déjà longtemps grimper a cette himensse corde, et ils me regardait avec impatience des sourire narquois fandaient leurs visage effrayant. Je me rappela à ce moment là comment les singes grimper au lianne. J'attrapa la corde rugueuse et bimer et m'élanssa tête dans le vide. J'arriva en haut a une vitesse fulgurante. Leurs expression avait maintenant changer ils étaient figer et me regarder avec de grand yeux. Puis un homme dont la peau était noir de crasse frappa dans ses main et peu à peu tous les autres suivirent. Je me demanda ce que ce geste voulait dire, mystère, mystère...
La même sensation que hier parcouru mon corps. Mes jambes ne me soutinre plus et je tomba avec un bruit sourd sur le pont en bois de navire. L'homme brun qui était monter pendant que les autre m'observer me prit dans ces bras et alla en diréction d'une porte en bois. Il donna un grand coup de pied, et elle s'ouvrit à la voler. La pièce était vaste, et le centre était occuper par une table en bois brute sur laquel était étaler une carte du monde jaunie. Des compas, des crânes humain et plein d'autres objets farfelu étaient dispércer sur celle-çi. De grandes étagères était remplie de parchemins, de boceaux avec des contenu étranges, et d'armes en tout genre. Il y avait dans un coin un lit vaste dont la bordure était recouverte d'un tissu riche en décoration. Ses pas résonaire sur le plancher quand il s'avenca pour me déposer sur son lit. Mon cerveau marcher au ralentie et je n'était plus capable du moidre geste. Il resta un moment debout a me contempler, puis il vint s'alonger a côter de moi. Il me dévorer des yeux. On entandit un grand bruit puis de nombreux jurons, l'homme brun ressortit de la pièce en ce frottant la joue ou était soudainement apparut une trasse de main rouge flanboyant.
Deux ans plus tard...
Je me reveilla en sursaut ! Le soleil s'était déjà lever ! Merde. Pas un bruit dehor. Re-merde. Je sauta de mon lit, enfila mon habituel chemise blanche et mon veston de cuire bleu. Je mit le reste des mes vêtemnt rapidement puis je prit le révolvaire qui était planquer en dessou de mon oreiller et avant de sortir donnaun *** à William. Avant de claquer la porte bruyament pour quu'il lève ses fesses. Je dessandit au dortoirs et gueula:
-Debout bande d'ivrogne !
J'us quelques ronflement en guise de réponse. Je désida d'utiliser la magnière forte. Je prit une bouteil de rhum vide qui trainer par terre et la cassa sur la tête de Bill -je me douter que celuit-çi aller se réveiller en poussant un hurlement a faire re-vivre un mort- ce qu'il fit à ma grande satisfaction. Son cris qui se raprochait plus d'un grognement fit trembler les planches. Il allait donner un grand coups sur la gueule de celuit qui avait oser faire ça quand il m'apercut, avec mon sabre en direction de sa gorge. Par principe un pirate ne taper pas des femmes mais il ne me considérer pas tous comme tel en réson de mon language et de mon sale caractère. J'avais grandit avec eux, c'était ma famille. Je m'était adapter rapidement, comprenant facilement qu'en raison de mon corps aventageux ils tenterait toujours quelque chose. Je leur montra qu'ils pouvait toujours courir. Après de nombreuse baffes, cicatrices et coups de feu tirer ils avait tous plus ou moins comprit. Et en plus maintenant j'étais avec William. Après un premier refus brutal, il ne se découragea pas. Il me traiter cepandant comme les autres ce que j'aprécier fortement. Il n'avait plus rien tenter, mais m'avait fait comprendre que si un jour je voulait... je pouvait aller me faire ***. Un soir ou je me sentait seul j'était aller -oui je sait je me conduit comme un homme- dans sa couche m'alonger au près de lui. Il m'avait d'abord pointer son révolver sur la tempe, je l'avais regarder droit dans les yeux. Puis il m'avit embrasser -Ah... ce que les hommes n'ont aucune volonter c'est fou !-. Ce *** m'avait foutut des vagues de frissons. Il me dévora des yeux, puis nous avions passer la nuit enssembles, puis toutes les autres d'ailleurs.
J'alla ensuite dans une petite pièce réveiller ma meilleur amie: Charly. Une belle rousse. Je me souvint encore de notre première rencontre, elle avait du se mettre en sous-vêtement (d'homme) pour ne pas se faire démasquer. Et elle m'avait donner ses vêtements. J'avait tout de suite comprit que quelques chose clocher chez lui -enfin... elle-. Nous étions devenus amie et peut a peu plus que proche. C'était comme ma soeur. Au bout d'un ans on avait découvert son secret. Comme les pirates osnt des hommes ils avait voulut la draguer. Elle fut encore plus radical que moi, elle tira une balle entre les deux yeux au premier qui avait essayer de la tripoter. Ce ut pour but de décourager les autres.
Pour la reveiller elle je m'élancer et lui sauter dessu. Elle avait toujours la même réaction, me montrer son poignard en disant: -Si t'était pas toi Niky, sa ferait longtemps que tu serait morte.
Niky. C'était mon nom, enfin Nikyta du moin c'est ce qu'on en avait déduit. J'avait ce mot tatouer dans la nuque. Je sait c'est peu commun... mais je suis peu commune. Une fois que tout le monde fut lever et qu'ils avait tous commencer leurs tâches habituel je retournat dans ma cabine. Je me regarda furtivement dans le miroire en face de moi. J'était blanche, très blanche. Malgrès les nombreuses heures a rester sur le pont je n'avait absolument pas bronzer. J'avait les cheveux onduler couper au carré pour qu'ils ne me gène pas pendant les combats. Mes cheveux était blanc eux aussit avec des reflets argéntés. Sa non plus c'était pas commun. J'avait les yeux bleu, comme la mer. William était déjà habiller et était -encore- en train de regarder la carte. Je m'aprocha de lui et l'observa moi aussi.
-On y est... me dit il.
En guise de réponsse je l'embrassa. Comme la première fois j'us ces frissons. Cela faisait des mois qu'on chercher cet emplacement. L'antre des sirènes. C'était la seul chose qui pouvait le sauver. Une écaille de sirène. Il avait était marquer par la funeste et célèbre marque noir. L'horreur de tous les pirates. Mais j'allais pouvoir le sauver ! Dans quelques heures nous y serions. Je re-vérifia les coordonée, le sens du vent, et toutes les autres chose qui était nécéssaire à la navigation. William sortit sur le pont naviguer. Et je resta là un moment, perdu dans mes pensser. Je sourit tristement en me rapelant comment je l'avait surnomer: l'homme brun. Tant de chose s'était passer depuis notres rencontre ! Tant de bateaux pillées, tant de bouteils de rhom vidée, tant de richesse volée, et tant d'amour. Bien qu'on se dis***r souvent -c'est toujours moi qui remporter les combats- je l'aimer... et j'étais sur le point de le perdre.
de plus en travaillant !