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ldestructionl
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~Bienvenue~

.Million eyes.

 

Seul le temps peut déplacer des montagnes.

 

Nous vivons dans un monde, où dans le ciel, les avions brillent plus que les étoiles.

Puisqu'on aura tout le temps de mourir plus tard, autant passer du temps avec des personnes qui nous font nous sentir vivant

 

 ▲

L'être Humain est un monstre qui défend l'humanité mais aucune créature n'est  plus inhumaine que l'Homme. On se trouve des qualités factisses, la réalité cachée sous des couches de maquillage et le peu de vêtements que l'on porte. Des loups déguisés en agneaux pour mieux s'entre-déchirer. 

L'être humain préfère idolâtrer des dieux invisibles plutôt que son monde visible qu'il détruit sans remords.

 

 

 

○As-tu déja vécu ce moment?

Ce moment où ton regard inquiet croise son regard rougis par les larmes.

Et tu sais. Tu le sens et tu pris, mais tu pris intérieurement encore et encore pour te tromper.

Tu pris chaques entités, chaques êtres, si fort que tu préfèrerai t'arracher le coeur à main nue que d'avoir raison.

Mais ses mots franchissent la barrière de ses lèvres.

Tout s'effondre dans ton être. Tout s'effondre car une bombe nucléaire viens d'exploser. 

Ton corps lache, un choc émmotionel si fort qu'il touche au physique. Et ton regard tombe sur tes mains, impuissantes. 

Tu veux te crever les yeux pour ne plus voir, t'exploser les tympas pour ne plus entendre, déchiqueter ton pauvre coeur pour ne plus ressentir; arrêter de respirer.

Mais tes mains restent immobiles. Ton cerveau se fige -tout se fige- se brouille et disparaît, car la seule chose que tu es soudain capable de faire; c'est de pleurer.○

 

 

 

¨

"Aucun pistolet, aucune épée, aucune armée, aucun souverain n'auront plus de pouvoir qu'une simple phrase.Les épées peuvent blesser et tuer mais les mots vous poignardent et s'enfoncent dans votre corps pour devenir des cadavres qu'on trimballera avec nous plus tard, tout en essayant de creuser et d'arracher leur squelette qui se cramponne à notre chair."

 

¨

 

**

"L'être humain n'a pas conscience des plus grands biens de la vie.".

C'es pourtant simple, trop simple, de comprendre, seulement, on se rend compte, on réalise, à quel point nous sommes misérable.

Je le vis bien.

 

**

 

"Cette faiblesse ridicule est peut-être un de nos penchant le splus funestes; car n'y a t-il rien de plus sot que de vouloir porter continuellement un fardeau qu'on veut toujours jeter à terre? D'avoir son être en horreur, et de tenir à son être? Enfin de caresser le serpent qui nous dévore, jusqu'à ce qu'il nous ait mangé le coeur?"

 

 

En une seconde, j'étais morte.

En une seconde, je n'existais plus.

Mes pensées, mes désirs, mes idées, mon esprit avaient disparus. La seule trace de mon existence sont les souvenirs de mes sourires dans l'esprit des gens. Les choses que j'aurai fait changer. Mes actes.

Et maintenant, je suis immortelle, toujours présente dans les coeurs de certains, dans mes actes accomplies.

Je suis immortelle et je ne suis plus rien.

Je suis heureuse; pourtant, mes larmes coulent et creusent des sillons sur mon visage.

Je ne suis plus rien. Je suis le néant. Je ne ferai plus jamais rien.

Jamais plus je ne respirerai.

 

 

 

 


Non, ce n'était pas une illusion mais bien un fait réel.

Non, ce qui ce pésentait devant mes yeux n'avait rien avoir à voir avec les pluies occidentales que j'avais pu connaître.

Douce, voir insipide et gelée. Ses fines goûtes vous piquaient le visage, creusaient des sillons sur notre peau comme un acide, vicieuses. Et alors que le froid ambiant s'étendait, aucun souffle de vent ne me parvenait. Dans une sorte de crainte et de respect pour cette pluie d'une froide violence.

Non, rien à voir avec ce que j'avais maintenant sous les yeux, une puie tropicale, une tempête plutôt.  A peine dehors je dégoulinais, mes vêtements collants à ma peau et mes cheveux trempés tentants de s'échapper de ma tête, emportés par un vent de furie. 

Ici aucune crainte, il était impossible d'échapper aux éléments déchaînés, très peu d'apparences pour eux, fidèles à mère nature, ils savent s'imposer aux vivants, comme un feu de forêt, ravageur, magnifique, indomptable et surtout, sauvage.

Car sauvage est le terme qui correspond le mieux à cette pluie, franche et revigorante.

 

 

 


 

Le temps, toujours le temps. Cette chose relative mais que tout le monde veut. Personne n'est prêt à céder sa place.

Alors on se marche dessus, on  s'écrase, on se pousse. On pense certainement avoir le droit de vivre, plus longtemps, mieux, que d'autres personnes. Alors on détruit des vies, dans le but d'améliorer la notre. 

De quel droit?

De quel droit l'être humain se prend t-il pour dieu? Décider de qui doit vivre ou mourir?

L'immortalité n'existe que dans les yeux d'un nouveau né.

Parce qu'au final, prêt ou non, qu'on le veuille ou non, on fini par laisser sa place au futur.

 

  

 

Ø

La nature humaine. Capable du meilleur tout comme du pire.

Des paradoxes ambulants.

On est du genre à écraser les autres en pensant les aider.Nous n'avions rien. Ni griffes, ni dents acérées, rien. Nous avons développé notre intelligence afin de perdurer, de survivre. Nous avons créer nos astuces et nos outils afin de prospérer. Puisnous avons voulu méliorer nos conditions de vie.

Nous n'vions plus d'ennemis assez forts pour nous détroner sur cette terre, pour vaincre nos astuces. Alors on c'est entre-tué; la soif de sang bien présente dans nos veines. La loi du fort reigne toujours ici bas. L'Homme se prend pour Dieu et défi la nature en la manipulant commebon lui semble. Un jour l'Homme retrouvera la honte de perdre contre un ennemi plus "faible" parce qu'ici bas, c'est chacun son tour.

 

Ø

 

Nous combattons la nature comme un adolescant en désaccord avec ses parents. Cela ne fait-il pas de nous une espèce pitoyable?

 

 

Ø

 

 

 

C'est si étrange comme il est facile de manier les mots, leur donner un rythme, un sens, une émotion. Pourtant à voix haute, je n'y arrive pas aussi bien. Les mots se bloquent et se bousculent dans ma gorge pour en sortir en groupes maladroits et désordonnés. Ces mêmes mots qui m'étranglent et provoquent mes larmes qui coulent comme pour tenter de les effacer.

Alors, j'écris.

 


 

°

°

°

 

-Pour casser cette ambiance mélancolique pseudo philosophique.-



"-Je suis une bombe humaine dans une maternelle ;


Un cuter dans le cœur de ton paternel ;


J'ai mis ta mère en ve.nte sur internet;


Et je fais tapiner ta sœur;


On vient m'interner."

 

°

°

°

 

 

 

~TIC-TAC-TIC-TAC~

Le temps presse.

 

_

 


-

(Oui c'est ma gu.eu le et mes cheveux. Tu touches, j'te crè.ve les yeux.)

 

*

***

*

 

J'emme.rde le temps qui s'écoule entre mes doigts.

Je vis en moi-même et rêve d'un monde loin des paradis artificiels.

Age Genre Ville Pays
26 ans Femme France
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Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré


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