Au service de ses supérieurs: Les Dieux Des Mondes...

enfant-delalune

pititeelfe

akane-demon

zus-dpomme

xyoyu

inconnu-vampir

*Une rumeur circulait, encore? Et de quoi parlait elle? Du Manoir bien sur.. LE Manoir avec un grand M! La population voisine à se Manoir hésitait, ils ne savaient quoi penser de cette endroit. On savait que les employés, plus précisément deux majordomes seulement, étaient géniaux! Gentil, sociable, amusant, en bref, ouvert à tout le monde! Mais l'on avait jamais su qui en était le propriétaire. De plus, la rumeur spécifié le fait que le manoir envoyait des lettres d'invitation aux grandes familles du village! Pourquoi? Quel était le but?*

*Un homme se tenait à coté d’elle. Il était là depuis un petit moment, mais rare était ceux qui l’avait remarqué, la femme non plus ne paraissait pas l’avoir vu. Habillé élégamment, il lui adressa la parole. Comme tomber de nulle part, cette voix d’homme, fluide et nullement abimé par la cigarette, bien qu’il en tenait une entre ses doigts. Il avait un doux sourire, que l’on pouvait nommer de « charmeur », mais ne paraissait s’intéresser à la jeune fille que par une simple curiosité. Il ne se tenait même pas à un mètre d’elle* Et bien ! N’est pas ma chère Victoria Silverwing que voila... ?  *Il arqua un sourcil* Nous ne vous avons pas vu à l’entrée… décidément, les apparitions soudaine vous sont propre, mais elles vous vont à merveille *Elle, elle ne le connaissait pas, non. Personne ne le connaissait, ni lui, ni l’autre. Mais pourtant, il semblait connaître beaucoup de chose sur elle, d’ailleurs, il l’avait reconnu du premier coup. Chose facile pour un majordome, mais les gens ne reconnaissaient pas en lui se rang social. Il était digne et élégant, un nez aquilin et des cheveux blonds ramener en arrière. Il avait une certaine classe, pour sur… *

*Cinq heure du matin, la ville dormait encore mais le soleil était déjà présent. Nous étions en été. Une jeune fille à l'allure encore enfantin sortit de sa maison, où l'enseigne, légèrement dégradé, marquait en gros "maison close". Son visage rayonnait d’une joie sans limite, elle avait l’habitude de se lever dès que le soleil apparaissait et profitait du silence de la ville pour faire sa promenade préféré. Les volets fermés, sans aucun bruit humain, juste le chant des oiseaux...  *