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Je ne suis pas (encore ?) de retour pour rôler. Par un moment de nostalgie je me suis simplement dis 'Pourquoi pas'. Ma pause ainsi que mon absence ont étés très très longs, je ne sais pas si je dois m'en excuser car après tout, c'est une chose dont j'avais vraiment besoin. Disons plutôt que j'avais besoin d'autre chose et que le rôle play avait pris une place très secondaire dans ma vie à un moment de ma vie assez compliqué moralement. Maintenant j’ai une vie plus que rempli, bordé par une vie de famille et des engagements. Je m'excuse cependant pour toutes ces scènes laissées derrière moi et qui m'ont permis de voyager, de rire, sourire et même parfois d’être émue. Je ne les reprendrais pas tous et très très peu, vous m’en voyez navrée.
Je pense délaisser quelqu’un de mes comptes. Je me sens déchiré rien à l’écrire, mais je n’aurais plus autant de temps à consacrer à chacun d’eux.
En tout cas, rien n’est encore décidé, j’ai simplement franchis un pas en revenant par ici.
Je le hais autant qu’il me hait.
Longtemps je l’ai combattu sans succès.
Qui est-il ?
Il montre les crocs et me fixe de ce regard carmin.
L’air monstrueux, cruel et malsain.
Qui est-il ?
Je lutte et pour finir comme toujours il gagne.
Je ne peux pas le laisser faire et lutte avec hargne.
Qui est-il ?
Ma main se soulève et je caresse le miroir.
Est-ce dans mes yeux que reflètent ce désespoir ?
…
Il est moi et je suis lui.
Il est le monstre caché dans mon esprit.
Je me retourne et fantômatique il est là.
Il me fait face et la brume s’empare de moi.
.
Je suis Waren, quand il est moi, je ne suis qu'un pantin.
Je suis Payn et de son corps pour exister, j'ai besoin.
J’ai dix ans, j’ai mal au cœur et au corps..
Pourquoi est-ce qu’elle ne lui dit pas d’arrêter. Le ceinturon claque, encore et encore et elle, elle regarde. L’alcool rend son regard inexpressif. Une mère n’est-elle pas censé protéger son enfant ? Il a enfin fini de passer ses nerfs sur moi, je peux enfin me rendre dans la salle de bain je vais encore aller tenter de calmer les brûlures qui rendent mon dos si douloureux. Y-at-il encore de place pour d’autres cicatrices ? Quand je serai grand j’aurais des enfants, des tas d’enfants et ils seront heureux. J’étais heureux avant que maman ne rencontre Charles. Mon père, le vrai, dit que bientôt il sera moins occupé dans son travail. Il fabrique du chocolat et un jour je travaillerai avec lui, il l’a promis, j’ai hâte. Très hâte. Parce que si je vie avec papa, je ne verrai plus ni maman ni Charles. Heureusement que j’ai Justine et la poésie..
J’ai seize ans et j’ai toujours aussi mal..
Le cœur est un peu plus léger. Je suis partit ce jour même de la maison.. Maman n’a pas cherché à me retenir et Charles dit que cela fera une bouche de moins à nourrir. Si j’avais su, cette bouche je l’en aurais libéré depuis longtemps. La chocolaterie à fermée depuis un an maintenant. Depuis qu’une crise cardiaque a emporté papa. Mon rêve d’une autre vie est mort en même temps que lui c’est éteint. Jamais il n’aura su à quel point je suis malheureux et c’est tant mieux. Personnes ne sait en vérité. Comment pourrait-on deviner, alors que je passe mon temps à rire, faire rire et sourire. Personne ne voit que cela sonne faux, je fais tout pour. A si, il y a Justine, mais elle ce n’est pas pareil, c’est ma meilleur amie, c’est ma confidente, c’est ma muse, c’est elle qui me pousse depuis tout petit à rester fort, à continuer à écrire ma poésie, à continuer à sourire, à rester en vie, tenir bon.
J’ai vingt-cinq ans, je suis marqué, j’ai cicatrisé, je veux avancer et croire..
Et si je rouvrais l’entreprise ? Après tout, cela fait des générations que les chocolats Carline ravissent les plus gourmands. Justine est partante, elle va m’aider, encore. Elle est encore là et encore plus proche. On s’est mariés voilà six mois. Mes sourires sont plus sincères, mes rires sonnes justes, j’allie la poésie au violon et je n’ai toujours pas oublié mes rêve de papa gâteau.
J’ai trente ans, du suicide plein la tête, de l’alcool dans les veines et un fantôme dans mon placard.. Mes sourires sont faux à nouveau, mon fils n’a pas eu le temps de vivre, ma femme est morte. J’ai brûlé ma poésie, j’ai coupé les cordes de mon violon. Un pact en poche, des rêves de mort inaccessible, du sang sur les mains, un esprit dans la tête et les flics à ma porte.
J’ai sombré.
Courtois, Lunatique, 33 ans, Entité, Jovial,
Hybride, Veuf, Impulsif, Blessé,
Sanguinaire, Chocolatier, Sournois,
Câlin, Franc, Possédé,
Amical, Carnassier, Responsable,
Taquin, Lycanthrope, Sportif,
Impavide, 181cm, Vampire,
Romantique.
Le Rejet. Voilà ce que fut jadis Payn Garner Junior.
C’est toi, tout cela vient de toi, toi qui m’a caillassé, toi qui m’as inondé de critique, toi qui trouvais que je n’étais pas comme toi. Toi qui disais que l’être impur devait mourir bien avant de naître. Regarde ce que je suis devenu par ta faute et celle de tous ce que je viens de faire taire. Oui je suis dur, je suis devenu fort, je suis devenu sanguinaire, je ne suis plus capable de pitié, ni d’empathie, je suis devenu aussi ignorant que toi. Maintenant tu peux dire que je suis un monstre.. Avant mon seul tort eut été d’être l’enfant hybride, celui qui couvre deux sang, celui d’un vampire, et le pire pour vous tous, celui d’une bête, d’un lycanthrope. L’impur à grandit, l’impur à apprit que la seule loi qui régis ce monde c’est celle du plus fort. Pourquoi veux-tu que je t’épargne aujourd’hui, maintenant que j’ai acquis bien plus de force et de connaissance que tu n’en auras jamais ? Toi m’as-tu permis d’exister quand enfant je n’avais que le désir de vivre, de m’intégrer, de comprendre quelle était ma faute ? Tu es le dernier, après ta mort il ne restera plus personne de ce village qui m’a maudit pour ma différance. N’espère pas que dans les limbes où je vais t’envoyer rejoindre les autres, tu n’es plus droit à ma vengeance, je vais te suivre juste après, j’arrive, je vais vous traquer, le répit n’existe pas pour les gens comme toi, même dans la mort…
Maintenant que nous y sommes il ne me reste plus qu’à vous traquer encore, sauf que je ne comprends pas cette paix qui m’anime au fil du temps. Je me sens bien, je me sens serein et la traque elle-même m’est devenu inutile, je n’aspire qu’à la paix, la mienne. Je n’erre même plus, je suis là, dans les limbes, seul comme avant et pourtant cela ne me dérange plus. Je veux juste que l’on me laisse tranquille..
Maintenant la mort elle-même me rejette à moitié. Je suis une entité condamné à errer. Mon essence revenue, dans ce monde que j’ai quitté de ma propre volonté et voilà que je suis à nouveau là tel un fantôme qui hante ces murs, qui hante le corps de celui à qui l’on m’a lié. Ce stupide humain qui s’est amusé à jouer avec des forces qui l’on dépassé au point d’avoir invoqué la vie sans savoir que la mort doit obligatoirement l’accompagner. Si je veux avoir un semblant d’existence maintenant, je dois attendre qu’il me cède son corps, véhicule de chaire qui me permet de quitter les murs de son appartement. C’est là tout ce qu’il me reste. Cela et la rage qui, autrefois éteinte dans la mort, m’est revenu au centuple. Ils n’ont pas choisi le bon esprit. La mort me convenait si bien, je n’aspirais plus à rien, je ne ressentais plus rien et c’était bien comme cela.
Alors il est mon nouveau souffre-douleur, ma nouvelle raison de tenir ce semblant de vie. Je vais être son enfer. Il va payer mon réveille jusqu’à son dernier souffle de vie. Son corps va être le socle qui me permet à nouveau d’être moi, le rejet, l’impur, le monstre. Et c'est toi Waren qui va en pâtir cette fois, moi je m'en lave les mains.. J'agis, tu payes, c'est ta punition.
Hrp:
Waren se rencontre un peu partout, il n’y a pas de limite. Il faut retenir que Payn est un esprit qui se sert de Waren comme d’une enveloppe de chaire pour avoir une existence physique. Il n’est pas possible de choisir entre les deux, ils sont indissociables. Malgré tout, débuter avec l'un ou l'autre en personnage principal est tout à fait concevable.
Waren est propriétaire de l’immeuble où il vit, il est parfaitement possible de chercher à emménager dans un des appartements. Ce peut être une manière d’engager un rpg. Sinon, il est aussi propriétaire d’une chocolaterie (fabrication, ven/te, chocolat en bonbon ou dégustation de chocolat chaud en terrasse ou salon) et le rencontrer en boutique est aussi possible. Pour d’autre questions, il ne faut pas avoir peur de demander.
Rp off, je ne prend plus les demandes et je n'y répondrai pas non plus à partir de là, vous n'aviez qu'à lire. Et je ne fais pas de 'liste d'attente'.
Je suis une fille très facile d'approche, mais affreusement expéditive, si une chose me déplait au niveau du rp, je le dis cash. Ne le prennez pas mal si je mets rapidement fin à une scène. Jouer un homme ici, c'est extrêmement difficile à cause des damoiselles. La solution est aussi raide que les filles êtes très souvent abusives. Si cela déplait, c'est juste 'tant pis'. Sachez jouer correctement et pas dans le but d'amener un homme dans votre lit. Multi, ais une idée de l'être que tu incarnes.
Je ne réponds pas aux mps 'vie privée'
Age | Genre | Ville | Pays |
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100 ans | Homme | France | |
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