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19/10/2017 à 11:45:01

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ivy-parker
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Gardienne de l'arbre
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Oh, bonjour! Vous devez être là pour voir Mr Holmes, je me trompe? Je le savais... Qui suis-je? Je m'appelle Rachel Llewellyn, mais je préfère que l'on me surnomme Ivy. Pourquoi? Vous le saurez bien assez tôt... Bien, Mr Holmes n'est pas encore prêt à vous recevoir. Voulez-vous une tasse de thé le temps de patienter?

Pendant qu'il se prépare, je vous propose de vous emmener faire un petit voyage dans l'Angleterre du XIXe siècle. Laissez ici vos espoirs et vos craintes, renoncez à tout ce qui vous relie à cette réalité présente et suivez-moi, je serai votre guide. Comment? Vous ne pouvez avoir confiance en un guide dont vous ne savez rien? Cela n'est pas aisé, je vous le concède. Alors laissez-moi vous conter mon histoire.

Tout d'abord voici une photo de moi :

 

  

 

Je suis née le 13 novembre 1857 dans une famille bourgeoise dans un petit comté de l'Angleterre. Mon père, Sir Richard Llewellyn  était préfet de police et le frère de lait du comte Henry Hopkins. De ce fait, je fréquentai dès mon plus jeune âge la haute société. Lord Hopkins avait un fils, William, avec qui je me liai rapidement d'une forte amitié. Ayant une tendance à ne jamais renoncer, à avoir une détermination sans failles, on me donna très vite le surnom d'Ivy, qui comme vous le savez signifie Lierre en Anglais. Le lierre est en effet une plante très résistante et difficile à déloger, une fois installée. Comment je le sais? Mais, c'est très simple... Grâce aux fréquentations de mon père, je bénéficiai d'une excellente éducation  et me révélai rapidement être une élève brillante, ma curiosité natuelle me poussant à explorer et approfondir ce que mes précepteurs n'avaient fait qu'effleureur. Ainsi, quand je ne me promenais pas dans le parc de Little Surrey en compagnie de William, je me réfugiais dans la bibliothèque du manoir pour lire.  Je me pris rapidement d'une affection toute particulière pour les romans policiers, dont l'issue m'apparaissait toujours clairement avant la fin, grâce aux notions de criminologie que mon père m'avait inculquées.

Voici justement un cliché de lui et moi :

 

L'humour et l'esprit  que j'acquéris ainsi m'attirèrent cependant rapidement nombre de prétendants, mon teint de porcelaine, mes cheveux de jais et mes yeux émeraude les y encourageant. Je refusai cependant catégoriquement toute demande en mariage, celle de Lord Charles Conroy (le meilleur parti du comté) incluse, m'étant toujours déclarée libre et non-désireuse de me marier. J'avais alors 16 ans.

 

5 ans plus tard, Lord Henry Hopkins, gravement malade, ula le voeu de voir son fils marié, requête à laquelle William accéda en me demandant, à moi son amie d'enfance dont il avait toujours été épris, de l'épouser. Ayant toujours considéré Lord Hopkins comme un deuxième père et ayant toujours eu beaucoup de tendresse pour William, je n'eus pas besoin de me forcer pour accepter. Lord Henry, qui m'avait toujours aimé comme sa propre fille, fut comblé par cette nouvelle, mais nous quitta malheureusement quelques semaines à peine après notre mariage.

Tenez, c'est un cliché pris de William peu avant notre mariage :



 

William eut beaucoup de mal à accepter cette douloureuse perte. L'immense fortune dont il hérita ne put le consoler et il sombra peu à peu dans l'alcool et autres produits illicites. Je dus employer bien des ruses et user beaucoup de patience pour l'en faire sortir. Je parvins toutefois à le convaincre de s'engager dans les forces navales de notre belle Angleterre.

Queques mois plus tard, il fût mandé au pays du soleil levant puis aux Indes où je le suivis. D'un tempérement bon et généreux, et me sachant désireuse de caresser le doux rêve d'intégrer un jour les rangs de Scotland Yard, il me fit profiter de son nouveau savoir et m'apprit à tirer avec un revolver, à me défendre, et un tas d'autres choses que je préfère taire. Ces quelques années passées à ses côtés dans cette colonie furent des années de bonheur pur. Que l'on m'arracha cependant...

7 ans après notre, enfin son affectation aux Indes, mon mari décéda en héros sur le champ de bataille. J'eus beaucoup de mal à surmonter cette épreuve. Ma tenacité naturelle me permit cependant de ne pas comettre le pire et de rentrer tant bien que mal, et par mes propres moyens dans mon Angleterre natale. Les quelques semaines que j'y passèrent me semblèrent ternes, et je n'eus d'autres occupation que d'errer telle une âme en peine dans les couloirs de ma grande demeure. La mère de William, morte de chagrin suite au décès de son époux, j'obtins également quelques titres de noblesse dont je n'avais que faire. Je pensais être destinée à cette vie de peine quand une nouvelle vint bouleverser ma vie.

Voilà à quoi je ressemblais dans ce moment douloureux :





 

Peu - et heureusement pour ma santé mentale d'ailleurs - après mon retour des Indes, je reçus une missive de notre bien-aimée Reine Victoria. Sa Majesté me convoquait à Londres pour une audience de la plus haute importance. Ma curiosité me poussa évidement à m'y rendre dans les plus brefs délais. Une fois arrivée au palais, j'eus la chance de rencontrer Sir Faulkner, un ami de William qui avait servi à ses côtés. Il me confessa avoir parlé à la Reine du savoir que m'avait transmis mon défunt mari et que c'était là même la raison de ma présence ici. Sa Majesté exprima effectivement le voeu de faire de moi l'un de ses limiers, mais d'un genre un peu spécial...

 

Elle me confia en fait la lourde tâche de récolter dans les colonies et certains royaumes alentours des in ations quant à d'éventuels projets de rebellion ou de conflit. Une espionne dites-vous? Oui, c'est le rôle que je remplissais. Le surnom d'Ivy que l'on m'avait attribué dans ma jeunesse devint alors mon nom de code, pour préserver mon anonymat, et depuis, il est devenu mon nom d'usage, pourrait-on dire... Quoiqu'il en soit, je m'acquitai de ma tâche avec beaucoup de plaisir et d'intérêt, flattée d'être la seule femme à tenir un rôle politique aussi important, notre bien-aimée Reine exceptée, bien entendu... Cependant, si au début l'aventure de mon métier me grisait, j'en fus nettement moins enchantée lorsque au bout d'un certain temps. Mon rêve d'enquêter un jour sur une scène de crime et de résoudre des énigmes me tenait toujours fermement et l'aventure, devenue mon lot quotidien, n'était soudainement plus aussi séduisante...

Je profitai alors d'une "visite" à Paris pour m'éclipser et se fit passer pour morte dans le but de disparaître de la surface de notre planète quelques temps. Je commençai alors à mener une vie à mon rythme, ne passant jamais plus d'une semaine au même endroit.

Et cela aurait pu continuer des années, si l'inspecteur Lestrade de Scotland Yard ne m'avait pas contactée...

Il avait travaillé pour mon père, il y a des années, et avait déjà observé chez moi de précieuses facultés d'observation et d'analyse. Je l'avais déjà aidé sur quelques unes de ses enquêtes, avant qu'il n'entre au Yard. Il me demandait dans sa lettre de rentrer en Angleterre, ayant apparemment besoin de mes talents: Sherlock Holmes, le célèbre détective agissait de façon étrange  et il souhaitait que j'enquête à ce sujet. Il affirmait qu'une enquête officielle nuirait sans aucun doute à la réputation du détective - et ami de l'inspecteur à en juger par les précautions employées -  et pris bien trop de temps. Il préféra compter sur ma discrétion, ce qui était judicieux. Le frère ainé de Mr Holmes, Mycroft, lui avait confié qu'il avait entendu parler de moi et ne croyait pas à ma prétendue mort. C'est même lui qui lui avait donné l'adresse qui permit à ce brave Lestrade de me contacter.

Ayant depuis longtemps espéré rencontrer le détective, je rentrai avec la plus grande discrétion en Angleterre pour me rendre au 221 B Baker Street. J'avais pour ordre de me faire passer pour une simple cliente pour enquêter sur ses méthodes et faire un rapport à Lestrade sur ce que je notais d'étrange. Mr Holmes ne mit que quelques minutes à découvrir la supercherie mais n'en dit mot. Le docteur Watson dit toujours que je fais beaucoup penser à quelqu'un que Holmes a beaucoup aimé dans le temps... Quoiqu'il en soit, le mystère se révéla plus comp*** que prévu et je ne dus la conclusion de cette afaire qu'à certaines connaissances acquisent en Inde. Pour le respect de Mr Holmes, vous comprendrez que je tairai les détails de ladite affaire. Mais je suis sûre que si vous les lui demandez gentiment il sera tout à fait enclin à vous les révéler...

Et maintenant, me direz-vous?

Maintenant, ma situation est un peu spéciale. Je vis de nouveau à Londres, au 221 B Baker street dans l'anonymat le plus total - je ne puis réapparaitre devant la Reine après avoir déserté ainsi - et à l'instar du docteur Watson, je tâche d'aider Mr Holmes dans ses enquêtes du mieux que je puis. Je suis loin de regretter  mon retour en Angleterre, et je confesse m'être attachée aux personnes qui vivent sous ce toit. A Sherlock en particulier. Vous savez, avoir sauvé la vie de quelqu'un plus d'une fois - et devoir la vie à cette même personnes à plusieurs reprises - a tendance à rapprocher les gens. Et puis il est une telle énigme... Enigme qui semble autant intriguée par moi que je le suis par elle. J'ignore tout du lien qui me lie à lui, je sais cependant que si je dois un jour de nouveau me marier, j'aimerais que ce soit avec un homme comme Holmes.

 

" - Ivy? Vous êtes là? Oh, vous voilà. Vous n'auriez pas vu Watson? Il est introuvable...

   - Oh, Sherlock, vous voilà enfin. Watson est parti en campagne avec Mary, il nous avait anoncé ce voyage, vous ne vous en rappellez pas? Holmes, ce Monsieur à une affaire importante à vous soumettre.

   - Oh, oui... exact... Bonjour Monsieur, alors comme ça vous avez une affaire à nous soumettre. Voyons cela."

 


 

Loft : Maison Camden ; Baker Street (fini)

A study in ...

Salon n°2 : Versailles (fini)

Rose de Versailles

Salle de bains 02: Salon de réception (finie)

En rouge et Blanc.

Chambre 2 : Royaume Atlante (à faire)

Princesse Atlante

Chambre 3 : appartements privés (fini)

Poupée méca***

Cuisine : Jardin d'Eden (fini)

Divine Ivy

Jardin : A la recherche de l'idole perdue

 Gardienne de temple

Cannes : Comme un homme (à faire)

Monsieur Parker

Palais Royal : Salle de Bal (finie)

Mademoiselle Ivy

Bateau : Port Royal  (à modifier)

Capitaine Ivy

Crypte : Le manoir du Vampire (fini)

Comtesse

Forêt Enchantée : Le pays des Elfes (fini)

Elfe Guerrière

Le Chalet : Appartement contemporrain (fini)

Ivy des temps modernes

Le Palais de Glace  (en cours)

Reine de l'Hiver.

 

Pièce rétro :(finie)

... !

 

Salle de concert : (fini)

 

Dark Ivy

 

Palais Vénitien :(fini)

Cabaret

 

Pièce des 1001 nuits :(fini)

Danseuse Orientale

 

Salle de bains 01 : Bienvenue en Inde

Jeune Hindi

Chambre : Bureau du FBI

Agent Parker

 

Dirigeable : (à faire)

Steampunk

Age Genre Ville Pays
100 ans Femme
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
Sherlock Holmes, il est si... intriguant. je suis une grande amatrice de violon, allez savoir pourquoi... un film? ça ne me dit rien du tout... j'adore le curry! Pour peu qu'on me le serve avec un bon thé chaud...
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
oh, il y en a plusieurs en fait. ce que je suis déjà. Mais je ne suis pas autorisée à vous révéler ce que c'est. qu'est ce qu'une émission? résoudre des enquêtes et des crimes.


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