On la voyait souvent sur les rives de la rivière qui traversait la capitale. C’est vrai qu’elle ne passait pas inaperçue, des cheveux bleus comme elle, personne n’en avaient. Bleu gris pour bleu autant le montrer non ? Souvent lâchaient dans la brise matinale, ou attachaient en un chignon désordonnée comme le veux l’étiquette, Liberté ne s’envie pas, loin de là, l’image quelle peut avoir d’elle. Elle est seulement un cadeau du Diable, sorti de ses gonds et puni pour des crimes donc elle n’a jamais vu la couleur, de près comme de loin. Elle était pourtant une jolie fleur, comme celle que l‘on ne peut cueillir au risque de les voir faner dès qu’on les touchaient. Triste fin pour une fleur inutile, tel Liberté. Pourtant, elle pouvait parfois posée un regard sur vous, que d’attention de sa part, à son habitude, elle ne gratifiait que Céleste et Olloréanne de ses regards. Parfois tristes et mélancoliques. Ou encore joyeux et expressifs, ses deux iris rosées, jonchés de gris perles, ne regardaient que peu de monde, car la solitude agitait toujours la demoiselle en fleur. Liberté est une vraie fleur mais elle ne veut pas qu'on la cueille et c'est plus fort qu'elle... Elle ne veut se faire belle pour une seule et u*** Personne. Elle ne porte que très souvent, pour les bals par***mple, les grandes robes digne de l'aristocratie. Pourtant en suivant leurs modèles, Liberté attache sans jamais ce lasser, son magnifique corset bleu qui lui donne l’air d’avoir une taille naturellement mince. Elle n’est ni grande, ni petite juste ce qu’il faut… un bon mètre soixante, soit dit en passant. Bien qu’elle cache sa véritable force, Liberté est une personne bien frêle au premier abord, on pourrait croire que la casser en deux serai une chose facile. … Cependant, Mlle Phantomhive n’est pas si fragile qu’elle en a l’air. Et oui, la demoiselle aux es généreuses ne cessera donc jamais de nous impressionner. Mais ce qui vous choquera le plus quand vous la verrez la première des toutes premières fois, qui sera soit dit en passant peut-être la dernière, c’est sa peau. Blanche, si blanche qu’on la croirait poudrer, et que le fait qu’elle ressemble de près comme de loin à un cadavre mort la veille vous choquera sans doute. Et pourtant, c’est ce qui reflète le plus la personnalité de Liberté, mais taisons-nous sur ce point, nous en parlerons après. Reprenons, sur ses cheveux, apparat le fait qu’ils soient presque bleus, que savons-nous d’autre, Liberté et ses cheveux, une grande histoire … De Haine. Elle les déteste, pourtant, il lui arrive, en ondulant légèrement, jusqu’au creux des reins. Pourquoi ne pas les couper, ou les teindre ? Peut-être parce que c’est la preuve de sa naissance . C’est vrai que Liberté les laisse souvent libres, retenu par un simple bandeau de lin noir, ou à l’occasion, bleu ou blanc, Selon sa tenue et son humeur. Ses yeux sont légèrement cachés par certaines mèches qui lui tombent dans le visage. Liberté est comparable aux roses sauvage poussant que très rarement dans les forêts tropicales. Souvent habillée de vêtements écrus ou beige, parfois noirs et blancs, plus souvent des tailleurs avec des jupes à multiple volant et froufrou en tout genre dont elle aime y accrocher des chaines ou autre pendentifs.

Comme pour les analyses musicales, il y a deux temps. Et bien pour Liberté, c’est exactement la même chose. Apprendre à connaitre avant de juger est une chose primordiale pour faire un joli bouquet avec au centre notre demoiselle en fleur. Freedom , Liberté devrait se faire entendre non ? Pourtant au premier regard, si vous la voyez, c’est ce qui montrera que vous l’avez beaucoup cherché … Enfin quoi quelle est repérable facilement. Mais, aller lui parler vous viendra surement à l’esprit ? Si c’est là cas vous êtes bien fou … Car ormis le fait que vous la trouverez timide au point de devenir rouge pivoine. Elle déteste tout ce qui lui est inconnu comme la mort où bien l’espace. Mais, c’est bien les seules choses quelle déteste. Au premier contact, timide, et silencieuse. Mlle Liberté ne vous adressera jamais la parole en premier, serait-elle chaste ? Pas du tout, enfin, elle n’est pas ce quelle semble être. Elle se fond dans la masse, certes mais sa gêne montre bien, son manque de sociabilité et son indifférence face au système. Elle pourrait même vous paraître froide, et renfermée… Mais c’est bien tout le contraire. Liberté est une jeune fille honorable qui respecte ses promesses. On pourrai presque dire qu'elle est trop naïve car elle a tendance à faire trop confiance aux autres personnes de ses connaissances. Elle est gentille et serviable, mais cela à des limites car elle sait s'énerver quand le besoin s'en fait sentir. Toujours souriante, elle transmet sa bonne humeur quotidienne à tous les membres de sa maison de couture ! Déterminée, elle a su ce faire appréciée par les nouvelles recrues . Liberté est même un peu enfantine quand, on jette un œil au fond d’elle, rêveuse et aventurière, elle pourrait allé jusqu’à braver les interdits pour que ses convictions soient justes. Malgré sa peur d’être seule et en manque d’affection, Liberté reste une personne charmante et enjouée qui n’a pas fini de mettre sans dessus dessous notre charmante organisation. Malgré qu’elle soit bien généreuse, Liberté en reste en quelque sorte soumise et non sure d’elle, ce qui amène à certains défauts et habitudes. Personne n’est contre la fait quelle a quelques défauts, ou manie dérangeante. La première chose qu’on vous dira sur Liberté, c’est son trait de caractère lunatique, passé du rire aux larmes en deux secondes neuf, qui a cru que c’était impossible. On peut alors voir que Mlle est d’une sensibilité sans égal humain. Elle peut même devenir cachotière pour ce protéger elle et parfois les autres, on dit bien qu’il faut parfois savoir tenir sa langue. Dans la lune, Liberté est souvent hors du vrai monde, en faveur pour le sien. Mais ce qui la gêne le plus, c’est sa jalousie possessive, quand elle aime quelqu’un, Liberté ne peut pas s’empêcher de ne le vouloir seulement pour elle. Sinon, question passion, Liberté est une peintre que tout le monde admire, ainsi qu‘une styliste confirmée, elle métrise l’aquarelle et les gouaches avec un style relativement particulier, jamais vous ne la verrez passer sans sa bandoulière beige remplie de pinceaux et de tubes de pigments. Et de sa pochette à dessin, rempli à rebord. ~ Issue d’une bonne famille, Liberté pratique deux instruments de musique : La harpe et le piano. Elle aime beaucoup la harpe, mais déteste le piano, autant que les Shinigamis et son ex-meilleur ami : Caïn. Tout ses cauchemars reposent sur ce seul prénom, sur ce seul être qui lui a fait tout perdre. Amis, familles, souvenirs, elle est devenue seule pendant une bonne année, recluse à Oxford pour se souvenir de tout.

Les cheveux bien attachées en arrière, retenu par un joli ruban de satin blanc, Liberté, dans sa longue robe rôle pâle allait et venait dans un couloir attendant qu’on lui ouvre cette porte d’entretiens… C’est un jour spécial aujourd’hui. Elle allait devoir raconter toute sa vie devant une personne inconnue. Et si cette dernière était jugée apte, la compagnie de Mr Donfutlisell ouvrirait enfin la sixième boutique de Mlle, pour montrer en France admire sa maisons de coutures, c’est vrai que partie de haut, puis descendant vers le bas pour mieux remonter, Liberté était instable. Mais la demoiselle aux cheveux bleus nuit fût vite sortie .de ses pensées. La porte s’ouvrait, annonçant son nom. Elle ne se fit point prier et entra, tout en s’installant là où on lui dit de le faire. Puis cet homme aux airs sévères posa sa première question.

- Présentez vous, je vous prie.

«  Et bien, d’accord, Je me nomme Liberté, Juliette, Crystale Phantomhive. J’ai eu 17 ans le 14 février dernier. Je vis dans un manoir aux alentours de la vile. Malgré que je possède une maison de ville, dans a quelle je peux venir à tout moment sans recevoir et être mal reçue. Vous devez aussi vous demander, Phantomhive, ce nom me dit surement quelque chose. Evidement qu’il vous dit quelque chose. Vincent et Rachel Phantomhive ont bien mes parents, en effet Ciel Phantomhive est mon cher frère. Je suis l’aînée de ma famille, qui aujourd’hui est détruite. Je n’ai pas fait d’études à proprement parler, j’avais un précepteur qui m’enseignait le français, la musique, les arts et les mathématiques. En dehors de cela, je peignais, j’adore la peinture et les arts en général. Mais je déteste le piano, pourtant, j’en ai joué jusqu’à l’âge de douze ans. Puis j’ai enfin pu jouer de la Harpe, cet instrument m’attirait depuis que j’avais vu des musiciens ambulants en jouer devant l’église à Londres. »

Fermant les yeux, elle reprit son souffle et attendit la prochaine question.

- On vous appelle Liberté Rowney ? Pourquoi donc ?

«  Ah, ça et bien, comment dire, avant de ne devenir qu’une simple jeune femme des rues de Londres, je jouais beaucoup avec Ciel et nous nous donnions des noms différents et je prenais toujours celui-ci. Aujourd’hui, on me nomme ainsi car c’est ainsi que je souhaite ma faire appeler quand on parle de ma maison de couture. En aucun cas une Phantomhive ne serait assez crédible pour éblouir le monde avec ses créations. Donc de ce fait, j’ai un pseudonyme, et mess affaires sent portent relativement bien, aussi bien financièrement que sur les jeunes filles. »

- Revenons sur votre famille qu’avait vous fait entre vous 13 et 16 ans ? Vous êtes devenues une gitane ou autre chose de ce genre ci ?

«  Non, rait-elle, je ne suis pas devenue ce genre de personnes, j’ai trouvé une aide précieuse, il faut dire. Oui, même plus. Bon tout d’abord, je ne me suis fait connaitre par la population Londonienne à mes 10 ans, oui, c’est bien tard en effet mais mes parents avaient une telle honte d’avoir donnée naissance à une fille en premier, que je n’était pas la bienvenue chez moi … Jusqu’à ce que ce cher Vicomte de Druitt découvre mon existence et que je lui soit promise pour mes treize ans. Mais, j’ai fuie, oui, je suis partie. Puis dans mon repentie, je suis revenue, et ce que j’ai vu, c’était le manoir familial en flammes et en bruit de fond, les appels au secours de Ciel qui me suppliait de venir le chercher. Mais je n’ai pas pu bouger … J’en été incapable. Mais je me suis tout de même enfoncée dans la forêt … Mais sans résultat. J’étais vraiment seule, puis, sans vraiment le vouloir, j’ai marché jusque Londres, jusque dans les bas quartiers. Puis je me suis fait entrainé dans une boutique environnante, elle était lugubre et en désordre mais j’ai appris à connaître son propriétaire. Si bien que je l’ai aimé et lui en retour, et je crois même l’aimer aujourd’hui encore. Comment il s’appelle, oui, vous le nommez Fossoyeur. Mais le jour le plus dur, c’est quand je suis partie… Là, j’avais 16 ans, et je me suis envolée, j’ai vécu ma vie, devenant une styliste reconnue dans tout Londres et dans le monde… Mais j’ai appris il y a peu que j’étais détesté par mon frère, et jalouser par le comte Trancy et sa sœur… Je ne me plains pas, car j’ai deux amis qui sont près de moi chaque jours : Olloréanne Smith et Célestes Caeles. Voilà, je pense que j’en ai fini de ma vie. »